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Référence pour ce cas: 19-sep-54-Cenon.
Merci de citer cette référence dans toute correspondance avec moi en rapport avec ce cas.
[Ref. lgp1:] JOURNAL "LA GAZETTE PROVENCALE":
On n'est plus maintenant à s'étonner des déclarations des témoins, qui auraient vu dans le ciel des Soucoupes Volantes, où des Cigares Volants.
Les plaisantins sont nombreux et leur imagination fertile.
Malgré tout, quelques témoignages, ne peuvent être mis en doute et il semble donc qu'il y ait un côté de vérité, tant [sic] toutes ces hallucinations collectif... ou individuelles.
Ainsi, depuis quelques semaines des apparitions d'engins bizarres dans le ciel de France se font de plus en plus nombreuses et de plus en plus curieuses. Que l'on en juge:
DANS LA REGION LYONNAISE
UNE FUSEE MARCHAIT
A UNE VITESSE VERTIGINEUSE
Un jeune homme de 19 ans, M. Roland Marchand, a fait aux gendarmes la déclaration suivante:
- Le 15 vers 23 heures, je me trouvais à environ 200 mètres du fort de Feyson (Isère), lorsque mon attention fut attirée par une lumière blanche. J'eus alors la stupéfaction de voir se détachant dans le ciel, à une dizaine de mètres du sol, une tâche sombre, surmontée d'un dôme d'où émergeait une vive lumière semblable à la combustion d'une torche de magnésium.
La "forme" noire semblait légèrement elliptique.
"Arrivé à une cinquantaine de mètres de ce "vaisseau de l'espace", j'eus la stupéfaction d'entendre un bruit mat comme celui que fait une fusée mouillée. Je vit en même temps une gerbe d'étincelles jaillir de dessous l'appareil. Puis d'un seul coup, tel une fusée, il s'éleva à une vitesse foudroyante, peut-être 4.000 ou 5.000 km.-h.
SOUCOUPES VOLANTES
SUR PARIS
Hier matin, Mme Mallet et Mlle Lucienne Yriex, 71 route de Daumont, à Montmorency, ont déclaré qu'elles avaient vu, la veille, à 17 heures un engin ovale jaune, accompagné d'une traînée lumineuse et se balançant de droite et de gauche.
M. Hébert, boucher, avenue de la libération, au Petit-Clamart, a aperçu, le même phénomène, à 21 heures, se dirigeant d'est en ouest.
OBJETS LUMINEUX
DANS LE CIEL
DU ROUSSILLON
Un boulanger de Canet-Plage, Monsieur Etienne Err, a déclaré qu'au retour d'une tournée de livraison avec sa camionnette, il avait aperçu au-dessus de cette localité un disques brillant, qui, après avoir décrit de grands cercles, s'éloigna en direction de la mer.
D'autre part, sept ouvriers d'une usine de la banlieue de Perpignan affirment avoir aperçu également, un objet d'une couleur indéfinie, évoluant à grande vitesse et qui aurait franchi les Pyrénées en direction de l'Espagne.
UN CIGARE VOLANT
AURAIT ETE FILME
M. Valéry, directeur d'une salle de spectacle, à Paris, qui se trouvait en déplacement, à Lyon avec sa femme, a déclaré avoir vu un engin voland [sic].
- Il était 18 heures environ. Nous nous promenions lorsque nous avons aperçu cet engin, à environ 700 ou 800 mètres d'altitude et il montait, verticalement sans faire entendre le moindre bruit de moteur.
Derrière lui il laissait une large traînée de fumée blanche.
Il ne pouvait pas s'agir, à mon avis d'un avion à réaction, dont j'aurais perçu le sifflement, en raison de la proximité de l'engin.
D'ailleurs, ce cigare n'en avait nullement la forme.
M. Valéry était porteur d'une caméra 8 mm. Il s'empressa de filmer les évolutions de l'objet aérien.
Un film, qui pourrait l'on sans doute avoir une réelle valeur, si véritablement M. Valéry a vu l'étrange engin.
DES MARTIENS
SUR LA TERRE
Si l'on peut concevoir même avec quelques réticences, la présence dans le ciel, d'objets lumineux qui peuvent
Voir la suite page TROIS
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bien être des aérolithes, les déclarations de certains témoins ayant en effet aperçu d'étranges individus, des Martiens, par exemple sont autrement discutables.
C'est ainsi qu'une habitante de Chabeuil, dans la Drôme, le plus sérieusement du monde, est venue déclarer qu'elle avait rencontré dans un certain champ, une chose qui ressemblait à un gosse enfermé dans un sac de cellophane... On prétend qu'après cette rencontre, elle a dû s'aliter avec 40 de fièvre... Cela se conçoit.
Plus fort encore, est la rencontre, faite par M. Yves David, 28 ans, cultivateur aux Brouloux, commune de Vouneuil-sur-Vienne, qui a déclaré avoir vu s'avancer sur lui, sur la route de Cenon à Vouneuil, le 19 septembre, à 22 heures, une sorte de scaphandrier. Celui-ci, dit-il, vint lui caresser le bras, émit des sons incompréhensibles et se retira vers un engin que M. David ne peut décrire. Un faisceau lumineux vert, fut projeté dans sa direction le clouant sur place, puis l'engin disparut dans le ciel, à la verticale, sans aucun bruit.
M. David déclare n'avoir d'abord, rien voulu dire de cette bizarre rencontre, de peur qu'on se moquât de lui. Il en fit part toutefois un ami lui demandant si d'autres personnes, n'avaient pas aperçu le scaphandrier. C'est ainsi que tout le pays l'a su.
[Ref. llp1:] JOURNAL "LE LIBRE POITOU":
Histoire étrange que raconte M. Yves David, 28 ans, cultivateur aux Breloux, Cne de Vouneuil-sur-Vienne.
C'est pourtant un homme digne de foi. Laissons-le parler:
"Le dimanche 18 septembre, je revenais d'une vente à Targé. A vélomoteur, je circulais sur la route de Cenon à Vouneuil-sur-Vienne pour rejoindre mon domicile. Il pouvait être 22 heures.
Le phare de mon vélomoteur ne marchait pas très bien. Soudain, entre le Poutereau et les Rabotes, je distinguais une masse au milieu de la chaussée.
"Ma surprise fut grande quand je vis une sorte de cuirasse (comme un scaphandrier) qui s'avançait vers moi.
"Cette cuirasse s'arrêta à ma hauteur, me caressa le bras et émit quelques sons inarticulés. Je ne bougeais pas.
"Puis la cuirasse se retira. C'est alors qu'à quelques mètres seulement je vis un engin dont je suis incapable de donner la description.
"Une lumière verte apparut qui me paralysa et je fus dans l'incapacité de bouger.
"L'engin s'éleva du sol à la verticale et disparut sans aucun bruit."
D'aucun s'étonneront que M. David n'ait poit alerté plus tôt la gendarmerie.
Il nous a confié qu'il avait conté son aventure à son épouse et avait chargé l'un de ses amis effectuer une discrète enquête pour savoir si quelqu'un d'autre avait vu l'engin.
"J'avais peur, en parlant, que l'on se moque de moi", dit-il en conclusion.
[Ref. lpl1] JOURNAL "LE PROVENCAL":
Suite de la première page
M. L..., qui nous a fait cette déclaration, a ajouté: "Au début, je n'ai pas voulu en parler, mais avec les nouvelles qui ont paru ces derniers jours dans la presse, il me semble que cela pourrait contribuer à ajouter un témoignage de plus au dossier des "soucoupes volantes"."
Il semble, en effet, que nous soyons à nouveau en présence d'un de ces mystérieux engins qui se serait posé quelques instants (dans quel dessein?) sur les plaines de la région aiguemortaise.
Le docteur Martinet, médecin dermatologiste à Chambéry, a vu une soucoupe volante évoluer au-dessus de la croix du Nivollet.
- "Une quinzaine de personnes, déclare-t-il, peuvent en témoigner."
Le docteur et sa femme revenaient en voiture du col du Chat, lorsqu'ils aperçurent à l'aplomb de la croix du Nivollet, à 2.000 mètres d'altitude environ, "une masse gris aluminium foncé". Le docteur arrêta son véhicule, pour suivre les évolutions de l'engin. Trois autres voitures stoppèrent également.
- "J'ai observé ma montre, dit le docteur. Il était 17 h 8' 40". A 17 h 16 alors qu'elle se présentait de face, c'est à dire sous forme de disque, j'ai discerné une zone claire au centre de l'engin et des taches sombres tout autour. L'engin descendit à l'aplomb de la gare du téléférique du Revard, puis disparut soudain à la vitesse de l'éclair."
Entre temps, une quinzaine de personnes s'étaient groupées autour du docteur Martinet et firent les mêmes observations que lui.
Dans les départements du Rhône, de l'Isère, de la Drôme et de la Savoie, de nombreuses personnes affirment avoir vu, ces jours derniers, avec plus ou moins de netteté, des aéronefs ayant tantôt la forme de cigares, tantôt de disques.
Dans la Vienne, un cultivateur de 28 ans, M. Yves David, demeurant aux Brouloux, commune de Vouneuil-sur-Vienne, a rencontré, sur la route de Cenon à Vouneuil, une sorte de "scaphandrier". Celui-ci vint lui "caresser" les bras, émit des sons inintelligibles puis se dirigea vers un engin que M. David ne peut décrire, et qui s'éleva sans bruit à la verticale, puis disparut à toute vitesse.
[Ref. jps1:] JOURNAL "LE JOURNAL DU PAS-DE-CALAIS ET DE LA SOMME":
Lyon, 29. -- Dans les départements du Rhône, de l'Isère, de la Drôme et de la Savoie, de nombreuses personnes affirment avoir vu, ces derniers jours, avec plus ou moins de netteté, des engins ayant soit la forme de cigares, soit celle de disques.
Dans la région de l'Arbresle, l'un de ces témoins, directeur d'un music-hall parisien, a même filmé un de ces mystérieux appareils qui évoluait à une hauteur estimée par lui à environ 700 mètres. On saura ainsi, après développement du film, s'il s'agit ou non d'une illusion d'optique.
Près de Feyzin (Isère), un jeune homme aurait aperçu dans la campagne, non loin du sol, un engin ayant la forme d'un dôme et d'où jaillissait une lumière très vive, comparable à celle provoquée par la combustion du magnésium. L'appareil, brusquement monta à la verticale en laissant derrière lui une gerbe d'étincelles et disparut.
Dans la Drôme, une habitante de Valence, Mme. L... qui se promenait près de Chabeuil, affirme avoir rencontré dans le chemin qu'elle suivait, un être de petite taille vêtu si bizarrement qu'elle crût tout d'abord qu'il s'agissait d'un épouvantail en cellophane.
Le chien qui accompagnait la promeneuse aboya furieusement, pris de terreur. Quant à Mme L..., terrifiée également, elle se cacha derrière une haie.
C'est alors qu'elle vit s'élever du champ de maïs qui bordait le chemin, un disque d'où émanait un sifflement. Peu après, le témoin et des paysans se rendirent dans le champ où, selon eux, on distinguait nettement une trace circulaire d'environ 3 mètres de diamètre, avec épis de maïs couchés et branches cassées en bordure.
D'autres habitants de Chabeuil ont également déclaré avoir
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Châtellerault, 29. -- M. Yves David, 28 ans, cultivateur aux Brouloux, commune de Vouneuil-sur-Vienne, a déclaré avoir vu s'avancer vers lui, sur la route de Cenon à Vouneuil, le 19 septembre à 22h, une sorte de "scaphandrier".
Celui-ci, dit-il, vint lui caresser le bras, émit des sons inintelligibles et se retira vers un engin (que M. David ne peut décrire). Un faisceau lumineux vert fut projeté dans sa direction, le clouant sur place, puis l'engin disparut dans le ciel, à la verticale, sans aucun bruit.
M. David a déclaré n'avoir rien voulu dire de cette bizarre rencontre, de peur qu'on se moquait de lui. Il en fit part toutefois à un ami, lui demandant si d'autres personnes n'avaient pas aperçu le "scaphandrier".
C'est ainsi que le pays l'a su.
Suite de la première page)
aperçu, ce jour-là, une soucoupe volante évoluant au-dessus de la campagne.
Enfin, en Savoie, près du lac du Bourget, au-dessus du Mont Revard, plusieurs automobilistes, au total une quinzaine de personnes, ont vu simultanément un appareil ayant la forme d'un disque évoluer pendant environ quatre minutes, puis disparaître brusquement.
L'un des témoins, un médecin de Chambéry, est un ancien observateur d'artillerie. Il nota avec soin les observations et dessina un schéma reproduisant le trajet de l'appareil mystérieux.
[Ref. vmr1:] JOURNAL "VAR-MATIN REPUBLIQUE":
Châtellerault, 29 septembre. -- M. Yves David, 28 ans, cultivateur aux Broudoux, commune de Verneuil-sur-Vienne, a déclaré avoir vu s'avancer vers lui, sur la route de Cenon à Vouneuil, le 19 septembre à 22h, une sorte de scaphandrier.
Celui-ci, dit-il, vint lui caresser le bras, émit des sons inintelligibles et se retira vers un engin (que M. David ne peut décrire). Un faisceau lumineux vert fut projeté dans sa direction, le clouant sur place, puis l'engin disparut dans le ciel à la verticale, sans aucun bruit. M. David déclare n'avoir d'abord voulu rien dire de cette bizarre rencontre de peur qu'on se moquait de lui. Il en fit toutefois part à un ami, lui demandant si d'autres personnes n'avaient pas aperçu le "scaphandrier". C'est ainsi que le pays l'a su.
Lyon, 29 septembre. -- Entre le 15 et le 20 septembre, plusieurs personnes dans la région Lyonnaise, ont signalé avoir aperçu des soucoupes volantes. Un jeune homme de 15 ans, M. Roland M... indique : "Le 15 vers 23h, je me trouvais à environ 200 mètres du fort de Feyzin (Isère) lorsque mon attention fut attirée par une lumière blanche. J'eus alors la stupéfaction de voir, se détachant dans le ciel, à une dizaine de mètres du sol, une tache sombre d'où émergeait une vive lumière semblable à la combustion d'une tache de magnésium."
La "forme" noire semblait légèrement elliptique.
Arrivé à une cinquantaine de mètres de ce "vaisseau de l'espace", j'eus la stupéfaction d'entendre un bruit mat comme celui que fait une fusée mouillée, je vis même en même temps une gerbe d'étincelles jaillir de dessous l'engin. Puis d'un seul coup, telle une fusée, il s'éleva à une vitesse foudroyante, peut-être 4000 ou 5000 km/h." D'autre part, des habitants de Chaudelas [sic] (Ardèche) aperçurent le 17 septembre dans le ciel, un engin affectant la forme d'une torpille dont l'avant était plus lumineux que le reste. S'agissait-il d'un aérolithe ou d'un appareil interplanétaire? On ne le saura jamais. Enfin, à Lyon, Mme J. T... indique que le 18 à 3h55 du matin, elle a vu un engin qui remontait dans le ciel à la verticale à une allure vertigineuse.
Un autre témoignage, peut-être le plus important, nous a été fourni par M. René Valery, directeur artistique de l'Olympia de Paris. M. Valery était à Lyon et il nous confirma qu'il avait, ainsi que son épouse, aperçu un curieux "cigare" alors qu'ils se trouvaient, le jeudi 16 à Savigny, dans le Rhône. "Il était environ 18h, nous dit-il. Nous nous promenions, lorsque nous avons aperçu un engin à environ 700 ou 800 m d'altitude. Il montait verticalement sans faire entendre le moindre bruit de moteur."
Derrière lui il laissait une large traînée de fumée blanche. Il ne pouvait pas s'agir, à mon avis, nous dit-t-il encore, d'un avion à réaction, dont j'aurai perçu le sifflement, en raison de la proximité de l'engin. D'ailleurs, ce cigare n'en avait nullement la forme."
M. Valery, qui ne semble pas pouvoir admettre, malgré le témoignage de ses sens, qu'il a vu une soucoupe volante, était porteur d'une caméra 8 mm. Il s'empressa de filmer les évolutions de l'objet aérien.
Il saura peut-être jeudi, en allant chercher son film développé, s'il fut ainsi que son épouse, l'objet d'une hallucination ou si, au contraire, il s'agissait bien d'une de ces fameuses soucoupes. Il attend jeudi sans impatience, d'autant que la visibilité n'était pas très bonne et qu'il craint d'avoir peut-être manqué "sa soucoupe".
Ajoutons que les soucoupes ne sont pas une invention de notre siècle. En effet, un extrait des mémoires de la société d'Emulation du Jura, pour 1864, sous le titre "Globe enflammés" relate les lignes suivantes :
"Le 20 janvier 1859 à 4h35 du matin, par une pluie assez forte, mais calme et une nuit très noire, l'atmosphère se trouva soudainement éclairée par une lumière blanche très éclatante qui permettait de distinguer au loin des objets avec une grande netteté. Cette lumière était due à un globe lumineux glissant à travers l'espace du sud au nord, avec une grande rapidité. Un grand nombre de personnes qui, effrayées, sortaient de leur maison, crurent à un incendie. Ce phénomène a été vu depuis Lyon jusqu'à Strasbourg." [Description d'un météore.]
Quatre autres observations de ce genre, mais moins remarquables, sont notées sur les registres aux dates suivantes: 10 janvier 1847, 13 et 17 novembre 1848 et 11 août 1850.
"On doit les distinguer des globes incandescents qui se voient pendant les orages [foudre en boule], attendu que leur apparition a toujours lieu par un temps calme, sans détonation aucune et donnant une lumière vive."
A la vue d'une soucoupe volante, un chauffeur de locomotive tombe malade.
MM. Gérard, mécanicien et Paroux, chauffeur, qui conduisait une locomotive haut le pied, venant de Nantes, aperçurent hier soir, alors qu'ils passaient au lieu dit "la Butte Rouge", commune de St Nicolas-de-Redon (Ille et Vilaine), un engin qui s'élevait des marais voisins. Cet engin, d'une certaine longueur, qui était suivi d'une traînée lumineuse, vola pendant une dizaine de secondes au-dessus de la machine et disparut dans le ciel. Si le mécanicien conserva son calme, le chauffeur en revanche, fut si effrayé qu'il en tomba malade et dut passer une visite médical ce matin.
[Ref. cpd1:] JOURNAL "LE COURRIER PICARD":
LYON, 30 septembre. -- Dans les départements du Rhône, de l'Isère, de la Drôme et de la Savoie, de nombreuses personnes affirment avoir vu, ces derniers jours, avec plus ou moins de netteté, des engins ayant soit la forme de cigares, soit celle de disques.
Dans la région de l'Arbresle, l'un de ces témoins, directeur d'un music-hall parisien, a même filmé un de ces mystérieux appareils qui évoluait à une hauteur estimée par lui à environ 700 mètres. On saura ainsi, après développement du film, s'il s'agit ou non d'une illusion d'optique.
Près de Feyzin (Isère), un jeune homme aurait aperçu dans la campagne, non loin du sol, un engin ayant la forme d'un dôme et d'où jaillissait une lumière très vive.
Le témoin la compara à celle provoquée par la combustion du magnésium. L'appareil, brusquement monta à la verticale en laissant derrière lui une gerbe d'étincelles et disparut.
Dans la Drôme, une habitante, Mme. L... qui se promenait près de Chabeuil, prétend avoir rencontré, dans le chemin qu'elle suivait, un être de petite taille vêtu si bizarrement qu'elle crût tout d'abord qu'il s'agissait d'un épouvantail en cellophane.
Le chien qui accompagnait la promeneuse aboya furieusement, pris de terreur. Quant à Mme L..., terrifiée également, elle se cacha derrière une haie.
C'est alors qu'elle vit s'élever du champ de maïs qui bordait le chemin, un disque d'où émanait un sifflement. Peu après, le témoin et des paysans se rendirent dans le champ où, selon eux, on distinguait nettement une trace circulaire d'environ 3 mètres de diamètre, avec épis de maïs couchés et branches cassées en bordure.
D'autres habitants de Chabeuil ont également déclaré avoir aperçu, ce jour-là, une soucoupe volante.
Enfin, en Savoie, près du lac du Bourget, au-dessus du Mont Revard, plusieurs automobilistes, au total une quinzaine de personnes, ont vu simultanément un appareil luer [sic, évoluer] pendant environ quatre minutes ayant la forme d'un disque, évo-tes [sic], puis disparaître brusquement.
Suite en 2ème page sous le titre:
SOUCOUPES VOLANTES
(Suite de la 1ère page)
L'un des témoins, un médecin de Chambéry, est un ancien observateur d'artillerie. Il nota avec soin les observations et dessina un schéma reproduisant le trajet de l'appareil.
MM. Gérard, mécanicien, et Paroux, chauffeur, qui conduisaient une machine haut-le-pied venant de Nantes, aperçurent, hier soir, alors qu'ils passaient au lieudit "La Butte du Rouge", commune de Saint-Nicolas-de-Redon (Ille-et-Vilaine) un engin qui s'élevait des marais voisins.
Cet engin, d'une certaine longueur, qui était suivi d'une traînée lumineuse, vola pendant une dizaine de secondes au-dessus de la machine et disparut dans le ciel.
Si le mécanicien conserva tout son calme, le chauffeur en revanche, fut su effrayé, qu'il tomba malade et dut passer une visite médicale ce matin.
M. Yves David, 28 ans, cultivateur aux Brouloux, commune de Vouneuil-sur-Vienne, a déclaré avoir vu s'avancer sur lui, sur la route de Cenon à Vouneuil, le 10 septembre à 22 heures, une sorte de "scaphandrier".
Celui-ci, dit-il, vint lui caresser le bras, émit des sons inintelligibles et se retira vers un engin (que M. David ne peut décrire). Un faisceau lumineux vert fut projeté dans sa direction, le clouant sur place, puis l'engin disparut dans le ciel, à la verticale, sans aucun bruit.
M. David déclare n'avoir rien voulu dire de cette bizarre rencontre, de peur qu'on se moquât de lui. Il en fit part toutefois à un ami, lui demandant si d'autres personnes n'avaient pas aperçu le "scaphandrier". C'est ainsi que tout le pays l'a su.
Un boulanger de Canet-Plage, a déclaré qu'au retour d'une tournée de livraison avec sa camionnette, il avait aperçu, au-dessus de cette localité, un disque brillant qui, après avoir décrit de grands cercles, s'éloigna en direction de la mer.
D'autre part sept ouvriers d'une usine de la banlieue de Perpignan affirment avoir aperçu également un objet d'une couleur indéfinie évoluant à grande vitesse, et qui aurait franchi les Pyrénées en direction de l'Espagne.
Trois habitants de Lanta, près de Villefranche-de-Lauraguais (Haute-Garonne), M. et Mme Brunet, et M. Gadra, instituteur de la localité, affirment avoir aperçu, hier soir, au-dessus du village, un disque lumineux de couleur orange.
L'objet évoluait à une grande hauteur et se déplaçait en direction nord-sud.
Après avoir été visible pendant trente à quarante secondes, le disque lumineux a disparu à l'horizon.
[Ref. ppe1:] JOURNAL "PARIS-PRESSE":
LES Martiens se suivent et ne se ressemblent pas. En Corrèze, ils sont petits et casqués. Au Portugal, ils sont gigantesques et vêtus d'aluminium.
Des écoliers du Lot assurent à leur tour qu'ils en ont vu un hier, près de Figeac.
Les enfants se rendaient à l'école quand il leur apparut.
- Il nous a parlé, ont-i1 dit, mais nous n'avons pas compris ce qu'il disait...
Sur quoi il descendit vers un pré, en contrebas de la route de Figeac à Cahors. Les enfants le virent grimper dans un petit engin qui s'éleva verticalement.
- C'était une machine qui ressemblait à une boite, ont-ils expliqué.
Après les soucoupes, cigares et disques volants, voici donc la boite volante!
Dans la Vienne, un habitant de Montgadé, M. Yves David, a rencontré, lui aussi, déclare-t-il, un Martien. Il passait le vendredi 17 septembre, vers22 h. 30, sur la route de Vouneuil à Cenon lorsqu'il aperçut devant lui, posé sur le chemin un engin bizarre de 3 mètres environ de large. Un être de petite taille en descendit, s'approcha de M. David et lui tapa sur l'épaule. Après quoi, il regagna son engin qui s'éleva et disparut en laissant derrière lui une lumière verte.
Des soucoupes, on en signale un peu partout. A Saint-Bazeille (Lot-et-Garonne), deux personnes ont vu un disque phosphorescent, de teinte bleutée, traverser le ciel. Un autre, de couleur orange, a été aperçu à Lanta, près de Villefranche-de-Lauraguais. Un troisième, "d'une couleur indéfinie", a survolé la région de Perpignan; sept ouvriers l'ont vu; d'après l'un il s'est éloigné en direction de la mer; d'après les autres, il a franchi les Pyrénées.
Dans le Dauphiné c'est un véritable carrousel. Près de Feyzin (Isère), c'est un objet ayant la forme d'un dôme; dans la Drôme, près de Chabeuil, c'est un disque qui siffle. Même chose en Savoie, non loin du lac du Bourget, où l'un des témoins, un médecin de Chambéry, ancien observateur d'artillerie, a noté ses observations et dessiné un schéma.
A Saint-Nicolas-de-Redon, enfin, un mécanicien et un chauffeur qui conduisaient une machine haut-le-pied, MM. Gérard et Paroux, aperçoivent un objet mystérieux s'élever des marais voisins. M. Paroux en est tombé malade et a dû passer une visite médicale.
[Ref. nnm1:] JOURNAL "LE NOUVEAU NORD MARITIME":
Châtellerault, 29. -- M. Yves David, 28 ans, cultivateur aux Brouloux, commune de Vouneuil-sur-Vienne (Vienne), a déclaré avoir vu s'avancer sur lui sur la route de Cenon à Vouneuil, le 19 septembre à 22 heures, une sorte de "scaphandrier".
Celui-ci, dit-il, vint lui caresser le bras, émit des sons inintelligibles et se retira vers un engin (que M. David ne peut décrire). Un faisceau lumineux vert fut projeté dans sa direction, le clouant sur place, puis l'engin disparut dans le ciel, à la verticale, sans aucun bruit.
M. David déclare n'avoir rien voulu dire de ette bizarre rencontre de peur qu'on se moquât de lui. Il en fit part toutefois à un ami, lui demandant si d'autre personnes n'avaient pas aperçu le "scaphandrier". C'est ainsi que tout le pays l'a su.
Stockholm, 23. -- Une sphère lumineuse, qui laissait derrière elle une traînée de feu, a été photographiée hier soir à Djuv, dans le sud-est de la Suède. L'objet qui se déplaçait vers le nord, a déclaré le témoin, volait rapidement, "aussi haut, a-t-il dit, qu'un avion à réaction mais sans faire aucun bruit".
A l'Observatoire de Lund, on déclare qu'aucun météore n'a été observé à l'heure où le témoin a photographié le phénomène en question au télé-objectif.
Perpignan, 29. -- Un boulanger de Canet-Plage, M. Etienne Err, a déclaré qu'au retour d'une tournée de livraison avec sa camionnette, il avait aperçu au-dessus de cette localité, un disque brillant qui, après avoir décrit de grands cercles, s'éloigna en direction de la mer.
D'autre part, sept ouvriers d'une usine de la banlieue de Perpignan affirment avoir aperçu également un objet d'une couleur indéfinie, évoluant à grande vitesse et qui aurait franchi les Pyrénées en direction de l'Espagne.
Toulouse, 29. -- Trois habitants de Lanta, près de Villefranche du Laurageais (Haute-Garonne), M. et Mme. Brunet et Mr. Garda, instituteur de la localité, affirment avoir aperçu, hier soir, au-dessus du village, un disque lumineux de couleur orange.
L'objet évoluait à une grande hauteur et se déplaçait en direction Nord-Sud.
Après avoir été visible pendant trente à quarante secondes, le disque lumineux a disparu à l'horizon.
Lisbonne, 29. -- "Les voyageurs d'un autre monde", dont un journal de Lisbonne avait annoncé la visite au Portugal, n'étaient même pas nés d'une imagination exacerbée par les innombrables visions de soucoupes volantes. Ils n'étaient que la création de mystificateurs, que le même journal a dénoncés hier.
Boulogne-sur-Mer, 29. -- M. Raoul Baptiste, 72 ans, entrepreneur en retraite, domicilié à Wimereux, a déclaré avoir aperçu, dimanche vers 23 heures, un engin, qui pourrait être une soucoupe volante, se dirigeant à très basse altitude vers le Nord.
[Ref. cdn1:] JOURNAL "LA CROIX DU NORD":
Ou les plus sceptiques devront bientôt se rendre à l'évidence, ou nous assistons actuellement à un curieux phénomène d'hallucination collective de la Suède au Midi de la France..., à moins qu'il ne s'agisse d'une vaste farce. Partout les cigares et les disques sillonnent le ciel. Ils ont même fait une victime dans la région de Redon. MM Gérard, mécanicien et Paroux, chauffeur, qui conduisaient une machine haut-le-pied venant de Nantes, aperçurent mardi soir, alors qu'ils passaient dans la commune de Saint-Nicolas-de-Redon, "un engin qui s'éleva des marais voisins". Si le mécanicien conserva tout son calme, le chauffeur en revanche, fut si effrayé qu'il tomba malade et dut passer une visite médicale mercredi matin. Par deux fois, d'autre part, des "Martiens" ont été aperçus.
Le premier, une sorte de "scaphandrier", aurait été vu sur la route de Cenon à Vouneuil (Vienne) le 9 septembre, à 22 heures, par M. Yves David, 23 ans, cultivateur dans la commune.
Le "scaphandrier" vint lui caresser le bras, émit des sons inintelligibles et se retira vers un engin que M. David ne peut décrire et qui disparut silencieusement dans le ciel en projetant un faisceau lumineux vert.
Le second "Martien" était de toute petite taille et bizarrement vêtu. Il aurait été aperçu par une habitante de Valence qui se promenait près de Chabeuil (Drôme). Mme L. a précisé qu'elle avait d'abord cru voir un épouvantail en cellophane. Le chien qui l'accompagnait aboya furieusement, pris de terreur. Mme L. vit alors s'élever du champ de maïs qui bordait la route, un disque d'où émanait un sifflement. Des paysans du lieu prétendent qu'on une trace circulaire d'environ 3 mètres, avec épis de maïs couchés et branches cassées en bordure.
Suite en dernière page,
en troisième colonne, sous le titre
"SOUCOUPES"
Outre ces rencontres exceptionnelles, on signale un véritable carrousel aérien dans le ciel du Dauphiné.
Dans les départements du Rhône, de l'Isère, de la Drôme et de la Savoie, de nombreuses personnes affirment avoir vu, ces derniers jours, avec plus ou moins de netteté, des engins ayant soit la forme de cigares, soit celles de disques.
Dans la région de l'Arbresle, l'un de ces témoins, directeur d'un music-hall parisien, a même filmé un de ces mystérieux appareils qui évoluait à une hauteur estimée par lui à environ 700 mètres. On saura ainsi, après développement du film, s'il s'agit ou non d'une illusion d'optique.
Et de partout on affirme avoir vu des soucoupes: cela fait au total une centaine de témoignages au moins.
Le Sud-Est n'est pas le seul secteur touché par "l'invasion". Des descriptions analogues sont rapportées des régions de Toulouse et de Perpignan.
Enfin, une sphère lumineuse aurait été photographiée mardi soir à Bjuv, dans le sud-est de la Suède.
Dans la vaste sarabande internationale des soucoupes, la région du Nord s'est récemment mise en vedette avec l'aventure de Quarouble. En bonne capitale, Lille ne pouvait rester en arrière. Eh oui, riez bonne gens... Lille a maintenant elle aussi sa soucoupe ou son cigare... à moins qu'il ne s'agisse d'un disque.
Une vingtaine de Lillois - chacun sait qu'ils sont gens raisonnables et peu sujets aux hallucinations - ont aperçu mercredi soir, vers 20 h. 30, un engin mystérieux qui se déplaçait dans le ciel. Toujours la même lueur verte et le même silence.
Les observateurs d'un soir étaient rassemblés à proximité de la porte de Béthune.
On peut rire, on peut traiter les gens de farceurs ou plus méchamment d'hallucinés... ces faits se reproduisent toute de même fort souvent et sous de nombreuses latitudes. Le 1er avril ne dure que 24 heures.
Et souhaitons que les "Martiens" - si Martiens il y a - soient compréhensifs et pacifiques. Sinon gare! car ils semblent disposer d'une forte aviation.
[Ref. nll1:] JOURNAL "NORD LITTORAL":
Lyon, 29 septembre.
Dans les départements du Rhône, de l'Isère, de la Drôme et de la Savoie, de nombreuses personnes affirment avoir vu, ces derniers jours, avec plus ou moins de netteté, des engins ayant soit la forme de cigare, soit celle de disques.
Dans la région de l'Arbresle, l'un de ces témoins, directeur d'un music-hall parisien, a même filmé un de ces mystérieux appareils qui évoluait à une hauteur estimée par lui, à environ 700 mètres. On saura ainsi, après développement du film s'il s'agit ou non d'une illusion d'optique.
Près de Feyzin (Isère), un jeune homme aurait aperçu dans la campagne, non loin du sol, un engin ayant la forme d'un dôme et d'où jaillissent est une lumière très vive. Le témoin la compara à celle provoquée par la combustion du magnésium. L'appareil, brusquement monta à la verticale en laissant derrière lui une gerbe d'étincelles et disparut.
Dans la Drôme, une habitante de Valence, Mme L..., qui se promenait près de Chabeuil, affirme avoir rencontré dans le chemin qu'elle suivait, un être de petite taille et vêtu si bizarrement quel crut tout d'abord qu'il s'agissait d'un épouvantail en cellophane. Le chien qui accompagnait la promeneuse aboya furieusement, pris de terreur. Quant à Mme L..., terrifiée également, elle se cacha derrière une haie.
C'est alors qu'elle vit s'élever du champ de maïs qui bordaient le chemin, un disque d'où émanait un sifflement. Peu après, le témoin et des paysans se rendirent dans le champ où, selon eux, se distinguait nettement une trace circulaire d'environ trois mètres de diamètre avec épis de maïs couchés et branches cassées en bordure.
D'autres habitants de Chabeuil ont également déclaré avoir aperçu ce jour-là, une soucoupe volante évoluant au-dessus de la campagne.
Enfin, en Savoie, près du lac du Bourget, au-dessus du mont Revard, plusieurs automobilistes, au total une quinzaine de personnes, ont vu simultanément un appareil ayant la forme d'un disque, évoluer pendant environ 4 minutes, puis disparaître brusquement.
L'un des témoins, un médecin de Chambéry, est un ancien observateur d'artillerie. Il nota avec soin les observations et dessina un schéma reproduisant le trajet de l'appareil mystérieux.
Redon, 29 Sept.
MM. Gérard, mécanicien et Paroux, chauffeur, qui conduisaient une machine haut-le-pied venant de Nantes, aperçurent hier soir alors qu'ils passaient au lieu-dit "La Butte du Rouge", commune de Saint-Nicolas-de-Redon, (Ille-et-Vilaine), un engin qui s'élevait des marais voisins.
Cet engin, d'une certaine longueur, qui était suivie d'une traînée lumineuse, vola pendant une dizaine de secondes au-dessus de la machine et disparut dans le ciel.
Si le mécanicien conserva tout son calme, le chauffeur en revanche fut si effrayer qu'il tomba malade et dut passer une visite médicale ce matin.
Lire en page 8: La Chronique du Ciel.
Stockholm, 29 Septembre.
- Une sphère lumineuse, qui laissait derrière elle une traînée de feu, a été photographiée hier soir à Bjuv, dans le sud-est de la Suède. L'objet qui se déplaçait vers le nord, a déclaré le témoin volait rapidement, "aussi haut, a-t-il dit, qu'un avion à réaction mais sans faire aucun bruit".
A l'observatoire de Lund, on déclare qu'aucun météore n'a été observé à l'heure où le témoin a photographié le phénomène en question au télé-objectif.
Perpignan, 29 Sept. -- Un boulanger de Canet-Plage, M. Etienne Err, a déclaré qu'au retour d'une tournée de livraison avec sa camionnette il avait aperçu, au-dessus de cette localité, un disque brillant qui, après avoir décrit de grands cercles, s'éloigna en direction de la mer.
D'autre part sept ouvriers d'une usine de la banlieue de Perpignan affirment avoir aperçu également un objet d'une couleur indéfinie, évoluant à grande vitesse et qui aurait franchi les Pyrénées en direction de l'Espagne.
Toulouse, 29 Sept. -- Trois habitants de Lanta, près de Villefranche de Lauraguais (Haute-Garonne), M. et Mme Brunei et M. Gadra, instituteur de la localité, affirment avoir aperçu, hier soir, au-dessus du village, un disque lumineux de couleur orange.
L'objet évoluait à une grande hauteur et se déplaçait en direction nord-sud.
Après avoir été visible pendant 30 à 40 secondes, le disque lumineux a disparu à l'horizon.
Châtellerault, 29 Sep. -- M. Yves David, 28 ans, cultivateur aux Brouloux, commune de Vouneuil sur Vienne (Vienne), a déclaré avoir vu s'avancer sur lui sur la route de Cenon à Vouneuil, le 19 septembre à 22 heures une sorte de "scaphandrier".
Celui-ci, dit-il, vint lui caresser le bras, émis des sons inintelligibles et se retira vers un engin (que M. David ne peut décrire). Un faisceau lumineux vert fut projeté dans sa direction, le clouant sur place, puis l'engin a disparu dans le ciel à la verticale sans aucun bruit.
M. David déclare n'avoir rien voulu dire de cette bizarre rencontre, de peur qu'on se moquât de lui. Il en fit part toutefois à un ami, lui demandant si d'autres personnes n'avaient pas aperçu le "scaphandrier". C'est ainsi que tout le pays l'a su.
[Ref. nmn1:] JOURNAL "NORD-MATIN":
Les témoignages se multiplient à propos des soucoupes volantes. Dans divers départements français, de nombreuses personnes affirment avoir vu, ces derniers jours, avec plus ou moins de netteté, des engins ayant soit la forme de cigares, soit celle de disques.
Dans la région de l'Arbresle, le directeur d'un music-hall parisien a même filmé un de ces mystérieux appareils qui évoluait à une hauteur estimée par lui à environ 800 mètres. On saura ainsi, après développement du film, s'il s'agit ou non d'une illusion d'optique.
Près de Feyzin (Isère), un jeune homme aurait aperçu dans la campagne, non loin du sol, un engin ayant la forme d'un dôme et d'où jaillissait une lumière très vive. Le témoin la compara à celle provoquée par la combustion du magnésium. L'appareil, brusquement, monta à la verticale en laissant derrière lui une gerbe d'étincelles et disparut.
Dans la Drôme, une habitante de Valence, Mme L., qui se promenait près de Chabeuil, affirme avoir rencontré dans le chemin qu'elle suivait, un être de petite taille vêtu si bizarrement, qu'elle crut tout d'abord qu'il s'agissait d'un épouvantail en cellophane. Le chien qui accompagnait la promeneuse aboya furieusement, pris de terreur. Quant à Mme L..., terrifiée également, elle se cacha derrière une haie.
C'est alors qu'elle vit s'élever du champ de maïs qui bordaient le chemin, un disque d'où émanait un sifflement. Peu après, le témoin et des paysans en se rendirent dans le champ où, selon eux, se distinguait nettement une trace circulaire d'environ 3 mètres de diamètre avec épis de maïs couchés et branches cassées en bordure.
D'autres habitants de Chabeuil ont également déclaré avoir aperçu ce jour-là, une soucoupe volante évoluant au-dessus de la campagne.
En Savoie, près du lac du Bourget, au-dessus du mont Revard, plusieurs automobilistes, au total une quinzaine de personnes, ont revu simultanément un appareil ayant la forme d'un disque, évoluer pendant environ quatre minutes, puis disparaître brusquement.
L'un des témoins, un médecin de Chambéry, est un ancien observateur d'artillerie. Il nota avec soin les observations et dessina un schéma reproduisant le trajet de l'appareil mystérieux.
D'autre part, M. Yves David, 28 ans, cultivateur aux Brouloux, commune de Vouneuil-sur-Vienne (Vienne), a déclaré avoir vu s'avancer sur lui, sur la route de Cenon à Vouneuil, le 19 septembre à 22 heures, une sorte de scaphandrier.
Celui-ci, dit-il, vint lui caresser le bras, émit des sons inintelligibles et se retira vers un engin (que M. David ne peut décrire). Un faisceau lumineux vert fut projeté dans sa direction, le clouant sur place, puis l'engin disparut dans le ciel, à la verticale, sans aucun bruit.
M. David déclare n'avoir rien voulu dire de cette bizarre rencontre, de peur qu'on se moquât de lui. Il en fit part toutefois à un ami, lui demandant si d'autres personnes n'avaient pas aperçu le "scaphandrier". C'est ainsi que tout le pays l'a su.
Signalons encore que MM. Gérard, mécanicien et Paroux, chauffeur, qui conduisaient une machine haut-le-pied venant de Nantes, ont aperçu, mardi soir, alors qu'ils passaient au lieu-dit "la butte du rouge", commune de Saint-Nicolas-de-Redon (Ille-et-Vilaine), un engin qui s'élevait des marais voisins.
Cet engin, d'une certaine longueur, qui était suivie d'une traînée lumineuse vola pendant une
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sous le titre:
SOUCOUPES
dizaine de secondes au-dessus de la machine et disparut dans le ciel.
Si le mécanicien conserva tout son calme, le chauffeur en revanche, fut si effrayé qu'il tomba malade et dut passer une visite médicale hier matin.
Une sphère lumineuse, qui laissait derrière elle une traînée de feu, a été photographiée à Bjuv, dans le sud-est de la Suède. L'objet qui se déplaçait vers le nord, a déclaré le témoin, volait rapidement, " aussi haut, a-t-il dit, qu'un avion à réaction, mais sans faire aucun bruit".
A l'observatoire de Lund, on déclare qu'aucun météore n'a été observé à l'heure où le témoin a photographié le phénomène en question au téléobjectif.
Moins récent mais plus impressionnant, est le récit du capitaine du "Groote Beer", M. J.-P. Boahoff, de la ligne Hollande-Etats-Unis.
Décelé en pleine mer et observé par lui-même et ses cinq officiers à l'aide de tout l'équipement optique du bord, était de la grosseur d'une demi-lune et également circulaire et lumineux.
Le capitaine a exclu formellement la possibilité qu'il puisse s'agir d'un ballon-sonde.
D'abord immobile, le disque s'est, après quelques instants déplacé vers l'ouest pour disparaître derrière les nuages à une altitude d'environ 14.000 mètres.
[Ref. lcx1:] JOURNAL "LA CROIX":
Les voyageurs d'un autre monde", qui étaient venu herboriser aux abords de la frontière hispano-portugaise..., n'étaient que des mystificateurs.
Le Duario [sic] de Lisboa dénonce aujourd'hui ces plaisantins qui lui avaient fourni l'occasion de publier une information sensationnelle..., mais fausse.
Mais... Une soucoupe perdue, en voici une autre retrouvée. Et cette fois c'est en France qu'un "scaphandrier interplanétaire" aurait pris contact avec un Terrien.
M. Yves David, 28 ans, cultivateur aux Brouloux, à Vouneuil-sur-Vienne (Vienne), a, en effet, déclaré avoir vu, sur la route de Cenon à Vouneuil, le 19 septembre, à 22 heures, une sorte de "scaphandrier" s'avancer vers lui.
Le "voyageur du son" s'approcha de notre paysan et lui caressa le bras.
Puis, la conversation n'ayant pu s'engager étant donné le langage inintelligibles du visiteur, celui-ci se retira vers l'engin qui l'avait amené.
M. David s'apprêtait à le suivre lorsqu'un faisceau lumineux vert le cloua sur place. Et l'engin disparut sans bruit dans le ciel.
M. David déclare n'avoir rien voulu dire de cette bizarre rencontre, de peur qu'on se moquât de lui. Il en fit par toutefois un ami, lui demandant si d'autres personnes n'avaient pas aperçu le scaphandrier.
Et c'est ainsi que tout le pays l'a su.
Une habitante de Valence, Mme L..., qui se promenait près de Chabeuil (Drôme), vit dans le chemin une silhouette qu'elle prit tout d'abord pour un "épouvantail" en cellophane. Le chien qui accompagnait la promeneuse aboya furieusement, pris de terreur. Quant à Mme L..., terrifié également, elle se cacha derrière une haie.
C'est alors qu'elle vit s'élevé du champ de maïs qui bordait le chemin un disque d'où émanait un sifflement. Peu après, le témoin et des paysans se rendirent dans le champ où, selon eux, se distinguait nettement une trace circulaire d'environ 3 m. de diamètre, avec des épis de maïs couchés et branches cassées en bordure.
D'autres habitants de Chabeuil ont également déclaré avoir aperçu ce jour-là, une soucoupe volante évoluant au dessus de la campagne.
MM. Gérard, mécanicien, et Paroux, chauffeur, qui conduisait une machine haut-le-pied venant de Nantes, aperçurent, alors qu'il passaient au lieudit "la Butte du Rouge", commune
Voir la suite page 6
Suite de la page 1
de Saint-Nicolas-de-Redon (Ille-et-Vilaine), un engin qui s'élevait des marais voisins.
Cet engin, d'une certaine longueur, qui était suivi d'une traînée lumineuse, vola pendant une dizaine de secondes au-dessus de la machine et disparut dans le ciel.
Si le mécanicien conserva tout son calme, le chauffeur, en revanche, fut si effrayé, qu'il tomba malade et dut passer une visite médicale.
Dans les départements du Rhône, de l'Isère, de la Drôme et de la Savoie, de nombreuses personnes affirment avoir vu, ces derniers jours, avec plus ou moins de netteté, des engins ayant soit la forme de cigares, soit celle de disques.
Près de Feyzin (Isère), un jeune homme aurait aperçu dans la campagne, non loin du sol, un engin ayant la forme d'un dôme et d'où jaillissaint une lumière très vive. Le témoin la compara à celle provoquée par la combustion du magnésium. L'appareil brusquement monta à la verticale en laissant derrière lui une gerbes d'étincelles et disparut.
En Savoie, près du lac du Bourget, au dessus du Mont-Revard, plusieurs automobilistes, au total une quinzaine de personnes, ont vu simultanément un appareil ayant la forme d'un disque, évoluer pendant environ quatre minutes, puis disparaître brusquement.
L'un des témoins, un médecin de Chambéry, est un ancien observateur d'artillerie. Il nota avec soin ses observations, et dessina un schéma reproduisant le trajet de l'appareil mystérieux.
Un boulanger de Canet-Plage, M. Etienne Err, a déclaré qu'au retour d'une tournée de livraison avec sa camionnette, il avait aperçu, au dessus de cette localité, un disque brillant qui, après avoir décrit de grands cercles, s'éloigna en direction de la mer.
Une sphère lumineuse, qui laissa derrière elle une traînée de feu, a été photographiée mardi à Bujv, dans le sud-est de la Suède. L'objet, qui se déplaçait vers le Nord, volait rapidement "aussi haut qu'un avion à réaction, mais sans faire aucun bruit".
A l'Observatoire de Lund, on déclare qu'aucun météore n'a été observé à l'heure où le témoin à photographié le phénomènes en question au téléobjectif.
[Ref. bre1:] JOURNAL "LA BOURGOGNE REPUBLICAINE":
Paris, 29 (A.C.P. - A.F.P). -- Les témoignages se multiplient à propos des soucoupes volantes. Trois personnes différentes ont téléphoné l'autre nuit, vers 22 heures, à un quotidien parisien, auxquel elles ont fait à peu près le même récit:
"J'ai vu un engin lumineux au dessus du Sacré-Coeur: il filait en direction du nord."
Le docteur Martinet, médecin dermatologiste à Chambéry a vu une soucoupe volante évoluer au-dessus de la Croix du Nivolet.
"Une quinzaine de personnes, déclare-t-il, peuvent en témoigner."
Le docteur et sa femme revenait en voiture du col du Chat lorsqu'ils aperçurent, à l'aplomb de la Croix du Nivolet, à 2.000 mètres d'altitude environ, une masse grise aluminium foncé. Le docteur arrêta son véhicule pour suivre les évolutions de l'engin. Trois autres voitures stoppèrent également:
"J'ai observé ma montre, dit le docteur. Il était 17 h 14' 30''. Les évolutions de la soucoupe ont durer jusqu'à 17 h. 18' 40''. A 17 h. 16, alors qu'elle se présentait de face, c'est-à-dire sous forme de disque j'ai discerné une zone claire au centre de l'engin et des taches sombres tout autour. L'engin descendit à l'aplomb de la gare du téléphérique de Revard, puis disparu soudain à la vitesse de l'éclair."
Entre temps, une quinzaine de personnes s'étaient groupés autour du docteur Martinet et firent les mêmes observation que lui.
Dans la Vienne, un cultivateur de 28 ans, M. Yves David, demeurant aux Brouloux, commune de Vouneuil-sur-Vienne, a rencontré sur la route de Cernon [sic] à Vouneuil, une sorte de "scaphandrier". Celui-ci vint lui "caresser" les bras, émit des sons intelligibilité, se dirigea vers un engin que M. David ne peut
Suite pages 3, sous le titre
SOUCOUPE
décrire et qui s'éleva sans bruit à la verticale, puis disparut à toute vitesse.
Un habitant de Wimereux (Pas-de-Calais), M. Raoul Baptiste, 72 ans, entrepreneur en retraite, a déclaré avoir vu, dimanche soir une soucoupe volante qui se dirigeait à très basse altitude vers le Nord.
Dans la Drôme, une habitante de Valence, Mme Leboeuf, qui se promenait près de Chabeuil, affirme avoir rencontré dans le chemin qu'elle suivait, un être de petite taille et vêtu si bizarrement qu'elle crut tout d'abord qu'il s'agissait d'un épouvantail en cellophane. Le chien qui accompagnait la promeneuse aboyait furieusement, pris de terreur. Quant à Mme Leboeuf, terrifiée également, elle se cacha derrière une haie.
C'est alors qu'elle vit s'élever du champ de maïs qui bordait le chemin un disque d'où émanaient un sifflement. Peu après, le témoin et des paysans se rendirent dans le champ, où, selon eux, se distinguait nettement une trace circulaire d'environ 3 mètres de diamètre, avec épis de maïs couché et branches cassées en bordure.
D'autres habitants de Chabeuil ont également déclaré avoir aperçu ce jour-là une soucoupe volante évoluant au dessus de la campagne.
[Ref. ads1:] JOURNAL "L'ARDENNAIS":
LYON - Dans les départements du Rhône, de l'Isère, de la Drôme et de la Savoie. de nombreuses personnes affirment avoir vu, ces derniers jours, avec plus ou moins de netteté, des engins ayant soit la forme de cigares, soit celle de disques.
Dans la région de l'Arbresle, l'un de ces témoins, directeur d'un music-hall parisien, a même filmé un de ces mystérieux appareils qui évoluait à une hauteur estimée par lui à environ 700 mètres, on saura ainsi, après développement du film, s'il s'agit ou non d'une illusion d'optique.
Près de Fezin (Isère) un jeune homme aurait aperçu dans la campagne, non loin du sol, un engin ayant la forme d'un dôme et d'où jaillissait une lumière très vive. Le témoin la compara à celle provoquée par la combustion du magnésium. L'appareil, brusquement, monta à la verticale en laissant derrière lui une gerbe d'étincelles et disparut.
Dans la Drôme, une habitante de Valence, Mme L... qui se promenait près de Chabeuil, affirme avoir rencontré dans le chemin qu'elle suivait un être de petite taille, vêtu si bizarrement qu'elle crut tout d'abord qu'il s'agissait d'un épouvantail en cellophane. Le chien qui accompagnait la promeneuse aboya furieusement, pris de terreur. Quant à Mme L... terrifiée également, elle se cacha derrière une haie.
C'est alors qu'elle vit s'élever du champ de maïs qui bordait le chemin un disque d'où émanait un sifflement. Peu après, le témoin et des paysans se rendirent dans le champ où selon eux, se distinguait nettement une trace circulaire d'environ 3 mètres de diamètre avec épis de maïs couchés et branches cassées en bordure.
(Voir la suite en 6e page)
(Suite de la première page)
D'autres habitants de Chabeuil ont également déclaré avoir aperçu ce jour-là une soucoupe volante évoluant au-dessus de la campagne.
Enfin en Savoie, près du lac du Bourget, au-dessus du mont Revard, plusieurs automobilistes, au total un quinzaine de personnes, ont vu simultanément un appareil ayant la forme d'un disque, évoluer pendant environ quatre minutes, puis disparaitre brusquement.
L'un des témoins, un médecin de Chambéry, est un ancien observateur d'artillerie. Il nota avec soin les observations ct dessina un schéma reproduisant le trajet de l'appareil mystérieux.
M. Yves David, 28 ans, cultivateur aux Brouloux, commune de Vouneuil-sur-Vienne (Vienne) a déclaré avoir vu s'avancer sur lui sur la route de Cenon à Vouneuil, le 19 septembre à 22 heures, une sorte de "scaphandrier".
Celui-ci, dit-il, vint lui caresser le bras, émit des sons inintelligibles et se retira vers un engin (que M. David ne peut décrire). Un faisceau lumineux vert fut projeté dans sa direction le clouant sur place, puis l'engin disparut dans le ciel à la verticale sans aucun bruit.
M. David déclare n'avoir rien voulu dire de cette bizarre rencontre, de peur qu'on sc moquât de lui. Il en fit part, toutefois à un ami, lui demandant si d'autres personnes n'avaient pas aperçu le "scaphandrier". C'est ainsi que tout le pays l'a su...
PERPIGNAN - Un boulanger de Cannet-Plage, M. Err, a déclaré qu'au retour d'une tournée de livraison avec sa camionnette, il avait aperçu au-dessus de cette localité un disque brillant qui, après avoir décrit de grands cercles, s'éloigna en direction de la mer. D'autre part, sept ouvriers d'une usine de la banlieue de Perpignan affirment avoir aperçu également un objet d'une couleur indéfinie, évoluant à grande vitesse, et qui aurait franchi les Pyrénées en direction de l'Espagne.
Trois habitants de Lanta, près de Villefranche-de-Lauragais (Haute-Garonne), M. et Mme Brunet et M. Gadra, instituteur de la localité, affirment avoir aperçu hier soir, au-dessus du village, un disque lumineux de couleur orange. L'objet évoluait à une grande hauteur et se déplaçait en direction nord sud.
Après avoir été visible pendant 30 à 40 secondes, le disque lumineux a disparu à l'horizon.
[Ref. lon1:] JOURNAL "L'OISE-MATIN":
C'est par dizaines que des soucoupes volantes ont été vues au cours des dernières 24 heures dans le ciel de France, en Afrique du Nord, aux Pays-Bas et même jusqu'au Danemark et en Suède.
Certains croient avoir rencontré des "Martiens"; un témoin directeur d'un music-hall parisien a même été jusqu'à filmer un de ces mystérieux appareils qui évoluait dit-il, à environ 700 mètres de hauteur, dans un ciel dégagé de nuages, pour une fois.
Le film n'est pas encore développé et ce n'est que dans quelques heures que l'on saura si le témoin a été victime, ou non, d'une illusion.
L'engin était un de ces nombreux "cigares volants" ou "disques" que des témoins ont déclaré avoir aperçu dans les départements du Rhône, de l'Isère, de la Drôme et de la Savoie.
Dans cette dernière région c'est au nombre de 15 que des témoins ont vu, pendant quelques minutes, un appareil ayant la forme d'un disque évoluer près du lac du Bourget au dessus du Mont Revard, puis disparaître brusquement.
L'un des témoins, un médecin de Chambéry est un ancien observateur d'artillerie. Il a noté avec soin ses observations et dessiné un schéma reproduisant le trajet du mystérieux engin.
Autre groupe qui affirme avoir vu "un objet d'une couleur indéfinie évoluant à grande vitesse", sept ouvriers d'une usine de la banlieue de Perpignan ont précisé que l'appareil aurait franchi les Pyrénées en direction de l'Espagne.
Dans la Haute-Garonne, trois habitants de Lanta, près de Villefranche-de-Lauraguais, ont aperçu mardi soir au-dessus du village un disque lumineux de
Suite en page 10
Suite de la 1re page
couleur orange. L'objet, ont-ils déclaré, évoluait à une grande hauteur et se déplaçait en direction Nord-Sud.
A Kourigra, localité située à environ 130 kilomètres de Casablanca, des témoins dignes de foi ont déclaré avoir aperçu avant-hier, un engin de forme circulaire de couleur rouge évoluant à une altitude élevée et à une grande vitesse.
Au Danemark de nombreux habitants de la ville de Strib ont également déclaré avoir repéré un "cigare" tandis qu'en Suède, une sphère lumineuse qui laissait derrière elle une traînée de feu a été photographiée mardi soir à Bjuv, dans le sud-est du pays, par un témoin.
C'est aux Pays-Bas, où les témoignages portant sur le passage de "soucoupes" se multiplient, que l'on se passionne le plus actuellement pour ces phénomènes aériens. La curiosité de la population a été porté à son maximum par le récit impressionnant qu'a fait le capitaine d'un cargo, M. J. P. Boshoff de la ligne Hollande-Etats-Unis. Le capitaine affirme en effet qu'avec cinq de ses officiers et en se servant de tout l'équipement optique du bord il a pu observer tout à loisir un objet "de la grosseur d'une demi-lune" qui a disparu finalement en montant à une altitude d'environ 14 000 mètres.
De telles observations ne sont apparemment pas sans danger pour la nature humaine si l'on en juge par l'aventure survenue à MM. Gérard, mécanicien et Paroux, chauffeur, qui, conduisant une machine haut-le-pied venant de Nantes, déclarèrent avoir aperçu, alors qu'il passait près de Saint-Nicolas de Redon, dans l'Ille-et-Vilaine, un engin qui s'éleva des marais voisins pour disparaître rapidement dans le ciel.
Le mécanicien déclara avoir conservé tout son calme mais le chauffeur eut une telle peur, dit la dépêche A.F.P. relatant l'incident, qui tomba malade et dut passer une visite médicale le lendemain.
On signale par ailleurs de nouvelles rencontres avec des êtres bizarres.
Le premier cas est celui de M. Yves David, 28 ans, cultivateur aux Brouloux, commune de Vouneuil-sur-Vienne, dans la Vienne, qui a déclaré - tardivement - avoir vu le 19 septembre, à 2 heures, une sorte de scaphandrier qui vint lui caresser le bras en émettant des sons inintelligibles avant de s'envoler dans une soucoupe.
Dans la Drôme, une habitante de Valence qui se promenait près de Chabeuil fit également dit-elle, une rencontre avec un être de petite taille qu'elle prit tout d'abord pour un "épouvantail en cellophane".
Elle se réfugia, en compagnie de son chien, aussi terrorisé qu'elle, dans un bosquet. Quelques minutes plus tard, elle assistait précisa-t-elle, au départ d'un disque d'où émanait un sifflement.
Cette recrudescence de témoignages ne manque évidemment pas de passionner l'opinion publique. Sera-t-il possible un jour de percer le mystère des "soucoupes"?
[Ref. lme1:] JOURNAL "LE MONDE":
Les soucoupes volantes continuent avec opiniâtreté leur prospection du ciel français, notamment, durant ces dernières vingt-quatre heures, au-dessus de la région du Dauphiné. Sans qu'on puisse encore présager grand chose des intentions de leurs occupants, leur sympathie pour la race des hommes paraît acquise. Seule sans doute la crainte d'une accueil hostile les fait encore hésiter à prendre des contacts plus étroits avec les Terriens.
C'est ainsi qu'un cultivateur de la Vienne, M. Yves David, demeurant à Vouneuil-sur-Vienne, révélait hier qu'un "scaphandrier céleste", rencontré par hasard sur la route, lui avait caressé le bras "en émettant des sons inintelligibles". Mais, déçu probablement par le peu d'empressement de M. David à nouer des relations, il était remonté dans son engin et avait presque instantanément disparu dans le ciel...
Une habitante de Valence, Mme. L..., a fait hier une rencontre analogue. Malheureusement pour notre connaissance des choses martiennes, Mme L..., prise de terreur, se cacha derrière une haie en fermant les yeux. Quand elle les rouvrit un peu plus tard ce fut pour voir s'élever du champ qui bordait le chemin un disque lumineux émettant un sifflement...
Un chauffeur de locomotive, M. Paroux, n'a pas été moins effrayé que Mme L... en apercevant l'autre soir au-dessus des marais de Saint-Nicolas-de-Redon (Ille-et-Vilaine) un mystérieux engin qui suivait une traînée lumineuse. Il en est tombé malade et a du passer une visite médicale...
Erreur d'optique? Hallucinations? Non, répondent les disciples du Christ de Montfavet, qui viennent de déclarer que ces soucoupes volantes dont tout le monde se moque sont la preuve irréfutable que leur guide, George Roux, est bien le Christ redescendu sur terre...
Personne jusqu'à présent n'y avait pensé...
[Ref. ssr1:] JOURNAL "SAMEDI SOIR":
Les Breloux (Vienne), dimanche 19 septembre 1954, 22 heures.
Yves David, cultivateur (il semble que les cultivateurs soient particulièrement favorisés!) regagne sa ferme à cyclo-moteur. Il roule gaillardement sur la route de Cenon à Vouneuil et la seule chose qui l'ennuie c'est que son phare desserré "pique" vers le sol.
Bast! Il arrivera bien quand même. Pourtant, entre le Poutereau et les Rebotes, il ralentit, car il se soucie peu d'aller dans le fossé. Bien sûr, lorsqu'il va moins vite l'éclat de son phare diminue, car la dynamo débite moins et s'il s'arrête il n'y a plus de lumière du tout.
C'est justement ce qu'il est brusquement obligé de faire, car tout à coup devant lui, au beau milieu de la route, vient d'apparaître "un scaphandrier bardé de métal".
(Suite en page 6.)
Yves donne un coup de frein brutal. Le scaphandrier, qui mesure environ 1 m. 50, s'avance et, comme le martien de M. Mazaud, prend la main d'Yves. Il est pourtant moins affectueux, car lui, il ne l'embrasse pas. Heureusement, car Yves a ressenti un léger courant électrique et une sensation de froid. Par contre, l'être parle. Un langage incompréhensible bien entendu.
- Oumph... Grobezabri.. Trobobranana!
Puis le scaphandrier bas en retraite vers une masse sombre posée sur la route. Yves va-t-il s'élancer à sa poursuite comme Marius Dewilde? Non, car, comme à Quarouble, un puissant faisceau lumineux vert a jailli de l'engin et immobilise le malheureux dans la posture où il a mise pied à terre, les deux mains sur le guidon, debout, le cadre du vélo entre les jambes. L'engin s'élève alors à la verticale sans émettre le moindre son, le rayon s'éteint, Yves David peut enfin bouger. La scène a duré trente secondes.
Sous le sceau du secret, Yves a confié l'affaire à un ami, après en avoir également parlé à sa femme et à ses parents. Bref. huit jours plus tard, tout le monde le savait. Les gendarmes ont enquêté et les Renseignements généraux aussi. Ils ont enregistré les déclarations du témoin.
Aujourd'hui, notre correspondant particulier nous écrit qu'Yves David est devenu dans sa commune un homme de premier plan. Il y a quelques jours, lors du passage d'un cirque à Chatellerault, Yves, porté de force sur le podium où l'on enregistrait une célèbre émission radiophonique, a raconté dans le détail sa rencontre avec le "scaphandrier" de la soucoupe volante. Il a, paraît-il, été très applaudi.
Sans doute n'a-t-on point pensé a lui demander s'il avait eu connaissance des aventures précédentes de MM. Mazaud et Dewilde dont la sienne représente une synthèse assez saisissante? Et même l'eût-on fait... Peut-on exiger d'un homme dont tout le pays parle, et qui s'adresse au monde par l'intermédiaire de la radio, qu'il reconnaisse sinon une erreur, du moins une exagération? Mettez-vous à la place d'Yves David.
[Légende de la photo:] Yves David, de Les Breloux (Vienne) à reçu à défaut d'un baiser, une poignée de main "martiale". Le scaphandrier a, cette fois, accompagné son "rayon vert" d'un bref discours inintelligible.
[Ref. smh1:] JOURNAL "SYDNEY MORNING HERALD":
De June GODDARD à Paris
La France, la terre de la logique, est en prise avec la fièvre des soucoupes volantes et des petits hommes dans des casques spatiaux, qui font des avances amicales, bien qu'inintelligible, vers des paysans effrayés ou les figent sur avec un "rayon vert" hypnotiseur.
Au cours des 10 derniers jours il y a eu des rapports innombrables de soucoupes volantes par des paysans, des médecins, des laitiers, des charcutiers, des agriculteurs, des ménagères, des gendarmes, des enseignants, de la côte de la Manche à la Méditerranée, des Pyrénées vers les Ardennes, de la Bretagne à l'Alsace.
Selon tous ces témoins, le ciel sur la France est illuminé par des "soucoupes" jaunes étincelantes, des globes bleuâtres, des "cigares volants" (Comme une fois dramatiquement signalés par Mulhouse en Alsace, entouré de "12 petits satellites"), des soucoupes en aluminium simple, des "cigares lumineux," 10 "soucoupes" qui semblaient faire une sorte de ballet dans le ciel, et parfois même de simples "machines mystérieuses."
Contrairement aux soucoupes volantes précédentes, celles qui survolent la France volent bas, parfois à environ 600 pieds, et ne filent pas à travers le ciel, mais restent en vue pendant 15 minutes ou restent apparemment immobiles.
Elles crachent indifféremment des flammes, forment des rideaux lumineux de lumière, changent de couleur, atterrissent et décollent verticalement sans son.
Beaucoup de scientifiques français, jusque-là sceptiques sur la question de la soucoupe volante, se révèlent un peu ébranlés par la multiplicité des rapports et par le fait que certains sont des observations de groupe ou des rapports individuels qui concordent avec d'autres provenant de régions adjacentes.
Au sujet des petits hommes ou martiens, ils réaffirment que les astronomes n'ont jamais fait d'observations qui pourraient indiquer une forme de vie évoluée sur Mars.
Ils soulignent que Mars est mille millions d'années plus vieille que la terre, et que, si la vie y a existé autrefois, elle a probablement disparue dans les déserts glacés roses qui semblent abonder sur la planète.
Les protagonistes des soucoupes volantes et les petits hommes de Mars ont été fortement encouragés par un article dans le journal sérieux "Forces Aériennes Françaises" écrit par un jeune ingénieur aéronautique, le Lieutenant J. Plantier, et approuvé par un ingénieur en chef du Ministère de l'Air.
Le Lieutenant Plantier ne prend pas parti, mais démontre simplement théoriquement et par étude mathématique que tout le comportement phénoménal attribué aux soucoupes volantes est parfaitement explicable si de telles machines utilisaient l'énergie des rayons cosmiques,
Le Lieutenant Plantier montre que les rapports que les soucoupes volantes restent immobiles dans le ciel, accélèrent de l'immobilité à 10000 m.p.h. en quelques secondes sans bruit, et que les êtres vivants peuvent voler à l'intérieur sans être blessés par l'accélération, sont complètement logiques si l'on admet que l'énergie des rayons cosmiques a été exploitée et que ces machines peuvent voler à la vitesse de la lumière.
Quelles que soient les vues des scientifiques, cependant, les hommes et les femmes de France continuent de signaler les apparences quotidiennes des soucoupes et des cigares et leurs rencontres avec les hommes de l'espace.
La première réaction de l'honnête citoyen français face à tout événement ou danger inhabituel - y compris, semble-t-il, des phénomènes de l'espace extra-atmosphérique - est d'informer les gendarmes.
Par conséquent, dans les villages et les villes, des gendarmes audacieux ont été "alertés", comme le dit la presse française, et ont été occupés à vérifier les rapports et à examiner les prétendues zones d'atterrissage de soucoupes volantes pour trouver des "traces."
Deux gendarmes à Chateauroux en France centrale ont eux-mêmes vu trois objets volants verts lumineux.
Leur entraînement de police s'est immédiatement affirmé, ils ont arrêté un automobiliste et un cycliste afin qu'ils puissent aussi regarder et témoigner. Ensuite, les gendarmes ont fait un rapport complet.
La seule preuve tangible à ce jour d'un atterrissage est celle produite par M. Marius Dewilde, un ouvrier métallurgiste de 28 ans dans le nord près de Valenciennes.
M. Dewilde, un jeune homme à la fine moustache, avec un visage long - et il faut l'admettre, humoristique - a déclaré qu'il avait vu les "Martiens" pour la première fois depuis son jardin près de la ligne de chemin de fer.
"Deux petits êtres, d'au plus trois pieds de haut", a-t-il déclaré, "chacun portant une sorte de costume de plongée avec casque en métal, se tenaient près d'un "cigare volant" qui avait atterri sur les traverses de chemin de fer."
M. Dewilde n'a eu aucune chance de se serrer la main ou d'accueillir les visiteurs au nom de la Quatrième République parce que, dès qu'ils l'ont vu, ils l'ont hypnotisé avec un "rayon vert" alors qu'ils rentraient dans leur machine qui, bien sûr, a décollé verticalement dans un nuage épais de fumée sans faire de bruit.
Le lendemain, les gendarmes "alertés" par M. Dewilde et deux inspecteurs de la police de l'armée de l'air ont trouvé une série de marques régulières étranges sur les traverses de chemin de fer, qui auraient pu être causées par la "soucoupe" à l'atterrissage.
Le contact direct avec les hommes de l'espace a été signalé par M. Antoine Mazaud, agriculteur âgé de 58 ans, avec une moustache grise broussailleuse, qui vit près de Limoges dans le Massif central de la France.
M. Mazaud allègue qu'un "martien" d'environ trois pieds de haut a émergé d'un "cigare volant" et a commencé à parler dans une langue inintelligible. Quand il se rendit compte que M. Mazaud ne pouvait pas le comprendre, il embrassa le fermier sur la joue.
Les compatriotes argumentateurs de M. Mazaud, doutant de cette étrange histoire, ont immédiatement voulu savoir pourquoi une créature d'un autre monde devrait adopter l'habitude - pas même universelle sur la terre, ont-ils pointé - de s'embrasser.
"Il est surprenant qu'il n'ait pas épinglé une médaille sur votre torse et ne vous ait pas embrassé sur les deux joues", se moquèrent-ils.
Compte tenu de cette réponse antipathique à l'histoire de M. Mazaud, il n'est donc pas surprenant que M. Yves David, agriculteur de Chatellerault, ait caché pendant quelques jours qu'il avait été touché au bras par un "homme de l'espace" avant d'être momentanément hypnotisé par le "rayon vert" comme M. Dewilde.
M. David avait eu peur d'être moqué, dit-il, mais il a finalement demandé à un ami si quelqu'un d'autre avait vu l'homme de l'espace. L'ami a répandu la nouvelle et, bien sûr, a alerté les gendarmes.
Deux femmes du département de l'Yonne ont donné des rapports indépendants d'avoir vu une machine étrange dans une clairière avec un pilote à côté. Aucune d'elle n'est restée pour enquêter.
TOUJOURS, les histoires continuent. Aucun Parisien n'a encore signalé une rencontre avec un "martien", même si, comme l'indiquent les esprits malins, on s'attendrait à ce qu'ils se posent sur le Champs de Mars, l'esplanade devant l'école de l'armée.
Les caricaturistes exploitent pleinement la saison "martienne" et les soucoupes volantes. L'un, dans la vraie veine gauloise, a dessiné le classique mari trompé qui rentre à la maison de façon inattendue. Il a ouvert la porte du placard pour révéler un petit personnage étrange dans un costume et un casque d'astronaute, et dit à sa femme coupable, recroquevillées au lit: "Et ça, je suppose que tu va me dire que c'est un martien."
La plus célèbre "repéreuse" de soucoupe volante à ce jour à Paris est la star du cinéma Michèle Morgan, qui a signalé en avoir vu une près de la Tour Eiffel vers 22h.
Lorsque Mademoiselle Morgan se plaignit plus tard de l'inondation d'appels téléphoniques de fans et d'amis qui voulaient entendre d'autres détails, sa mère a fait ce commentaire sec et très français:
"Tu as perdu une bonne occasion cette nuit de te taire."
[Ref. ben1:] JOURNAL "BRIDGETON EVENING NEWS":
Les histoires de soucoupes volantes ont commencé aux Etats-Unis, se sont diffusées vers le Canada, et ont maintenant éclaté en France. Les récits français de soucoupe ont une qualité gauloise qui ajoute à leur fascination.
Par exemple, un fermier français affirme qu'il marchait le long d'une route isolée, une créature est venue vers lui, lui a caressé les bras, et a fait des bruits inintelligibles. Ensuite eslle s'est éloignée dans une soucoupe en attente dit le fermier, qui ne pouvait pas voir parce qu'il a été aveuglé et temporairement paralysé par un rayon vert dirigé sur lui. (Il n'y a qu'en France qu'une créature de l'espace caresse un homme qui tombe sur lui sur une route isolée.)
Ensuite un ancien observateur d'artillerie en France a rapporté avoir vu un objet gris-foncé planer au-dessus de quelques montagnes à environ 6000 pieds. Quand il a arrêté sa voiture pour regarder, la masse a soudainement "filé comme l'éclair et a disparu". L'élément romantique est absent ici, mais pas celui du merveilleux.
Il est impossible de dire que les soucoupes volantes n'existent pas; certainement les histoires à leur sujet semblent universelles. Mais dew la même manière, à une époque, les histoires de sorcières et de fées venaient de partout dans le monde. Ce qui est universel aujourd'hui est la frousse. C'est peut-être elle, avec les appareils fantastiques assemblés par la science, qui font voir à des gens des choses dans le ciel qui n'existent que dans leurs imaginations.
[Ref. fde1:] JOURNAL "FRANCE-DIMANCHE":
Cette soucoupe est comme un bocal renversé. Elle comporte un petit scaphandrier qui vient se frotter en grognant contre l'épaule des gens. Elle fut observée au milieu de la route par M. David, cultivateur [...]
[Ref. rdr1:] MAGAZINE "RADAR":
CHATELLERAULT. -- Tous ceux qui ont approché les passagers de soucoupes sont d'accord: ces inconnus n'ont que de bons sentiments. On se souvent que l'un d'eux, en Limousin, embrassa M. Mazeaud. A Vouneuil-sur-Vienne, le "scaphandrier" de 80 cm, que vit Yves David lui tendit une main humain...
[Ref. fde2:] JOURNAL "FRANCE-DIMANCHE":
Le 16 septembre, à 22 h. 30, M. David (ci-contre), cultivateur aux Breloux, près de Poitiers, rentrait chez lui à vélomoteur. Soudain, il vit, sur la route, dans la lumière de ses phares, à vingt mètres de lui, une longue bosse brune (ci-dessus): il s'arrêta, et, un "petit scaphandrier" sortant du fossé vint se frotter contre son épaule en poussant des grognements. L'être se précipita ensuite dans la masse brune qui avait la forme d'un bocal renversé, L'engin s'éleva et disparut aussitôt.
[Ref. usa1:] ARCHIVES DU PROGRAMME BLUE BOOK DE L'US AIR FORCE:
"OUMPH... GROBEZABRI.. TROBOBRANANA..."
Les Breloux (Vienne), dimanche, 19 sept. 1954, 22 heures:
Yves David, un ouvrier de ferme (il semble qu'ils sont particulièrement favorisés), revenait à sa ferme à moto. Il roulait joyeusement le long de la route de Cenon-Vouneuil, sans rien pour l'inquiéter si ce n'est le fait que son phare s'était desserré et pointait vers le sol. Entre Poutereau et Les Rebotes, il a ralenti, ne tenant pas à tomber dans le fossé. Naturellement, quand il l'a fait, sa lumière s'est affaiblie, puisque la dynamo fournissait moins de courant; s'il devait s'arrêter complètement il n'aurait plus du tout de lumière.
Mais c'était exactement ce qu'il a été soudainement obligé de faire, parce que tout d'un coup, en plein milieu de la route est apparu "un porteur de casque couvert de métal." Il a fait enfoncé le frein violemment. Le porteur de casque, qui faisait environ 150 centimètres (4'11 ") de haut, s'est avançé, et, comme le Martien de M. Mazaud, a pris la main d'Yves. Cependant, il était moins affectueux, et il ne l'a pas embrassé. C'était une chance, puisque Yves a senti une légère décharge électrique et une sensation de froid à son contact. D'autre part, l'être a parlé. Son langage, naturellement, était incompréhensible:
"Oumph... Grobezabri... Trobrobranana"
Puis le porteur de casque a battu en retraite, bondissant au loin vers une masse foncée reposant sur la route. Yves allait-il se précipiter à sa poursuite, comme le Marius Dewilde? Non, parce que, tout comme à Quarouble, un faisceau lumineux vert puissant a été tiré de l'engin et a immobilisé le malheureux gaillard dans la posture dans laquelle il d'était arrêté, debout avec la moto entre les jambes et ses mains sur le guidon. L'engin s'est alors élevée verticalement, ne faisant aucun bruit du tout, et le rayon s'est éteint. Yves David a de nouveau pu bouger. La scène avait duré trente secondes.
Sous le sceau du secret, Yves a confié l'affaire à un ami, à son épouse, et à des parents. Une semaine plus tard tout le monde était au courant. La police et également les Renseignement généraux (sorte de FBI?) ont enquêté. Ils ont receuilli les déclarations du témoin.
Aujourd'hui, écrit notre correspondant spécial, Yves David est devenu un homme éminent de sa communauté. Il y a quelques jours, quand un cirque est venu à Châtellerault, Yves a été traîné de force sur le podium où une émission de radio bien connue était enregistrée, pour y dire en détail sa rencontre avec le porteur de casque de la soucoupe volante. Il semble qu'il ait été chaudement applaudi.
Sans doute personne n'a jamais pensé à lui demander s'il était au courant des aventures précédentes de messieurs Mazaud et Dewilde, dont son propre récit représente une synthèse plutôt frappante. Et même si on l'a fait... Peut-on exiger d'un homme dont tout le pays parle, et qui s'adresse au monde au moyen de la radio, d'admettre une exagération, sinon une erreur? Mettez-vous à sa place!
Ce qui précède est une note tapée à la machine stockée dans les archives du projet Blue Book. Cela a probablement été tapé par feu l'ufologue Alex Mebane, qui correspondait alors avec l'ufologue français Aimé Michel, et c'est probable sa traduction d'un article d'un journal français.
[Ref. hws1:] HAROLD T. WILKINS:
L'auteur indique qu'en septembre 1954, Yves David, fermier de Chatellerault, dans la Vienne, a indiqué qu'une créature habillée en scaphandre comme un plongeur en mer profonde est venue vers lui sur une route isolée, a bafouillé de façon inintelligible, l'a paralysé avec un rayon vert, et a filé de nouveau dans une soucoupe qui a décollée silencieusement dans le ciel. Il ne pouvait pas décrire la soucoupe.
[Ref. gbr1] GRAY BARKER:
Un autre fermier, Yves David, de Chatterault [sic], a également rencontré un soucoupiste affectueux. Le petit gremlin. habillé comme "une sorte de plongeur," est monté à lui sur une route isolée, a caressé son bras et lui a bafouillé des bruits inintelligibles. Ensuite il est parti vers sa soucoupe. Ce soucoupien particulier, cependant, a projeté un rayon vert sur le fermier tandis que sa machine filait loin, et ceci l'a temporairement paralysé.
[Ref. jgu1:] JIMMY GUIEU:
L'auteur indique que le 19 septembre 1954 en France, Yves David, 28 ans, cultivateur aux Brouloux, commune de Vouneuil-sur-Vienne, roulait à vélomoteur sur la route de Vouneuil à Cénon lorsqu'il a soudainement aperçu dans la lumière de son phare, 20 mètres plus loin une sorte de "longue masse brune" d'environ 3 mètres de long sur 1 mètre de haut.
Il s'est arrêté et a vu, stupéfait, sortir du fossé bordant la route un être de petite taille vêtu d'une sorte de scaphandre qui s'avançait vers lui. L'être est venu se frotter contre son épaule en lui parlant dans une langue non comprise, puis il a reculé et regagné rapidement son engin.
A ce moment un faisceau lumineux vert a été projeté depuis l'astronef sur Mr. David qui a été instantanément paralysé et a éprouvé sur tout son corps un picotement curieux ressemblant à une faible décharge électrique.
Le rayonnement vert s'est éteint et le "cigare" a décollé pour foncer verticalement vers le ciel sans aucun bruit, en laissant derrière lui une lueur verdâtre.
Mr. David était très ému par cette rencontre et sa paralysie et a regagné son domicile dès que l'astronef a dégagé la route.
[Ref. tbr1:] TED BLOECHER:
5.
Les rapports ont continué, parmi un fond d'observations "ordinaires" sans précédant quant au nombre. Le 19 sept., Yves David de Poitiers a eu une expérience semblable à celle de M. Mazaud$: ce cas nous fournit un autre échantillon de conversation extraterrestre. M. David a entendu les expressions: "Oumph... Grobezabri... Trobobranana!" Cet être portait également un casque. 39
[Ref. gqy1:] GUY QUINCY:
17 septembre [1954]
22 h 30: Vouneuil-sur-Vienne (6 km S. de Châttelerault--Vienne): atterrissage engin lenticulaire + accolade nain
[Ref. aml1:] AIME MICHEL:
Aimé Michel rapporte que le 17 septembre 1954, vers 22:30, près de Cénon, dans le département de la Vienne, Yves David, demeurant à Montgamé (Vienne), circulait à bicyclette sur la route départementale 1, allant de Vouneuil-sur-Vienne à Cénon, sous une nuit était obscure, car la lune, en cette période d'équinoxe et cinq jours après son opposition, n'était pas levée à 22:30.
La région est marécageuse, avec des haies et de nombreux boqueteaux, et Yves David distinguait assez mal la route, à peine éclairée par la maigre dynamo de son vélo.
Quand il est arrivé à proximité du lieu dit "Le Pontereau", près de Cénon, il a été soudainement envahi par une curieuse impression de malaise, sentant dans tout son corps une sorte de fourmillement, de picotement, "comme si j'avais été électrisé".
Il n'arrivait plus à pédaler et s'est arrêté et est descendu de sa bicyclette. La dynamo ne tournant plus, il se trouvait alors dans l'obscurité. Pendant qu'il avait roulé son attention était concentrée sur la petite tache de lumière projetée par sa lampe, et il lui a alors fallu quelques instants pour s'habituer à l'obscurité et voir un peu plus loin, alors que la désagréable impression de picotement n'avait pas disparu. En fait, il était paralysé.
C'est alors qu'il a aperçu non loin de lui posé sur la route, un engin bizarre dont il évalua les dimensions, autant qu'il était possible de le faire dans la pénombre, comme étant de trois mètres de large sur un mètre d'épaisseur.
Il était épouvanté parce qu'il ne pouvait pas bouger, il est resté un long moment à observer l'objet qui était immobile.
Ensuite, il a vu une silhouette se détacher de la masse sombre et se diriger vers lui. C'était celle d'un être de petite taille, beaucoup plus petit qu'un homme, qui s'est avancé jusqu'à Yves David, l'a touché à l'épaule, a émit un son semblable à un bruit de voix inhumain et incompréhensible et est retourné vers l'engin, où il disparut.
Quelques secondes plus tard, la masse sombre a projeté une sorte de lueur verdâtre et d'est envolé "à une vitesse foudroyante et disparut dans le ciel" au-dessus des arbres.
Au même moment, Yves David a retrouvé l'usage de ses membres. En tremblant de peur, il a pu remonter à bicyclette et rentrer chez lui à Montgamé, où il a raconté sa mésaventure.
[Ref. pmi1:] PAUL MISRAKI:
Quelques jours auparavant, le 17 septembre, à 22 h 30, un "petit homme" se montra délibérément à un cycliste qu'une étrange sensation de paralysie avait contraint à s'arrêter sur le bord d'une route, à quelques kilomètres de Clermond-Ferrand. Le petit être lui toucha l'épaule et s'en fut. Une masse sombre projetant une lueur verdâtre ne tarda pas à s'élever au-dessus du sol, puis à disparaître dans le ciel à une vitesse foudroyante. Le cycliste se remit en chemin, agité de tremblements.
[Ref. mcs1:] "MICHEL CARROUGES":
Michel Carrouges indique que l'observation David est l'un ces cas dans lequel un pilote de soucoupe a touché la main ou l'épaule du témoin.
[Ref. jve8:] JACQUES VALLEE - "FLYING SAUCER REVIEW":
Date | Lieu | Pays | Observé par | Description des "Pilotes" | Total |
17 sept. 1954 | Cenon-Voun | France | Y. David | Très petit homme en "tenue de plongeur" caresse son bras, émet des sons inintelligibles et non-humains. | 1 |
[Ref. rhh1:] RICHARD HALL:
Richard Hall indique que le 17 septembre 1954, à Cenon, dans la Vienne, France, M. Yves David allait à vélo par une nuit obscure quand il a senti une sensation étrange de malaise, une sorte de picotement ou de démangeaison partout dans son corps. Il a dit que c'était "juste comme si j'avais eu une décharge électrique." La sensation de picotement désagréable ne s'est pas arrêtée, et peu après il a été paralysé, et il a alors remarqué un objet foncé garé sur la route en avant. Il en est venu une petite créature qui l'a touché sur l'épaule et a poussé un bruit qui était inhumain et incompréhensible, après quoi l'être est revenu à son OVNI et a filé au loin. En même temps, M. David a récupéré l'utilisation de ses membres.
[Ref. jve5:] JACQUES VALLEE:
123 | -000.53730 | 46.71900 | 17 | 09 | 1954 | 22 | 30 | 105 | VOUNEUIL / VIENNE | F | 011142 | C | 084 |
[Ref. ton1:] THOMAS M. OLSEN:
DATE | LOCALISATION GEOGRAPHIQUE | SOURCE | PAGE |
---|---|---|---|
17 SEPT. 1954 | CENON (VIENNE), FRANCE | (MICHEL-1958 P 58) 1 T | 3-33 |
[Ref. cln1:] CORAL ET JIM LORENZEN:
Les auteurs indiquent qu'un incident d'atterrissage a eu lieu le 17 septembre 1954 à environ 22:30 entre Vouneuil-sur-Vienne et Cenon sur la route D1, alors qu'Yves David roulait à bicyclette le long de la route sous une nuit sombre et sans lune, dans une région boisée avec beaucoup de buissons et haies. Le phare de sa bicyclette donnait seulement une faible lumière et il ne pouvait pas très bien voir.
Pendant qu'il venait près de Le Pontereau, près de Cenon, il a senti une sensation de picotement et/ou de démangeaison sur tout son corps, un peu comme une décharge électrique. Il ne pouvait pas continuer, il s'est arrêté, est descendu de la bicyclette, et puisque sa lumière provenait d'une dynamo, elle s'est éteinte et il était alors dans l'obscurité totale.
La sensation de picotement était toujours là et il s'est senti paralysé. Mais ses yeux commençaient à s'habituer à l'obscurité et il a remarqué un engin étrange qu'il a pensé pour avoir 3 mètres de long et 1 mètre de haut, posé non loin en avant sur la route.
Il a été alors terrifié, incapable de se déplacer. Il a vu une silhouette s'éloigner de la masse sombre et l'approcher, qui était celle d'une créature beaucoup plus petite qu'un homme. Elle est venue à lui et l'a touché sur l'épaule, poussant un son incompréhensible et complètement inhumain en même temps. Elle s'est alors déplacée de nouveau vers l'engin où elle a disparu.
Quelques secondes plus tard l'objet sombre a dégagé une lumière verdâtre et a volé au loin à grande vitesse, et a été perdu de vue dans le ciel.
Dès que l'objet était parti, Yves David a recouvré l'usage de ses membres. Il est monté sur son vélo et s'est dirigé vers chez lui à chez Pontgame où il a raconté son expérience, tremblant de peur.
[Ref. jve1:] JACQUES VALLEE:
L'auteur indique que le 17 septembre 1954, près de Cenon, un fermier a rencontré un être dans une tenue de plongée qui lui a fait des gestes amicaux. Cet individu était très petit et avait une voix "inhumaine et incompréhensible". Le témoin a été incapable de bouger tout le temps de la rencontre. L'être est entré dans un objet qui était posé sur la route et s'est envolé "comme l'éclair", projetant une lumière verdâtre.
[Ref. obr1:] OTTO BINDER:
17 septembre, près de Cenon. Un fermier a rencontré être très petit dans un costume de plongée, qui a fait les gestes amicaux et parlait d'une voix "inhumaine et incompréhensible."
Et dans le même livre:
17 septembre 1954, Cenon (Vienne), France. M. Yves David allait à vélo par une nuit obscure quand il a senti une sensation étrange de malaise - une sorte de picotement ou de démangeaison dans tout son corps "tout comme si j'avais eu une décharge électrique," a-t-il décrit. La sensation de picotement désagréable ne s'est pas arrêtée, et d'ici peu il a été paralysé. C'était alors qu'il a remarqué l'objet sombre garé sur la route en avant. De lui est venue une petite créature qui l'a touché sur l'épaule et a poussé un bruit qui était inhumain et incompréhensible, après quoi il est revenu à son engin et a filé au loin. Dans ce même temps, M. David a récupéré l'utilisation de ses membres.
[Ref. jve2:] JACQUES VALLEE:
147) 17 Septembre 1954 22:30, Cenon (France):
Entre cette ville et Vouneuil, Yves David (28 ans) rencontra un être habillé d'un scaphandre qui faisait des gestes d'amitié. Il était très petit et avait une voix "inhumaine et incompréhensible." Le témoin ne put pas bouger pendant la rencontre. Il vit la créature entrer dans un objet posé sur la route, d'une taille d'environ 3 mètres sur 1 mètre, et qui décolla "comme un éclair" en lançant une lueur verte. (Le Figaro, La Croix, France-Soir, Le Parisien, 30 Sept. 1954) (11; M 58)
[Ref. pfe1:] PARIS FLAMMONDE:
Paris Flammonde indique qu'à "Chatterault" en France un homme nommé Yves David a prétendu avoir été caressé et partiellement paralysé à l'aide d'un rayon vert par un extra-Terrien qui l'a abandonné pour une soucoupe sur le départ.
[Ref. lo2:] CORAL ET JIM LORENZEN:
Les auteurs indiquent qu'à Cenon, France, le 17 septembre 1954, un fermier a affirmé avoir rencontré un être dans une tenue de plongée qui a fait des gestes amicaux et des bruits "inhumains et incompréhensibles." Il a dit que la créature était petite et que pendant la rencontre il ne pouvait pas bouger. L'être est entré dans un objet qui était posé sur la route, et a dégagé une lumière verdâtre quand il a décollé.
[Ref. prn1:] PETER ROGERSON:
322 17 septembre 1954 2230 CENON (FRANCE)
Entre Cenon et Vouneuil, Yves David (28 ans) a dû descendre de son vélo lorsqu'il a eu une sensation de choc électrique. D’un objet sur la route, d'environ 3 m sur 1 m, est sorti un très petit être en tenue de plongée, qui l'a touché sur les épaules. L'être a eu une voix "inhumaine et incompréhensible" et est entré de nouveau dans l'objet; qui a décollé "comme un éclair", jetant une lumière verdâtre. David ne pouvait pas bouger pendant la rencontre.
(Ml47; Le Figaro, La Croix, France-Soir, Le Parisien, 30 septembre 1954; Michel II, 58)
[Ref. gal1:] CHARLES GARREAU ET RAYMOND LAVIER:
Les deux ufologues et auteurs indiquent qu'à Vouneuil dans le département de la Vienne, le 17 septembre 1954 à 19:30, selon des coupures de presse et leurs dossiers personnels, Yves David, habitant de Montgame, rentrait chez lui à bicyclette et arrivait au lieu dit Le Pontereau, quand il a ressenti une impression bizarre.
Il s'est arrêté, et s'est senti comme "électrisé". Il a alors aperçu sur la route un engin large de trois mètres et haut d'environ un mètre. Il en a vu sortir un être de petite taille qui s'est approché de lui, lui a tapé sur l'épaule et lui a parlé en utilisant un langage étrange, qu'Yves David n'a pas pu comprendre.
Le petit être est alors retourné dans son engin qui disparaît presque instantanément en laissant une lueur verdâtre.
[Ref. pdl1:] PIERRE DELVAL:
Dans son chapitre sur les cas de paralysie ou de somnolences des témoins d'OVNI lors de leur expérience, Pierre Delval indique 12 cas relevant de la vague française de 1954, dont celui à Cénon dans le département de la Vienne, le 17 septembre 1954 à 22:30.
Yves David, 28 ans, cultivateur aux Brulous à Vouneuil, circulait à bicyclette sur la route allant de Cenon à Vouneuil-sur-Vienne. Il arrive au lieu dit "Le Pontereau", quand il a soudainement été envahi par un curieux malaise.
Il a senti comme un "fourmillement électrique" dans tout son corps. Il ne parvenait plus à pédaler, et est descendu de sa bicyclette avec difficulté. Sa dynamo ne fonctionnant plus, il s'est retrouvé dans le noir.
Petit à petit, ses yeux se sont accoutumés à l'obscurité, et il est parvenu à voir autour de lui, alors que les picotements n'avaient pas disparu pour autant.
Il s'est rendu compte qu'il est, en fait, bel et bien "paralysé", et c'est alors qu'il a vu, un engin sombre, de 8 mètres de long et 2 mètres de haut posé sur la route, à 20 mètres de lui.
Il a été épouvanté puisqu'il ne pouvait bouger, et est resté un long moment à observer l'objet aussi immobile que lui.
Puis, il a vu une silhouette se détacher de la masse sombre et se diriger vers lui, celle d'un être plus petit qu'un homme. L'être s'est approché, lui a touché l'épaule, a articulé un son incompréhensible, puis est retourné à l'engin dans lequel il a pénétré.
Quelques secondes plus tard la masse sombre a projeté une lueur verdâtre et a disparu dans le ciel à une vitesse foudroyante. En même temps, Yves David a retrouvé l'usage de ses membres.
Tremblant de peur, il est remonté sur sa bicyclette et s'est hâté de rentrer chez lui.
[Ref. tbw1:] TED BLOECHER ET DAVID WEBB:
54-22 17 sept. 1954 2230 Cenon, France Type B
En faisant de la moto après la tombée de la nuit, Yves David a ressenti une sensation semblable à un choc électrique et est devenu paralysé. Devant lui, il pouvait voir un objet de 9 pieds de long et 3 pieds de haut. De là a émergé un petit être beaucoup plus petit qu'un homme, vêtu d'un "scaphandre". Cet être l'a touché à l'épaule, a prononcé des mots incompréhensibles et est revenu à l'objet sombre, qui est devenu vert-lumineux et s'envola, mettant fin à la paralysie.
Enquêteur:
Sources: Michel, Straight-Line Mystery, pp. 58f.; Paris Samedi-Soir, 14/10/54 (il y a des discordances considérables entre les deux sources.)
[Ref. bbr1:] GERARD BARTHEL ET JACQUES BRUCKER:
Les auteurs indiquent que dans le cas de Vouneuil sur Vienne, l'observateur contacté deux fois par lettre et une fois par téléphone n'a jamais voulu leur accorder d'entretien.
[Ref. fru1:] MICHEL FIGUET ET JEAN-LOUIS RUCHON:
L'ufologue français Michel Figuet a enquêté sur une observation rapportée dans un journal, qui aurait eu lieu entre Cenon et Vouneuil sur Vienne le 19 septembre 1954. Figuet a plus tard indiqué que "le journal avait inventé cette histoire."
Dans le livre de Figuet et Ruchon, il est noté que le 19 septembre 1954 à 22 heures entre Cenon et Vouneuil sur Vienne, entre les lieux "le Poutereau" et le lieu "les Rabottes", un paysan de 28 ans des Breloux à Vouneuil-sur-Vienne, Yves David, revenait d'une vente à Targé et circulait sur la route. Il a raconté:
"Le phare de mon vélomoteur ne marchait pas très bien. Soudain, entre le Poutereau et les Rabottes, je distinguai une masse sur le milieu de la chaussée. Ma surprise fut grande quand je vis une sorte de cuirasse (comme un scaphandrier) qui s'avançait vers moi. Cette cuirasse s'arrêta à ma hauteur, me caressa le bras et émit quelques sons inarticulés. Je ne bougeai pas. Puis la cuirasse se retira. C'est alors qu'à quelques mètres seulement je vis un engin dont je suis incapable de donner une description. Une lumière verte apparut qui me paralysa et je fus dans l'impossibilité de bouger. L'engin s'éleva du sol à la verticale et disparut sans aucun bruit."
Figuet et Ruchon notent qu'il y a des divergences dans ce qui est rapporté par Aimé Michel et Jimmy Guieu: Jimmy Guieu reprend ce qui est paru dans les journaux du moment, tandis qu'Aimé Michel indique que le témoin n'arrivait plus à pédaler et ressentait dans tout son corps comme un fourmillement électrique, puis est descendu de vélo avec difficulté, et n'a retrouvé l'usage de ses membres qu'après que la masse sombre ait disparut dans le ciel à une vitesse foudroyante.
Les auteurs indiquent comme source les journaux Le Dauphiné Libéré, France-Soir, Le Parisien et la Croix du 30 septembre 1954, le catalogue de Jacques Vallée et les livres de Garreau et Lavier, de Michel Carrouges, de Jimmy Guieu.
[Ref. ine1:]"L'INEXPLIQUE":
Un des plus beaux cas de la vague de 1954 reste celui du 17 septembre 1954. Ce jour-là, près de Cenon, dans la Gironde, un agriculteur roule à bicyclette. Il sent soudain des démangeaisons lui parcourir le corps. Surpris, il descend de bicyclette. Il est alors "paralysé", tandis que, devant lui, apparaît ce qu'il a appelé une "machine". A ce moment, une petite créature, vêtue d'une sorte de combinaison de plongeur, se serait approchée de lui en emettant des sons étranges.
Elle lui aurait touché l'épaule et serait repartie dans la "machine", qui aurait démarré en un éclair en émettant une lumière verte. Après le départ de la "machine", le témoin sort de son état de paralysie.
[Ref. agd1:] ALAIN GAMARD:
N° de cas | Date | Heure | Localisation | Département | Nom témoin(s) |
---|---|---|---|---|---|
019 | 17/09/1954 | 22.30 | entre Cenon et Vouneuil. | 86 | Yves David. |
[Ref. jsx1:] JACQUES SCORNAUX:
- Cénon (Vienne, France, 17-9-1954): M. Yves David roulait à vélo vers 22 h 30 quand une soudaine sensation de fourmillement dans tout le corps l'obligea à descendre de machine. Il fut bientôt complètement paralysé et apercut un objet sombre posé sur la route. Un être de petite taille s'approcha, toucha le témoin à l'épaule, émit un son incompréhensible, puis regagna l'engin qui s'envola quelques secondes plus tard à grande vitesse. M. David recouvra aussitôt l'usage de ses membres (19).
Les sources (19) sont données en fin d'article comme:
19. Aimé Michel, op. cit. ["A propos des soucoupes volantes"], pp. 72-73; Michel Carrouges op. cit. ["Les apparitions de Martiens"] p. 116.
[Ref. lsd1:] LEONARD STRINGFIELD:
L'ufologue Américain indique que le 17 septembre 1954, en France, à Cenon, Yves David a rencontré un être en vêtement de plongée qui lui fait des gestes amicaux, alors que sa voix était inhumaine et incompréhensible.
Le témoin a été immobilisé pendant la rencontre et a vu l'être entrer dans un engin qui a aussitôt décollé et est parti comme un éclair en projetant une lumière verdâtre.
Il indique que cet exemple de cas de rencontre du troisième type provient du catalogue de Jacques Vallée qui l'a extrait du livre d'Aimé Michel.
[Ref. bbr1:] GERARD BARTHEL ET JACQUES BRUCKER:
Selon ces deux ufologues, une observation d'OVNI entre Cenon et Vouneuil sur Vienne le 19 septembre se serait révélée être une invention journalistique.
[Ref. lgs1:] LOREN GROSS:
[... Autres cas...]
17 septembre.
C'était une nuit sans lune, la nuit du 17, et la petite lampe sur la bicyclette de M. Yves David projetait un faible faisceau. Tandis qu'il pédalait le long de la route D-1 près de Cenon, France; une zone étrange et boisée il s'est rendu compte d'un sentiment de picotement étrange comme s'il recevait un choc électrique. Une paralysie a envahi son corps jusqu'à ce qu'il ait dû s'arrêter et descendre. La lampe de la bicyclette, alimentée par la puissance de la pédale, s'est étainte, laissant David dans une obscurité éclairée seulement par les étoiles.
Un peu plus bas sur la route David pouvait à peine distinguer une masse foncée oblongue qu'il a estimée être d'environ 9 pieds de large et trois pieds de haut. David a voulu se sauver mais ses muscles n'obéissaient pas. Incapable de se déplacer, David a observé une silhouette comme un ombre qui est partie de la proximité de la masse foncée et s'est déplacé vers lui. Pendant que le personnage s'approchait, David pouvait seulement déterminer que la chose était une créature vivante "plus petite qu'un homme." L'être est venu assez près pour toucher l'épaule de David et pour pousser quelque chose qu'il ne pouvait pas comprendre après quoi l'être est retourné à la masse foncée. Quelques instants après cela, la masse obscure a émis une lumière verdâtre et s'est lancée vers le ciel à une vitesse fantastique. Avec le départ de la masse foncée, David a repris le contrôle de ses membres. Il était de nouveau à un état normal excepté une crise de nerfs, une crainte intense qui l'a incité à trembler. 74.
Selon le journal France-Dimanche, Yves David a entendu les mots, si en effet s'étaient des mots: "Oimph... Grobrezebri... Troboranana!"
Le journal a proposé: "... la publication d'un dictionnaire Franco-Martien à l'usage des fous." 76.
[... Autres cas...]
[Ref. lgs2:] LOREN GROSS:
Une histoire de première page.
3 octobre. Sunday Dispatch de Londres.
Tant de choses se passaient en France que la presse anglaise fut forcée d'en prendre note. En fait, l'histoire était trop grande. Le London Sunday Dispatch ne pouvait imprimer qu'un résumé sur sa première page. La situation étant peu claire, les erreurs et le manque de détails étaient inévitables dans les rapports. Le Dispatch a informé ses lecteurs:
"Près de Grenoble, le fermier Joseph Habrat a vu un moteur [mauvaise traduction de "engin"] lumineux se déplacer à grande vitesse.
"Sa fille, Yvette, a dit qu'il est venu à moins de 600 mètres avec un "ronflement doux".
Un peu plus tard, deux mille personnes ont vu une douzaine d'entre eux "danser un ballet" dans le ciel.
"Deux personnes à Rixheim, près de Mulhouse, ont observé un moteur [mauvaise traduction de "engin"] lumineux en forme de cigare entouré de douze cigares satellites plus petits.
"Trois vacanciers de la plage de Carry-le-Rouet ont vu un demi-cigare sur le port, trois femmes qui l'ont vu le décrivent comme laissant une trace de fumée.
Un champignon volant a été signalé par un camionneur et son ami à Faremontiers. C'était dans un champ et avait trois jambes en forme de trépied.
- J'ai essayé de l'approcher, dit-il, mais à environ quatre cents pieds je fus arrêté par un rayon, je sentis de petits picotements, ma tête était embrumée, j'avais une sueur froide, je ne pouvais pas bouger.
"Le champignon s'éleva alors lentement et s'envola.
"Le Dr. Martinet, spécialiste de la maladie de la peau à Chambéry, a observé une soucoupe volante manoeuvrer dans le ciel pendant quatre minutes.
"Dans le golfe de Gascogne, un mousse et les deux matelots d'un bateau de marchandises virent un disque en mouvement avec une lueur verdâtre.
"L'actrice Michele Morgan a vu un disque lumineux sur le terminal aérien des Invalides à Paris.
"Il y a eu trois rapports d'hommes d'une autre planète débarquant en France.
"A Vienne, un fermier a dit que le visiteur, qui portait une sorte de costume de plongée, lui caressait le bras.
"Une femme de Drome a vu 'un être de la taille d'un enfant et au visage humain, il semblait être enveloppé dans un sac transparent'".
"Les deux visiteurs en France sont retournés à leurs soucoupes et ont décollé verticalement.
"Un contre-maître d'une carrière à Marcilly-sur-Vienne et six de ses ouvriers venaient de voir un petit homme harnaché et botté avec un revolver tirant des 'rayons lumineux et paralysants'".
"Un sifflement attira l'attention de deux hommes de Blanzy sur une machine en forme de cigare dans un champ fraîchement labouré.
"Les hommes ont dit que la machine avait environ six pieds de longueur. Le bout pointu était jaune, le reste du cigare brun.
"Quand ils se sont approchés de la machine, elle s'est élevée verticalement.
Un policier, un épicier et huit autres personnes ont vu un "cigare" incandescent à Agen.
"Une 'boule brillante' apparut à un gardien d'étable à Belesta. Il a dit qu'elle a laissé une traînée de fumée grise tandis qu'elle filait à travers le ciel".
L'auteur du compte rendu mentionné ci-dessus a noté qu'à l'heure juste ce jour-là (3 octobre 1954) à 40 miles, un incroyable "spectacle céleste" se déroulait au-dessus d'une zone boisée près du village de Marcoign, en France, devant 20 témoins. Que tant de personnes au même moment à différents endroits aient eu une hallucination semblable troublait l'esprit de l'auteur, à tel point qu'il a consulté un psychiatre affecté aux tribunaux de la Seine, un Dr Gouriou.
"L'illusion de masse est-elle possible à cette échelle?
La question ci-dessus a été posée à l'expert en santé mentale qui a répondu qu'il n'avait jamais connu une soucoupe volante jouant un rôle dans les hallucinations de ses patients, et que les hallucinations étaient généralement des sons plutôt que des images visuelles. De plus, lorsque rarement des troubles visuels se produisaient, ces problèmes étaient presque toujours dus à une toxémie ou à des lésions cérébrales, ce qui contribuerait certainement à exclure la possibilité d'une "illusion visuelle de masse".
Le Dr Gouriou a alors sagement terminé l'entretien avec: "... Je pense que ceux qui prétendent avoir vu des soucoupes le font de bonne foi, à moins bien sûr qu'ils essaient de nous tromper. Un être humain normal voit, il interprète dans une large mesure, et ce fait seul rend tous les faits humains faillibles.
[Ref. jsr1:] JEAN SIDER:
40 - Cas de Vouneuil-sur-Vienne, Vienne.
Le 19 septembre à 22h00, Mr. Yves David circule en cyclomoteur en direction de Vouneuil. Entre les lieux-dits "Les Poutereaux" et "Les Rabattes", il remarque au milieu de la route un objet qu'il ne peut identifier. Puis une sorte de "scaphandrier" s'avance vers lui, le touche en émettant des paroles incompréhensibles puis regagne l'objet. Une lumière intense en jaillit et Mr. David se sent paralysé. Finalement la chose décolle à la verticale et disparaît dans l'obscurité de la nuit.
B & B [Barthel et Brucker, voir [bbr]] classent cet incident comme "invention journalistique" (p. 100), sans donner la moindre explication crédible pour justifier ce verdict péremptoire et définitif.
S'ils avaient pris l'initiative de consulter une source locale, en l'occurrence Le Libre Poitou, du 30 septembre 1954, page 5, ils auraient pu se rendre compte de leur erreur. Voir le D.0.22.
En effet, ce quotidien de Poitiers consacra un excellent reportage à cette affaire, allant jusqu'à envoyer l'un de ses journalistes sur place pour effectuer une enquête de voisinage, ce qui montre déjà la conscience professionnelle du reporter qui exécuta ce travail. Cet homme, c'est Mr. H. Bussereau, qui signe l'article de son nom. Cet enquêteur se rendit au hameau des Breloux, où résidait le témoin. Il interrogea les voisins et surtout la mère de Yves David. Mme David confirma que ce soir-là, son fils rentra à la maison "tout agité", méconnaissable à tel point que la brave dame crut qu'il avait eu un accident.
A Montgamé, village voisin, les renseignements obtenus par H. Bussereau sur le témoin furent bons: "ce n'est pas un monteur de coups, c'est un gars sérieux", s'entendit-il dire partout où il s'adressa. À noter que le sentiment général exprimé par l'entourage du témoin, selon ce journaliste, allait vers une arme secrète en cours d'essais plutôt que sur "une descente de Martiens sur terre à l'aide de soucoupes volantes", pour reprendre sa propre terminologie.
Mieux: Mr. Yves David n'était pas allé à la Gendarmerie par peur de se voir ridiculisé. Il avait demandé à un ami de se renseigner discrètement afin de savoir si d'autres personnes avaient vu le phénomène dans son secteur ce même soir, et c'est à cause de cette relation un peu trop bavarde que l'affaire s'ébruita et atteignit les oreilles des journalistes. Sans cette langue trop bien pendue on n'aurait jamais rien su de cet incident.
A noter aussi que le 29 septembre, le Radio-Circus se trouvait à Châtellerault. A l'époque c'était une émission très populaire qui passait chaque jour sur Radio-Luxembourg, animée par le célèbre Zappy Max. Ma source indique que ce jour-là, Mr. Yves David fut interrogé sur les antennes par Zappy Max à propos de son expérience. Donc des centaines de milliers de français entendirent son récit en direct. En effet, Le Libre Poitou du même jour, page 5, donnait déjà l'information de base.
Invention journaistique? Je dirais plutôt: invention de B & B!
[Ref. jsc1:] JOHN SCHUESSLER:
1954/09/17 FRANCE, CENON
Source: Official UFO, Feb. 76
October Scenario
Un cycliste a approché un OVNI sur la route. Il a senti des picotements et des démangeaisons dans tout son corps comme s'il avait eu un choc électrique. Ensuite il a été paralysé. Un petit être est venu de l'OVNI, l'a touché, et a prononcé quelque chose. L'OVNI a dégagé une lueur verdâtre. L'OVNI est ensuite parti.
EFFETS:
Choc électrique
Pictotements ou démangeaisons
Paralysie
[Ref. jca1:] JACQUES COSTAGLIOLA:
L'auteur indique que le 17 septembre 1954 à Vienne un cycliste a été immobilisé par un disque posé sur la route, et un petit aliène lui a parlé et l'a touché.
[Ref. lhh1:] LARRY HATCH - "*U* COMPUTER DATABASE":
3799: 1954/09/19 22:00 8 0:32:00 E 46:44:00 N 3333 WEU FRN VNN 9:5
S/CENON,FR:OID/DIVING SUIT GESTES:SORTIES/10'SCR:OBS PRLZD:/r112p91+/r217p71
RefN°197 WEINSTEIN, D: French Newsclips 1954 Page No. 34 : PATURAGE
[Ref. goe1:] GODELIEVE VAN OVERMEIRE:
L'ufologue belge indique qu'en 1954, le 19 septembre, en France à Vouneuil sur Vienne "22 h 30, Yves David, cultivateur, voit soudain dans la lumière du phare de son vélomoteur, à 20 m plus loin, une sorte de longue masse brune d'environ 3 m de long pour l m de haut. Il s'arrêta stupéfait et vit sortir du fossé bordant la route un être de petite taille revêtu d'un scaphandre et qui s'avança vers lui. Le nain vint se frotter à lui et lui parla dans une langue étrangère; puis il se recula et regagna son engin. A ce moment un rayon vert fut projeté sur M. David, qui instantanément paralysé éprouva sur tout le corps des picotements comme des décharges électriques de faible intensité. Le rayon vert s'éteignit, le cigare décolla pour foncer verticalement dans le ciel sans bruit, laissant derrière lui une lueur verdâtre. (Jimmy GUIEU: "Black-out sur les S.V." - Fleuve Noir 1956 - p. 143, 144) (Le Dauphiné Libéré du 30.9.54)"
Elle indique qu'une autre version est: "EN REALITE: tout ce qui concerne l'humanoïde ne serait qu'une invention journalistique (communication J. Giraud) (Erich ZURCHER: "Les apparitions d'Humanoïdes" - éd. Alain Lefeuvre 1979, p. 175)".
[Ref. lgs3] LOREN GROSS:
Le journal français France Dimanche a publié de brefs récits de diverses observations d'OVNI accompagnées de dessins dans son numéro du 10 octobre 1954. Ceux-ci ont été inclus dans la monographie UFOs - A History 1954 Septembre, pages 31-33. Les traductions de "ADM" du texte français existent dans les fichiers du NICAP et sont fournies ici pour les yeux du lecteur (voir ci-dessous).
[... Autres cas...]
N° 6 ... le fermier un pot.
A 10h30 le 19 septembre, M. David, ouvrier agricole de Breleux (près de Poitiers) rentrait chez lui en moto. Soudain, il vit sur la route, à ses phares faisceau, à 20 mètres devant lui, un long objet brun. Il s'arrêta, et un petit homme casqué, sortant du fossé, s'approcha de lui et se frotta contre son épaule en grognant. La créature se hâta alors dans la masse brune (qui avait la forme d'une cruche). La machine s'éleva et disparut immédiatement.
Ces cas français se trouvent à la page 75 de la monographie OVNI: A History 1954 September. Les traductions du texte français ont également été effectuées par le "ADM" [Alexandre Mebane] du NICAP.
[Ref. kbd1:] KEITH BASTERFIELD:
L'ufologue australien indique que le 17 septembre 1954 à 2230 à Cenon, France, le cycliste Yves David a senti une "sensation de picotement", a arrêté le vélo, et s'est tenu debout pendant quelques minutes, et s'est ensuite senti paralysé. David a vu une machine sur la route en avant de lui, ensuite une petite créature l'a approché et l'a touché sur l'épaule et est revenue à la machine. La masse sombre est partie, et la paralysie a cessé.
Il dit que c'est l'un des 15 cas en France en 1954 où il y avait une paralysie rapportée du témoin ou des témoins quand ils étaient à une certaine distance d'un OVNI de basse altitude, distances qui sont 6m (1 cas), 20m (2), 50m (2) 100m (1) et 150m (1). Il ajoute qu'il semble y avoir peu doute au sujet d'un rapport entre l'OVNI et la paralysie, puisque la paralysie a débuté lors de l'observation de l'OVNI et a ensuite cessée quand l'OVNI est parti.
La source est notée "Michel, A. 1958. Flying Saucers and the Straight Line Mystery. New York .Criterion Books. p58".
[Ref. via1:] BULLETIN D'UFOLOGIE "VIMANA 21":
JEUDI 30 SEPTEMBRE: UN "SCAPHANDRIER INTERPLANETAIRE" APPARAIT A UN VITICULTEUR -
Chatellerault - Monsieur Yves David, 28 ans, cultivateur aux Brouloux (Vienne ) a déclaré avoir vu s'avancer sur lui, sur la route de Cenon à Vouneuil, le 19/9/54 à 22h., une sorte de "scaphandrier". Celui-ci dit-il, vint lui caresser le bras et émit des sons inintelligibles et se retira vers un engin (que M. David ne peut décrire). Un faisceau lumineux vert fut projeté dans sa direction, le clouant sur place, puis l'engin disparut dans le ciel, à la verticale sans aucun bruit. Mr. David déclare n'avoir rien voulu dire de cette bizarre rencontre, de peur qu'on se moque de lui. Il en fit part toutefois à un ami, lui demandant si d'autres personnes n'avaient pas aperçu le scaphandrier. C'est ainsi que tout le pays l'a su.
La source est indiquée être le journal Le Bien Public.
[Ref. odb1:] "OVNIS: UN DOSSIER BRULANT":
Un des plus beaux cas de la vague de 1954 reste celui du 17 septembre 1954. Ce jour-là, près de Cenon, dans la Gironde, un agriculteur roule à bicyclette. Il sent soudain des démangeaisons 1ui parcourir le corps. Surpris, il descend de bicyclette. Il est alors "paralysé", tandis que, devant lui, apparaît ce qu'il a appelé une "machine". A ce moment, une petite créature, vêtue d'une sorte de combinaison de plongeur, se serait approchée de lui en émettant des sons étranges. Elle lui aurait touché l'épaule et serait repartie dans la "machine", qui aurait démarré en un éclair en émettant une lumière verte. Après le départ de la "machine", le témoin sort de son état de paralysie.
[Ref. mft2:] MICHEL FIGUET:
DATE | LIEU | CREDIBILITE SOURCES |
---|---|---|
19.09.1954 | ||
entre Cenont [sic] et Vouneuil sur Vienne | ||
Invention journalistique: "OVNI" p. 74 et B.B p. 100. |
[Ref. krs1:] KEVIN RANDLE ET RUSS ESTES:
Les auteurs indiquent que le 17 septembre 1954, à Cenon, France, Yves David was bicycling when he felt a tingling all over his body. He stopped and got off his bike as his headlight went out. In front of him he saw the dark shape of a craft about 10 feet long and 3 feet high. David, the tingling having spread through his body and paralyzed him, watched as a small silhouette moved away from the craft. It approached him, touched him on the shoulder, and then returned to the ship, which gave off a greenish glow, then disappeared. When it was gone, David recovered the use of his limbs.
[Ref. sdn1:] STEVEN DUNN, OCCUPANTS DATABASE:
DATE | DESCRIPTION | MICAP_CLAS | REF |
---|---|---|---|
17.09.1954 |
Cenon, FR 17 Sep 54 Yves David faisait du vélo quand il a senti un picotement sur tout son corps. Il s'est arrêté & est descendu de son vélo alors que son phare s'éteignait. A de lui il a vu la forme sombre d'un engin d'approx. 10 pieds de long & 3 pieds de haut. David a été paralysé & a regardé tandis qu'une petite silhouette s'est éloignée de l'engin. Celle-ci l'a approché, l'a touché sur l'épaule & et est retournée vers le vaisseau qui a décollé. David a retrouvé l'usage de ses membres quand il a été parti. |
CE-3-103 | Randle/Estes, FOV |
DATE | DESCRIPTION | MICAP_CLAS | REF |
---|---|---|---|
17.09.1954 |
Cenon, FR 17 SEP 54 Un fermier a rencontré une petite créature dans un costume de plongée qui a fait des gestes amicaux et des bruits "inhumains et incompréhensibles". Pendant la rencontre le fermier ne pourrait pas se déplacer. La créature est entrée dans le vaisseau spatial et a décollé avec une lumière verdâtre. Pourrait être une variation sur l'incident Yves David. |
CE-3-104 | Lorenzen, UTWS, pg 172 |
[Ref. jbu1:] JEROME BEAU:
19 septembre, 22 h : A Cénon/Vouneuil-sur-Vienne (Vienne), Yves David est paralysé par une lumière verte
[Ref. jbu2:] JEROME BEAU:
17 septembre: Près de Cenon (Gironde), un agriculteur roule à bicyclette. Il sent soudain des démangeaisons lui parcourir le corps. Surpris, il descend de son vélo. Il est alors paralysé tandis que, devant lui, apparaît ce qu'il a appelé une machine. A ce moment, une petite créature vêtue d'une sorte de combinaison de plongeur s'approche de lui en émettant des sons étranges. Elle lui touche l'épaule, et repart dans la machine qui démarre en un éclair en émettant une lumière verte. Après son départ, le témoin sort de son état de paralysie. La description correspond à celle qu'à fait Marius Dewilde, une semaine plus tôt.
[Ref. emt1:] ERIC MAILLOT:
Eric Maillot, recherchant des cas de "rayons verts" de la vague française de 1954, indique que le cas de Cenon Vouneuil le 19 septembre 1954 comprenant un tel "rayon vert" est cité dans le "Premier Dossier des Rencontres Rapprochées ..." de Michel Figuet page 81. Il ajoute que Michel Figuet précise qu'il y a "des versions différentes des faits (par A. Michel)."
[Ref. rhh1:] RICHARD HALL:
TABLE 1. OBSERVATIONS D'OCCUPANTS D'OVNIS, 1954-1963
[...]
17 septembre 1954 Yves David, Cenon (Vienne), France 22:30.
Un être plus petit qu'un homme; le cycliste ressent un choc, paralysie, l'être le touche sur l'épaule, émet des sons inintelligibles; l'objet sur la route a décollé, lumière verte."
[...]
[Ref. ars1:] ALBERT ROSALES:
83.
Lieu. Cenon France
Date: 17 septembre 1954
Heure: 2230
Roulant à moto après la tombée de l'obscurité, Yves David a senti une sensation comme une décharge électrique, et est devenu paralysé. En avant de lui, il a pu voir un objet de 9 pieds de long et 3 pieds de haut. De ceci a émergé un être beaucoup plus petit qu'un homme, vêtu d'un "scaphandre." L'être l'a touché sur l'épaule, a émis quelques mots incompréhensibles, et est retourné à l'objet foncé, qui est devenu vert lumineux et a volé loin, mettant un terme à la paralysie.
Humcat 1954-50
Source: Aime Michel
Type: B Humanoïde vu sortant d'un OVNI atterri
Indice de Haute Etrangeté: 6
ROS: 8
Commentaires: Ce type de rapport décrivant un humanoïde avec un contact direct avec le témoin était presque banal pendant la vague de 1954 en France. L'être parlait dans une langue inconnue.
[Ref. jrr1:] JEAN-PAUL RONECKER:
L'auteur indique que le 17 septembre 1954, dans la soirée, quelque part sur une route du département de la Vienne, un cycliste a vu un grand objet sombre posé sur la route. Il s'est soudainement senti comme paralysé et a ressenti des picotements dans le corps, et tout à coup, un être de petite taille est apparu. Il portait une combinaison et un casque dont la visière laissait voir une face poilue. L'être a touché son épaule et a prononcé quelques paroles incompréhensibles, puis est parti.
[Ref. jbu4:] JEROME BEAU:
17 septembre : près de Cenon (Gironde), un agriculteur roule à bicyclette. Il sent soudain des démangeaisons lui parcourir le corps. Surpris, il descend de son vélo. Il est alors paralysé tandis que, devant lui, apparaît ce qu'il a appelé une machine. À ce moment, une petite créature vêtue d'une sorte de combinaison de plongeur s'approche de lui en émettant des sons étranges. Elle lui touche l'épaule, et repart dans la machine qui démarre en un éclair en émettant une lumière verte. Après son départ, le témoin sort de son état de paralysie. La description correspond à celle qu'a faite Marius Dewilde, une semaine plus tôt.
[Ref. lcn1:] LUC CHASTAN:
Luc Chastan indique que dans la Vienne à "Vounneuil sur Vienne " le 19 septembre 1954 à 22:00 heures, "Le témoin circulait à vélomoteur sur la route venant de Cenon. Il se trouvait à peu près entre les lieu dit "Le Pouterau" et "Les Rabottes". Le phare du vélomoteur ne marche plus très bien. Soudain dans la nuit il remarque une masse sur la route. Surpris il voit une sorte de "cuirasse" comme un scaphandrier qui s'avançait vers lui. L'entité s'arrète à la hauteur du témoin, lui carresse le bras et émet des sons inarticulés. Le témoin ne bougeait pas. L'entité se retire, Le témoin aperçoit alors un objet. Une lumière verte apparait alors et le témoin se retrouve paralysé. L'objet s'élève à la verticale et disparaît sans aucun bruit."
Luc Chastan indique que la source est "Ovni, Premier dossier complet... par Figuet M./ Ruchon J.L. ** éd. Alain Lefeuvre 1979".
[Ref. uda1:] SITE WEB "UFODNA":
Le site web indique que le 17 septembre 1954 à 22:30 à Cenon, France, "langue inintelligible. Décharge électrique sentie par motocycliste, paralysie. Devant était objet 9' de long, petit être a émergé, porté tenue de plongeur. Etre l'a touché sur l'épaule, dit des mots, retourné. On a observé un objet. Des effets physiologiques ont été notés."
Et: "Un objet de couleur changeante, d'environ 10 pieds de large, a été observé par un témoin masculin de 28 ans sur une route pendant cinq minutes (David, Yves). Un nain de 3 pieds de haut, portant une tenue de plongeur et un casque, a été vu."
Et: "Roulant à moto après la tombée de l'obscurité, Yves David a senti une sensation comme une décharge électrique, et est devenu paralysé. En avant de lui, il a pu voir un objet de 9 pieds de long et 3 pieds de haut. De ceci a émergé un être beaucoup plus petit qu'un homme, vêtu d'un "scaphandre." L'être l'a touché sur l'épaule, a émis quelques mots incompréhensibles, et est retourné à l'objet foncé, qui est devenu vert lumineux et a volé loin, mettant un terme à la paralysie."
Les sources sont indiquées comme Webb, David, HUMCAT: Catalogue of Humanoid Reports; Michel, Aime, Flying Saucers and the Straight-Line Mystery, S. G. Phillips, New York, 1958; Lorenzen, Coral E., Flying Saucer Occupants, Signet T3205, New York, 1967; Lorenzen, Coral E., UFOs: The Whole Story, Signet T3897, New York, 1969; Lorenzen, Coral E., Encounters with UFO Occupants, Berkley Medallion, New York, 1976, ISBN:425-03093-8; FSR, FSR (formerly Flying Saucer Review), FSR, Londres, 1966; Bowen, Charles, The Humanoids: FSR Special Edition No. 1, FSR, Londres, 1966; Pereira, Jader U., Les Extra-Terrestres, Phenomenes Spatiaux, Paris, 1974; Vallee, Jacques, Computerized Catalog (N = 3073); Vallee, Jacques, Challenge to Science: The UFO Enigma, Henry Regnery, Chicago, 1966; Vallee, Jacques, Preliminary Catalog (N = 500), (dans JVallee01); Vallee, Jacques, A Century of Landings (N = 923), (dans JVallee04), Chicago, 1969; Schoenherr, Luis, Computerized Catalog (N = 3173); Carrouges, Michel, Les Apparitions de Martiens, Fayard, Paris, 1963; Binder, Otto, What We Really Know About Flying Saucers, Fawcett T1863, Greenwich, 1967; Rogerson, Peter, World-Wide Catalog of Type 1 Reports; Hall, Richard H., The UFO Evidence, NICAP, Washington, 1964; Olsen, Thomas M., The Reference for Outstanding UFO Sighting Reports, UFOIRC, Riderwood, 1966; Delaire, J. Bernard, UFO Register Volume 7 (1976), Data Research, Oxford, 1976; Newspaper Clippings; Hall, Richard H., The UFO Evidence, Volume II: A Thirty-Year Report, Scarecrow Press, Lanham, 2000, ISBN:0-8103-3881-8; Stringfield, L; Rosales, Albert, Humanoid Sighting Reports Database.
[Ref. uda2:] SITE WEB "UFODNA":
Le site web indique que le 17 septembre 1954 à 22:30, à Cenon, France "entre Cenon et Vouneuil, Yves David, 28 ans, a rencontré un être dans une tenee de plongée qui a fait des gestes amicaux."
Et: "Entre Cenon et Vouneuil, France à 22:30 Yves David, âgé de 28 ans, a rencontré un être dans une tenue de plongée qui a fait des gestes amicaux. L'être était très petit et a eu une voix "inhumaine et incompréhensible." Le témoin n'a pas pu se déplacer durant toute la rencontre. Il a vu la créature entrer dans un objet de trois mètres de large reposant sur la route, et il a décollé "comme la foudre." Il a jeté une lumière verdâtre pendant qu'il le faisait."
Et: "Entre Cenon et Vouneuil, Yves David, 28 and, a rencontré un être dans une tenue de plongée qui a fait des gestes amicaux. Il était très petit et a eu une voix "inhumaine et incompréhensible." Le témoin n'a pas pu se déplacer durant toute la rencontre. Il a vu la créature entrer dans un objet sur la route, d'environ trois mètres par un mètre en taille; il a décollé "comme la foudre," jetant une lumière verdâtre."
Et: "Un objet vert a été observé."
La source est indiquée comme "Vallee Magonia Database".
[Ref. uda3:] SITE WEB "UFODNA":
Le site web indique que le 19 septembre 1954 à 22:00, à "Vouneuil.Vienne", France, "Langage inintelligible" et: "on a observé un objet. Des effets physiologiques ont été notés. Un objet, d'environ 10 pieds de large, a été observé par un témoin masculin de 28 ans dans un pâturage (David)."
Les sources sont indiquées comme Guieu, Jimmy, Flying Saucers Come from Another World, Citadel, New York, 1956; Coupures de Journaux; Hatch, Larry, *U* computer database, Author, Redwood City, 2002.
[Ref. unt1:] SITE WEB "UFO NORTHWEST":
Le site web indique que le Dr. Jacques Vallee a écrit un livre intitulé "Passport to Magnolia" [sic] qui a mis en évidence des incidents français d'humanoïdes associés à des OVNIS en 1954, qui ont été également décrits dans le livre plus récent "Situation Red - The UFO Siege" (1977) par Leonard H. Stringfield, incluant ce qui suit:
Le 17 septembre à Cenon, Yves David a rencontré un être en tenue de "plongée" qui a fait des gestes amicaux... et avait une voix "inhumaine et incompréhensible." Le témoin n'a pas pu se déplacer pendant la rencontre. Il a vu la créature entrer dans un objet sur la route. Il a décollé "comme la foudre, jetant une lumière verdâtre."
[Ref. prn2:] PETER ROGERSON:
17 septembre 1954, 2230hrs.
CENON (VIENNE : FRANCE)
Yves David (28) de Pontgame faisait du vélo de Vouneuil-sur-Vienne à Cenon, dans cette nuit sombre, quand au lieu-dit Le Pontereau juste en dehors de Cenon, une zone boisée, il a senti une sorte de picotement dans son corps, comme un un choc électrique. Cela l'obligea à s'arrêter et à mettre pied à terre, ceci faisant que la lampe de son véo s'est éteinte. Le picotement s'est intensifié et il s'est senti paralysé. Dans l'obscurité, tandis que ses yeux s'y habituaient il vit devant lui sur la route, un objet d'environ 3m de long et 1m de haut. Après un moment, il a vu une silhouette venant vers lui depuis l'objet sombre, qui s'est avérée être un petit être, beaucoup plus petit qu'un homme adulte, qui est venu à Yves, lui toucha l'épaule et poussa un cri "inhumain et incompréhensible", puis est retourné à l'objet étrange, où il a disparu. Quelques secondes plus tard cette masse sombre a émis une lumière verdâtre et a décollé à grande vitesse. Selon Alain Gamard cette histoire est une invention de la presse.
Michel 1958, p.58.
Vallee cas 147, citant Le Figaro + La Croix + France Soir + Le Parisien, tous du 30 septembre 1954.
[Ref. jbu3:] JEROME BEAU:
Une semaine plus tard [aprèS le 10 septembre 1954], un agriculteur rencontrera une créature identique [à celles à Quarouble] et sera immobilisé de la même manière près de Cenon (Gironde).
[Ref. unt1:] "UFO NORTHWEST" WEBSITE:
Quelques cas dramatiques [en France en 1954] dans le livre Situation Red - The UFO Siege sont énumérés ci-dessous:
17 sep - Cenon. Yves David a rencontré un être dans un costume de "plongée" qui fait des gestes amicaux... et avait une voix "inhumaine et incompréhensible." Le témoin ne pouvait pas bouger pendant la rencontre. Il a vu la créature entrer en un objet sur?la route. Il a décollé "comme la foudre, jetant une lumière verdâtre."
[Ref. jgz1:] JULIEN GONZALEZ:
L'auteur indique qu'il y a eu une rencontre rapprochée du troisième type entre Cenon et Vouneuil-sur-Vienne, dans la Vienne, le 19 septembre 1954, à 22:00, avec comme témoin Yves David, 28 ans, cultivateur aux "Breloux", commune de Vouneuil-sur- Vienne.
Il revenait d'une vente à Targé et circulait sur la route de Cenon à Vouneuil. Il a raconté: "Le phare de mon vélomoteur ne marchait pas très bien. Soudain, entre le Poutereau et les Rabottes, je distinguai une masse sur le milieu de la chaussée. Ma surprise fut grande quand je vis une sorte de cuirasse (comme un scaphandrier) qui s'avançait vers moi. Cette cuirasse s'arrêta à ma hauteur, me caressa le bras et émit quelques sons inarticulés. Je ne bougeai pas. Puis la cuirasse se retira. C'est alors qu'à quelques mètres seulement je vis un engin dont je suis incapable de donner une description. Une lumière verte apparut qui me paralysa et je fus dans l'impossibilité de bouger. L'engin s'éleva du sol à la verticale et disparut sans aucun bruit."
Julien Gonzalez note que dans le livre "Les apparitions d'humanoïdes" d'Eric Zurcher publié en 1979, Alain Gamard signale en page 175 que tout ce qui concerne l'humanoïde ne serait qu'une invention journalistique selon une communication de Jean Giraud. Contacté, Jean Giraud n'a pas pu confirmer le fait et s'il y avait eu une contre-enquête de sa part sur ce cas "qui doit donc être pris avec toutes les réserves qui s'imposent quant à son authenticité."
Les sources sont indiquées comme Le Libre Poitou du 30 septembre 1954; France-Soir du 30 septembre 1954; Le Parisien du 30 septembre 1954; Michel Carrouges, "Les apparitions de Martiens", page 116; C. Garreau et R. Lavier, "Face aux Extra-Terrestres", page 67; Michel Figuet et Jean-Louis Ruchon, "OVNI: le premier dossier des rencontres rapprochées en France", page 81.
[Ref. nip1:] "THE NICAP WEBSITE":
*17 sep. 1954 - Entre Cenon et Vouneuil, France à 22:30 Yves David, âgé de 28 ans, a rencobtré un être dans une tenue de plongée qui a fait des gestes amicaux. L'être était très petit et avait une voix "inhumainr et incompréhensible." Le témoin n'a pas pu bouger pendant tout la rencontre. Il a vu la créature entrer dans un objet de trois mètres de large sur un mètre de haut posé sur la route, et il a décollé comme un "éclair". Il a envoyé une lumière verdâtre en faisant cela. (Sources: Le Figaro, 30 septembre 1954; Aime Michel, Flying Saucers and the Straight Line Mystery, p. 58; Jacques Vallee, Passport to Magonia: A Century of Landings, p. 210; David F. Webb & Ted Bloecher, HUMCAT: Catalogue of Humanoid Reports, cas n°1954-50 (A0249), citant Aime Michel).
[Ref. tai1:] SITE WEB "THINK ABOUT IT"
Date: 17 septembre 1954
Lieu: Cenon France
Heure: 2230
Résumé: Faisant du motocyclisme à la nuit tombée, Yves David a senti une sensation comme une décharge électrique, et est devenu paralysé. Devant lui, il pouvait voir un objet de 9 pieds de long et 3 pieds de haut. De lui émergea un petit être beaucoup plus petit qu'un homme, vêtu d'une "tenue de plongée". Cet être lui toucha l'épaule, prononça quelques mots incompréhensibles, et est retourné à l'objet sombre, qui est devenu vert lumineux & a volé loin, mettant fin à la paralysie.
Source: Aime Michel
[Ref. ubk1:] "UFO-DATENBANK":
Cette base de données a réussi l'exploit d'enregistrer ce même cas 27 fois!
N° de cas | Nouveau N° de cas | Enquêteur | Date d'observation | CP | Lieu d'observation | Pays d'observation | Heure d'observation | Classification | Commentaires | Identification |
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19540917 | 17.09.1954 | Cenon | France | 22.30 | CE III | |||||
19540917 | 17.09.1954 | Cenon | France | 22.30 | CE III | |||||
19540917 | 17.09.1954 | Cenon | France | 22.30 | CE III | |||||
19540917 | 17.09.1954 | Cenon | France | CE III | ||||||
19540917 | 17.09.1954 | Cenon | France | CE III | ||||||
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19540917 | 17.09.1954 | Cenon | France | CE III | ||||||
19540917 | 17.09.1954 | Cenon | France | 22.30 | CE III | |||||
19540917 | 17.09.1954 | Cenon Vouneuil | France | 22.30 | CE III | |||||
19540917 | 17.09.1954 | Cenon | France | 22.30 | CE III | |||||
19540917 | 17.09.1954 | Cenon | France | 22.30 | CE III | |||||
19540917 | 17.09.1954 | Cenon | France | 22.30 | CE III | |||||
19540917 | 17.09.1954 | Cenon | France | 22.30 | CE III | |||||
19540917 | 17.09.1954 | Cenon | France | 22.30 | CE III | |||||
19540917 | 17.09.1954 | Cenon | France | CE III | ||||||
19540917 | 17.09.1954 | Cenon | France | CE III | ||||||
19540917 | 17.09.1954 | Cenon | France | 22.30 | CE III | |||||
19540917 | 17.09.1954 | Cenon | France | CE III | ||||||
19540917 | 17.09.1954 | Cenon | France | 22.30 | CE III | |||||
19540917 | 17.09.1954 | Cénon | France | |||||||
19540917 | 17.09.1954 | Cenon | France | 22.30 | CE III | |||||
19540917 | 17.09.1954 | Vouneuil | France | 22.30 | CE III | |||||
19540917 | 17.09.1954 | Vouneuil Vienne | France | 22.30 | CE III | |||||
19540919 | 19.09.1954 | Vouneuil | France | 22.00 | CE III | |||||
19540919 | 19.09.1954 | Vouneuil Vienne | France | 22.00 | CE III | |||||
19540917 | 17.09.1954 | Le Pontereau | France | 22.30 | CE III | |||||
19540917 | 17.09.1954 | Le Pontereau | France | 22.30 | CE III |
[Ref. prn3:] PETER ROGERSON - "INTCAT":
17 septembre 54. 2230hrs.
CENON (VIENNE : FRANCE)
Yves David (28 ans) de Pontgame faisait du vélo de Vouneuil-sur-Vienne à Cenon, en cette nuit noire, quand, à un endroit appelé Le Pontereau juste à l'extérieur de Cenon, une zone boisée, il ressentit une sorte de picotement dans son corps, comme une choc électrique. Cela l'a forcé à s'arrêter et à descendre, ce qui a entraîné la panne de la lampe de son vélo. Les picotements s'intensifièrent et il se sentit paralysé. Dans l'obscurité, alors qu'il ajustait ses yeux, il vit devant lui sur la route un objet d'environ 3 m de long et 1 m de haut. Après un moment, il vit une silhouette se rapprocher de l'objet sombre qui se dirigeait vers lui et se résolut en un petit être, beaucoup plus petit qu'un homme adulte, qui s'approcha d'Yves et le toucha à l'épaule en poussant un son "inhumain et incompréhensible", puis est retourné à l'objet étrange, où il a disparu. Quelques secondes plus tard, cette masse sombre a émis une lumière verdâtre et a décollé à grande vitesse.
Michel 1958 p58
Vallée cas 147 citant Le Figaro + La Croix + France Soir + Le Parisien tous du 30 septembre 54.
Evaluation - Selon Barthel et Brucker 1979 et Figuet et Ruchon 1979, cette histoire était un canular de journal. On ne sait pas lequel des nombreux journaux qui ont mentionné cette histoire est mis en cause
Invention par le témoin.
(Ces mots clés sont uniquement destinés à aider les recherches et ne préjugent pas des faits.)
Cenon, Vienne, Cenon-sur-Vienne, Vouneuil, Yves David, occupant, occupants, scaphandre, humanoïde, voix, gestes, paralysie, objet, route, vert, lumineux, rapide, atterrissage, hoax
[----] indique des sources que je n'ai pas encore pu consulter.
Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
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0.1 | Patrick Gross | 20 mars 2003 | Première publication. |
1.0 | Patrick Gross | 15 juin 2009 | Conversion de HTML vers XHTML Strict. Première version formalisée. Additions [rhh1], [uda1]. |
1.1 | Patrick Gross | 16 juin 2009 | Addition [lcn1], [uda3]. |
1.2 | Patrick Gross | 6 janvier 2010 | Addition [lcn1], [uda3]. |
1.3 | Patrick Gross | 11 février 2010 | Addition [jca1]. |
1.4 | Patrick Gross | 12 mars 2010 | Addition [jgu1]. |
1.5 | Patrick Gross | 15 mars 2010 | Addition [mcs1]. |
1.6 | Patrick Gross | 8 juin 2010 | Addition [ben1]. |
1.7 | Patrick Gross | 17 juin 2010 | Addition [jve5]. |
1.8 | Patrick Gross | 24 juin 2010 | Additions [jsc1], [fde1]. |
1.9 | Patrick Gross | 16 août 2010 | Additions [pfe1], [unt1]. |
2.0 | Patrick Gross | 20 octobre 2011 | Addition [usa1]. |
2.1 | Patrick Gross | 13 août 2013 | Additions [prn1], [unt1]. |
2.2 | Patrick Gross | 2 octobre 2014 | Additions [jve8], [jbu4], [jbu3], [nip1], [tai1]. |
2.3 | Patrick Gross | 25 novembre 2014 | Addition [ssr1]. |
2.4 | Patrick Gross | 8 décembre 2016 | Additions [gbr1], [tbr1], [ine1], [lgs1], [ubk1]. |
2.5 | Patrick Gross | 16 décembre 2016 | Additions [fde2], [lgs3]. |
2.6 | Patrick Gross | 13 janvier 2017 | Additions [llp1], [jgz1]. |
2.7 | Patrick Gross | 15 septembre 2017 | Addition [smh1]. |
2.8 | Patrick Gross | September 15, 2017 | Addition [smh1]. |
2.9 | Patrick Gross | 20 février 2020 | Additions [cpd1] [ads1], [via1], [krs1], [lhh1], [prn2], [prn2], [ton1]. |
3.0 | Patrick Gross | 1 mars 2020 | Addition [nnm1]. |
3.1 | Patrick Gross | 29 mars 2020 | Addition [cdn1]. |
3.2 | Patrick Gross | 25 avril 2020 | Additions [jps1], [rdr1]. |
3.3 | Patrick Gross | 13 juin 2020 | Addition [nll1]. |
3.4 | Patrick Gross | 24 juin 2020 | Addition [nmn1]. |
3.5 | Patrick Gross | 5 janvier 2021 | Addition [lcx1]. |
3.6 | Patrick Gross | 7 janvier 2021 | Addition [bre1]. |
3.5 | Patrick Gross | 25 janvier 2021 | Addition [lgp1]. |
3.6 | Patrick Gross | 7 mars 2021 | Addition [gqy1]. |
3.7 | Patrick Gross | 16 mars 2021 | Addition [lgs2]. |
3.8 | Patrick Gross | 5 mai 2021 | Addition [lon1]. |
3.9 | Patrick Gross | 25 août 2021 | Addition [tbw1]. |
4.0 | Patrick Gross | 20 mars 2022 | Addition [jsxl]. |
4.1 | Patrick Gross | 28 mai 2022 | Additions [agdl], [mft2]. |
4.2 | Patrick Gross | 16 juin 2022 | Addition [pmi1]. |
4.3 | Patrick Gross | 2 juillet 2022 | Addition [jsr1]. |
4.4 | Patrick Gross | 14 juillet 2022 | Addition [odb1]. |