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OVNIS officiels:

La conférence secrète sur les phénomènes aériens à Los Alamos du 16 février 1949:

De 1947 à 1949, des centaines d'étranges boules vertes ont été observées dans le Nouveau Mexique au-dessus d'installations militaires sensibles. Etaient-ce des météores? Le Dr. Lincoln LaPaz, spécialiste mondial du sujet, ne le pensait pas. Les militaires à Roswell, Sandia, Los Alamos et d'autres installations sensibles étaient vraiment préoccupés de n'avoir pas d'explication. Etait-ce une technologie révolutionnaire des soviétiques? Ou des militaires US? Nous savons maintenant que non.

Ceci est une des 24 pages de l'un des documents officiels initialement secrets concernant ce problème. Ces pages sont les minutes d'une importante conférence qui s'est tenue à Los Alamos le 16 février 1949. Des représentants de l'Armée US, du FBI, de l'Air Force et des scientifiques s'étaient réunis. Le Dr. La Paz avait passé deux ans à pister les aérolithes verts et explique ses découvertes. Le Dr. Edward Teller, l'un des pères de la bombe atomique, pose ses questions.

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Le document:

La transcription traduite:

tombant sur la terre, est comme vous pourriez vous y attendre, au hasard - en azimut et en altitude. Si le radiant de la largeur est connu, vous pouvez prévoir son angle minimum en rapport avec le plan de l'horizon auquel on a observé le chemin de la météorite. Il n'y a aucun choix, en ce qui concerne le... pour la direction quand les météorites tombent au hasard. Je voudrais contraster maintenant, actuellement, ce fait avec ce qui a été observé par certaines personnes ici à la conférence et par plusieurs des inspecteurs dr l'AESS [sécurité militaire], des pilotes d'UAL [United Airlines], des agents spéciaux, et qui sait combien d'autres catégories de gens. Je choisis de décrire le seul des incidents pour lesquels j'ai été personnellemt un témoin. C'est le seule des incidents que je suis en mesure de garantir sur la base de mon expérience, depuis 1915, en tant que membre de la Société Américaine des Météores, comme n'étant certainement pas une chute conventionnelle de météorite. C'était l'incident désigné comme l'incident de Starvation Peak la nuit du 12 décembre 1948. L'haure de l'observation était autour de 21:02 P.M., à plus ou moins 30 secondes près. Cet aérolithe est apparu dans toute son intensité immédiatement - il n'y avait aucune augmentation de lumière. Sa couleur, estimée comme étant en gros autour d'une longueur d'onde de 5200 angström, était une tonalité verte, ou vert-jaune, telle que je n'en avais jamais observé auparavant dans les chutes de météore. La trajectoire était aussi horizontale que l'on puisse le détermine par observation visuelle. Nous avons une photographie qui pourrait être quelques litres [sic] du départ à l'horizontal. La trajectoire a été parcourue à, je suis incliné à le penser, une vitesse angulaire constante. Juste avant la fin de la trajectoire il y avait eu une petite chute de la trajectoire, c'est à dire que l'aérolithe vert s'est cassé en fragments, toujours verts clairs.

Dr. Teller : Et tout ce temps l'intensité était approximativement constante?

Dr. LaPaz: Tout le temps, dans la mesure où j'ai pu le déterminer. L'oeil, naturellement, est évidemment un très piètre photographe.

Dr. Teller: Combien de temps le phénomène a-t-il duré?

Dr. La Paz: Presque exactement deux secondes. Nous avons dans les rapports ici, j'ai apporté le dossier complet avec moi et serais heureux de les faire circuler, des mesures de durées par rapport à toutes les observations. Peu de celles-ci, cependant, je pense, n'ont été déterminé dans des circonstances aussi favorables que la durée de l'incident de starvation Peak. Probablement devrais-je revenir en arrière et passer un peu la situation en revue. Puisque quelques rapports, publiés par l'AESS, suggéreraient certainement que j'aie été le principal responsable de l'apparition de ce problème dans son ensemble. Je suis heureux que le capitaine Neef ait corrigé cette impression. En fait, j'étais sur une enquête au sujet de l'aérolithe vert observé la nuit du 5 décembre lorsque l'incident du 12 décembre s'est produit. En conséquence je regardais vers le haut, j'observais; j'avais sur moi un chronomètre et un transit. Nous sommes arrivés sur les lieux et avons fait des mesures, des mesures du passage, et des lectures des altitudes et des azimuts; c'est-à-dire, nous avons fait un contrôle de durée, certainement pas plus de deux ou trois minutes après que l'incident se soit produit. A ce titre, je pense, il est probablement mieux observé que n'importe quel incident jusqu'à la période de la chute du 30 janvier.

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Cette page a été mise à jour le 19 novembre 2005.