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La vague française de 1954:

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26 septembre 1954, Chabeuil, Drôme:

Référence pour ce cas: 26-sep-54-Chabeuil.
Merci de citer cette référence dans toute correspondance avec moi en rapport avec ce cas.

Rapports:

[Ref. lpl1:] JOURNAL "LE PROVENCAL":

Scan.

UNE SOUCOUPE VOLANTE A CHABEUIL (Drôme)

"Le Martien ressemblait à un gosse enfermé dans un sac de cellophane et je l'ai vu comme je vous vois"

affirme Mme Leboeuf, qui a du s'aliter avec 39° de fièvre

Valence (C.P.).

- J'ai vu, monsieur, comme je vous vois, l'homme de la soucoupe volante de Chabeuil.

Et Mme Leboeuf, de Valence, encore tremblante, de nous conduire à ce village. Dans un champ en partie de maïs, en partie de luzerne, et bordé d'un côté par une haie d'acacias, d'un chemin à l'autre:

- Dimanche après-midi, je me trouvais dans le chemin, je ramassais des mures dans la haie. Soudain, mon chien se mit à aboyer. Je me retournais et vis l'animal, le poil hérissé, à l'arrêt devant ce qui me semblait être un épouvantail.

"L'épouvantail s'avance vers moi"...

"Je me dirigeais vers le chien pour l'empêcher d'aboyer. C'est alors que "l'épouvantail" s'avance vers moi. C'était un petit être; il ne mesurait guère plus d'un mètre. J'avais l'impression que c'était un gosse enfermé dans un sac en cellophane. Ce qui m'a frappé, c'est sa figure très humaine...

"... et disparait dans le champ de maïs"

"Mais la frayeur s'est emparée de moi. J'ai hurlé et je me suis empressée de me jeter dans la haie. Je ne sais combien de temps j'y suis restée. De là, je voyais le maïs, mais il n'y avait plus personne.

"Puis un engin circulaire de trois mètres de diamètre environ, épais de 50 centimètres, a décollé de derrière le maïs.

Le bruit d'une toupie

"L'engin s'est envolé d'abord en biais, il n'allait pas vite, il faisait le bruit d'une toupie qui ronfle et on entendait aussi un sifflement. L'engin est passé ensuite de la position horizontale à la position verticale. Il est alors monté tout droit à une vitesse vertigineuse.

"Des passants sont passés m'ont vu dans la haie, se sont inquiétés de ma pâleur. Remise un peu de ma frayeur, je leur ai raconté ce que j'avais vu et je les ai conduit à l'endroit d'où j'avais vu décoller la soucoupe volante.

"Comme vous pouvez le constater, il y a sur le sol une "empreinte circulaire" bien visible."

Constatations troublantes

Effectivement, nous avons fait sur les lieux diverses constatations troublantes: sept pieds de maïs étaient couchés; l'herbe entre le maïs et les acacias était foulée; des petits pieds d'aubépine avaient été brisés; une branche d'acacia même était cassée, comme si elle avait reçu un choc de haut en bas. Bref, l'on peut très bien imaginer qu'un engin circulaire s'est posé là d'après l'aspect général des trous.

Par contre nous n'avons trouvé aucun débris, aucune herbe, maïs ou acacia brûlé.

39° de fièvre

Nous avons interrogé des habitants du village. Les uns ont entendu les aboiements sinistres du chien; d'autres ont perçu un sifflement "bien différent de celui d'un avion à réaction"; d'autres, enfin, ont vu une soucoupe volante sur Chabreuil. Tout ceci à des heures qui concordent parfaitement avec le récit de Mme Leboeuf.

Celle-ci, après vingt-quatre heures passées au lit avec 39 degrés de fièvre, regrette sa frayeur.

- Ah! Si je n'avais pas eu aussi peur, j'aurais peut-être su qui c'était!

[Ref. lgp1:] JOURNAL "LA GAZETTE PROVENCALE":

Scan.

Réalité ou Hallucination?

CIGARES VOLANTS
et SOUCOUPES VOLANTES
multiplient leur apparition en FRANCE
où des martiens
auraient atterri!

On n'est plus maintenant à s'étonner des déclarations des témoins, qui auraient vu dans le ciel des Soucoupes Volantes, où des Cigares Volants.

Les plaisantins sont nombreux et leur imagination fertile.

Malgré tout, quelques témoignages, ne peuvent être mis en doute et il semble donc qu'il y ait un côté de vérité, tant [sic] toutes ces hallucinations collectif... ou individuelles.

Ainsi, depuis quelques semaines des apparitions d'engins bizarres dans le ciel de France se font de plus en plus nombreuses et de plus en plus curieuses. Que l'on en juge:

DANS LA REGION LYONNAISE
UNE FUSEE MARCHAIT
A UNE VITESSE VERTIGINEUSE

Un jeune homme de 19 ans, M. Roland Marchand, a fait aux gendarmes la déclaration suivante:

- Le 15 vers 23 heures, je me trouvais à environ 200 mètres du fort de Feyson (Isère), lorsque mon attention fut attirée par une lumière blanche. J'eus alors la stupéfaction de voir se détachant dans le ciel, à une dizaine de mètres du sol, une tâche sombre, surmontée d'un dôme d'où émergeait une vive lumière semblable à la combustion d'une torche de magnésium.

La "forme" noire semblait légèrement elliptique.

"Arrivé à une cinquantaine de mètres de ce "vaisseau de l'espace", j'eus la stupéfaction d'entendre un bruit mat comme celui que fait une fusée mouillée. Je vit en même temps une gerbe d'étincelles jaillir de dessous l'appareil. Puis d'un seul coup, tel une fusée, il s'éleva à une vitesse foudroyante, peut-être 4.000 ou 5.000 km.-h.

SOUCOUPES VOLANTES
SUR PARIS

Hier matin, Mme Mallet et Mlle Lucienne Yriex, 71 route de Daumont, à Montmorency, ont déclaré qu'elles avaient vu, la veille, à 17 heures un engin ovale jaune, accompagné d'une traînée lumineuse et se balançant de droite et de gauche.

M. Hébert, boucher, avenue de la libération, au Petit-Clamart, a aperçu, le même phénomène, à 21 heures, se dirigeant d'est en ouest.

OBJETS LUMINEUX
DANS LE CIEL
DU ROUSSILLON

Un boulanger de Canet-Plage, Monsieur Etienne Err, a déclaré qu'au retour d'une tournée de livraison avec sa camionnette, il avait aperçu au-dessus de cette localité un disques brillant, qui, après avoir décrit de grands cercles, s'éloigna en direction de la mer.

D'autre part, sept ouvriers d'une usine de la banlieue de Perpignan affirment avoir aperçu également, un objet d'une couleur indéfinie, évoluant à grande vitesse et qui aurait franchi les Pyrénées en direction de l'Espagne.

UN CIGARE VOLANT
AURAIT ETE FILME

M. Valéry, directeur d'une salle de spectacle, à Paris, qui se trouvait en déplacement, à Lyon avec sa femme, a déclaré avoir vu un engin voland [sic].

- Il était 18 heures environ. Nous nous promenions lorsque nous avons aperçu cet engin, à environ 700 ou 800 mètres d'altitude et il montait, verticalement sans faire entendre le moindre bruit de moteur.

Derrière lui il laissait une large traînée de fumée blanche.

Il ne pouvait pas s'agir, à mon avis d'un avion à réaction, dont j'aurais perçu le sifflement, en raison de la proximité de l'engin.

D'ailleurs, ce cigare n'en avait nullement la forme.

M. Valéry était porteur d'une caméra 8 mm. Il s'empressa de filmer les évolutions de l'objet aérien.

Un film, qui pourrait l'on sans doute avoir une réelle valeur, si véritablement M. Valéry a vu l'étrange engin.

DES MARTIENS
SUR LA TERRE

Si l'on peut concevoir même avec quelques réticences, la présence dans le ciel, d'objets lumineux qui peuvent

Voir la suite page TROIS

Scan.

Les Martiens

Suite de la première page

bien être des aérolithes, les déclarations de certains témoins ayant en effet aperçu d'étranges individus, des Martiens, par exemple sont autrement discutables.

C'est ainsi qu'une habitante de Chabeuil, dans la Drôme, le plus sérieusement du monde, est venue déclarer qu'elle avait rencontré dans un certain champ, une chose qui ressemblait à un gosse enfermé dans un sac de cellophane... On prétend qu'après cette rencontre, elle a dû s'aliter avec 40 de fièvre... Cela se conçoit.

Plus fort encore, est la rencontre, faite par M. Yves David, 28 ans, cultivateur aux Brouloux, commune de Vouneuil-sur-Vienne, qui a déclaré avoir vu s'avancer sur lui, sur la route de Cenon à Vouneuil, le 19 septembre, à 22 heures, une sorte de scaphandrier. Celui-ci, dit-il, vint lui caresser le bras, émit des sons incompréhensibles et se retira vers un engin que M. David ne peut décrire. Un faisceau lumineux vert, fut projeté dans sa direction le clouant sur place, puis l'engin disparut dans le ciel, à la verticale, sans aucun bruit.

M. David déclare n'avoir d'abord, rien voulu dire de cette bizarre rencontre, de peur qu'on se moquât de lui. Il en fit part toutefois un ami lui demandant si d'autres personnes, n'avaient pas aperçu le scaphandrier. C'est ainsi que tout le pays l'a su.

[Ref. cpd1:] JOURNAL "LE COURRIER PICARD":

Scan.

Carrousel aérien
de soucoupes volantes
dans le Dauphiné

En Ille-et-Vilaine, d'autre part
le chauffeur d'une locomotive
tombe malade à la vue d'un de ces engins

LYON, 30 septembre. -- Dans les départements du Rhône, de l'Isère, de la Drôme et de la Savoie, de nombreuses personnes affirment avoir vu, ces derniers jours, avec plus ou moins de netteté, des engins ayant soit la forme de cigares, soit celle de disques.

Dans la région de l'Arbresle, l'un de ces témoins, directeur d'un music-hall parisien, a même filmé un de ces mystérieux appareils qui évoluait à une hauteur estimée par lui à environ 700 mètres. On saura ainsi, après développement du film, s'il s'agit ou non d'une illusion d'optique.

Près de Feyzin (Isère), un jeune homme aurait aperçu dans la campagne, non loin du sol, un engin ayant la forme d'un dôme et d'où jaillissait une lumière très vive.

Le témoin la compara à celle provoquée par la combustion du magnésium. L'appareil, brusquement monta à la verticale en laissant derrière lui une gerbe d'étincelles et disparut.

Dans la Drôme, une habitante, Mme. L... qui se promenait près de Chabeuil, prétend avoir rencontré, dans le chemin qu'elle suivait, un être de petite taille vêtu si bizarrement qu'elle crût tout d'abord qu'il s'agissait d'un épouvantail en cellophane.

Le chien qui accompagnait la promeneuse aboya furieusement, pris de terreur. Quant à Mme L..., terrifiée également, elle se cacha derrière une haie.

C'est alors qu'elle vit s'élever du champ de maïs qui bordait le chemin, un disque d'où émanait un sifflement. Peu après, le témoin et des paysans se rendirent dans le champ où, selon eux, on distinguait nettement une trace circulaire d'environ 3 mètres de diamètre, avec épis de maïs couchés et branches cassées en bordure.

D'autres habitants de Chabeuil ont également déclaré avoir aperçu, ce jour-là, une soucoupe volante.

Enfin, en Savoie, près du lac du Bourget, au-dessus du Mont Revard, plusieurs automobilistes, au total une quinzaine de personnes, ont vu simultanément un appareil luer [sic, évoluer] pendant environ quatre minutes ayant la forme d'un disque, évo-tes [sic], puis disparaître brusquement.

Suite en 2ème page sous le titre:

SOUCOUPES VOLANTES

Scan.

Soucoupes volantes

(Suite de la 1ère page)

L'un des témoins, un médecin de Chambéry, est un ancien observateur d'artillerie. Il nota avec soin les observations et dessina un schéma reproduisant le trajet de l'appareil.

En Ille-et-Vilaine

MM. Gérard, mécanicien, et Paroux, chauffeur, qui conduisaient une machine haut-le-pied venant de Nantes, aperçurent, hier soir, alors qu'ils passaient au lieudit "La Butte du Rouge", commune de Saint-Nicolas-de-Redon (Ille-et-Vilaine) un engin qui s'élevait des marais voisins.

Cet engin, d'une certaine longueur, qui était suivi d'une traînée lumineuse, vola pendant une dizaine de secondes au-dessus de la machine et disparut dans le ciel.

Si le mécanicien conserva tout son calme, le chauffeur en revanche, fut su effrayé, qu'il tomba malade et dut passer une visite médicale ce matin.

Un "scaphandrier interplanétaire" apparaît à un cultivateur

M. Yves David, 28 ans, cultivateur aux Brouloux, commune de Vouneuil-sur-Vienne, a déclaré avoir vu s'avancer sur lui, sur la route de Cenon à Vouneuil, le 10 septembre à 22 heures, une sorte de "scaphandrier".

Celui-ci, dit-il, vint lui caresser le bras, émit des sons inintelligibles et se retira vers un engin (que M. David ne peut décrire). Un faisceau lumineux vert fut projeté dans sa direction, le clouant sur place, puis l'engin disparut dans le ciel, à la verticale, sans aucun bruit.

M. David déclare n'avoir rien voulu dire de cette bizarre rencontre, de peur qu'on se moquât de lui. Il en fit part toutefois à un ami, lui demandant si d'autres personnes n'avaient pas aperçu le "scaphandrier". C'est ainsi que tout le pays l'a su.

Objets lumineux dans le ciel du Roussillon

Un boulanger de Canet-Plage, a déclaré qu'au retour d'une tournée de livraison avec sa camionnette, il avait aperçu, au-dessus de cette localité, un disque brillant qui, après avoir décrit de grands cercles, s'éloigna en direction de la mer.

D'autre part sept ouvriers d'une usine de la banlieue de Perpignan affirment avoir aperçu également un objet d'une couleur indéfinie évoluant à grande vitesse, et qui aurait franchi les Pyrénées en direction de l'Espagne.

En Haute-Garonne

Trois habitants de Lanta, près de Villefranche-de-Lauraguais (Haute-Garonne), M. et Mme Brunet, et M. Gadra, instituteur de la localité, affirment avoir aperçu, hier soir, au-dessus du village, un disque lumineux de couleur orange.

L'objet évoluait à une grande hauteur et se déplaçait en direction nord-sud.

Après avoir été visible pendant trente à quarante secondes, le disque lumineux a disparu à l'horizon.

[Ref. nnm1:] JOURNAL "LE NOUVEAU NORD MARITIME":

Scan.

Véritable carrousel
aérien de soucoupes
volantes dans le ciel
du Dauphiné

Lyon, 30 septembre. -- Dans les départements du Rhône, de l'Isère, de la Drôme et de la Savoie, de nombreuses personnes affirment avoir vu, ces derniers jours, avec plus ou moins de netteté, des engins ayant soit la forme de cigares, soit celle de disques.

Dans la région de l'Arbresle, l'un de ces témoins, directeur d'un music-hall parisien, a même filmé un de ces mystérieux appareils qui évoluait à une hauteur estimée par lui à environ 700 mètres. On saura ainsi, après développement du film, s'il s'agit ou non d'une illusion d'optique.

Près de Feyzin (Isère), un jeune homme aurait aperçu dans la campagne, non loin du sol, un engin ayant la forme d'un dôme et d'où jaillissait une lumière très vive. Le témoin la compara à celle provoquée par la combustion du magnésium. L'appareil, brusquement monta à la verticale en laissant derrière lui une gerbe d'étincelles et disparut.

Dans la Drôme, une habitante, Mme L... qui se promenait près de Chabeuil, affirme avoir rencontré dans le chemin qu'elle suivait, un être de petite taille vêtu si bizarrement qu'elle crût tout d'abord qu'il s'agissait d'un épouvantail en cellophane. Le chien qui accompagnait la promeneuse aboya furieusement, pris de terreur. Quant à Mme L..., terrifiée également, elle se cacha derrière une haie.

C'est alors qu'elle vit s'élever du champ de maïs qui bordait le chemin, un disque d'où émanait un sifflement. Peu après, le témoin et des paysans se rendirent dans le champ où, selon eux, on distinguait nettement une trace circulaire d'environ 3 mètres de diamètre avec épis de maïs couchés et branches cassées en bordure.

D'autres habitants de Chabeuil ont également déclaré avoir aperçu ce jour-là, une soucoupe volante évoluant au-dessus de la campagne.

Enfin, en Savoie, près du lac du Bourget, au-dessus du Mont Revard, plusieurs automobilistes, au total une quinzaine de personnes, ont vu simultanément un appareil ayant la forme d'un disque, évoluer pendant environ quatre minutes, puis disparaître brusquement.

L'un des témoins, un médecin de Chambéry, est un ancien observateur d'artillerie. Il nota avec soin les observations et dessina un schéma reproduisant le trajet de l'appareil mystérieux.

[Ref. cdn1:] JOURNAL "LA CROIX DU NORD":

Scan.

Cigares, disques, soucoupes en gros..

Un véritable carrousel
de Lille au Midi de la France
où deux "Martiens" ont été aperçus

Ou les plus sceptiques devront bientôt se rendre à l'évidence, ou nous assistons actuellement à un curieux phénomène d'hallucination collective de la Suède au Midi de la France..., à moins qu'il ne s'agisse d'une vaste farce. Partout les cigares et les disques sillonnent le ciel. Ils ont même fait une victime dans la région de Redon. MM Gérard, mécanicien et Paroux, chauffeur, qui conduisaient une machine haut-le-pied venant de Nantes, aperçurent mardi soir, alors qu'ils passaient dans la commune de Saint-Nicolas-de-Redon, "un engin qui s'éleva des marais voisins". Si le mécanicien conserva tout son calme, le chauffeur en revanche, fut si effrayé qu'il tomba malade et dut passer une visite médicale mercredi matin. Par deux fois, d'autre part, des "Martiens" ont été aperçus.

Le premier, une sorte de "scaphandrier", aurait été vu sur la route de Cenon à Vouneuil (Vienne) le 9 septembre, à 22 heures, par M. Yves David, 23 ans, cultivateur dans la commune.

Le "scaphandrier" vint lui caresser le bras, émit des sons inintelligibles et se retira vers un engin que M. David ne peut décrire et qui disparut silencieusement dans le ciel en projetant un faisceau lumineux vert.

Le second "Martien" était de toute petite taille et bizarrement vêtu. Il aurait été aperçu par une habitante de Valence qui se promenait près de Chabeuil (Drôme). Mme L. a précisé qu'elle avait d'abord cru voir un épouvantail en cellophane. Le chien qui l'accompagnait aboya furieusement, pris de terreur. Mme L. vit alors s'élever du champ de maïs qui bordait la route, un disque d'où émanait un sifflement. Des paysans du lieu prétendent qu'on une trace circulaire d'environ 3 mètres, avec épis de maïs couchés et branches cassées en bordure.

Suite en dernière page,
en troisième colonne, sous le titre
"SOUCOUPES"

Scan.

SOUCOUPES

Soucoupe filmée

Outre ces rencontres exceptionnelles, on signale un véritable carrousel aérien dans le ciel du Dauphiné.

Dans les départements du Rhône, de l'Isère, de la Drôme et de la Savoie, de nombreuses personnes affirment avoir vu, ces derniers jours, avec plus ou moins de netteté, des engins ayant soit la forme de cigares, soit celles de disques.

Dans la région de l'Arbresle, l'un de ces témoins, directeur d'un music-hall parisien, a même filmé un de ces mystérieux appareils qui évoluait à une hauteur estimée par lui à environ 700 mètres. On saura ainsi, après développement du film, s'il s'agit ou non d'une illusion d'optique.

Et de partout on affirme avoir vu des soucoupes: cela fait au total une centaine de témoignages au moins.

Le Sud-Est n'est pas le seul secteur touché par "l'invasion". Des descriptions analogues sont rapportées des régions de Toulouse et de Perpignan.

Enfin, une sphère lumineuse aurait été photographiée mardi soir à Bjuv, dans le sud-est de la Suède.

MEME A LILLE...

Dans la vaste sarabande internationale des soucoupes, la région du Nord s'est récemment mise en vedette avec l'aventure de Quarouble. En bonne capitale, Lille ne pouvait rester en arrière. Eh oui, riez bonne gens... Lille a maintenant elle aussi sa soucoupe ou son cigare... à moins qu'il ne s'agisse d'un disque.

Une vingtaine de Lillois - chacun sait qu'ils sont gens raisonnables et peu sujets aux hallucinations - ont aperçu mercredi soir, vers 20 h. 30, un engin mystérieux qui se déplaçait dans le ciel. Toujours la même lueur verte et le même silence.

Les observateurs d'un soir étaient rassemblés à proximité de la porte de Béthune.

On peut rire, on peut traiter les gens de farceurs ou plus méchamment d'hallucinés... ces faits se reproduisent toute de même fort souvent et sous de nombreuses latitudes. Le 1er avril ne dure que 24 heures.

Et souhaitons que les "Martiens" - si Martiens il y a - soient compréhensifs et pacifiques. Sinon gare! car ils semblent disposer d'une forte aviation.

[Ref. nmn1:] JOURNAL "NORD-MATIN":

Scan.

Véritable carrousel aérien
de "soucoupes volantes"
dans le ciel de France

Les témoignages se multiplient à propos des soucoupes volantes. Dans divers départements français, de nombreuses personnes affirment avoir vu, ces derniers jours, avec plus ou moins de netteté, des engins ayant soit la forme de cigares, soit celle de disques.

Dans la région de l'Arbresle, le directeur d'un music-hall parisien a même filmé un de ces mystérieux appareils qui évoluait à une hauteur estimée par lui à environ 800 mètres. On saura ainsi, après développement du film, s'il s'agit ou non d'une illusion d'optique.

Près de Feyzin (Isère), un jeune homme aurait aperçu dans la campagne, non loin du sol, un engin ayant la forme d'un dôme et d'où jaillissait une lumière très vive. Le témoin la compara à celle provoquée par la combustion du magnésium. L'appareil, brusquement, monta à la verticale en laissant derrière lui une gerbe d'étincelles et disparut.

Dans la Drôme, une habitante de Valence, Mme L., qui se promenait près de Chabeuil, affirme avoir rencontré dans le chemin qu'elle suivait, un être de petite taille vêtu si bizarrement, qu'elle crut tout d'abord qu'il s'agissait d'un épouvantail en cellophane. Le chien qui accompagnait la promeneuse aboya furieusement, pris de terreur. Quant à Mme L..., terrifiée également, elle se cacha derrière une haie.

Les épis étaient couchés
sur trois mètres

C'est alors qu'elle vit s'élever du champ de maïs qui bordaient le chemin, un disque d'où émanait un sifflement. Peu après, le témoin et des paysans en se rendirent dans le champ où, selon eux, se distinguait nettement une trace circulaire d'environ 3 mètres de diamètre avec épis de maïs couchés et branches cassées en bordure.

D'autres habitants de Chabeuil ont également déclaré avoir aperçu ce jour-là, une soucoupe volante évoluant au-dessus de la campagne.

En Savoie, près du lac du Bourget, au-dessus du mont Revard, plusieurs automobilistes, au total une quinzaine de personnes, ont revu simultanément un appareil ayant la forme d'un disque, évoluer pendant environ quatre minutes, puis disparaître brusquement.

L'un des témoins, un médecin de Chambéry, est un ancien observateur d'artillerie. Il nota avec soin les observations et dessina un schéma reproduisant le trajet de l'appareil mystérieux.

Un "scaphandrier
interplanétaire" serait apparu
à un cultivateur

D'autre part, M. Yves David, 28 ans, cultivateur aux Brouloux, commune de Vouneuil-sur-Vienne (Vienne), a déclaré avoir vu s'avancer sur lui, sur la route de Cenon à Vouneuil, le 19 septembre à 22 heures, une sorte de scaphandrier.

Celui-ci, dit-il, vint lui caresser le bras, émit des sons inintelligibles et se retira vers un engin (que M. David ne peut décrire). Un faisceau lumineux vert fut projeté dans sa direction, le clouant sur place, puis l'engin disparut dans le ciel, à la verticale, sans aucun bruit.

M. David déclare n'avoir rien voulu dire de cette bizarre rencontre, de peur qu'on se moquât de lui. Il en fit part toutefois à un ami, lui demandant si d'autres personnes n'avaient pas aperçu le "scaphandrier". C'est ainsi que tout le pays l'a su.

A la vue d'une soucoupe
volante, un chauffeur
de locomotive tombe malade

Signalons encore que MM. Gérard, mécanicien et Paroux, chauffeur, qui conduisaient une machine haut-le-pied venant de Nantes, ont aperçu, mardi soir, alors qu'ils passaient au lieu-dit "la butte du rouge", commune de Saint-Nicolas-de-Redon (Ille-et-Vilaine), un engin qui s'élevait des marais voisins.

Cet engin, d'une certaine longueur, qui était suivie d'une traînée lumineuse vola pendant une

Lire la suite en dernière page
sous le titre:
SOUCOUPES

Scan.

SOUCOUPES

dizaine de secondes au-dessus de la machine et disparut dans le ciel.

Si le mécanicien conserva tout son calme, le chauffeur en revanche, fut si effrayé qu'il tomba malade et dut passer une visite médicale hier matin.

Une sphère lumineuse
photographiée
dans le ciel de Suède

Une sphère lumineuse, qui laissait derrière elle une traînée de feu, a été photographiée à Bjuv, dans le sud-est de la Suède. L'objet qui se déplaçait vers le nord, a déclaré le témoin, volait rapidement, " aussi haut, a-t-il dit, qu'un avion à réaction, mais sans faire aucun bruit".

A l'observatoire de Lund, on déclare qu'aucun météore n'a été observé à l'heure où le témoin a photographié le phénomène en question au téléobjectif.

...et une en pleine mer

Moins récent mais plus impressionnant, est le récit du capitaine du "Groote Beer", M. J.-P. Boahoff, de la ligne Hollande-Etats-Unis.

Décelé en pleine mer et observé par lui-même et ses cinq officiers à l'aide de tout l'équipement optique du bord, était de la grosseur d'une demi-lune et également circulaire et lumineux.

Le capitaine a exclu formellement la possibilité qu'il puisse s'agir d'un ballon-sonde.

D'abord immobile, le disque s'est, après quelques instants déplacé vers l'ouest pour disparaître derrière les nuages à une altitude d'environ 14.000 mètres.

[Ref. vdn1:] JOURNAL "LA VOIX DU NORD":

Scan.

Soucoupes
volantes
dans tous
les ciels
de France?

Un cinéaste amateur
aurait filmé
l'un des appareils

Une pluie de soucoupes volante a traversé tous les ciels de France depuis quelques jours, celui du Dauphiné notamment, où un véritable carrousel aérien a attiré les regards de nombreux observateurs.

Dans les départements du Rhône, de l'Isère, de la Drôme et celui de la Savoie, de nombreuses personnes affirment avoir vu, ces derniers jours, avec plus ou moins de netteté, des engins ayant soit la forme de cigares, soit celles de disques.

L'un de ces témoins, directeur d'un music-hall parisien, a déclaré avoir filmé un mystérieux appareils qui évoluait à une hauteur estimée par lui à environ 700 mètres. On saura ainsi, après développement du film, s'il s'agit ou non d'une illusion d'optique.

Dans la Drôme, une habitante de Valence, Mme L..., qui se promenaitprès de Chabeuil, affirme avoir rencontré dans le chemin qu'elle suivait, un être de petite taille vêtu bizarrement d'une sorte de cellophane.

Elle vit s'élecer du champ de maïs qui bordait le chemin, un disque d'où émanait un sifflement. Peu après, le témoin remarqua dans le champ une trace circulaire d'environ 3 mètres de diamètre avec épis couchés et branches cassées. D'autres habitants de Chabeuil ont confirmé ces observations.

Enfin, en Savoie, une quinzaine de personnes ont vu simultanément un appareil ayant la forme d'un disque évoluer pendant environ quatre minutes.

L'un des témoins, ancien observateur d'artillerie, a dessiné un schéma reproduisant le trajet de l'appareil mystérieux.

***

Un boulanger de Canet-Plage, M. Etienne Err, a déclaré qu'au retour d'une tournée de livraison avec sa camionnette, il avait aperçu au-dessus de cette localité, un disque brillant qui, après avoir décrit de grands cercles, s'éloigna en direction de la mer. Sept ouvriers d'une usine de la banlieue de Perpignan ont confirmé ses dires.

***

Trois habitants de Lanta, près de Villefranche-de-Lauraguais (Haute-Garonne), M. et Mme Brunet, et M. Gadra, instituteur de la localité, affirment avoir aperçu, hier soir, pendant 30 à 40 secondes, au-dessus du village, un disque lumineux de couleur orange.

[Ref. jps1:] JOURNAL "LE JOURNAL DU PAS-DE-CALAIS ET DE LA SOMME":

Scan.

Les soucoupes volantes
semblent se livrer
à un véritable
CARROUSEL
au-dessus de la France

Dans le ciel
du Dauphiné

Lyon, 29. -- Dans les départements du Rhône, de l'Isère, de la Drôme et de la Savoie, de nombreuses personnes affirment avoir vu, ces derniers jours, avec plus ou moins de netteté, des engins ayant soit la forme de cigares, soit celle de disques.

Dans la région de l'Arbresle, l'un de ces témoins, directeur d'un music-hall parisien, a même filmé un de ces mystérieux appareils qui évoluait à une hauteur estimée par lui à environ 700 mètres. On saura ainsi, après développement du film, s'il s'agit ou non d'une illusion d'optique.

Près de Feyzin (Isère), un jeune homme aurait aperçu dans la campagne, non loin du sol, un engin ayant la forme d'un dôme et d'où jaillissait une lumière très vive, comparable à celle provoquée par la combustion du magnésium. L'appareil, brusquement monta à la verticale en laissant derrière lui une gerbe d'étincelles et disparut.

Dans la Drôme, une habitante de Valence, Mme. L... qui se promenait près de Chabeuil, affirme avoir rencontré dans le chemin qu'elle suivait, un être de petite taille vêtu si bizarrement qu'elle crût tout d'abord qu'il s'agissait d'un épouvantail en cellophane.

Le chien qui accompagnait la promeneuse aboya furieusement, pris de terreur. Quant à Mme L..., terrifiée également, elle se cacha derrière une haie.

C'est alors qu'elle vit s'élever du champ de maïs qui bordait le chemin, un disque d'où émanait un sifflement. Peu après, le témoin et des paysans se rendirent dans le champ où, selon eux, on distinguait nettement une trace circulaire d'environ 3 mètres de diamètre, avec épis de maïs couchés et branches cassées en bordure.

D'autres habitants de Chabeuil ont également déclaré avoir

LA SUITE EN PAGE 6

Scan.

SOUCOUPES
VOLANTES

Un cultivateur voit
s'avancer vers lui
un "scaphandrier
interplanétaire"...

Châtellerault, 29. -- M. Yves David, 28 ans, cultivateur aux Brouloux, commune de Vouneuil-sur-Vienne, a déclaré avoir vu s'avancer vers lui, sur la route de Cenon à Vouneuil, le 19 septembre à 22h, une sorte de "scaphandrier".

Celui-ci, dit-il, vint lui caresser le bras, émit des sons inintelligibles et se retira vers un engin (que M. David ne peut décrire). Un faisceau lumineux vert fut projeté dans sa direction, le clouant sur place, puis l'engin disparut dans le ciel, à la verticale, sans aucun bruit.

M. David a déclaré n'avoir rien voulu dire de cette bizarre rencontre, de peur qu'on se moquait de lui. Il en fit part toutefois à un ami, lui demandant si d'autres personnes n'avaient pas aperçu le "scaphandrier".

C'est ainsi que le pays l'a su.

Dans le ciel
du Dauphiné

Suite de la première page)

aperçu, ce jour-là, une soucoupe volante évoluant au-dessus de la campagne.

Enfin, en Savoie, près du lac du Bourget, au-dessus du Mont Revard, plusieurs automobilistes, au total une quinzaine de personnes, ont vu simultanément un appareil ayant la forme d'un disque évoluer pendant environ quatre minutes, puis disparaître brusquement.

L'un des témoins, un médecin de Chambéry, est un ancien observateur d'artillerie. Il nota avec soin les observations et dessina un schéma reproduisant le trajet de l'appareil mystérieux.

[Ref. bre1:] JOURNAL "LA BOURGOGNE REPUBLICAINE":

Scan.

"SOUCOUPITE" AIGUE?

Engins volants à la douzaine
dans le ciel de France...

Paris, 29 (A.C.P. - A.F.P). -- Les témoignages se multiplient à propos des soucoupes volantes. Trois personnes différentes ont téléphoné l'autre nuit, vers 22 heures, à un quotidien parisien, auxquel elles ont fait à peu près le même récit:

"J'ai vu un engin lumineux au dessus du Sacré-Coeur: il filait en direction du nord."

Le docteur Martinet, médecin dermatologiste à Chambéry a vu une soucoupe volante évoluer au-dessus de la Croix du Nivolet.

"Une quinzaine de personnes, déclare-t-il, peuvent en témoigner."

Le docteur et sa femme revenait en voiture du col du Chat lorsqu'ils aperçurent, à l'aplomb de la Croix du Nivolet, à 2.000 mètres d'altitude environ, une masse grise aluminium foncé. Le docteur arrêta son véhicule pour suivre les évolutions de l'engin. Trois autres voitures stoppèrent également:

"J'ai observé ma montre, dit le docteur. Il était 17 h 14' 30''. Les évolutions de la soucoupe ont durer jusqu'à 17 h. 18' 40''. A 17 h. 16, alors qu'elle se présentait de face, c'est-à-dire sous forme de disque j'ai discerné une zone claire au centre de l'engin et des taches sombres tout autour. L'engin descendit à l'aplomb de la gare du téléphérique de Revard, puis disparu soudain à la vitesse de l'éclair."

Entre temps, une quinzaine de personnes s'étaient groupés autour du docteur Martinet et firent les mêmes observation que lui.

Dans la Vienne, un cultivateur de 28 ans, M. Yves David, demeurant aux Brouloux, commune de Vouneuil-sur-Vienne, a rencontré sur la route de Cernon [sic] à Vouneuil, une sorte de "scaphandrier". Celui-ci vint lui "caresser" les bras, émit des sons intelligibilité, se dirigea vers un engin que M. David ne peut

Suite pages 3, sous le titre
SOUCOUPE

Scan.

SOUCOUPE

décrire et qui s'éleva sans bruit à la verticale, puis disparut à toute vitesse.

Un habitant de Wimereux (Pas-de-Calais), M. Raoul Baptiste, 72 ans, entrepreneur en retraite, a déclaré avoir vu, dimanche soir une soucoupe volante qui se dirigeait à très basse altitude vers le Nord.

Dans la Drôme, une habitante de Valence, Mme Leboeuf, qui se promenait près de Chabeuil, affirme avoir rencontré dans le chemin qu'elle suivait, un être de petite taille et vêtu si bizarrement qu'elle crut tout d'abord qu'il s'agissait d'un épouvantail en cellophane. Le chien qui accompagnait la promeneuse aboyait furieusement, pris de terreur. Quant à Mme Leboeuf, terrifiée également, elle se cacha derrière une haie.

C'est alors qu'elle vit s'élever du champ de maïs qui bordait le chemin un disque d'où émanaient un sifflement. Peu après, le témoin et des paysans se rendirent dans le champ, où, selon eux, se distinguait nettement une trace circulaire d'environ 3 mètres de diamètre, avec épis de maïs couché et branches cassées en bordure.

D'autres habitants de Chabeuil ont également déclaré avoir aperçu ce jour-là une soucoupe volante évoluant au dessus de la campagne.

[Ref. ads1:] JOURNAL "L'ARDENNAIS":

"CIGARES" VOLANTS ET "SOUCOUPES" ONT EXECUTE UN VERITABLE CARROUSEL AERIEN DANS LE CIEL DU DAUPHINE

LYON - Dans les départements du Rhône, de l'Isère, de la Drôme et de la Savoie. de nombreuses personnes affirment avoir vu, ces derniers jours, avec plus ou moins de netteté, des engins ayant soit la forme de cigares, soit celle de disques.

Dans la région de l'Arbresle, l'un de ces témoins, directeur d'un music-hall parisien, a même filmé un de ces mystérieux appareils qui évoluait à une hauteur estimée par lui à environ 700 mètres, on saura ainsi, après développement du film, s'il s'agit ou non d'une illusion d'optique.

Près de Fezin (Isère) un jeune homme aurait aperçu dans la campagne, non loin du sol, un engin ayant la forme d'un dôme et d'où jaillissait une lumière très vive. Le témoin la compara à celle provoquée par la combustion du magnésium. L'appareil, brusquement, monta à la verticale en laissant derrière lui une gerbe d'étincelles et disparut.

Le pilote : un être de petite taille, vêtu bizarrement

Dans la Drôme, une habitante de Valence, Mme L... qui se promenait près de Chabeuil, affirme avoir rencontré dans le chemin qu'elle suivait un être de petite taille, vêtu si bizarrement qu'elle crut tout d'abord qu'il s'agissait d'un épouvantail en cellophane. Le chien qui accompagnait la promeneuse aboya furieusement, pris de terreur. Quant à Mme L... terrifiée également, elle se cacha derrière une haie.

C'est alors qu'elle vit s'élever du champ de maïs qui bordait le chemin un disque d'où émanait un sifflement. Peu après, le témoin et des paysans se rendirent dans le champ où selon eux, se distinguait nettement une trace circulaire d'environ 3 mètres de diamètre avec épis de maïs couchés et branches cassées en bordure.

(Voir la suite en 6e page)

"Cigares" volants...

(Suite de la première page)

D'autres habitants de Chabeuil ont également déclaré avoir aperçu ce jour-là une soucoupe volante évoluant au-dessus de la campagne.

Enfin en Savoie, près du lac du Bourget, au-dessus du mont Revard, plusieurs automobilistes, au total un quinzaine de personnes, ont vu simultanément un appareil ayant la forme d'un disque, évoluer pendant environ quatre minutes, puis disparaitre brusquement.

L'un des témoins, un médecin de Chambéry, est un ancien observateur d'artillerie. Il nota avec soin les observations ct dessina un schéma reproduisant le trajet de l'appareil mystérieux.

Un "scaphandrier interplanétaire" près de Châtellerault

M. Yves David, 28 ans, cultivateur aux Brouloux, commune de Vouneuil-sur-Vienne (Vienne) a déclaré avoir vu s'avancer sur lui sur la route de Cenon à Vouneuil, le 19 septembre à 22 heures, une sorte de "scaphandrier".

Celui-ci, dit-il, vint lui caresser le bras, émit des sons inintelligibles et se retira vers un engin (que M. David ne peut décrire). Un faisceau lumineux vert fut projeté dans sa direction le clouant sur place, puis l'engin disparut dans le ciel à la verticale sans aucun bruit.

M. David déclare n'avoir rien voulu dire de cette bizarre rencontre, de peur qu'on sc moquât de lui. Il en fit part, toutefois à un ami, lui demandant si d'autres personnes n'avaient pas aperçu le "scaphandrier". C'est ainsi que tout le pays l'a su...

Objet lumineux dans le ciel du Roussillon...

PERPIGNAN - Un boulanger de Cannet-Plage, M. Err, a déclaré qu'au retour d'une tournée de livraison avec sa camionnette, il avait aperçu au-dessus de cette localité un disque brillant qui, après avoir décrit de grands cercles, s'éloigna en direction de la mer. D'autre part, sept ouvriers d'une usine de la banlieue de Perpignan affirment avoir aperçu également un objet d'une couleur indéfinie, évoluant à grande vitesse, et qui aurait franchi les Pyrénées en direction de l'Espagne.

...Et dans le ciel de Haute-Garonne

Trois habitants de Lanta, près de Villefranche-de-Lauragais (Haute-Garonne), M. et Mme Brunet et M. Gadra, instituteur de la localité, affirment avoir aperçu hier soir, au-dessus du village, un disque lumineux de couleur orange. L'objet évoluait à une grande hauteur et se déplaçait en direction nord sud.

Après avoir été visible pendant 30 à 40 secondes, le disque lumineux a disparu à l'horizon.

[Ref. nll1:] JOURNAL "NORD LITTORAL":

Scan.

UN VERITABLE CARROUSEL
AERIEN DE SOUCOUPE
est observé dans le ciel du Dauphiné

Lyon, 29 septembre.

Dans les départements du Rhône, de l'Isère, de la Drôme et de la Savoie, de nombreuses personnes affirment avoir vu, ces derniers jours, avec plus ou moins de netteté, des engins ayant soit la forme de cigare, soit celle de disques.

Dans la région de l'Arbresle, l'un de ces témoins, directeur d'un music-hall parisien, a même filmé un de ces mystérieux appareils qui évoluait à une hauteur estimée par lui, à environ 700 mètres. On saura ainsi, après développement du film s'il s'agit ou non d'une illusion d'optique.

Près de Feyzin (Isère), un jeune homme aurait aperçu dans la campagne, non loin du sol, un engin ayant la forme d'un dôme et d'où jaillissent est une lumière très vive. Le témoin la compara à celle provoquée par la combustion du magnésium. L'appareil, brusquement monta à la verticale en laissant derrière lui une gerbe d'étincelles et disparut.

Dans la Drôme, une habitante de Valence, Mme L..., qui se promenait près de Chabeuil, affirme avoir rencontré dans le chemin qu'elle suivait, un être de petite taille et vêtu si bizarrement quel crut tout d'abord qu'il s'agissait d'un épouvantail en cellophane. Le chien qui accompagnait la promeneuse aboya furieusement, pris de terreur. Quant à Mme L..., terrifiée également, elle se cacha derrière une haie.

C'est alors qu'elle vit s'élever du champ de maïs qui bordaient le chemin, un disque d'où émanait un sifflement. Peu après, le témoin et des paysans se rendirent dans le champ où, selon eux, se distinguait nettement une trace circulaire d'environ trois mètres de diamètre avec épis de maïs couchés et branches cassées en bordure.

D'autres habitants de Chabeuil ont également déclaré avoir aperçu ce jour-là, une soucoupe volante évoluant au-dessus de la campagne.

Enfin, en Savoie, près du lac du Bourget, au-dessus du mont Revard, plusieurs automobilistes, au total une quinzaine de personnes, ont vu simultanément un appareil ayant la forme d'un disque, évoluer pendant environ 4 minutes, puis disparaître brusquement.

L'un des témoins, un médecin de Chambéry, est un ancien observateur d'artillerie. Il nota avec soin les observations et dessina un schéma reproduisant le trajet de l'appareil mystérieux.

UN CHAUFFEUR
DE LOCOMOTIVE,
EFFRAYE,
SE TROUVE MAL

Redon, 29 Sept.

MM. Gérard, mécanicien et Paroux, chauffeur, qui conduisaient une machine haut-le-pied venant de Nantes, aperçurent hier soir alors qu'ils passaient au lieu-dit "La Butte du Rouge", commune de Saint-Nicolas-de-Redon, (Ille-et-Vilaine), un engin qui s'élevait des marais voisins.

Cet engin, d'une certaine longueur, qui était suivie d'une traînée lumineuse, vola pendant une dizaine de secondes au-dessus de la machine et disparut dans le ciel.

Si le mécanicien conserva tout son calme, le chauffeur en revanche fut si effrayer qu'il tomba malade et dut passer une visite médicale ce matin.

Lire en page 8: La Chronique du Ciel.

Scan.

La chronique du ciel

Une sphère lumineuse
photographiée
dans le ciel de Suède

Stockholm, 29 Septembre.

- Une sphère lumineuse, qui laissait derrière elle une traînée de feu, a été photographiée hier soir à Bjuv, dans le sud-est de la Suède. L'objet qui se déplaçait vers le nord, a déclaré le témoin volait rapidement, "aussi haut, a-t-il dit, qu'un avion à réaction mais sans faire aucun bruit".

A l'observatoire de Lund, on déclare qu'aucun météore n'a été observé à l'heure où le témoin a photographié le phénomène en question au télé-objectif.

OBJETS LUMINEUX
DANS LE CIEL
DU ROUSSILLON...

Perpignan, 29 Sept. -- Un boulanger de Canet-Plage, M. Etienne Err, a déclaré qu'au retour d'une tournée de livraison avec sa camionnette il avait aperçu, au-dessus de cette localité, un disque brillant qui, après avoir décrit de grands cercles, s'éloigna en direction de la mer.

D'autre part sept ouvriers d'une usine de la banlieue de Perpignan affirment avoir aperçu également un objet d'une couleur indéfinie, évoluant à grande vitesse et qui aurait franchi les Pyrénées en direction de l'Espagne.

... ET DANS LE CIEL
DE LA HAUTE-GARONNE

Toulouse, 29 Sept. -- Trois habitants de Lanta, près de Villefranche de Lauraguais (Haute-Garonne), M. et Mme Brunei et M. Gadra, instituteur de la localité, affirment avoir aperçu, hier soir, au-dessus du village, un disque lumineux de couleur orange.

L'objet évoluait à une grande hauteur et se déplaçait en direction nord-sud.

Après avoir été visible pendant 30 à 40 secondes, le disque lumineux a disparu à l'horizon.

UN "SCAPHANDRIER
INTERPLANETAIRE"
APPARAIT
A UN CULTIVATEUR

Châtellerault, 29 Sep. -- M. Yves David, 28 ans, cultivateur aux Brouloux, commune de Vouneuil sur Vienne (Vienne), a déclaré avoir vu s'avancer sur lui sur la route de Cenon à Vouneuil, le 19 septembre à 22 heures une sorte de "scaphandrier".

Celui-ci, dit-il, vint lui caresser le bras, émis des sons inintelligibles et se retira vers un engin (que M. David ne peut décrire). Un faisceau lumineux vert fut projeté dans sa direction, le clouant sur place, puis l'engin a disparu dans le ciel à la verticale sans aucun bruit.

M. David déclare n'avoir rien voulu dire de cette bizarre rencontre, de peur qu'on se moquât de lui. Il en fit part toutefois à un ami, lui demandant si d'autres personnes n'avaient pas aperçu le "scaphandrier". C'est ainsi que tout le pays l'a su.

[Ref. lcx1:] JOURNAL "LA CROIX":

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DANS LA VIENNE

Prise de contact
entre le passager d'une "soucoupe"
et un terrien

Les voyageurs d'un autre monde", qui étaient venu herboriser aux abords de la frontière hispano-portugaise..., n'étaient que des mystificateurs.

Le Duario [sic] de Lisboa dénonce aujourd'hui ces plaisantins qui lui avaient fourni l'occasion de publier une information sensationnelle..., mais fausse.

Mais... Une soucoupe perdue, en voici une autre retrouvée. Et cette fois c'est en France qu'un "scaphandrier interplanétaire" aurait pris contact avec un Terrien.

M. Yves David, 28 ans, cultivateur aux Brouloux, à Vouneuil-sur-Vienne (Vienne), a, en effet, déclaré avoir vu, sur la route de Cenon à Vouneuil, le 19 septembre, à 22 heures, une sorte de "scaphandrier" s'avancer vers lui.

Le "voyageur du son" s'approcha de notre paysan et lui caressa le bras.

Puis, la conversation n'ayant pu s'engager étant donné le langage inintelligibles du visiteur, celui-ci se retira vers l'engin qui l'avait amené.

M. David s'apprêtait à le suivre lorsqu'un faisceau lumineux vert le cloua sur place. Et l'engin disparut sans bruit dans le ciel.

M. David déclare n'avoir rien voulu dire de cette bizarre rencontre, de peur qu'on se moquât de lui. Il en fit par toutefois un ami, lui demandant si d'autres personnes n'avaient pas aperçu le scaphandrier.

Et c'est ainsi que tout le pays l'a su.

Un "disque"
dans un champ de maïs

Une habitante de Valence, Mme L..., qui se promenait près de Chabeuil (Drôme), vit dans le chemin une silhouette qu'elle prit tout d'abord pour un "épouvantail" en cellophane. Le chien qui accompagnait la promeneuse aboya furieusement, pris de terreur. Quant à Mme L..., terrifié également, elle se cacha derrière une haie.

C'est alors qu'elle vit s'élevé du champ de maïs qui bordait le chemin un disque d'où émanait un sifflement. Peu après, le témoin et des paysans se rendirent dans le champ où, selon eux, se distinguait nettement une trace circulaire d'environ 3 m. de diamètre, avec des épis de maïs couchés et branches cassées en bordure.

D'autres habitants de Chabeuil ont également déclaré avoir aperçu ce jour-là, une soucoupe volante évoluant au dessus de la campagne.

A la vue d'une soucoupe
volante un chauffeur
de locomotive tombe malade

MM. Gérard, mécanicien, et Paroux, chauffeur, qui conduisait une machine haut-le-pied venant de Nantes, aperçurent, alors qu'il passaient au lieudit "la Butte du Rouge", commune

Voir la suite page 6

Scan.

Des soucoupes volantes partout

Suite de la page 1

de Saint-Nicolas-de-Redon (Ille-et-Vilaine), un engin qui s'élevait des marais voisins.

Cet engin, d'une certaine longueur, qui était suivi d'une traînée lumineuse, vola pendant une dizaine de secondes au-dessus de la machine et disparut dans le ciel.

Si le mécanicien conserva tout son calme, le chauffeur, en revanche, fut si effrayé, qu'il tomba malade et dut passer une visite médicale.

Carroussel aérien
... dans le ciel de France

Dans les départements du Rhône, de l'Isère, de la Drôme et de la Savoie, de nombreuses personnes affirment avoir vu, ces derniers jours, avec plus ou moins de netteté, des engins ayant soit la forme de cigares, soit celle de disques.

Près de Feyzin (Isère), un jeune homme aurait aperçu dans la campagne, non loin du sol, un engin ayant la forme d'un dôme et d'où jaillissaint une lumière très vive. Le témoin la compara à celle provoquée par la combustion du magnésium. L'appareil brusquement monta à la verticale en laissant derrière lui une gerbes d'étincelles et disparut.

En Savoie, près du lac du Bourget, au dessus du Mont-Revard, plusieurs automobilistes, au total une quinzaine de personnes, ont vu simultanément un appareil ayant la forme d'un disque, évoluer pendant environ quatre minutes, puis disparaître brusquement.

L'un des témoins, un médecin de Chambéry, est un ancien observateur d'artillerie. Il nota avec soin ses observations, et dessina un schéma reproduisant le trajet de l'appareil mystérieux.

Un boulanger de Canet-Plage, M. Etienne Err, a déclaré qu'au retour d'une tournée de livraison avec sa camionnette, il avait aperçu, au dessus de cette localité, un disque brillant qui, après avoir décrit de grands cercles, s'éloigna en direction de la mer.

Une sphère lumineuse, qui laissa derrière elle une traînée de feu, a été photographiée mardi à Bujv, dans le sud-est de la Suède. L'objet, qui se déplaçait vers le Nord, volait rapidement "aussi haut qu'un avion à réaction, mais sans faire aucun bruit".

A l'Observatoire de Lund, on déclare qu'aucun météore n'a été observé à l'heure où le témoin à photographié le phénomènes en question au téléobjectif.

[Ref. lon1:] JOURNAL "L'OISE-MATIN":

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SURABONDANCE
DE SOUCOUPES

et l'on croit avoir
rencontré des habitants
d'une autre planète

C'est par dizaines que des soucoupes volantes ont été vues au cours des dernières 24 heures dans le ciel de France, en Afrique du Nord, aux Pays-Bas et même jusqu'au Danemark et en Suède.

Certains croient avoir rencontré des "Martiens"; un témoin directeur d'un music-hall parisien a même été jusqu'à filmer un de ces mystérieux appareils qui évoluait dit-il, à environ 700 mètres de hauteur, dans un ciel dégagé de nuages, pour une fois.

Le film n'est pas encore développé et ce n'est que dans quelques heures que l'on saura si le témoin a été victime, ou non, d'une illusion.

L'engin était un de ces nombreux "cigares volants" ou "disques" que des témoins ont déclaré avoir aperçu dans les départements du Rhône, de l'Isère, de la Drôme et de la Savoie.

Dans cette dernière région c'est au nombre de 15 que des témoins ont vu, pendant quelques minutes, un appareil ayant la forme d'un disque évoluer près du lac du Bourget au dessus du Mont Revard, puis disparaître brusquement.

L'un des témoins, un médecin de Chambéry est un ancien observateur d'artillerie. Il a noté avec soin ses observations et dessiné un schéma reproduisant le trajet du mystérieux engin.

Autre groupe qui affirme avoir vu "un objet d'une couleur indéfinie évoluant à grande vitesse", sept ouvriers d'une usine de la banlieue de Perpignan ont précisé que l'appareil aurait franchi les Pyrénées en direction de l'Espagne.

Dans la Haute-Garonne, trois habitants de Lanta, près de Villefranche-de-Lauraguais, ont aperçu mardi soir au-dessus du village un disque lumineux de

Suite en page 10

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DES SOUCOUPES
SONT REPEREES

et peut-être des Martiens?

Suite de la 1re page

couleur orange. L'objet, ont-ils déclaré, évoluait à une grande hauteur et se déplaçait en direction Nord-Sud.

A Kourigra, localité située à environ 130 kilomètres de Casablanca, des témoins dignes de foi ont déclaré avoir aperçu avant-hier, un engin de forme circulaire de couleur rouge évoluant à une altitude élevée et à une grande vitesse.

Au Danemark de nombreux habitants de la ville de Strib ont également déclaré avoir repéré un "cigare" tandis qu'en Suède, une sphère lumineuse qui laissait derrière elle une traînée de feu a été photographiée mardi soir à Bjuv, dans le sud-est du pays, par un témoin.

C'est aux Pays-Bas, où les témoignages portant sur le passage de "soucoupes" se multiplient, que l'on se passionne le plus actuellement pour ces phénomènes aériens. La curiosité de la population a été porté à son maximum par le récit impressionnant qu'a fait le capitaine d'un cargo, M. J. P. Boshoff de la ligne Hollande-Etats-Unis. Le capitaine affirme en effet qu'avec cinq de ses officiers et en se servant de tout l'équipement optique du bord il a pu observer tout à loisir un objet "de la grosseur d'une demi-lune" qui a disparu finalement en montant à une altitude d'environ 14 000 mètres.

De telles observations ne sont apparemment pas sans danger pour la nature humaine si l'on en juge par l'aventure survenue à MM. Gérard, mécanicien et Paroux, chauffeur, qui, conduisant une machine haut-le-pied venant de Nantes, déclarèrent avoir aperçu, alors qu'il passait près de Saint-Nicolas de Redon, dans l'Ille-et-Vilaine, un engin qui s'éleva des marais voisins pour disparaître rapidement dans le ciel.

Le mécanicien déclara avoir conservé tout son calme mais le chauffeur eut une telle peur, dit la dépêche A.F.P. relatant l'incident, qui tomba malade et dut passer une visite médicale le lendemain.

On signale par ailleurs de nouvelles rencontres avec des êtres bizarres.

Le premier cas est celui de M. Yves David, 28 ans, cultivateur aux Brouloux, commune de Vouneuil-sur-Vienne, dans la Vienne, qui a déclaré - tardivement - avoir vu le 19 septembre, à 2 heures, une sorte de scaphandrier qui vint lui caresser le bras en émettant des sons inintelligibles avant de s'envoler dans une soucoupe.

Dans la Drôme, une habitante de Valence qui se promenait près de Chabeuil fit également dit-elle, une rencontre avec un être de petite taille qu'elle prit tout d'abord pour un "épouvantail en cellophane".

Elle se réfugia, en compagnie de son chien, aussi terrorisé qu'elle, dans un bosquet. Quelques minutes plus tard, elle assistait précisa-t-elle, au départ d'un disque d'où émanait un sifflement.

Cette recrudescence de témoignages ne manque évidemment pas de passionner l'opinion publique. Sera-t-il possible un jour de percer le mystère des "soucoupes"?

[Ref. lqh1:] JOURNAL "LE QUOTIDIEN DE LA HAUTE-LOIRE:"

MULTIPLES APPARITIONS DE CIGARES

Dans les départements du Rhône, de l'Isère, de la Drome et de la Savoie, de nombreuses personnes affirmant avoir vu, ces derniers jours, avec plus ou moins de netteté, des engins ayant soit la forme de cigare, soit celle de disques. Dans la région de l'Arbresle, l'un de ces témoins, directeur d'un music-hall parisien, a même filmé un de ces mystérieux appareils. On saura ainsi, après développement du film, s'il s'agit d'une illusion d'optique. Près de Fezin (Isère), un jeune homme aurait aperçu dans la campagne non loin du sol, un engin ayant un dôme et d'où jaillissait une lumière comparable à celle provoquée par la combustion du magnésium. Dans la Drome, une habitante de Valence Mlle Leboeuf, qui se promenait près de Chabeuil, affirme avoir rencontré dans un chemin, un être de petite taille vêtu si bizarrement qu'elle crut tout d'abord qu'il s'agissait d'un épouvantail en Cellophane. Mlle Leboeuf terrifiée, se cacha derrière une haie. C'est alors qu'elle vit s'élever d'un champ de maïs, un disque d'où émanait un sifflement. Peu après, le témoin et des paysans se rendirent dans le champ où selon eux, se distinguait nettement une trace circulaire d'environ trois mètres de diamètre avec des épis de maïs couchés et branches cassées en bordure. D'autre habitants de Chabeuil ont également déclaré avoir aperçu ce jour là une soucoupe volante évoluant au-dessus de la campagne.

[Ref. lme1:] JOURNAL "LE MONDE":

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SOUCOUPES VOLANTES
et disciples
du Christ de Montfavet

Les soucoupes volantes continuent avec opiniâtreté leur prospection du ciel français, notamment, durant ces dernières vingt-quatre heures, au-dessus de la région du Dauphiné. Sans qu'on puisse encore présager grand chose des intentions de leurs occupants, leur sympathie pour la race des hommes paraît acquise. Seule sans doute la crainte d'un accueil hostile les fait encore hésiter à prendre des contacts plus étroits avec les Terriens.

C'est ainsi qu'un cultivateur de la Vienne, M. Yves David, demeurant à Vouneuil-sur-Vienne, révélait hier qu'un "scaphandrier céleste", rencontré par hasard sur la route, lui avait caressé le bras "en émmettant des sons inintelligibles". Mais, déçu probablement par le peu d'empressement de M. David à nouer des relations, il était remonté dans son engin et avait presque instantanément disparu dans le ciel...

Une habitante de Valence, Mme. L..., a fait hier une rencontre analogue. Malheureusement pour notre connaissance des choses martiennes, Mme L..., prise de terreur, se cacha derrière une haie en fermant les yeux. Quand elle les rouvrit un peu plus tard ce fut pour voir s'élever du champ qui bordait le chemin un disque lumineux émettant un sifflement...

Un chauffeur de locomotive, M. Paroux, n'a pas été moins effrayé que Mme L... en apercevant l'autre soir au-dessus des marais de Saint-Nicolas-de-Redon (Ille-et-Vilaine) un mystérieux engin qui suivait une traînée lumineuse. Il en est tombé malade et a du passer une visite médicale...

Erreur d'optique? Hallucinations? Non, répondent les disciples du Christ de Montfavet, qui viennent de déclarer que ces soucoupes volantes dont tout le monde se moque sont la preuve irréfutable que leur guide, George Roux, est bien le Christ redescendu sur terre...

Personne jusqu'à présent n'y avait pensé...

[Ref. rdr1:] MAGAZINE "RADAR":

Scan.

DROME: - Ils ont piétiné le maïs

VALENCE. -- Mme Leboeuf (à dr.) est une privilégiée: elle a vu face à face un pilote de soucoupe volante. "Je cueillais des mûres en bordure d'un champ de maïs lorsque mon chien, une bête ordinairement très paisible, s'est mis à aboyer comme un dératé. Il s'était campé devant une espèce d'épouvantail qui n'avait pourtant pas l'air bien terrible. Je m'avance pour faire taire le chien et que vois-je? L'épouvantail marchait vers moi. Il pouvait avoir 1 m. 10. Il avait l'air d'être enveloppé dans de la cellophane". Tel est le récit de Mme Leboeuf. Comme on le voit sur notre photographie, les passagers de la soucoupe volante on cassé, sans vergogne, sept pieds de maïs.

[Ref. fde1:] JOURNAL HEBDOMADAIRE "FRANCE-DIMANCHE":

Scan.

1. La soucoupe de Valence a laissé des traces (dans le maïs)

MME LEBOEUF (ci-contre) ne s'est pas encore consolée d'avoir eu si peur l'autre dimanche en apercevant dans un champ de la commune de Chabeuil (Drôme) un "homme d'un autre monde"- Au lieu de tenter l'approcher, son effroi fut tel qu'elle alla se cacher la tête entre les mains derrière une haie. L'homme était un être de petite taille, "comme un gosse qu'on aurait mis dans un sac de cellophane. Il avait un visage humain, mais, semble-t-il, pas de bras. Quand Mme Leboeuf releva la tête, elle ne vit plus personne. Mais bientôt, elle perçut un bruit dans le champ de maïs d'en face et vit un étrange engin s'élever dans le ciel. Il avait peut-être trois mètres de diamètre et soixante centimètres d'épaisseur. Il vola en biais pendant une centaine de mètres, puis bascula de l'horizontale à la verticale et monta tout droit à une vitesse vertigineuse. On a pu relever, dans le champ signalé par Mme Leboeuf, des traces analogues à celles qu'aurait pu laisser un appareil en se posant (notre photo ci-dessus à gauche); des branches d'acacias ont été brisées alentour (ci-dessus, au centre). Notre dessin, ci-dessus, à droite, montre enfin les emplacements respectifs de Mme Leboeuf, de l'homme-épouvantail et de la "soucoupe" dans le champ de maïs et ses environs.

Afin de rendre le dessin du journal plus lisible, j'en ai retapé les légendes originales:

Scan.

[Ref. lbl1:] JOURNAL "LA BAILLEULOISE":

Scan.

- On signale de très nombreux passages de "soucoupes et cigares volants" à Marcoing, Annoeullin, Abbeville, La Chapelle d'Armentières, etc... Tous les témoignages sont concordants. A Marcoing la gerndarmerie entière a observé le phénomène.

- On signale l'apparition de nombreuses soucoupes dans la vallée du Rhône et la région de Perpignan. Une femme aurait été accostée par un petit être semblant être vêtu d'une sorte de cellophane. Un observateur aurait filmé une soucoupe et attend le développement de la photo.

[Ref. hws1:] HAROLD T. WILKINS:

L'auteur indique qu'à valence dans le Rhône inférieur, dans la Drome, France, 1954, une femme a dit qu'elle a vu une soucoupe siffleuse dans un champ et s'est précipitée pour trouver des témoins oculaires, mais elle avait disparu quand ils sont venus. Elle a laissé un cercle de neuf pieds de large dans le maïs, écrasé par quelque chose qui avait atterri.

Plus loin dans le livre, l'auteur indique que le 30 septembre 1954, à Valence, France, une femme avec un chien en laisse est tombée nez à nez, dite-elle avec une forme emballé dans du "cellophane." Quand la forme a vu le chien, elle a grimpée dans une soucoupe; laquelle a décollé avec un sifflement assourdissant.

La police a examiné l'emplacement de stationnement de cette soucoupe et a constaté que des maïs avaient été aplatis au sol dans un rayon d'environ dix pieds.

Quelques pages plus loin dans le livre, l'auteur indique qu'une soucoupe posée "à Drome", Dauphiné, sud-est de la France, a un bruit de toupie musicale tandis qu'elle a décollé verticalement après qu'un "être engoncé dans du plastique" ait approché Madame Leboeuf.

[Ref. fil1:] NOTES D'INTERVIEW MENEE PAR UN COLLABORATEUR DE RAYMOND VEILLITH:

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Transcription:

Valence, le 3 décembre 1954

Rapport de l'entrevue avec Mme LEBOEUF à Valence.

C'était le 26 Septembre 1954. Je me trouvais à CHABEUIL (petit village situé à 14 kms à l'Est de Valence) et je me rendais au cimetière pour y porter des fleurs. Ce cimetière se trouve à l'est du village dans un quartier ombrageux (bois, taillis et culture). J'avais avec moi ma chienne noire Dolly qui folâtrait à proximité. J'étais dans un chemin creux à quelque distance du cimetière et je ramassais des mûres.

J'appelais ma chienne Dolly et comme elle arrivait près de moi, elle tombe en arrêt et se met à hurler à la mort (j'ai remarqué à ce moment là que les chiens des maisons voisines qui étaient attachés hurlaient également à la mort). Surprise par ces aboiements (bizarres et sinistres), je lève la tête et je vois à 2 m 50 de moi un être vivant immobile qui me regarde fixement (petite taille, 1m à 1m15), je me demande encore depuis combien de temps il me regardait ainsi.

Il paraissait être enveloppé d'un scaphandre transparent des pieds à la tête, visage presque humain (je n'ai pas vu d'oreilles, vision un peu floue à travers le scaphandre), yeux humains fixes et brillants, expressifs et intelligents. Je n'ai pas distingué de bras, ceux-ci étant peut-être collés au corps. Je n'ai pratiquement pas examiné le corps de cet être vivant, j'ai surtout regardé ses yeux (ses yeux ne cessaient de me regarder).

Lorsque je l'ai eu aperçu, celui-ci s'est rapproché de moi en sautillant s'en s'occuper de ma chienne qui lui aboyait après (les journalistes auraient relevé ensuite un empreinte ressemblant à une grosse patte de chien avec un talon?). Prise de peur, je me suis sauvée en criant et je me suis cachée dans un buisson (la peur me faisait claquer des dents). Presque aussitôt, à cinq mètres de moi, j'ai vu s'élever au-dessus du champ de maïs un engin en forme de soucoupe d'un diamètre de quatre mètres environ ressemblant à une grosse toupie mécanique d'enfant, mais avec le dessous plat. Le temps était gris, il venait de pleuvoir une heure avant et cet engin avait une couleur sombre, gris sale et terne. Je n'ai remarqué ni lumière ni hublot (de ma place, je n'ai pu à aucun moment distinguer l'engin lorsqu'il était posé au sol). L'engin s'est donc élevé lentement au-dessus du champ de maïs (même position qu'à l'atterrissage et j'ai perçu un léger ronronnement pendant ce mouvement, puis, lorsqu'il est arrivé au-dessus du champ de luzerne, il a basculé de 90° (position verticale) et a disparu en direction Nord-Est à une vitesse vertigineuse en émettant un sifflement bizarre; je n'ai pas remarqué de mouvement giratoire (un Docteur de CHAMBERY aurait aperçu une soucoupe volante cinq minutes après, venant de la direction de CHABEUIL, il se pourrait donc que ce soit la même.

Les gens du cimetière ont entendu les hurlements de ma chienne ainsi que le sifflement de l'engin (mon mari qui a été dans l'aviation et qui se trouvait à proximité a également entendu ce sifflement et s'est parfaitement rendu compte qu'il ne s'agissait pas d'un avion à réaction). Ils sont venus et ils m'ont trouvée dans le buisson; j'étais comme paralysée et je ne pouvais pas appeler.

Plusieurs personnes se sont rendues quelques instants après sur les lieux d'atterrissage de la soucoupe. Ils ont remarqué une aire d'environ quatre mètres de diamètre où la terre et l'herbe étaient tassées; plusieurs plantes de maïs étaient écrasées; les branches des acacias qui se trouvaient autour étaient comme raclées et plusieurs étaient cassées, ceci jusqu'à une dizaine de mètres de hauteur environ. Ils ont retrouvé les feuilles par terre.

Je ne suis ni folle ni peureuse et il m'en faut beaucoup pour m'émotionner. Je suis néanmoins restée deux jours couchée avec la fièvre (confidentiellement, à la suite de cette grande émotion, ses règles ont réapparu immédiatement). De plus, ma chienne Dolly a tremblé et pleuré pendant trois nuits consécutives. Ce n'est qu'au bout de deux jours que j'ai informé la Presse. Je crois maintenant aux soucoupes volantes et mon mari aussi.

Fait à Valence, le 3 décembre 1954

[Ref. jgu1:] JIMMY GUIEU:

Le 28 septembre 1954 à 14 h 30, un événement aussi sensationnel que celui survenu à Quarouble (en présence de M. Marius Dewilde) se produisit à Chabeuil (Drôme). L'enquête fut menée par deux enquêteurs différents qui, sans rapport mutuel, se livrèrent chacun de son côté à des investigations poussées.

Je reproduirai donc les rapports de ces enquêteurs parus dans le N° 13 d'Ouranos:

1er Rapport: Enquêteur: R. Arnauld, Ingénieur E.C.P., Membre du Comité d'Etudes Ouranos. Témoin principal: Mme Leboeuf, 32 ans, Chabeuil (Drôme).

Note de l'enquêteur: Pour m'aider dans mes recherches, j'ai dû compter sur: M. Figou, expert joaillier, 45 ans - qui, vivement intéressé par le problème, s'était livré à une enquête très poussée, aidé par mon cousin le commandant R., esprit méthodique et sérieux - sur lequel ont peut absolument compter pour une description objective des faits.

"Mme Leboeuf, témoin de l'apparition; c'est une véritable chance qu'elle ait été témoin du phénomène ; je tiens Mme Leboeuf en réelle estime: c'est un esprit ouvert et objectif, supérieur à la moyenne. J'insiste sur la qualité du témoin. A Chabeuil, on l'a accablée de tant de moqueries, de tant de jugements injustes, qu'elle avait fini par considérer comme une véritable calamité d'avoir été l'humble témoin du phénomène. J'ai rassuré Mme Leboeuf sur nos intentions (certains journalistes se sont tellement joué d'elle!). Je l'ai assurée de notre sérieux, de notre souci de vérité. Elle a donc repris son récit, appuyé par les observations de M. Figou, avec l'acquiescement du commandant R. J'ai personnellement examiné les lieux, pour mieux comprendre les explications. Tel que je le présente, ce document n'a jamais été publié. Les faits ont été partiellement déformés et romancés par la presse et les gens du pays, ce qui n'est pas le cas de ce présent rapport.

Récit de Mme Leboeuf:

- C'était le dimanche 28 septembre 1954, après-midi.

"Je m'étais rendue à Chabeuil passer la journée chez mon grand-père. J'étais allée dans les bois du château chercher des champignons. Il était environ 14 h 30. Le chemin longeait un champ de luzerne dont les dix derniers mètres sont plantés de maïs. J'étais occupée à cueillir des mûres dans la haie lorsque derrière moi, ma chienne se mit à aboyer (1); elle était près du champ de maïs, à l'arrêt devant ce que j'ai tout d'abord pris pour un épouvantail à moineaux...

"M'étant approchée, je distinguai dans cet "épouvantail" deux yeux qui me fixaient, un peu plus gros que les nôtres. Je découvris alors - tandis que la terreur s'emparait de moi - que j'étais en présence d'un être, à la figure bien humaine, mais petit! A la place des cheveux, une masse noirâtre. Il était enveloppé d'un scaphandre en matière transparente, la tête dans une sorte de «cloche». Il. n'avait pas de bras (1). Il m'a fait l'impression d'un enfant, pas plus haut que 1 m 10, mais dans un "sac de cellophane ». Dès que « l'épouvantail » a fait le geste de s'approcher de moi, alors que j'étais clouée d'effroi, j'ai hurlé; puis je me suis enfuie à toutes jambes, me jetant la tête la première dans la haie où je me suis tapie ... Devant le maïs, je ne voyais plus personne. Mais du maïs, s'est élevée une soucoupe volante. Elle est partie en rasant le sol, ne faisant pas plus de bruit qu'une grosse toupie' qui ronfle, avec un léger sifflement. Elle n'allait pas vite. Arrivée au bout du champ, de la position horizontale elle a basculé à la position verticale et vrout ..., elle est montée à une allure vertigineuse".

Observations de M. Figou après l'apparition. Description des lieux:

- Petit plateau de 2 ha, en forme de trapèze, dont deux côtés (Sud et Ouest) surplombent le cimetière et la ville (à 300 mètres) et sont entourés de broussailles et d'acacias. Le champ était planté en luzerne et se terminait à l'Ouest par dix rangées de maïs, derrière lesquelles, à faible distance, s'alignaient acacias et broussailles.

Observations des traces: 1) - Dans la première rangée de maïs (la plus proche des acacias) sept pieds sont couchés en forme rayonnante (apparemment sous le poids de l'engin de forme circulaire). 2) - Une branche d'acacia est cassée sous l'effet d'un effort dirigé de haut en bas (donc cassée par l'astronef lorsqu'il manoeuvrait pour se poser); il s'agit d'une branche de huit centimètres de diamètre. 3) - Sur un acacia proche, une branche à 2 m 50 du sol est complètement effeuillée. 4) - Les arbrisseaux sous les acacias (aubépines, journalières) sont couchés, cassés, tassés, pliés comme s'ils avaient reçu un choc important. 5) - Il existe un trou dans l'herbe, de 15 centimètres de diamètre, situé sur la périphérie d'une trace circulaire relevée.

Ainsi, tout porte à croire qu'un engin de forme circulaire, d'un diamètre de 3 mètres à 3 m 50, s'est posé obliquement sur le sol vers les pieds d'acacias, puis s'est couché sur le maïs (puisqu'il n'y a pas de tassement de celui-ci et qu'il est seulement couché).

Conditions atmosphériques : temps gris, maussade ; très légère ondée après l'apparition.

Nota: le mari de Mme Leboeuf, ancien aviateur, qui se trouvait à 200 mètres des lieux, aurait entendu un sifflement « distinct du bruit des avions à réaction » au moment de l'apparition. D'autre part, certains témoins (que M. Figou n'a pas pu contacter) auraient remarqué sur les lieux des empreintes de pas « comme une grosse patte de chien, avec, derrière, un talon étroit.

Deuxième Rapport. Enquêteur : Pierre Bouvard, membre de la C.I.E.O. et de l'A.M.I. (3), rapport aimablement communiqué par cet organisme.

Note du Service d'Enquête de la C.I.E.O.: MM. Pierre Bouvard et R. Arnaud, auteur du précédent rapport, ont effectué leur enquête à l'insu l'un de l'autre. Ils ne se connaissent pas et n'ont jamais été en contact.

- C'était le 28 septembre 1954. Je me trouvais à Chabeuil, petit village situé à 14 km à l'Est de Valence. J'avais avec moi ma chienne noire Dolly qui folâtrait à proximité. J'étais dans un chemin creux, à proximité du cimetière et je ramassais des mûres. J'appelai ma chienne et, comme elle arrivait près de moi, elle tomba en arrêt et se mit à hurler à la mort (j'ai remarqué à ce moment-là que tous les chiens des maisons voisines - chiens qui étaient attachés - hurlaient également à la mort). Surprise par ces aboiements, bizarres et sinistres, je levai la tête et je vis, à 2 m 50 de moi, un être vivant immobile qui me regardait fixement (petite taille, 1 m 10 à 1 m 15). Je me demande encore depuis combien de temps il me regardait ainsi.

"Il paraissait être enveloppé d'un scaphandre transparent des pieds à la tête; visage presque humain; je n'ai pas vu d'oreilles, vision un peu floue à travers le scaphandre ; yeux humains, fixes et brillants, expressifs et intelligents ; je n'ai pas pu distinguer de bras, ceux-ci étaient peut-être collés au corps ; je n'ai pratiquement pas examiné le corps, j'ai surtout regardé les yeux, qui ne cessaient de me fixer. Lorsque je l'eus aperçu, il se rapprocha de moi en sautillant, sans s'occuper de ma chienne qui aboyait après lui. Les journalistes auraient relevé par la suite une empreinte ressemblant à une grosse patte de chien avec talon.

"Affolée, je me suis sauvée en criant et je me suis cachée dans un buisson. La peur me faisait claquer des dents. Presque aussitôt, à cinq mètres de moi, j'ai vu s'élever au-dessus du champ de maïs un engin en forme de soucoupe, d'un diamètre de 4 mètres environ, ressemblant à une grosse toupie mécanique d'enfant, mais avec le dessous plat (3). Le temps était gris, il venait de pleuvoir une heure plus tôt. Je n'ai remarqué ni lumière ni hublot. De ma place, je n'ai pu à aucun moment distinguer l'engin lorsqu'il était posé au sol. Il s'est élevé lentement au-dessus du champ de maïs, horizontalement, et j'ai perçu un léger ronronnement pendant ce mouvement, puis, lorsqu'il est arrivé au-dessus du champ de luzerne, il a basculé de 90° (position verticale) et a disparu en direction du Nord-Est, à une vitesse vertigineuse, en émettant un sifflement bizarre. Je n'ai pas remarqué de mouvement giratoire.

"Les gens du cimetière ont entendu les hurlements de ma chienne ainsi que le sifflement de l'engin. Mon mari, qui fut aviateur, et qui se trouvait à proximité, a également entendu ce sifflement et s'est parfaitement rendu compte qu'il ne s'agissait pas d'un avion à réaction...

"Je ne suis ni folle ni peureuse, et il m'en faut beaucoup pour m'émouvoir. Je suis néanmoins restée deux jours couchée avec la fièvre. De plus, ma chienne Dolly a tremblé et pleuré pendant trois nuits consécutives...

Ces deux rapports et leurs accumulations de données et de faits constatés devraient suffire à faire admettre d'emblée cette aventure, effarante, certes, mais non point unique en son genre. Hélas! il n'en est rien et le verdict des « savants officiels» et des pontifes fut: mystification ou hallucination.

S'il s'agit d'une mystification, je tiens ici à féliciter publiquement Mme Leboeuf pour l'art consommé avec lequel elle a dressé sa chienne! Quelle maîtrise! Quels trésors de patience n'a-t-elle pas dû déployer pour· obliger la pauvre bête à lui obéir au doigt et à l'oeil! Dolly n'a-t-elle pas - preuve de son « dressage » - durant trois nuits consécutives, tremblé et pleuré pour satisfaire sa maîtresse?

Tant de naïveté (ou de mauvaise foi) de la part des détracteurs criant à l'hallucination ou à la mystification, a quelque chose de désarmant... ou de révoltant!

(1) Faits et détails identiques à ceux rapportés par M. Marius Dewilde.

(2) Association Mondialiste Interplanétaire, déjà cité.

(3) Voir les clichés de l'engin photographié à Paissac (New Jersey) U.S.A., et répondant à la description faite par Mme Leboeuf: « toupie avec dessous plat». Photos N° 1, 2 et 3 pages 16, 17 et 32, ainsi que la photo N° 17, page 208.

[Ref. tbr1:] TED BLOECHER:

Le 26 [septembre 1954] est venu un autre rapport d'un "petit homme" sans bras visibles, vu par Mme. Leboeuf à Chabeuil. Elle a d'abord pensé qu'il s'agissait d'un "épouvantail en plastique d'un nouveau type", car il semblait être enveloppé dans un sac de cellophane. Quand il a commencé à s'approcher d'elle, elle s'est enfuie effrayée et s'est cachée derrière une haie avec sa tête dans ses mains. (Cette réaction semblable à celle d'une autruche a impressionné la Section de Recherche par sa qualité d'authenticité naïve.) Quelques instants plus tard, elle a vu un objet s'élever rapidement. Dans son jardin, où l'appareil avait apparemment reposé, les chercheurs ont trouvé une trace circulaire de 10 pieds dans le sol. Les tiges de maïs dans la zone avaient été aplaties et plusieurs branches d'arbres avaient été brisées au-dessus des têtes.

[Ref. gqy1:] GUY QUINCY:

Scan.

26 septembre [1954]

16 h 30: Chabeuil (10 km ESE.Valence--Drôme):"toupie"+ nain au sol

[Ref. pmi1:] PAUL MISRAKI:

Suivant la même source ["l'ouvrage d'Aimé Michel: Mystérieux Objets Célestes (éditions Arthaud)"], le 26 septembre de la même année [1954], dans un village situé à quelques kilomètres à l'est de Valence, vers 14 h 30, une dame était paisiblement occupée à cueillir· des mûres lorsque sa chienne se mit à hurler à la mort. En regardant dans la direction d'un champ de maïs, elle crut voir un petit épouvantail d'un mètre de haut, composé d'un scaphandre en matière plastique translucide, surmonté d'un globe. Elle s'approcha, intriguée, et distingua à travers la transparence du scaphandre quelque chose qui la regardait avec deux très gros yeux. A ce moment, l'épouvantail se mit en marche dans la direction de la dame, en se dandinant légèrement, mais à une allure très rapide. La dame poussa un cri, prit la fuite et courut se cacher dans une futaie. A présent, tous les chiens du village hurlaient. Quelques instants plus tard, un objet métallique circulaire d'assez grandes dimensions surgit de derrière un bouquet d'arbres et s'éloigna en rasant les pousses de maïs avec une sorte de sifflement; il prit de l'altitude et s'éloigna vers le nord-est.

Tous les bruits de cette scène avaient été entendus par les voisins. A l'endroit du boqueteau d'où s'était élevé l'engin, on trouva une trace circulaire d'arbrisseaux et de buissons écrasés; quelques pieds de maïs avaient été couchés en lignes rayonnantes.

La dame dut s'aliter, en proie à une forte fièvre. Le rapport de gendarmerie mentionnait que la peur avait occasionné chez la malheureuse certains troubles spécifiquement féminins. La petite chienne demeura tremblante pendant trois jours.

(Rien ne nous obligerait à prendre cette histoire au sérieux si l'événement en question - qui eut lieu à Chabeuil, dans la Drôme - ne venait illustrer la thèse dès observations "en lignes droites", défendue par M. Aimé Michel.

[Ref. mcs1:] "MICHEL CARROUGES":

Michel Carrouges indique que l'observation Leboeuf a été faite à une distance de 2.50 mètres.

Michel Carrouges indique que dans le cas Leboeuf les détails précis fournis sur la topographie des lieux et les emplacements respectifs des témoins et des objets ou des pilotes renforcent l'extrême proximité de la rencontre.

[Ref. jve8:] JACQUES VALLEE:

Scan.

26 sep., 1954 Chabeuil France Mme. Leboeuf petit homme en "tenue de plongeur" 1 mètre à 1 mètre 10 de haut; semblait porter un tissu en plastique transparent; tête floue, 1

[Ref. jve6:] JACQUES VALLEE:

Jacques Vallée indique qu'un rapport pour un cas en France le 26 septembre 1954, disait:

"Le petit chien a commencé à aboyer et hurler misérablement. Elle l'a vu se tenir devant quelque chose qui a ressemblé un épouvantail. Mais allant plus près elle a vu que l'épouvantail était une certaine sorte de petite tenue de plongée, faite de matière plastique translucide. Derrière la transparence brouillée du casque, deux grands yeux la regardaient. La tenue a commencé à se déplacer vers elle en un genre de démarche rapide, se dandinant."

"Elle a poussé un cri de terreur et est partie dans les champs. Regardant derrière elle, elle a vu un grand objet métallique, circulaire et plutôt plat, s'élever de derrière quelques arbres voisins, se déplacer vers le nord-est à une vitesse considérable, gagnant l'altitude en faisant cela."

"Des voisins se sont rassemblés rapidement et à l'endroit où l'objet s'était élevé, ils ont trouvé un cercle, d'environ dix pieds de diamètre ou à peu près, où les arbustes avaient été écrasés. Les arbres au bord de cette trace avaient quelques branches cassées et de l'écorce rapée, et le blé dans la direction du décollage a été aplati en lignes rayonnantes. Le témoin inital a été trouvé dans un état d'effondrement nerveux. Elle a été mise au lit, où elle est restée pendant deux jours avec une fièvre élevée."

[Ref. jve3:] JACQUES VALLEE:

Certains des humanoïdes ainsi que les opérateurs humains sont décrits comme des créatures à respiration aérienne. Dans au moins huit cas, des nains dont le visage et le corps étaient couverts de poils abondants ont été décrits. Les combinaisons de plongée sont parfois mentionnées, mais elles sont réservées aux humanoïdes, dont les combinaisons sont comparées à des armures, des combinaisons lumineuses ou des combinaisons brillantes:

C'était une petite créature, avec un visage humain normal, de 1 mètre à 1,20 mètre de haut; il portait un costume transparent qui le couvrait entièrement: il me faisait penser à un enfant enveloppé dans un sac en cellophane.

[Ref. ton1:] THOMAS M. OLSEN:

DATE LOCALISATION GEOGRAPHIQUE SOURCE PAGE
26 SEPT. 1954 CHABEUIL (DROME), FRANCE (MICHEL-1958 P 82) 5 T. 3-34

[Ref. lcp1:] LEONARD G. CRAMP:

Voici un autre cas qui inclut également une description d'un occupant de soucoupe, et de nouveau je l'ai choisi en raison de sa nature techniquement corroborative. Cette observation dramatique s'est produite à Chabeuil, à environ huit miles à l'est de Valence, France méridionale, en septembre de cette année épique de 1954.

M et Mme. Leboeuf, de Valence, rendaient visite à leur grand-père à Chabeuil. Plus tard, l'après-midi, ils ont pris leur chien pour une promenade et Mme. Leboeuf s'est promenée à environ cent mètres de distance pour cueillir des champignons dans le bois voisin. Après un petit moment le chien a commencé à aboyer et hurler misérablement. Se tournant, Mme. Leboeuf a vu que le petit animal se tenant au bord d'un champ de blé adjacent se confrontait à quelque chose qu'elle a d'abord pris pour un épouvantail. Elle est allée plus près pour vérifier et a vu que 'l'épouvantail' en fait portait un certain genre de 'petite tenue de plongée' fait de matière plastique translucide, de trois pieds de haut ou peu un plus grand, avec un casque qui était également translucide. Soudainement étonnée la femme s'est rendu compte que quelque chose à l'intérieur du costume de plongée l'observait par la transparence brouillée du casque. Elle a eu l'impression de deux yeux, des yeux plus grands que ceux des humains. Elle avait à peine réalisé cela, que la tenue de plongée s'est déplacée vers elle 'avec un genre de démarche de dandinement rapide'.

Mme. Leboeuf n'avait jusque-là ressenti guère plus que de la surprise ou une légère curiosité. Mais l'approche rapide de la 'tenue de plongée' l'a terrifiée. Poussant un cri d'horreur elle s'est sauvée à l'abri d'un buisson voisin, d'où, regardant en arrière, elle n'a plus pu voir la chose, mais le chien a continué à hurler misérablement et tous les chiens dans la zone s'y sont mis aussi. Puis, de derrière quelques arbres voisins, s'est élevé un grand objet métallique, circulaire et plutôt un plat, émettant un léger bruit de sifflement. Il s'est déplacé à travers le champ de blé, puis a soudainement viré au loin et s'est élevé à une vitesse énorme. Entendant le cri de terreur de son épouse, M Leboeuf, accompagné de personnes d'un cimetière voisin, est venu en courant. Eux aussi, avaient entendu le bruit de sifflement étrange.

Graduellement les chiens ont cessé leur hurlement et pratiquement tout le village était bientôt sur place. Ils ont trouvé, parmi les arbres desquels 'l'aéronef' s'était élevé, un cercle de diamètre où des arbustes et les buissons avaient été écrasés. Au bord de la dépression circulaire s'élevaient plusieurs acacias. D'un d'eux pendant une branche de 3 puces 1/2 d'épaisseur, cassée vers le en bas par une grande pression d'en haut. Suspendue à 8 pieds 1/2 au-dessus de la trace circulaire, encore une autre branche a été dépouillée de ses feuilles, tandis que dans le chemin pris par l'objet quand il a décollé au-dessus du champ 'les premiers mètres de blé ont été aplatis en lignes rayonnantes'.

Mme. Leboeuf a été trouvée dans un état de choc nerveux. Pendant les deux jours suivants elle a souffert d'une fièvre élevée et le petit chien tremblait toujours de peur trois jours plus tard. On peut faire ce qu'on veut, les sceptiques des histoires de soucoupes volantes ne peuvent pas offrir d'explications alternatives plausibles a ceci, car clairement dans un cas comme ceci, la fraude ne peut pas être avancée sérieusement. Parce que même si une farce enfantine pourrait choquer un humain, cela n'amènerait certainement pas un petit chien à un état de tension physique pendant des jours. Non, une farce ne causerait as cela, mais un champ de force à fréquence extrêmement haute le pourrait!

[Ref. jsr1:] JEAN SIDER:

20 - Cas de Chabeuil, Drôme.

Il s'agit d'une RR3 très connue de la vague de 1954. Le 26 septembre, vers 14h30, Mme Lucette Leboeuf observa un petit être vêtu d'une tenue ressemblant à un "scaphandre de cellophane". Le personnage s'avança vers le témoin et s'en approcha à 2m50. Effrayée, Mme Leboeuf alla se cacher dans une haie, véritablement saisie de panique. Quelques instants plus tard, elle vit un engin en forme de grosse toupie à dessous plat, qui s'élevait dans le ciel à allure plutôt faible.

Dans Inforespace Hors Série, n°3, B & B [Barthel et Brucker] font aveuglément confiance à France-Soir du 1er octobre qui explique cet incident par une confusion. Quand la presse parisienne sert leurs desseins, elle est crédible, mais lorsqu'elle va dans le sens contraire, elle délire!

Or, l'affaire de Chabeuil est l'une des mieux documentées, car outre l'enquête d'Henri Buch (Ouranos) reprise dans le cahier iconographique, c'est le fer de lance de la carrière ufologique de Figuet, du temps où il ne flirtait pas encore avec la "socio-psychologie", Avec J.-L. Ruchon, il fit une recherche tout à fait sérieuse en venant sur place interroger Mme Leboeuf et les gens du pays pour connaître la nature du tissu social. Leurs investigations établirent que d'autres personnes avaient vu la "toupie volante" peu de temps après son décollage, et certaines entendirent même le sifflement qu'elle émettait.

Faut-il accorder foi à France-Soir, qui n'a pas envoyé de reporter à Chabeuil si j'en juge par les comptes rendus succincts de l'AFP que ce quotidien parisien s'est contenté de publier, ou faire plutôt confiance aux divers enquêteurs soucieux de vérification qui ont rencontré le témoin ainsi que ses voisins? Pour moi, comme pour le lecteur qui n'est pas affligé de blocages conceptuels, la question ne se pose même pas! Etant donné l'incroyable régularité avec laquelle B & B ont trafiqué leur oeuvre de démolition, on peut écarter le choix qu'ils ont fait sans la moindre hésitation.

Que le lecteur médite cette appréciation de Monnerie, page 14: "Ils décidèrent alors, non plus de vérifier un cas par-ci, un cas par-là, mais de soumettre à une rigoureuse contre-enquête tous les cas connus de l'année la plus riche, 1954..."

Rigoureuse contre-enquête? Comme disait Goebbels:

"Plus le mensonge est gros, plus il prend!" (D.O. 14 à 16).

Plus loin dans son livre, l'auteur écrit:

17 - 26 septembre, 14h30, Chabeuil, Drôme.

Mme Lucette Leboeuf.

Le témoin voit d'abord un petit être (lm10) qui surgit d'un champ de maïs, revêtu d'un scaphandre transparent de la tête aux pieds. Il avance en sautillant vers Mme Leboeuf. Effrayée, elle se cache derrière une haie d'où elle remarque une soucoupe ressemblant à une grosse toupie mécanique d'enfant mais à dessus plat (sic) qui s'élève de derrière le champ de maïs. L'appareil émet un léger ronronnement et disparaît à très grande vitesse avec un sifflement bizarre. A noter que le chien du témoin ainsi que ceux des alentours se sont mis à hurler à la mort juste avant l'incident.

Sources: Ouranos n°13, 1er Trimestre 1955, pages 19 à 21 (Enquête de R. Arnaud qui situe l'affaire au 28, erreur manifeste. Voir D.O. 15 et 16).

Nota: Là aussi les "socio-psychologues" s'en sont donnés à cœur joie pour banaliser cet incident. Un certain Caudron a même prétendu qu'il s'agissait d'une histoire inventée par Mme Leboeuf pour cacher un rendez-vous galant à son mari! Voir aussi au chapitre 2, le cas n°20, où les élucubrations de Barthel & Brucker sont déboulonnées par la contre-enquête de... Michel Figuet (Son catalogue, p. 86).

Le rapport de R. Arnaud (Ouranos) signale que Mme Leboeuf dut faire face à l'époque aux moqueries de son entourage... et des journalistes! Déjà, pourrais-je dire...

[Ref. krs1:] KEVIN RANDLE ET RUSS ESTES:

Les auteurs indiquent que le 26 septembre 1954, à Valence, France, pendant qu'elle ramassait des champignons dans les bois, une femme a vu un petit humanoïde, dont elle a pensé que c'était un épouvantail. Il semblait porter une tenue de plongée avec un casque trasparent. Quand il s'est mis a se déplacer vers elle, elle a fui, terriblement effrayée. Quand elle a regardé en arrière, la créature était partie. Quelques instants plus tard elle a entendu un fort sifflement et a vu un objet en forme de disque s'élever depuis les bois. Des indices d'un atterrissage ont été trouvés plus tard.

[Ref. jve5:] JACQUES VALLEE:

144 -005.01930 44.90100 26 09 1954 14 30 1 CHABEUIL -DROME F 011122 C** 131

[Ref. jve2:] JACQUES VALLEE:

L'auteur indique que le 26 septembre 1954 à Chabeuil, Mme Leboeuf a été soudainement confrontée à un individu qui avait l'air d'un "enfant dans un sac de plastique, avec des yeux plus grands que des yeux humains." L'individu est entré dans une machine circulaire plate qui s'est envolée en direction du nord-est avec un doux sifflement.

[Ref. agd1:] ALAIN GAMARD:

Scan.

N° de cas Date Heure Localisation Département Nom témoin(s)
022 26/09/1954 14.30 Chabeuil. 26 Mme.Leboeuf.

[Ref. cgu1:] CHARLES GARREAU:

Le 26 septembre 1954, à Chabeuil (Drôme), une promeneuse, Mme Leboeuf, se trouve en présence d'un être "à la figure bien humaine mais très petit." Il portait un scaphandre, qui semblait transparent: on aurait dit "un gosse sous cellophane. Il n'avait pas de bras, ou ceux-ci étaient collés au corps." Poursuivant son récit, Mme Leboeuf explique ensuite qu'elle a vu "un engin s'élever du champ. Il s'est éloigné en rasant le sol..." Les gendarmes retrouvent les traces laissés par l'engin: une surface circulaire de 3,50 m environ de diamètre, des arbrisseaux et des buissons écrasés, des branches cassées. De plus, les premiers pieds de maïs rencontrés par l'engin au moment de son décollage étaient couchés. Autant de constatations qui confirment à 100% le récit de Mme Leboeuf, et attestent qu'elle n'a pas été victime d'une hallucination ou d'une "rêve éveillé."

[Ref. gab1:] GROUPE D'UFOLOGIE "G.A.B.R.I.E.L.":

Scan.

Les "Soucoupes Compactes"

[... autre cas...]

N° 3. 26/09/1954 Chabeuil (Drôme) 14h30; diamètre 4m.

[... autre cas...]

Ces quatre appareils correspondent à ce que l'on appelle vulgairement des "Soucoupes Volantes", ils ressemblent souvent à des assiettes renversées. Nous les avons qualifiés "Compacts" car ils ne laissent apparaître aucune structure et que les seuls éléments repérables sur chacun d'eux sont souvent constitués par de simples taches de lumière.

[Ref. gab2:] GROUPE D'UFOLOGIE "G.A.B.R.I.E.L.":

"Martiens" de type A N T

26/09/1954 Chabeuil (Drôme)

Ce dimanche, vers 14h30, Mme Leboeuf se trouva soudain face à face avec un "épouvantail". C'était une sorte de petit scaphandre en matière transparente de lm à 1,10m de haut. La tête était une sorte de casque en forme de cloche également translucide... Soudain, Mme Leboeuf se rendit compte qu'il y avait quelque chose à l'intérieur et que ce quelque chose la regardait. Derrière la transparence assez floue de la tête se trouvaient deux yeux bien plus grands que les nôtres. La figure semblait humaine et à la place des cheveux, il y avait une sorte de masse noirâtre... Les bras n'étaient pas apparents (comme dans le cas Delwide). L'être avança d'une démarche dandinante. Le témoin prit la fuite. Plus tard, Mme Leboeuf devait dire que les yeux étaient étonnamment humains, fixes, brillants, expres¬sifs et intelligents... (J. Guieu; OURANOS)

Cette description est tout à fait typique. Elle reste vague, un seul point est précisé: les yeux. S'il n'existait qu'elle, il serait impossible d'établir un portrait robot du personnage. Heureusement, elle se trouve complétée par des dizaines d'autres. Les "Martiens" de ce type sont, et de loin, les mieux connus. Ils apparaissent d'ailleurs dans la majorité des cas (plus de 50% des observations), leur particularité étant la taille anormale de leur tête (T) et de leus yeux.

[Ref. gab3:] GROUPE D'UFOLOGIE "G.A.B.R.I.E.L.":

Nous avions aussi noté le fait que parfois la transparence du casque était assez imparfaite (flou noté par M. Gatey le 30/09/1954 à Marcilly sur Vienne et par Mme Leboeuf le 26/09/1954 à Chabeuil). Nous avions mis cela sur le compte d'un reflet ou d'une forme particulière de matière pouvant être parfaitement transparente de l'intérieur et semi-opaque à l'extérieur. De tels corps existent d'ailleurs dans notre propre technologie. Puis, nous avions classé l'affaire. A première vue, nous avions résolu le problème, mais un jour l'un d’entre nous eut cette réflexion: "Et si leur vision était différente de la nôtre?".

[Ref. dbr1:] ISABEL DAVIS ET TED BLOECHER:

33. Rencontre à Chabeuil (Drôme), le 26 septembre, par Mme. Lucette Laboeuf-Salin: London Evening News, 1er octobre; France Dimanche, 3 octobre; Le 1er octobre et plus tard, dans de nombreux journaux américains; Rapport spécial d'enquête personnelle de Pierre Bouvard, 3 décembre 1954; Aimé Michel, Flying Saucers and the Straight Line Mystery: Criterion Books, New York, N.Y. (1958), pp. 82-84.

[Ref. cgu2:] CHARLES GARREAU, HISTORIA:

Pour Historia, Charles Garreau rappelle le cas. Il indique que Chabeuil est un gros bourg de la Drôme, à une dizaine de kilomètres au sud-est de Valence. Il indique que ce dimanche 26 septembre 1954, il faisait très beau, quand vers 14:30, Mme Leboeuf a décidé d'aller aux champignons dans les bois du château. Sa petite chienne, Dolly, gambadait à ses côtés, quand soudain elle s'est mise à aboyer, attirant l'attention de sa maîtresse.

Garreau donne le récit suivant de Mme Leboeuf:

"Elle était en arrêt, en bordure d'un champ de maïs. Je crus tout d'abord qu'elle japait après un épouvantail. Mais, en m'approchant, je m'aperçus que cet "épouvantail" avait deux yeux, un peu plus gros que les nôtres, et qui me fixaient. Je réalisai que j'étais en face d'un "être", à la figure bien humaine, mais très petit. Il portait un scaphandre, qui semblait transparent. On aurait dit un gosse sous cellophane. Il n'avait pas de bras, ou ceux-ci étaient collés au corps. J'étais clouée sur place par la peur. Cette créature s'est mise à avancer vers moi. J'ai hurlé de terreur, et je me suis enfuie vers la haie, où je me suis blottie. Je ne voyais plus personne devant le champ de maïs. Mais presque aussitôt s'est élevé du champ un engin en forme de grosse toupie, avec le dessous plat. Il s'est éloigné en rasant le sol, avec un léger sifflement."

"Arrivé au bout du champ, il est passé de la position horizontale à la position verticale, et il est monté à une vitesse incroyable..."

Charles Garreau rappelle qu'à l'endroit du boqueteau d'où "l'engin" s'était élevé, les gendarmes avaient découvert une surface circulaire de 3,50 m environ de diamètre, avec des arbrisseaux et des buissons écrasés, des branches cassées. De plus, les premiers pieds de mais rencontrés par l'engin au moment de son décollage étaient couchés en lignes rayonnantes.

Il précise que Mme Leboeuf a été très choquée et dut rester deux jours alitée, souffrant d'une forte fièvre. Il ajoute que dans leur rapport d'enquête, les gendarmes notèrent que la peur avait entraîné chez elle des troubles qualifiés de "strictement féminins". Quant à Dolly, elle resta pendant trois jours tremblante et craintive.

[Ref. cln1:] CORAL ET JIM LORENZEN:

Ces auteurs américains ont noté que le 26 septembre 1954, Mme Leboeuf, de Valence, France, était allé cueillir des champignons dans les bois non loin du cimetière de Chabeuil à environ quatre heures quand il y avait quelques personnes visitant le cimetière. Son chien a commencé à aboyer et ensuite à hurler comme s'il souffrait, ainsi le Madame Leboeuf a regardé aux alentours et a vu que l'animal se tenait au bord d'un champ de blé devant quelque chose qu'elle a d'abord pensé pouvoir être un épouvantail. Mais en approchant de son chien, elle a vu que "l'épouvantail" était une certaine sorte de combinaison qui a semblé être faite d'un matériel translucide, d'environ 3 pieds ou un peu plus, avec un casque également translucide.

Elle s'est soudainement rendue compte que quelque chose était à l'intérieur de cette tenue et la regardait, elle a dit plus tard qu'elle a eu l'impression d'yeux qui semblaient plus grands que des yeux humains. Cette chose a alors commencé à se déplacer vers elle avec une sorte de démarche en dandinement ou sautillante rapide. Mme Leboeuf qui était seulement légèrement étonnées et curieuse initialement, est devenu effrayée, a crié et s'est caché dans un bosquet voisin. Quand elle a de nouveau regardé, il n'y avait désormais rien d'inhabituel. Cependant, son chien avait recommencé à hurler et les autres chiens dans le village ont également hurlé maintenant.

Elle a vu ensuite un grand objet circulaire et légèrement aplati, d'aspect métallique, s'élever de derrière les arbres voisins et bouger à basse altitude, avec un bruit sifflant pendant qu'il volait. Ce le disque a gagné de l'altitude en traversant par au-dessus le champ de blé, puis a viré, et a volé au loin de plus en plus vite et de plus en plus haut, vers le nord-est.

Son mari avait entendu son cri perçant, et avait entendu le bruit de sifflement, et a couru à elle, de même qu'une partie des gens au cimetière de sorte que presque tout le village ait été sur place rapidement. A l'endroit où le disque avait été, il y avait un secteur circulaire d'environ dix ou onze pieds de diamètre dans lequel les arbustes et les buissons avaient été écrasés. Une branche de trois pouce sur un acacia au bord du secteur circulaire était cassée comme si il y avait eu pression d'en haut. Une branche sur un autre acacia accrochée au-dessus du secteur circulaire était dépouillée de ses feuilles. Sur quelques mètres au début du champ de blé à travers lequel l'objet avait volé, le blé a été aplati en lignes rayonnantes.

La police et les journalistes ont noté que Mme Leboeuf était en état de nerveux, ils ont noté les traces dans la végétation, et le nombre de personnes qui avaient entendu le bruit de sifflement. Mme Leboeuf a souffert d'un état d'effondrement nerveux et a passé deux jours alitée avec une forte fièvre, tandis que son chien apparaissait encore effrayé durant les trois jours suivants.

[Ref. jve1:] JACQUES VALLEE:

156

26 Septembre 1954, 14h30, Chabeuil, (France)

Mme Leboeuf se trouva soudain devant une créature ressemblant à "un enfant dans un sac en plastique, avec des yeux plus grand que les yeux humains." Cette créature entra dans une machine plate et circulaire qui décolla vers le Nord-Est avec un faible sifflement. Traces. Témoins fortement impressionnés. (Le Figaro, Combat, le Parisien, 30 Sept. 1954) (17; Carrouges 116; Anatomy 70; Magonia.)

[Ref. obr1:] OTTO BINDER:

Le 26 septembre 1954, à Chabeuil, France, 16:00. M. et Mme. Leboeuf sont allés cueillir des champignons dans les champs. Dans champ de blé la femme a crié tandis qu'elle voyait un homme de trois pied de haut dans un "scaphandre."

Elle a couru et s'est cachée dans un buisson. Regardant dehors, elle a bientôt vu un grand objet métallique, circulaire mais plutôt plat, s'élever vers le haut derrière les arbres voisins avec un léger bruit de sifflement. Traversant le champ de blé à un niveau bas, l'OVNI a alors viré au nord-est à vitesse énorme.

Après que Mme Leboueuf ait appelé son mari et voisins, ils ont trouvé une zone où des arbustes avaient été aplatis sur un diamètre de 11 pieds. Alité pendant trois jours avec une crise nerveuse, la femme a décrit comment deux yeux l'avaient regardé hors du casque du scaphandre, mais ils étaient "plus grand que des yeux d'humains," et la créature, quoi qu'elle ait été, marchait avec une démarche de dandinenent. (De "La Référence.")

L'histoire de cette femme, très probablement honnête, ne doit pas être confondue avec les élaborations des "contactés". Le contacté continuerait et affirmerait avoir parlé par télépathie avec les petits hommes, qui l'auraient invité pour un tour dans leur soucoupe et lui auraient dit qu'ils étaient sur terre pour nous sauver de la guerre nucléaire ou pour apporter la prospérité universelle. Selon l'imagination et le culot des contactés, il pourrait même franchement affirmer qu'il a été emmené sur Vénus et est revenu, et y a vu une puissant civilisation, etc., etc., etc.

[Ref. ous1:] MAGAZINE D'UFOLOGIE "OURANOS":

Scan.

RAPPORTS D'ENQUÈTES

sur l'observation d'un "Ouranien" (1). le 28 sept. 1954 à Chabeuil (Drôme)

1er Rapport. -- Enquêteur: M. R. ARNAUD, Ing. E. C. P., Membre du Comité d'étude Ouranos.

Témoin principal: Mme LEBOEUF, 32 ans, à Chabeuil.

NOTE DE L'ENQUÊTEUR. - Pour m'aider dans mes recherches, j'ai pu compter sur:

- M. Figou, expert joaillier 45 ans -- qui, vivement intéresse par le problème s'était livré à une enquête très poussée, aidé par mon cousin le commandant R., esprit méthodique et sérieux - sur lequel on peut absolument compter pour une description objective des faits;

- Mme Leboeuf, témoin de l'apparition; c'est une véritable chance qu'elle ait été témoin du phénomène; je tiens Mme Leboeuf en réelle estime: c'est un esprit ouvert et objectif, supérieur à la moyenne que l'on trouve dans la région. J'insiste sur la qualité de ce témoin. A Chabeuil on l'a accablée de tant de moqueries, de tant de jugements injustes, qu'elle avait fini par considérer comme une véritable calamité d'avoir été l'humble témoin du phénomène.

J'ai rassuré Mme Leboeuf sur nos intentions (car certains journalistes se sont tellement joué d'elle!) et je l'ai assurée de notre sérieux, de notre souci de Vérité, et de ce [que] nous ne dévoilerions pas son adresse personnelle.

Elle a donc repris son récit - que je vous communique - appuyé par les observations de M. Figou, avec l'acquiescement du commandant R.

J'ai personnellement examiné les lieux, pour mieux comprendre les explications;

(1) Nous rappelons que nous avons choisi ce vocable général pour désigner tout être d'origine inconnue dont l'apparition semble en rapport avec le phénomène des S. V.

Scan.

- 20 -

Tel que je vous le présente. ce document n'a jamais été publié. Les faits ont été partiellement déformés et romancé par la presse et les gens du pays qui se sont moqués de Mme Leboeuf. Les témoignages de M. Figou et du commandant R. n'ont jamais été utilisés; ils ont fait leur enquête pour leur information personnelle.

RECIT DE Mme LEBOEUF. - "C'était le dimanche 23 septembre 1954, après-midi. Je m'étais rendue à Chabeuil passer la journée chez mon grand-père. J'étais allée dans les bois du château chercher des champignons. Il était environ 14 h. 30.

Le chemin longeait un champ de luzerne dont les 10 derniers mètres sont plantés de maïs. J'étais occupée à cueillir des mûres dans la haie lorsque derrière moi mon chien se mit à aboyer; il était près du champ de maïs, à l'arrêt devant ce que j'ai tout d'abord pris pour un épouvantail à moineaux.

- Faut-il que tu sois bête, mon chien, pour avoir peur d'un épouvantail! lui dis-je.

M'étant cependant approchée, je distinguai dans cet "épouvantail" deux yeux qui me fixaient, un peu plus gros que les nôtres. Je découvris alors -- tandis que la terreur s'emparait de moi - que j'étais en présence d'un être, à la figure bien humaine, mais petit. A la place des cheveux une masse noirâtre. Il était enveloppé d'un scaphandre en matière transparente, la tête dans une cloche. Il n'avait pas de bras. Il m'a fait l'impression d'un enfant, pas plus haut que 1m. 10, mis dans un sac de cellophane.

Dès que l'"épouvantail" a fait le geste de s'approcher de moi, alors que j'étais clouée d'effroi, j'ai hurlé; puis je me suis enfuie à toutes jambes, me jetant la tête la première dans la haie où je me suis tapie.

Combien de temps y suis-je restée? je n'en sais rien. Devant le maïs, je ne voyais plus personne. Mais du maïs s'est élevée une soucoupe volante. Elle est partie en rasant le sol. Elle ne faisait pas plus de bruit qu'une grosse toupie qui ronfle, avec un léger sifflement. Elle n'allait pas vite. Arrivée au bout du champ, de la position horizontale elle a basculé en position verticale, et "vrout..." elle est montée à une allure vertigineuse."

OBSERVATION DE M. FlGOU APRÈS L'APPARITION. -- Description des lieux. - Petit plateau de 2 ha, en forme de trapèze, dont deux côtés (sud et ouest) surplombent le cimetière et la ville (à 300 m.) et sont entourés de broussailles et d'acacias. Le champ était planté en luzerne et se terminait à l'ouest par 10 rangées de maïs, derrière lesquelles, à faible distance, s'alignaient acacias et broussailles.

Observation des traces. - 1° Dans la première rangée de maïs, la plus proche des acacias) 7 pieds sont couchés en forme rayonnante (apparemment sous le poids d'un engin de forme circulaire);

2° Une branche d'un acacia est cassée sous l'effet d'un effort dirigé de haut en bas; il s'agit d'une branche de 8 cm. de diamètre;

3° Sur un acacia proche, une branche à 2 m, 50 du sol est complètement effeuillée;

4° Les arbrisseaux sous les acacias (aubépines, journalières) sont couchés, cassés, tassés, pliés comme s'ils avaient reçu un choc important;

5° Il existe un trou dans l'herbe, de 15 cm. de diamètre, situé sur la périphérie d'une trace circulaire relevée.

Ainsi tout porte à croire qu'un engin de forme circulaire, d'un diamètre de 3m. à 3 m, 50, s'est posé obliquement sur le sol vers les pieds d'acacias, puis s'est couché sur le maïs (puisqu'il n'y a pas de tassement de celui-ci et qu'il est seulement couché).

Les lieux

Conditions atmosphériques. -- Temps gris et maussade. Très légère ondée après l'apparition.

Nota. -- Le mari de Mme Leboeuf, ancien aviateur, qui se trouvait à 2OO m. des lieux, aurait entendu un sifflement "distinct du bruit des avions à réaction" au moment de l'apparition. D'autre part, certains témoins, que M. Figou n'a pu contacter, auraient remarqué sur les lieux des empreintes de pas "comme une grosse patte de chien avec, derrière, un talon étroit".

2me Rapport. -- Enquêteur: M. Pierre BOUVARD, Membre de la C. I. E. Ouranos et de l'A. M. I. ["Association Mondiale Interplanétariste", groupe d'ufologie qui venait d'être formé] (Rapport transmis par cet organisme).

NOTE DU SERVICE D'ENQUETE C. I. E. OURANOS. - M. Pierre Bouvard, et M. R. Arnaud auteur du précédent rapport, ont effectué leurs enquêtes à l'insu l'un de l'autre. Ils ne se connaissent pas et n'ont jamais été en contact.

Scan.

- 21 -

DECLARATIONS DE Mme LEBOEUF. -- "C'était le 23 sept. 1954. Je me trouvais à Chabeuil, petit village situé à 14 km. à l'est de Valence. J'avais avec moi ma chienne no1re Dolly qui folâtrait â proximité. J'étais dans un chemin creux, à quelque distance du cimetière et je ramassais des mûres. J'appelai ma chienne et, comme elle arrivait près de moi, elle tomba en arrêt et se mit à hurler à la mort (j'ai remarqué à ce moment-là que les chiens des maisons voisines, qui étaient attachés, hurlaient également à la mort). Surprise par ces aboiements, bizarres et sinistres je levai la tête et je vis, à 2 m, 50 de moi, un être vivant immobile qui me regardait fixement (petite taille, 1 m, 10 à 1 m, 15). Je me demande encore depuis combien de temps il me regardait ainsi.

Il paraissait être enveloppé d'un scaphandre transparent des pieds à la tête; visage presque humain; je n'ai pas vu d'oreilles; vision un peu floue à travers 1e scaphandre; yeux humains fixes et brillants, expressifs et intelligents; je n'ai pas distingué de bras, ceux-ci étaient peut-être collés au corps; Je n'ai pratiquement pas examiné le corps, j'ai surtout regardé ses yeux, qui ne cessaient de me fixer.

Lorsque je l'eus aperçu, i1 se rapprocha de moi en sautillant, sans s'occuper de ma chienne qui aboyait après lui. Les journalistes auraient relevé par la suite une empreinte ressemblant à une grosse patte de chien avec un talon.

Prise de peur, je me suis sauvée en criant et je me suis cachée dans un buisson. La peur me faisait claquer des dents. Presque aussitôt, à 5 m, de moi j'ai vu s'élever au-dessus du champ de maïs un engin en forme de soucoupe, d'un diamètre de 4 m. environ, ressemblant à une grosse toupie mécanique d'enfant, mais avec le dessous plat.

Le temps était gris; il venait de pleuvoir une heure avant. L'engin avait une couleur sombre, gris sale et terne. Je n'ai remarqué ni lumière, ni hublot. De ma place, je n'ai pû à aucun moment distinguer l'engin lorsqu'il était posé au sol. Il s'est élevé lentement au-dessus du champ de maïs, horizontalement, et j'ai perçu un léger ronronnement pendant ce mouvement, puis, lorsqu'il est arrivé au dessus du champ de luzerne, il a basculé de 90° (position verticale) et a disparu en direction nord-est, à une vitesse vertigineuse, en émettant un sifflement bizarre. Je n'ai pas remarqué de mouvement giratoire.

Un médecin de Chambéry aurait aperçu une soucoupe volante 5 minutes après, venant de la direction de Chabeuil, il se pourrait donc que ce soit la même. (1)

Les gens du cimetière ont entendu les hurlements de ma chienne ainsi que le sifflement de l'engin. Mon mari, qui a été dans l'aviation, et qui se trouvait à proximité, a également entendu ce sifflement et s'est parfaitement rendu compte qu'il ne s'agissait pas d'un avion à réaction. Ils sont venus et ils m'ont trouvée dans le buisson; j'étais comme paralysée et je ne pouvais pas appeler,

Plusieurs personnes se sont rendues quelques instants après sur les lieux d'atterrissage de la soucoupe. Ils ont remarqué une aire d'environ quatre mètres de diamètre où la terre et l'herbe étaient tassées; plusieurs plants de maïs étaient écrasés; les branches des acacias qui se trouvaient autour étaient comme raclées et plusieurs étaient cassées, ceci jusqu'à une dizaine de mètres de hauteur, environ. Ils ont retrouvé des feuilles par terre.

Je ne suis ni folle, ni peureuse et il m'en faut beaucoup pour m'émouvoir. Je suis néanmoins restée deux jours couchée avec la fièvre. De plus, ma chienne Dolly a tremblé et pleuré pendant trois nuits consécutives. Ce n'est qu'au bout de deux jours que j'ai informé la presse.

Je crois maintenant aux soucoupes volantes, et mon mari aussi."

(1) Il s'agit du Dr Martinet, dermatologiste. Mais c'est seulement à 17 h. 12, donc un peu plus tard que ne le pense Mme Leboeuf qu'il aperçut la soucoupe à l'aplomb de la Croix de Nivollet, alors qu'il revenat en voiture du Col du Chat. Il en observa les évolutions, ainsi qu'une quinzaine d'autres personnes, pendant 4 minutes et en évalua l'altitude à 2.000 m environ (le témoin est ancien observateur d'artillerie), avant qu'elle ne descende en feuille morte, puis ne disparaisse brusquement à la verticale. Comme la S. V. de Chabeuil, celle-ci était convexe à la partie supérieure et de couleur grise.

[Ref. lgs5:] LOREN GROSS:

Mme. Leboeuf et "la chose", 26 septembre.

Une Mme. Leboeuf s'est rendue à Chabeuil, en France, l'après-midi du 26 septembre pour rendre visite à son grand-père. Elle a fini par être terrorisée.

Il semble qu'après son arrivée à Chabeuil, Mme. Leboeuf et son mari ont décidé de chercher des champignons comestibles dans la région. Tout en ratissant le sol près d'une plantation de maïs, Mne. Leboeuf s'est séparée (à 100 mètres) de son mari. Seul Dolly, le chien de la famille, se trouvait dans son voisinage immédiat. Ce même animal se mit soudain à aboyer et à hurler, attirant l'attention de sa maîtresse qui regarda autour d'elle pour déterminer la cause de la protestation de Dolly. Mme. Leboeuf a repéré Dolly près du maïs à quelques mètres de là face à une silhouette étrange qu'elle a d'abord supposée être une sorte d'épouvantail. Regardant plus attentivement, Mme. Leboeuf a fait de "l'épouvantail" un "petit homme" d'environ trois pieds de haut vêtu d'un "scaphandre" translucide. Elle croyait aussi qu'elle pouvait distinguer une paire "d'yeux plus grands que ceux des humains" qui la regardaient droit dans les yeux, des yeux pas clairement discernables derrière le matériau semi-transparent du casque de la "chose". 124.

Une autre source cite Lenoeuf disant:

"Il semblait être enveloppé de la tête aux pieds dans une sorte de combinaison de plongée - ses oreilles et une partie de son visage étaient cachées par celle-ci. Ce que je pouvais voir de son visage était presque humain - il avait des yeux humains, expressifs et intelligent. Je ne distinguais pas ses bras: ils semblaient être serrés contre son corps. Mais je ne pouvais détacher mes yeux des siens, qui ne quittaient pas un instant mon visage. Au bout d'un moment, il vint vers moi en sautillant, sans faire attention à mon chien, qui aboyait violemment après lui." 125.

Alors que le "petit homme" s'acharnait sur elle, Mme. Leboeuf a crié et s'est enfuie, essayant de s'échapper en plongeant dans un buisson. Pendant ce temps, Dolly, le chien, a commencé un hurlement misérable qui a déclenché celui de tous les autres chiens à portée de voix. Si cela ne suffisait pas à énerver la femme, ce qui s'est passé ensuite aurait dû le faire lorsqu'une grosse machine en forme de soucoupe s'est élevée derrière les arbres à proximité, la machine s'éloignant et émettant un son aigu et perçant.

Le hurlement du chien, le cri et le sifflement étrange ont poussé le mari à se précipiter à la rescousse et juste en quelques instants, l'homme a atteint sa femme qui s'était effondrée de peur. Dolly était également dans un état nerveux extrême, l'animal tremblant tellement qu'il n'a pas cessé de trembler pendant trois jours.

Certaines personnes qui se trouvaient en visite dans un cimetière voisin avaient également entendu le vacarme et elles sont rapidement apparues sur les lieux pour porter secours. La nouvelle se répandit rapidement et bientôt tous les habitants du village de Chabeuil se rassemblèrent sur le lieu de la rencontre avec le "petit homme".

En dépit d'être sous le choc, Mme. Leboeuf réussit à raconter les détails de son étrange expérience. De nombreux villageois ont déclaré avoir entendu un bruit strident qui tendait à confirmer l'histoire de Mme.Leboeuf, mais plus impressionnantes étaient les traces physiques apparemment causées par le "vaisseau". À l'endroit où l'étrange machine s'était apparemment posée, un cercle de végétation écrasée a été trouvé qui mesurait environ une douzaine de pieds de diamètre. De plus, un grand acacia qui s'étendait sur la trace circulaire avait une branche de trois pouces d'épaisseur cassée par une pression appliquée par le haut, et une autre branche qui s'étendait dans le "site d'atterrissage" a été dépouillée de toutes ses feuilles. De plus, dans la direction où la machine est partie, il y avait de l'herbe aplatie dans un motif de lignes rayonnantes.

La rencontre de Mme. Leboeuf a été largement médiatisée, faisant sensation. 126. L'ufologue Bill Chalker commenta beaucoup plus tard: "Les critiques qui assuraient que les signalements d'OVNIS étant le résultat d'une perception erronée de choses prosaïques considéraient Chabeuil (affaire Leboeuf) comme 'solide'." 127.

Les sources sont décrites plus loin comme:

124: "Paris, France. Le Parisien Libere. 30 septembre 54."
125: "Ibid"
126: "Ibid"
127: "Chalker, Bill. "Physical Traces." UFOs 1947-1987, The 40-Year Search for an Explanation. Hilary Evans éd., Londres-Angleterre: Fortean Time, 1987. p. 183."

[Ref. lgs3:] LOREN GROSS:

Loren Gross reproduisait cette coupure de journal, sans en indiquer les références:

Scan.

CARROUSSEL DE SOUCOUPES VOLANTES
dans le ciel de France

Un des engins aurait été filmé

Lyon 29 septembre -- Dans les départements du Rhône, de l'Isère, de la Drôme et de la Savoie, de nombreuses personnes affirment avoir vu ces derniers jours, avec plus ou moins de netteté, des engins ayant soit la forme de cigares soit celle de disques.

Dans la région de l'Arbresles (Rhône), l'un de ces témoins, directeur d'un music-hall parisien, a même filmé un de ces mystérieux appareils qui évoluait à une hauteur estimée par lui à environ 700 mètres. On saura ainsi après développement du film s'il s'agit ou non d'une illusion d'optique.

Près de Feyzin (Isère), un jeune homme aurait aperçu dans la campagne, non loin du sol, un engin ayant la forme d'un dôme et d'où jaillissait une lumière très vive. Le témoin la compara à celle provoquée par la combustion du magnésium. L'appareil, brusquement, monta à la verticale en laissant derrière lui une gerbe d'étincelles et disparut.

Dans la Drôme, une habitante de Valence, Mme L... qui se promenait près de Chabeuil, prétend avoir rencontré dans le chemin qu'elle suivait, un être de petite taille vêtu si bizarrement qu'elle crut tout d'abord qu'il s'agissait d'un épouvantail en cellophane. Le

Suite en 12e page.

chien qui accompagnait la promeneuse aboya furieusement pris de terreur. Quant à Mme L... terrifiée également, elle se cacha derrière une haie.

C'est alors qu'elle vit s'élever du champ de maïs qui bordait le chemin, un disque d'où émanait un sifflement. Peu après, le témoin et des paysans se rendirent dans le champ où, selon eux, se distinguait nettement une trace circulaire d'environ trois mètres de diamètre, avec épis de maïs couchés et branches cassées en bordure.

D'autres habitants de Chabeuil ont également déclaré avoir aperçu, ce jour-là, une soucoupe volante évoluant au-dessus de la campagne.

Enfin en Savoie près du lac du Bourget, au-dessus du mont Revard, plusieurs automobilistes, au total une quinzaine de personnes, ont vu simultanément un appareil ayant la forme d'un disque évoluer pendant environ quatre minutes, puis disparaître brusquement.

L'un des témoins, un médecin de Chambéry, est un ancien observateur d'artillerie. Il nota avec soin les observations et dessina un schéma reproduisant le trajet de l'appareil mystérieux.

Dans le Sud-Ouest

Perpignan 29 septembre. -- Un boulanger de Canet-Plage, M. Etienne Err, a déclaré qu'au retour d'une tournée de livraison avec sa camionnette, il avait aperçu, au-dessus de cette localité, un disque brillant qui, après avoir décrit de grands cercles, s'éloigna en direction de la mer.

D'autre part, sept ouvriers d'une usine de la banlieue de Perpignan affirment avoir aperçu également un objet d'une couleur indéfinissable évoluant à grande vitesse, et qui aurait franchi les Pyrénées en direction de l'Espagne.

***

Toulouse, 29 septembre. -- Trois habitants de Lanta, près de Villefranche-de-Lauraguais (Haute-Garonne), M. et Mme Brunet et M. Gadra, instituteur de la localité, affirment avoir aperçu, hier soir, au-dessus du village, un disque lumineux de couleur orange.

L'objet évoluait à une grande hauteur et se déplaçait en direction nord-sud.

Après avoir été visible pendant trente à quarante secondes, le disque lumineux a disparu à l'horizon.

A la vue d'une "soucoupe" un chauffeur de locomotive tombe malade

Rennes, 29 septembre. -- MM. Gérard, mécanicien, et Paroux, chauffeur, qui conduisaient une machine haut-le-pied venant de Nantes, aperçurent, hier soir, alors qu'ils passaient au lieu-dit "La Butte du Rouge", commune de Saint-Nicolas de Redon (Ille-et-Vilaine), un engin qui s'élevait des marais voisins.

Cet engin d'une certaine longueur qui était suivi d'une traînée lumineuse vola pendant une dizaine de secondes au-dessus de la machine et disparut dans le ciel.

Si le mécanicien conserva tout son calme, le chauffeur en revanche fut si effrayé qu'il tomba malade et dut passer une visite médicale ce matin.

[Ref. mtn1:] MARC THIROUIN:

Cet ufologue donnait des exemples de l'effet des moqueries journalistiques sur les témoins, dont:

L'affaire Leboeuf, de Chabeuil. - Quant à cette affaire, on peut teujours, si on en a le coeur, essayer de glaner de nouveaux renseignements auprès du témoin, à condition d'avoir découvert son adresse, comme en a faît l'expérience, il y a trois mois, un particulier bien intentionné qui s'était mis en téte de refaire notre enquê sous sa propre responsabilité. On ne devra en aucun cas s'étonner des réactions du témoin...

[Ref. gcn1:] GORDON CREIGHTON:

35. Chabeuil, France (26 septembre 1954)

Mme. Leboeuf a rencontré un petit "épouvantail" emballé de plastique et a peu après vu un disque décoller. En même temps son chien Dollie, et tous les autres chiens dans le village, aboyaient furieusement.

Aimé Michel: Flying Saucers and the Straight Line Mystery, p. 82.

[Ref. amn1:] AUGUSTE MEESSEN:

Après la rencontre d’un petit être humanoïde, on vit décoller un disque et l’on constata qu’à cet endroit les buissons et les arbustes avaient été écrasés, qu’une branche d’acacia de plus de trois pouces était ployée vers le bas et qu’une autre branche d’acacia de plus de 3 pouces, se trouvant A 2,5 m, était complètement défeuillée. De plus dans la direction du décollage de l’engin, le blé était aplati en lignes rayonnantes (26.9.1954, France: 1, 34).

La source "1" est détaillée dans les références comme "The reference for outstanding UFO sighting reports, UFO Information Retrieval Center, 1966 (P.O. Box 57, Riderwood, Maryland, 21139, USA)."

[Ref. ldl3:] MAGAZINE D'UFOLOGIE "LUMIERES DANS LA NUIT":

Dans une liste de cas que le magazine appelait à enquêteur ou ré-enquêter, on trouvait:

"156 26-9-54 Chabeuil"

[Ref. gcn2:] GORDON CREIGHTON:

39. Chabeuil, Drôme, France - 26 septembre 1954.

Mme. Leboeuf, qui cueillait des plantes sur le bord de la route, se trouva nez à nez avec un petit être qui semblait enveloppé de cellophane et qui se dandinait vers elle. Pendant ce temps, sa chienne hurlait à mort, comme tous les chiens du village. Traces d'un objet circulaire découvert peu après dans un champ et sur un arbre.

Réf. Aimé Michel: Flying Saucers and the Straight Line Mystery, p. 82.

[Ref. prn1:] PETER ROGERSON:

Scan.

330 26 septembre 1954 1430 CHABEUIL (FRANCE)

A la ceuillette dans les bois, Mme. Leboeuf, alertée par le hurlement de son chien, est soudainement confrontée à une créature de 1 m de haut, ressemblant à "un enfant dans un sac en plastique, des yeux plus grands que des yeux humains", qui bougeait avec une démarche de dandinement. Cette créature est entrée dans une machine plate et circulaire qui a décollé vers le nord-est avec un sifflement doux que plusieurs autres personnes ont entendu. De nombreuses traces ont été trouvées. Le témoin était en état de choc.

(Ml56; Le Figaro, Combat, Le Parisien, 30 septembre 19541 Carrouges, 116; Anatomy, 70; Magonia, 54; Michel II, 82; Constance, 245)

[...]

Notes

330 Michel gives the time as 1605.

[Ref. tps1:] TED PHILLIPS:

Scan.

26 Sept. 1954
071 1600

FRANCE, Chabeuil. Madame Leboeuf était allée cueillir des champignons dans les bois non loin du cimetière de Chabeuil. Le chien a commencé à aboyer puis a commencé à hurler comme s'il était misérable. Madame Leboeuf regarda autour d'elle et vit que le chien se tenait devant quelque chose qu'elle crut d'abord être un épouvantail. En s'approchant du chien, elle a vu que l'épouvantail était une sorte de créature en combinaison de plongée. La créature mesurait moins de 3,5 pieds. Elle se dirigea vers elle avec une sorte de marche rapide et dandinante. Le témoin a couru dans un fourré voisin, à ce moment-là, le chien hurlait à nouveau, accompagné des hurlements des autres chiens du village. Un grand objet circulaire et quelque peu aplati d'apparence métallique est monté des arbres voisins et s'est éloigné à basse altitude en faisant un sifflement pendant qu'il volait. A l'endroit où l'objet s'était élevé, une zone circulaire a été trouvée. Sur environ 11 pieds de diamètre, les arbustes et buissons ont été écrasés. Sur quelques mètres au début du champ de blé, au-dessus duquel l'objet avait volé, le blé était aplati en ligne rayonnante (APRO)

[Ref. gal1:] CHARLES GARREAU ET RAYMOND LAVIER:

Les deux auteurs et ufologues notent que le cas à Chabeuil dans la Drôme le 28 septembre 1954 vers 14:30 est un des plus connus de cette année et en donnent l'aperçu qui suit en indiquant que leurs sources sont des coupures de presse et leurs dossiers personnels.

Mme Leboeuf était en promenade en bordure du bois du château en cueillant des mures, quand sa petite chienne se mit à aboyer derrière elle. La chienne était en arrêt devant ce que Mme Leboeuf a d'abord pris pour un épouvantail.

Garreau et Lavier donnent son récit:

"Mais en m'approchant, je m'aperçus que cet épouvantail avait deux yeux, plus gros que les nôtres, qui me fixaient. Je réalisais que j'étais devant un être, à la figure bien humaine, mais très petit. Il portait un scaphandre qui semblait transparent. On aurait dit un "gosse sous cellophane." Il n'avait pas de bras, ou ceux-ci étaient collés au corps. J'étais cloué sur place par la peur. Cette créature s'est mise à avancer vers moi. J'ai hurlé de terreur et je me suis enfuie dans la haie, où je me suis cachée. Je ne voyais plus personne devant le champ de maïs. Mais presque aussitôt s'est élevé du champ un engin en forme de toupie, avec le dessous plat. Il s'est éloigné en rasant le sol, avec un léger sifflement. Arrivé au bout du champ, il est passé de la position horizontale à la position verticale, et est monté à une vitesse vertigineuse."

Les auteurs indiquent que les enquêteurs ont trouvé des traces très nette dans le champ de maïs, et que la chienne de Mme Leboeuf, Dolly, a tremblé et pleuré pendant trois jours.

[Ref. mft1:] MICHEL FIGUET:

L'ufologue Michel Figuet publie en août 1978 une contre-enquête concernant ce cas dans le magazine "Lumières Dans La Nuit." Il reprend le cas tel que donné dans le témoignage de Mme Lebeuf.

Il donne quelques informations supplémentaires: l'événement s'est produit au lieu-dit "Gontardes", soit sur carte d'état-major au 1/25000, VALENCE 7-8 26120 B.3 M.77.

Mme Lebeuf lui indique que contrairement à ce que les enquêteurs précédents ont noté, elle n'a jamais dit que les yeux de l'être la fixaient et qu'il était faux de dire qu'il s'agissait d'yeux et d'un visage humain. Son casque était brouillé, précise-t-elle.

Le reste du récit que donne Mme Lebeuf à Michel Figuet est strictement identique à ce qui a été noté par les enquêteurs en 1954.

Michel Figuet indique que "des jeunes gens qui allaient au cinéma par la route de Montvendre virent la "soucoupe" en vol." Il rapporte également l'observation du docteur de Chambéry au col du Chat 5 minutes après celle de Mme Lebeuf.

Mme Lebeuf précise à Michel Figuet qui lui montre la BD de Lob et Gigi censée raconter son histoire, qu'elle n'a jamais dit à sa chienne "N'aie pas peur, Dolly, c'est un épouvantail," car l'être n'était visible qu'une fois sorti du champ de maïs et mesurait seulement 1 m 10 de haut. Elle note que le dessin dans Lob et Gigi montrant l'être au milieu du champ est donc erroné.

Michel Figuet note que lorsque le journaliste et ufologue Jean-Louis Ruchon lui a demandé de dessiner l'être, elle a refusé de préciser certains détails sur le dessin, "sans vouloir donner la raison de son refus mais en précisant que des Scandinaves lui avaient demandé en 1954 de ne pas préciser certains points."

Il note "la proximité d'un cimetière comme dans de nombreux cas" et dit que dans ces cas "il ne peut s'agir de feu follets" qui se dégagent des endroits "ou des matières animales se décomposent."

Scan. La soucoupe volante, dessinée par Mme Lebeuf.
Scan. Le dessin de l'être par Mme Lebeuf, placé en proportion devant un champ de maïs.

[Ref. tbw1:] TED BLOECHER ET DAVID WEBB:

Scan.

54-28 Sept. 26, 1954 1430 Chabeuil, France Type C

Entendant son chien aboyer & hurler, Mme. Lucette Leboeuf a vu dans un champ de maïs un "épouvantail", qui en s'approchant à moins de 8 pieds, elle a vu être un "scaphandre" en plastique transparent de 3,5 pieds de haut. A l'intérieur était visible un petit homme aux grands yeux. Elle ne pouvait voir aucun bras. Lorsque cela a commencé à se dandiner vers elle, elle s'est enfuie. Un disque de 4 mètres a été vu s'élever avec un sifflement & s'envoler. Sur le site a été trouvé un cercle de 11 pieds de buissons cassés. Mme. Leboeuf a été alitée pendant 2 jours.

Enquêteur:

Sources: Michel, Straight Line Mystery, pp. 82f., & UFO-GIDS IV #7/8, pp. 15f.

[Ref. bbr2:] GERARD BARTHEL ET JACQUES BRUCKER:

Dans un récent numéro de LDLN (10), Monsieur Figuet (11) mène une contre-enquête sur l'affaire de Chabueil [sic]. Nous ne nous étendrons pas sur cette observation (?). A la fin de l'article, l'enquêteur semble vouloir accréditer l'observation de Madame Leboeuf par le fait qu'un docteur de Chambery (Savoie) a vu une soucoupe volante moins de cinq minutes après la vision de l'humanoïde: cas du docteur Martinet rentré indifféremment, col du Chat, croix du Nivolet ou Challes les événements du col du Chat se situent d'après nos sources vers 17 h 10, 17 h 15 ! En conséquence cette affaire ne peut en aucun cas accréditer l'observation de Chabeuil. De plus, et c'est écrit noir sur blanc dans "France Soir" du 1er octobre 1954, cet incident est dû à une confusion. En outre, d'après ce même journal la date ne serait pas le 26 mais le 29! Ceci constitue ( à nos yeux) ce qu'il serait convenu d'appeler une escroquerie à la crédibilité de l'observation.

10. N' 177, août-septembre, page 16.
11. Enquêteur de l'AAMT, Association des Amis de Marc Thirouin.

[Ref. mft2:] MICHEL FIGUET:

Courrier

FLUX et REFLUX

Stupeur et indignation sont les mots qui conviennent à la lecture d'un article intitulé "Le ressac d'une vague" paru dans le n° 3 Hors-série de notre confrère belge, la S.O.B.E.P.S. (1). Je tiens à apporter des précisions au sujet de l'affaire de Chabeuil (Drôme) du 26/09/1954 mise en accusation par MM. BARTHEL et BRUCKER puisque je suis incriminé et traité de malhonnête.

Ces derniers qui crachent dans la soupe après avoir retourné leur veste, ont la réputation d'être des ufologues en pantoufles oeuvrant pour la recherche de "leur" vérité, au téléphone et dans un bon fauteuil.

Ils n'ont jamais rencontré Mme LEBOEUF Lucette.

Les auteurs de l'article citent: "Si il faut en croire les différentes sources d'information que nous possédons, etc...". Je pense que les lecteurs de L.D.L.N. qui sont abonnés aussi à INFORESPACE se sont aperçus comme moi que ces sources d'information ne sont jamais citées.

Sur quelle base travaillent ces messieurs, peut-être de la façon dont nous avons eu l'occasion de les voir à l'oeuvre sur le petit écran lors de l'émission V3 sur FR.3. C'est à dire avec le téléphone dans une main et l'annuaire téléphonique de l'autre.

L'heure de l'observation de CHABEUIL est bien 14 h 30 (là, ces messieurs sont d'accord avec moi). La date de l'observation est bien celle du 26 septembre (un dimanche) et non celle du 29 (un mercredi) comme le prétendent les auteurs de l'article.

Mme LEBOEUF revenait de fleurir la tombe de sa grand-mère. L'article de Chabeuil a paru dans le Progrès et le Dauphiné-Libéré du 29 septembre. Je veux bien que l'information circule vite mais pour que le récit de l'observation faite à 14 h ~ paraisse dans le journal du même jour c'est impossible.

MM. Barthel et Brucker se réfèrent à France-Soir du 1/10/1954 malgré leur fâcheuse habitude de critiquer la presse de 1954 et les journalistes au sujet des O.V.N.I.

Je ne suis pas le genre d'ufologue qui croit, sans contrôle, à ce que tous les journaux de l’époque ont pu publier à propos des S,V. ou autre inepties du même genre que: "Soupières Volantes", "Pile de cigares dans le ciel" "Cornichons Volant", "Bassine volante" sans compter toute sortes de légumes ou de matériel de cuisine non moins volant.

Pourquoi Mme GUEUDELOT au sujet d'une coquille d'imprimerie parue dans la presse de l'époque qu'elle a rentré dans ses archives en y ajoutant des erreurs par rapport à Jacques Vallée (2). Il s'agit des noms des deux témoins victimes d'une soi-disant farce à Cisternes-La-Forêt le 18/10/1954. L'orthographe des noms propres à une grande importance lorsqu'il s'agit des noms de lieux (3). Mais où est l'importance de l'orthographe des noms de témoins même lorsqu'on les recherche vingt ans après? Les habitants d'un village ne connaissent pas la prononciation exacte ni même l'orthographe d'une personne mais en demandant "Celui ou œlle qui a vu un O. V .N.I.", vous avez de grandes chances d'avoir leur adresse dans les plus brefs délais.

Je n'accrédite pas l'observation de CHABEUIL (et non CHABUEIL coquille de INFORESPACE) en citant l'observation du Col du Chat. Je constate, c'est tout. La RR.3 avec évidences physiques et traces est assez intéressante comme ça.

Mme LEBOEUF, rentrée à Valence, se mit au lit avec 40° de fièvre, soignée, surveillée deux jours par le Dr. MARGOT. Ce n'est qu'alors qu'elle parla; les journaux étaient déjà informés. Alors, ce fut chez Mme LEBOEUF une promenade de personnages importants, et une pluie de lettres venant de tous pays. Elle eu beaucoup à faire pour répondre. L'un de ces envoyés par le Ministre de l'air aurait dit: "Si Mme LEBOEUF n'avait rien vu, elle n'aurait pas pu renseigner comme elle l'a fait sur des questions que l'on garde "secrètes".

N'oublions pas que deux jeunes gens venant au cinéma ont bien vu, de la route de Montélimar, la "soucoupe" monter et puis disparaître.

En ce qui concerne l'observation du Dr Martinet, il s'agit bien de 17 h 12, 17 h 14 ou 17 h 18 d'après les différents journaux de l'époque. Il y a un écart de 35 minutes environ entre cette observation et le départ de l'O. V .N.I. observé à Chabeuil et non pas 5 minutes. Il s'agit d'une coquille.

L'affaire de Missancourt (4) est-elle authentique?

On peut tout fusiller en ufologie en s'y prenant comme ces messieurs, mais c'est du travail malveillant et inutile, du sabotage organisé. Bien sOr il est utile d'épurer les fichiers des canulars et des erreurs d'interprétation', mais non au sabotage total de l'ufologie. Il ya des dessous. Le Dr Edward U. Condon s'intéressait presque exclusivement -ainsi que JUNG, WARREN et maintenant les ufologues new-look français -à la psychologie des témoins, ce qui est louable. Moi, et d'autres, nous nous intéressons à la psychologie de ceux qui réduisent le phénomène sans enquêter sur le terrain.

  1. Notre confrère belge la S.O.B.E.P.S. édite "INFORESPACE".
  2. Jacques VALLEE, auteur de "Un siècle d'atterrissage", a lui aussi fait des erreurs en ne compulsant que l'article de presse. Il lui a été impossible d'enquêter sur le terrain pour toutes les RR signalées en 1954.
  3. Au sujet du cas s'étant déroulé entre La Tessouale 493fX E2 et Loublande 79700A2M. 6716 et non LOUPLANDE, voir "OVNI: le premier dossier des rencontres rapprochées en France".
  4. Missancourt : L.D.L.N. n° 149 p. 4 à 6, enquête et montage de couverture de MM. Barthel et Brucker.

Michel FIGUET

[Ref. vau1:] BULLETIN D'UFOLOGIE "VAUCLUSE UFOLOGIE":

LA GRANDE PEUR MARTIENNE - Gérard Barthel et Jacques Brucker

Il n‘est plus nécessaire de présenter les auteurs, anciens membres de LDLN, qui sont connus auprès de tous les ufologues. Nous sommes surpris de lire de la plume de Evry Schatzman que les auteurs ont êtudié 572 cas de la vague de 1954. Car nous n'en trouvons qu'une quarantaine dans leur ouvrage. Bien entendu l'explication est donnée: ne pas lasser lelecteur. Nous pensons que le lecteur aurait aimé connaître les réductions de tous ces cas. Car bien entendu tous les cas cités dans le livre sont expliquês par une méprise ou un canular, on en déduit que les quelques 530 manquants sont du même gabarit. Autre chose de choquant: le fait que les enquêteurs ont enquêté sur le terrain. Ils l'ont sûrement fait pour quelques affaires, mais nous savons qu'en réalité c'est le téléphone qui a été l'instrument principal d'investigation... De plus notre ami Bertrand Méheust s'est livré à un petit calcul démontrant l’impossibilité de faire toutes les enquêtes sur le terrain faute de temps.

Malgré tout soyons honnête et reconnaissons que leur travail présente quand même des qualités. En effet certains cas sont très bien expliqués et sont ramenês soit à un canular soit à une méprise. Pour ne citer qu'un seul exemple prenons l'affaire de Prémanon du 27 septembre 1954. En réalité point d'ovni, point de trace au sol, point d'humnnoîde. Mais simplement une farce d'enfant née d'un devoir de rédaction à l'école qui portait sur les extraterrestres! Cette rencontre du 3° type faisait partie des grands classiques français du genre. Les auteurs nous mettent devant un autre aspect du ph6nomène ovni, mais signalons quand même que nous n'étions pas dupe de ce côté des choses, et étions conscients de la fragilité de TOUTES les enquêtes.

Le reproche que l'on pourra faire à ce livre c'est d'avoir voulu faire de sa démonstration (réductions systématiques par canulars ou méprises) une généralité, c'est-â-dire d'expliquer que TOUS les témoignages peuvent tomber dans ces cas et donc ne présenter aucune énigme. Nous pensons que certains cas, même s'ils sont rares, voir très rares, ne collent pas à la thèse de Barthel et Brucker.

Prenons un cas qui est aussi un classique du genre: l'affaire de Mme Lucette Leboeuf du 26 septembre 1954 à Chabeuil dans la Drôme. Rappellons très brièvement que le témoin a observé à deux mètres 50 de distance un être vêtu d'une combinaison, mesurant 1,10 environ. L'être bouge et quelques instants après un objet en forme de soucoupe s'élève du champs de maïs où le personnage vient d'être vu. Des traces furent observées au sol, et des effets constatés sur le témoin, et la chienne de Mme Leboeuf qui l'accompagnait à ce moment-là. La contre-enquête réalisée 20 ans après par notre ami Michel Figuet recoupe parfaitement le témoignage de l'epoque. Signalons encore que des témoins dans les environs entendirent le bruit de l'objet s'êlevant du champs, d'autres ont vu une lueur étrange approximativement à la même heure et dans le même secteur. Et bien nous ne trouvons nulle part cette affaire dans "la grande peur mantienne". Le témoin n'est cité nulle part aussi. Pouvons-nous imaginer une raison? Peut—être celle-là: ce cas ne pouvait pas être réduit par Barthel et Brucker car correspondant vraiment à une observation authentique!

En toute logique, puisque nos auteurs ont tout expliqué, ils se devaient de publier les explications attenant à cette RR3 car elle fait partie de la mythologie ufologique. Force nous est de constater que tout ne peut se ramener à un canular ou une méprise, sans oublier tous ces témoins de 1954 qui touchaient trop à la bouteille...

[Ref. gep1:] GROUPE D'UFOLOGIE "GEPO":

26.09.54 (14) Chabreuil [sic] (Drôme) F RB 101 XVC m4

[Ref. jgs1:] JEAN-FRANCOIS GILLES:

L'ufologue français Jean-François Gilles avait établi un catalogue informatisé d'atterrissages sur le sol français entre le 26 septembre et le 18 octobre 1954 afin d'étudier si leur répartition géographique était le fait du hasard ou non.

UFO LANDINGS ON THE CONTINENTAL TERRITORY OF FRANCE
FROM SEPTEMBER 26, 1954 TO OCTOBER 18, 1954

ICOD Désignation (57) Date JV4 jve1 COMMENTS
001 0490 CHABEUIL RF26 540926 156 144 CE2, CE3

ICOD est un code interne au listing. (57) est la colonne 57 du catalogue informatique UFOCAT initié par le comité Condon, RF désigne la France et le chiffre est le département. JV4 est le numéro du cas dans le listing de "Chroniques ..." de Jacques Vallée. jve1 est le numéro du cas dans le listing Magonia de Jacques Vallée. CE2, CE3 se réfère à la classification Hynek.

V F G
ICOD Longitude Latitude Longitude Latitude Longitude Latitude
0490 -5.019 44.901 -5.019 44902 -5.019 44.901

V,F,G sont des codes pour les personnes ayant déterminé les coordonnées: V = Jacques Vallée, ufologue, F = Jean Charles Fumoux, officier de l'Armée de l'Air, G = Jean François Gille, ufologue.

[Ref. jsr2:] JEAN SIDER:

L'auteur indique que le 26 septembre 1954 14:30 é Chabeuil dans la Drôme, Mme Lucette Leboeuf a vécu une rencontre rapprochée du troisième type avec paralysie "mais peut-être était-elle due à la peur?". Elle est restée couchée deux jours avec une forte fièvre. Au moment de l'incident, sa chienne s'était mise à hurler à la mort et elle a tremblé pendant trois jours.

Les sources sont indiquées comme Figuet, p. 86-88 et l'enquête d'Ouranos à l'époque, dont il donne copie.

[Ref. jca1:] JACQUES COSTAGLIOLA:

L'auteur indique que le 26 septembre 1954, à Chabeuil dans la Drôme, Mme Leboeuf a vu un cosmonaute à bulle cylindrique transparente sur la tête et a assisté au décollage du disque. L'herbe a été tassée sur 4 mètres de diamètre, le maïs écrasé en rayon de roue vers le centre. Elle et son chien ont été malades pendant deux jours.

La source est indiquée comme "Sc et Vie 1997".

[Ref. jca2] DR. JACQUES COSTAGLIOLA:

L'ufologue et médecin Jacques Costagliola note dans son listing:

date lieu témoins lésions biblio
26.09.1954 9F, Chabeuil Mme Leboeuf 1EB, fièvre, alitée 2 j, chienne malade, maïs écrasé Lob, Gigi

[Ref. via1:] BULLETIN D'UFOLOGIE "VIMANA 21":

JEUDI 30 SEPTEMBRE: CARROUSEL DE SOUCOUPES VOLANTES DANS LE CIEL DE FRANCE -

Un des engins aurait été filmé.

Lyon - Dans les départements du Rhône, de l'Isère, de la Savoie, de la Drome, de nombreuses personnes affirment avoir vu, ces derniers jours, avec plus ou moins de netteté, des engins ayant soit la forme de cigare, soit de disque.

Dans la région de l'Arbresle (Rhône), l'un de ces témoins, directeur d'un music hall parisien, a même filmé un de ces mystérieux appareils, qui évoluait à une hauteur estimée par lui à environ 700m. On saura ainsi, après développement, s'il s'agit ou non d'une illusion d'optique.

Près de Feyzin (Isère) un jeune homme aurait aperçu dans la campagne, non loin du sol, un engin ayant la forme d'un dôme et d'où jaillissait une lumière très vive. Le témoin la compara à celle provoquée par la combustion du magnésium. L'appareil brusquement monta à la verticale en laissant derrière lui, une gerbe d'étincelles et disparu.

Dans la Drôme, une habitante de Valence, qui se promenait près de Chabeuil, prétend avoir rencontré, dans le chemin qu'elle suivait, un être de petite taille, vêtu si bizarrement qu'elle crut tout d'abord qu'il s'agissait d'un épouvantail en cellophane. Le chien qui accompagnait la promeneuse aboya furieusement, pris de terreur. Quant à elle, terrifiée également, elle se cacha derrière une haie. C'est alors qu'elle vit s'élever du champ de maïs qui bordait le chemin, un disque d'où émanait un sifflement.

Peu après, le témoin et les paysans se rendirent dans le champ où selon eux, se distinguait nettement une trace ronde d'environ 30m de diamètre, avec épis de maïs couché et branches cassées en bordure. D'autres habitants de Chabeuil ont également déclaré avoir aperçu, ce jour là, une soucoupé volante évoluant au dessus de la campagne.

Enfin, en Savoie, près du lac du Bourget, au dessus du Mont Revard, plusieurs automobiliste, une quinzaine de personnes, ont vu simultanément un appareil ayant la forme d'un disque, évoluer pendant environ 4 minutes puis disparaitre brusquement. L'un des témoins, médecin à Chambéry est un ancien observateur d'attillerie, il nota avec soin les observations et dessina un schéma reproduisant le trajet de l'appareil mystérieux.

La source est indiquée être le journal Le Bien Public.

[Ref. cck1:] GILBERT CORNU ET HENRI CHALOUPEK:

Les deux ufologues français Gilbert Cornu et Henri Chaloupek indiquent que le 26 septembre 1954, en début d'après-midi à Chabeuil, Mme Leboeuf ramassait des mûres dans un chemin creux quand sa chienne qui l'accompagnait s'est mis à hurler à la mort en même temps que les chiens du voisinage. Levant la tête, elle a vu dans un champ de maïs proche ce qu'elle a d'abord pris pour un épouvantail à moineau. en regardant mieux, elle a vu que c'était une créature vivante qui se rapprochait d'elle, vêtue d'une sorte de scaphandre laissant voir sous son casque des yeux plus grand que nature. L'être s'avançait vers elle en sautillant, et elle fut prise de terreur et se cacha dans la haie.

Quelques instants après, un engin semblable à une grosse toupie d'enfant au dessous plat s'élevait du champ de maïs et disparut dans le ciel couvert après avoir basculé à 90 degrés. Le sifflement émis par l'engin a été entendu par plusieurs autres personnes, qui retrouvèrent Mme Lebeuf comme paralysée dans le buisson, incapable d'appeler à l'aide.

[Ref. jve7:] JACQUES VALLEE:

Jacques Vallée indique qu'un cas classique s'est produit le dimanche, 26 septembre 1954, à Chabeuil, Drome, France, à environ 14:30 alors que Mme Leboeuf cueillait des mûres le long d'une haie:

Le chien a commencé à aboyer et a puis commencé à hurler misérablement. Elle a regardé autour d'elle et a vu le petit animal se tenir au bord d'un champ de blé, devant quelque chose qu'elle a pensé d'abord être un épouvantail, mais allant plus près, elle a vu que "l'épouvantail" était un certain genre de petite tenue de plongée, fait de matière plastique translucide, de trois pieds de haut ou peu un plus grand, avec une tête qui était également translucide - et soudainement elle a réalisé qu'à l'intérieur de la tenue de plongée il y avait une chose, et que derrière la transparence brouillée du "casque" deux yeux la regardaient; au moins elle a eu l'impression d'yeux, mais ils ont semblé plus grands que les yeux humains. Quand elle a réalisé ceci, la tenue de plongée a commencé à se déplacer vers elle, avec un genre de démarche dandinante rapide.

A ce moment, Mme Leboeuf s'est sauvée dans la terreur et s'est cachée dans un buisson voisin. Quand elle a essayé de localiser l'entité, il n'y avait rien à voir, mais tous les chiens dans le village aboyaient furieusement. Tout d'un coup, un grand objet métallique et circulaire s'est élevée de derrière quelques arbres et a décollé vers le nord-est. Les gens qui avaient entendu les cris du témoin se sont bientôt rassemblés autour d'elle. A l'emplacement où le disque avait été s'élever, un cercle a été trouvé, d'environ dix pieds de diamètre, où des arbustes et les buissons avaient été écrasés:

D'un des acacias au bord de cette marque circulaire pendait une branche de plus de trois pouces d'épaisseur, cassée par une pression d'en haut. La branche d'un autre acacia, qui était suspendue au-dessus de la marque circulaire à huit pieds et demi au-dessus du sol, était entièrement dépouillée de ses feuilles. Les premiers mètres de blé, dans le chemin que l'objet a suivi en décollant à travers le champ, avaient été aplatis en lignes rayonnantes.

[Ref. mtb1:] MARIE-THERESE DE BROSSES:

L'auteur indique que le 26 septembre 1954, Mme Leboeuf ramassait des mûres dans un chemin creux près de Chabeuil dans la Drôme. Sa chienne aboyait et grondait sans cesse à cause de ce qu'elle a d'abord pris pour un épouvantail au bord du champ de maïs voisin.

Elle a appelé sa chienne en vain et en s'approchant d'elle pour la calmer, elle a réalisé avec terreur que cet "épouvantail" se déplaçait par bonds en se dirigeant vers elle, et qu'au lieu d'un épouvantail c'était un petit être casqué dépourvu de bras et enveloppé dans une sorte de scaphandre d'un matériau transparent ressemblant à de la cellophane. Elle n'a pas pu distinguer le visage de d'être à travers la visière protectrice de son casque.

Elle hurlait de frayeur et a tenter de se cacher dans la haie du chemin creux au milieu des buissons, d'où elle a observé à travers les branches un engin d'un gris "tout sale" et d'une forme rappelant une gigantesque toupie mécanique. Cet objet a décollé lentement puis disparu à une vitesse vertigineuse en émettant un fort sifflement.

Son mari, un ancien aviateur a entendu ce son strident depuis non loin, et s'est dirigé avec trois agriculteurs vers l'endroit d'où venait le bruit. En empruntant le chemin il a découvert sa femme dans le taillis, inerte, comme paralysée.

Quand Mme Leboeuf elle revient à elle, elle est incapable d'expliquer ce qui lui est arrivé et ne sait pas comment l'être a disparu, ni combien de temps elle est restée dans les buissons. L'auteur évoque un épisodes d'amnésie, de "missing time" et s'interroge sur ce qui a pu se passer durant ce temps, avec la possibilité qu'elle a pu simplement s'évanouir de peur, et celle qu'elle a peut-être été enlevée sans en garder de souvenir.

[Ref. djn1:] DONALD JOHNSON:

Ce jour là

26 septembre

[...]

1954 - Entendant ses chiens aboyer et hurler à 14:30, Mme. Lucette Leboeuf de Chabeuil, France a vu ce qui a ressemblé d'abord à un "épouvantail" dans un champ de maïs. Après avoir approché à moins de huit pieds elle a vu que c'était un "costume de plongée" de plastique transparent, de 3,5 pieds de haut. Un petit homme avec de grands yeux était à l'intérieur, ressemblant "à un enfant dans un sachet en plastique, avec les yeux plus grands que des yeux humains." Elle ne pouvait voir aucun bras sur la créature. Quand il a commencé à se dandiner vers elle, elle s'est sauvée. Un disque plat, circulaire, de quatre mètres de largeur a été vu s'élever vers le haut en faisant une bruit de sifflement, et voler au loin vers le nord-est. Un cercle de onze pieds de largeur de feuillage écrasé a été trouvé à l'emplacement. Mme. Leboeuf était dans un état de choc et a été alitée les deux jours suivants. (Sources: Jacques Vallee, Anatomy of a Phenomenon, p. 70; Jacques Vallee, Passport to Magonia: A Century of Landings, p. 211; Gordon I. R. Lore, Jr., Strange Effects from UFOs, p. 67; David F. Webb and Ted Bloecher, HUMCAT: Catalogue of Humanoid Reports, case 1954-55, citant Aime Michel).

[Ref. rhh1] RICHARD HALL:

TABLE 1. OBSERVATIONS D'OCCUPANTS D'OVNIS, 1954-1963

[...]

26 septembre 1954 Mme. Leboeuf, Chabeuil (Drome), France 16:00.

Un être de 3 pieds de haut, costume de plongée, casque, grands yeux; engin circulaire plat; le chien a aboyé, l'être s'est approché, le témoin s'est sauvé; cercle de feuillage écrasé trouvé à l'emplacement.

[...]

[Ref. ldl2:] MAGAZINE D'UFOLOGIE "LUMIERES DANS LA NUIT":

Scan.

Le magazine publiait un article consistant en vérifications d'affirmations d'explications de cas de 1954 en France par Barthel et Brucker dans leur livre de 1979 [bbr1]. Pour ce cas, le magazine écrivait:

12. Chabeuil (Drôme), le 26 septembre 1954. Version B&B: ... c'est écrit noir sur blanc dans France Soir du 1er octobre 54, cet incident est dû à une confusion. (Inforespace Hors Serie n° 3). Version LDLN: B&B, qui fustigent constamment la presse, font cette fois-ci aveuglément confiance à France Soir, alors même que le cas de Chabeuil reste un des mieux enquêtés et contre-enquêtés de 54. Michel Figuet, qui, lui a rencontré le témoin (Mme Leboeuf) contrairement à B&B, a répondu de façon convaincante à B&B pour ce cas. (LDLN 198).

[Ref. lgs4:] LOREN GROSS:

Scan.

Dans la ville de la Drôme sur le Rhône, un étrange sifflement a été entendu par une femme qui soupçonnait qu'une "soucoupe" se trouvait dans la région. Elle a alerté un certain nombre de personnes, et après une recherche aucune soucoupe n'a été trouvée mais une vérification de la zone a localisé un cercle d'herbe écrasée de neuf pieds de large. 155.

[...]

155. Wilkins, Harold T. Flying Saucers Uncensored. New York, N.Y.: The Citadel Press, 1955. pp. 58-59.

[Ref. goe1:] GODELIEVE VAN OVERMEIRE:

1954, 26 septembre

FRANCE, Chabeuil

Vers 14 h 30 Mme Leboeuf née Lucette Salin, à la recherche de mûres (champignons?), se trouva soudain, suite aux aboiements de son chien, Dolly, devant une créature ressemblant à un enfant dans un sac en plastique, qu'elle avait pris d'abord pour un épouvantail. Il avait des yeux plus grands que les yeux humains. A la place des cheveux une masse noirâtre, et vêtu d'un scaphandre transparent, la tête dans une sorte de cloche. Il n'avait pas de bras. Elle était clouée d'effroi et quand cet être à voulu s'approcher en sautillant elle a hurlé et s'est enfuie à toutes jambes, se cachant dans les buissons et en claquant des dents de peur. Cette créature entra dans une machine plate et circulaire qui décolla vers le nord-est avec un faible sifflement. Traces. Témoins fortement impressionnés. (Jimmy GUIEU: Black-out sur les S.V." - FLEUVE NOIR 1956 - p. 157 à 160) Mme Leboeuf, terrorisée, voit approcher d'elle un petit être en scaphandre tandis qu'aboient son chien et ceux du voisinage. Puis un disque s'élève du sol en sifflant, bascule et disparaît à très grande vitesse. Des traces sont découvertes sur le sol et la végétation. (Science et Vie, édition spéciale 1997: 50 ans d'ovni, Atlas des cas Inexpliqués, p. 60 à 63)

[Ref. lgs1:] LOREN GROSS:

Scan.

1? octobre. Valance [sic], France. (pas d'heure)

Cercle de végétation écrasée.

Selon notre source:. "Une femme de Valance a déclaré avoir vu une 'soucoupe volante' faisant un bruit sifflant dans un champ. Elle se précipita pour trouver des témoins, mais la 'soucoupe' avait disparu à leur retour, laissant un cercle de céréales de 9 pieds de diamètre cassées comme si quelque chose avait atterri là". (xx.)

(xx.) Ibid. (Sauf indication contraire, tous les extraits de journaux de Nouvelle-Zélande viennent du fichier de Murray Bott, Auckland, Nouvelle-Zélande.)

[Ref. lgs2:] LOREN GROSS:

Une histoire de première page.

3 octobre. Sunday Dispatch de Londres.

Tant de choses se passaient en France que la presse anglaise fut forcée d'en prendre note. En fait, l'histoire était trop grande. Le London Sunday Dispatch ne pouvait imprimer qu'un résumé sur sa première page. La situation étant peu claire, les erreurs et le manque de détails étaient inévitables dans les rapports. Le Dispatch a informé ses lecteurs:

"Près de Grenoble, le fermier Joseph Habrat a vu un moteur [mauvaise traduction de "engin"] lumineux se déplacer à grande vitesse.

"Sa fille, Yvette, a dit qu'il est venu à moins de 600 mètres avec un "ronflement doux".

Un peu plus tard, deux mille personnes ont vu une douzaine d'entre eux "danser un ballet" dans le ciel.

"Deux personnes à Rixheim, près de Mulhouse, ont observé un moteur [mauvaise traduction de "engin"] lumineux en forme de cigare entouré de douze cigares satellites plus petits.

"Trois vacanciers de la plage de Carry-le-Rouet ont vu un demi-cigare sur le port, trois femmes qui l'ont vu le décrivent comme laissant une trace de fumée.

Un champignon volant a été signalé par un camionneur et son ami à Faremontiers. C'était dans un champ et avait trois jambes en forme de trépied.

- J'ai essayé de l'approcher, dit-il, mais à environ quatre cents pieds je fus arrêté par un rayon, je sentis de petits picotements, ma tête était embrumée, j'avais une sueur froide, je ne pouvais pas bouger.

"Le champignon s'éleva alors lentement et s'envola.

"Le Dr. Martinet, spécialiste de la maladie de la peau à Chambéry, a observé une soucoupe volante manoeuvrer dans le ciel pendant quatre minutes.

"Dans le golfe de Gascogne, un mousse et les deux matelots d'un bateau de marchandises virent un disque en mouvement avec une lueur verdâtre.

"L'actrice Michele Morgan a vu un disque lumineux sur le terminal aérien des Invalides à Paris.

"Il y a eu trois rapports d'hommes d'une autre planète débarquant en France.

"A Vienne, un fermier a dit que le visiteur, qui portait une sorte de costume de plongée, lui caressait le bras.

"Une femme de Drome a vu 'un être de la taille d'un enfant et au visage humain, il semblait être enveloppé dans un sac transparent'".

"Les deux visiteurs en France sont retournés à leurs soucoupes et ont décollé verticalement.

"Un contre-maître d'une carrière à Marcilly-sur-Vienne et six de ses ouvriers venaient de voir un petit homme harnaché et botté avec un revolver tirant des 'rayons lumineux et paralysants'".

"Un sifflement attira l'attention de deux hommes de Blanzy sur une machine en forme de cigare dans un champ fraîchement labouré.

"Les hommes ont dit que la machine avait environ six pieds de longueur. Le bout pointu était jaune, le reste du cigare brun.

"Quand ils se sont approchés de la machine, elle s'est élevée verticalement.

Un policier, un épicier et huit autres personnes ont vu un "cigare" incandescent à Agen.

"Une 'boule brillante' apparut à un gardien d'étable à Belesta. Il a dit qu'elle a laissé une traînée de fumée grise tandis qu'elle filait à travers le ciel".

L'auteur du compte rendu mentionné ci-dessus a noté qu'à l'heure juste ce jour-là (3 octobre 1954) à 40 miles, un incroyable "spectacle céleste" se déroulait au-dessus d'une zone boisée près du village de Marcoign, en France, devant 20 témoins. Que tant de personnes au même moment à différents endroits aient eu une hallucination semblable troublait l'esprit de l'auteur, à tel point qu'il a consulté un psychiatre affecté aux tribunaux de la Seine, un Dr Gouriou.

"L'illusion de masse est-elle possible à cette échelle?

La question ci-dessus a été posée à l'expert en santé mentale qui a répondu qu'il n'avait jamais connu une soucoupe volante jouant un rôle dans les hallucinations de ses patients, et que les hallucinations étaient généralement des sons plutôt que des images visuelles. De plus, lorsque rarement des troubles visuels se produisaient, ces problèmes étaient presque toujours dus à une toxémie ou à des lésions cérébrales, ce qui contribuerait certainement à exclure la possibilité d'une "illusion visuelle de masse".

Le Dr Gouriou a alors sagement terminé l'entretien avec: "... Je pense que ceux qui prétendent avoir vu des soucoupes le font de bonne foi, à moins bien sûr qu'ils essaient de nous tromper. Un être humain normal voit, il interprète dans une large mesure, et ce fait seul rend tous les faits humains faillibles.

[Ref. lhh1:] LARRY HATCH - "*U* COMPUTER DATABASE":

3840: 1954/09/26 14:30 10 5:01:00 E 44:54:00 N 3333 WEU FRN DRM 9:7

CHABEUIL,FR:3' OID/DIVING SUIT APPROCHE:SCP DOME >>NE:CRUSHED PLANTS:/r217p170

RefN° 49 MICHEL,Aime: FS & STRAIGHT LINE TH: Page No. 82 : PAYS DE FERMES

[Ref. sdn1:] STEVEN DUNN:

Valence, FR
26 Sep 54

Tandis qu'elle récoltait des champignons dans les bois, une femme a vu un petit humanoïde portant une tenue de plongée avec un casque transparent. Elle a couru. Un moment plus tard elle a entendu un fort sifflement et a vu un objet en forme de disque s'élever des bois. La trace d'un atterrissage a été trouvée.

CE-3-013 Randle/Estes, FOV pg 165

Chabeuil, FR
29/09/1954

19 SEP 1954
Mme.. Leboeuf, récoltant des champignons à environ 1600, a été étonnée par son chien aboyant après ce qui a ressemblé à un épouvantail au bord d'un champ de blé. L' "épouvantail" était un humanoïde d'environ 3 pieds de haut, emballé dans un matériel translucide qui l'a incité à penser qu'il ressemblait à un sachet en plastique. Mme. Leboeuf a eu l'impression de deux yeux très grands. L'homme-sac a commencé à se dandiner vers elle et elle a tourné et a couru. Peu de temps après un objet en forme de soucoupe métallique s'est élevé de quelques arbres voisins. M. Leboeuf a plus tard constaté que des arbustes et les buissons dans le secteur où la Mme. a dit que l'objet a décollé ont été écrasés comme si quelque chose s'était posé dessus.

CE-3-013 Lorenzen, UTWS, pg 167

[Ref. ars1:] ALBERT ROSALES:

91.

Lieu. Chabeuil France

Date: 26 septembre 1954

Heure: 1430

Entendant ses chiens aboyer et hurler, Mme. Lucette Leboeuf a vu dans un champ de maïs un "épouvantail," qui par son approcher à moins de 8 pieds d'elle a été vu comme un "scaphandre" de plastique transparent, de 3,5 pids de haut. A l'intérieur était visible un petit homme avec de grands yeux. Elle n'a pas pu voir de bras. Quand celui ci a commencer [sic] à progresser vers elle, elle s'est sauvée. Un disque de 4 mètres a été vu s'élevant vers le haut avec un bruit de sifflement, pour voler au loin. Sur l'emplacement a été trouvé un cercle de 11 pieds de buissons cassés. Mme. Leboeuf est restée alitée pendant 2 jours.

Humcat 1954-55

Source: Aime Michel

Type: C

[Ref. tps2:] TED PHILLIPS:

26/09/54 1430 France, Chabeuil: Madame Leboeuf était allé ramasser des champignons dans les bois pas loin du cimetière à Chabeuil. Son chien a commencé à aboyer, et a puis commencé à hurler comme s'il était dans la misère.

Madame Leboeuf a regardé autour d'elle et a vu que le chien se tenait devant quelque chose qu'elle a pensé être un épouvantail. En approchant le chien, elle a vu que c'était un certain genre de créature dans un costume de plongée.

La créature était d'environ 1 m de haut. Elle s'est déplacée vers elle avec une sorte de démarche rapide dandinante. Le témoin a couru dans un bosquet voisin. Pendant ce temps le chien hurlait encore, accompagné des hurlements des autres chiens dans le village. Un grand objet, circulaire, et légèrement aplati d'apparence métallique est monté par derrière les arbres voisins et s'est écarté à basse altitude, faisant un bruit de sifflement pendant qu'il volait.

A l'endroit où l'objet avait monté, un secteur circulaire a été trouvé. Environ 11 pieds de diamètre, les arbustes et des buissons ont été écrasés. Quelques yards au début du champ de blé, au-dessus duquel l'objet avait volé, le blé a été aplati dans une ligne rayonnante. D'un des acacias au bord de cette marque circulaire pendait une branche de plus de trois pouces d'épaisseur, cassée par une pression d'en haut. La branche d'un autre acacia, qui était suspendue au-dessus de la marque circulaire à huit pieds et demi au-dessus de la terre, a été entièrement dépouillée de ses feuilles - Aime Michel.

[Ref. cir1:] "THE CIRCULAR":

Le magazine dit qu'il y a eu un crop circle unique à Chabeuil en France en 1954.

[Ref. amr1:] ANDREAS MULLER:

Andreas Müller indique qu'à Chabeuil, en France, il y a eu "un cercle unique."

La date de création et la date de rapport sont données comme "inconnus". Aucune source n'est donnée.

[Ref. amo1:] ANNE MORO:

Anne Moro indique en anglais qu'à Chabeuil en France, en 1954, "un cercle unique a été rapporté de Chabeuil. Aucun autre détail connu."

Anne Moro indique que la source est la base de données d'Andréas Müller "ICCA-The international Crop Circle Archive".

Ailleurs elle indique:

1954 26
DEP: DROME
REGION : RHONE-ALPES
Chabeuil Un cercle simple. aucun autre détail connu
Extrait de la revue "The Circular" page 13

Ceci est indiqué être une traduction "des données d'Andréas Müller comparées avec la revue 'The Circular' n°41 - Printemps 2001."

[Ref. lcn1:] LUC CHASTAN:

Luc Chastan indique que "de nombreux ufologues et journalistes ont enquété sur" le cas à Chabeuil dans la Drôme le 26 septembre 1954 à 14:30 heures.

Il indique que le texte suivant est "une interview réalisée le 5 décembre 1954."

"C'était le 26 Septembre 1954. Je me trouvais à CHABEUIL (petit village situé à 14 kms à l'Est de Valence) et je me rendais au cimetière pour y porter des fleurs. Ce cimetière se trouve à l'est du village dans un quartier ombrageux (bois, taillis et culture). J'avais avec moi ma chienne noire Dolly qui folâtrait à proximité. J'étais dans un chemin creux à quelque distance du cimetière et je ramassais des mûres."

"J'appelais ma chienne Dolly et comme elle arrivait près de moi, elle tombe en arrêt et se met à hurler à la mort (j'ai remarqué à ce moment-là que les chiens des maisons voisines qui étaient attachés hurlaient également à la mort). Surprise par ces aboiements (bizarres et sinistres), je lève la tête et je vois à 2 m 50 de moi un être vivant immobile qui me regarde fixement (petite taille, 1m à 1m15), je me demande encore depuis combien de temps il me regardait ainsi."

"Il paraissait être enveloppé d'un scaphandre transparent des pieds à la tête, visage presque humain (je n'ai pas vu d'oreilles, vision un peu floue à travers le scaphandre), yeux humains fixes et brillants, expressifs et intelligents. Je n'ai pas distingué de bras, ceux-ci étant peut-être collés au corps. Je n'ai pratiquement pas examiné le corps de cet être vivant, j'ai surtout regardé ses yeux (ses yeux ne cessaient de me regarder)."

"Lorsque je l'ai eu aperçu, celui-ci s'est rapproché de moi en sautillant s'en s'occuper de ma chienne qui lui aboyait après (les journalistes auraient relevé ensuite un empreinte ressemblant à une grosse patte de chien avec un talon?). Prise de peur, je me suis sauvée en criant et je me suis cachée dans un buisson (la peur me faisait claquer des dents). Presque aussitôt, à cinq mètres de moi, j'ai vu s'élever au-dessus du champ de maïs un engin en forme de soucoupe d'un diamètre de quatre mètres environ ressemblant à une grosse toupie mécanique d'enfant, mais avec le dessous plat. Le temps était gris, il venait de pleuvoir une heure avant et cet engin avait une couleur sombre, gris sale et terne. Je n'ai remarqué ni lumière ni hublot (de ma place, je n'ai pu à aucun moment distinguer l'engin lorsqu'il était posé au sol). L'engin s'est donc élevé lentement au-dessus du champ de maïs (même position qu'à l'atterrissage et j'ai perçu un léger ronronnement pendant ce mouvement, puis, lorsqu'il est arrivé au- dessus du champ de luzerne, il a basculé de 90° (position verticale) et a disparu en direction Nord-Est à une vitesse vertigineuse en émettant un sifflement bizarre; je n'ai pas remarqué de mouvement giratoire."

"Les gens du cimetière ont entendu les hurlements de ma chienne ainsi que le sifflement de l'engin (mon mari qui a été dans l'aviation et qui se trouvait à proximité a également entendu ce sifflement et s'est parfaitement rendu compte qu'il ne s'agissait pas d'un avion à réaction). Ils sont venus et ils m'ont trouvée dans le buisson; j'étais comme paralysée et je ne pouvais pas appeler."

"Plusieurs personnes se sont rendues quelques instants après sur les lieux d'atterrissage de la soucoupe. Ils ont remarqué une aire d'environ quatre mètres de diamètre où la terre et l'herbe étaient tassées; plusieurs plantes de maïs étaient écrasées; les branches des acacias qui se trouvaient autour étaient comme raclées et plusieurs étaient cassées, ceci jusqu'à une dizaine de mètres de hauteur environ. Ils ont retrouvé les feuilles par terre."

"Je ne suis ni folle ni peureuse et il m'en faut beaucoup pour m'émotionner. Je suis néanmoins restée deux jours couchée avec la fièvre (confidentiellement, à la suite de cette grande émotion, ses règles ont réapparu immédiatement). De plus, ma chienne Dolly a tremblé et pleuré pendant trois nuits consécutives. Ce n'est qu'au bout de deux jours que j'ai informé la Presse."

Luc Chastan note que Michel Figuet indique que "des jeunes gens qui allaient au cinéma par la route de Montvendre virent la 'soucoupe' en vol."

Les sources sont indiquées comme "Les OVNI vus de près par Gross Patrick ** http://ufologie.net" et "Enquêtes sur les enlévements extra terrestre par De Brosses Marie Thérèse ** J'ai Lu 1997".

[Ref. uda1:] SITE WEB "UFODNA":

Le site web indique que le 26 septembre 1954 à 14:30 à Chabeuil, France, "Petit homme 3,5 ' de haut vu dans une tenue de plongeur faite de plastique transparent. Aucun bras n'a pu être vu. Il avait de grands yeux, et se dandinait vers le témoin féminin, qui s'est sauvé. La créature est entrée dans un disque de 4 m qui est parti avec un bruit de sifflement. Explication: Planète."

"Entendant ses chiens aboyer et hurler à 14:30, mme. Lucette Leboeuf de Chabeuil, France, a vu ce qui a ressemblé d'abord à un "épouvantail" dans un champ de maïs. Après approche à moins de huit pieds elle a vu que c'était une "tenue de plongée" de plastique transparent, de 3,5 pieds de haut. Un petit homme avec de grands yeux était à l'intérieur, ressemblant "à un enfant dans un sachet en plastique, avec les yeux plus grands que les yeux humains." Elle n'a pu voir aucun bras sur la créature. Quand elle a commencé à se dandiner vers elle, elle s'est sauvée. Un disque plat, circulaire, de quatre mètres de largeur a été vu s'élever en faisant un bruit de sifflement et voler loin vers le nord-est. Un cercle d'onze pieds de largeur de feuillage écrasé a été trouvé à l'emplacement. Mme. Leboeuf était dans un état de choc et était alitée pour les deux jours suivants."

"Mme Leboeuf tout en marchant le long d'une route dans des conditions boueuses, a été soudainement confrontée avec une créature ressemblant "à un enfant dans un sachet en plastique, avec les yeux plus grands que les yeux humains." Cette créature est entrée dans une machine plate et circulaire, d'environ 20 pieds de larhe, qui a décollé vers le nord-est avec un sifflement doux. Traces. Témoins en état de choc. (Leboeuf, Lucette)."

"Entendant ses chiens aboyer et hurler, mme. Lucette Leboeuf a vu dans un champ de maïs un "épouvantail," qui en approchant à moins de 8 pieds a été vu être "une tenue de plongée" de plastique transparent, de 3,5 pieds de haut. A l'intérieur était visible un petit homme avec de grands yeux. Elle ne pouvait ne voir aucun bras. Quand ceci a commencé à se dandiner vers elle, elle s'est sauvée. Un disque de 4 mètres a été vu s'élevant vers le haut avec un bruit de sifflement et voler au loin. A l'emplacement a été trouvé un cercle de 11 pieds de buissons décomposés. Mme. Leboeuf a été alitée pendant 2 jours."

Les sources sont indiquées comme "Webb, David, HUMCAT: Catalogue of Humanoid Reports; Guieu, Jimmy, Flying Saucers Come from Another World, Citadel, New York, 1956; Constance, Arthur, The Inexplicable Sky, Citadel Press, New York, 1957; Sparks, Brad, Computer Catalog of Type 9 Cases (N=150); Lorenzen, Coral E., Flying Saucer Occupants, Signet T3205, New York, 1967; Lorenzen, Coral E., UFOs: The Whole Story, Signet T3897, New York, 1969; Lorenzen, Coral E., Encounters with UFO Occupants, Berkley Medallion, New York, 1976, ISBN:425-03093-8; Poher, Claude, Etudes Statistiques Portant sur 1000 Temoignag, l'Auteur, non daté; FSR, FSR (formerly Flying Saucer Review), FSR, Londres, 1966; Bowen, Charles, The Humanoids: FSR Special Edition No. 1, FSR, Londres, 1966; Lore, Jr., Gordon I. R., Strange Effects from UFOs, NICAP, Washington, 1969; Pereira, Jader U., Les Extra-Terrestres, Phenomenes Spatiaux, Paris, 1974; Vallee, Jacques, Computerized Catalog (N = 3073); Vallee, Jacques, Challenge to Science: The UFO Enigma, Henry Regnery, Chicago, 1966; Vallee, Jacques, Preliminary Catalog (N = 500), (dans JVallee01); Vallee, Jacques, Anatomy of a Phenomenon, Henry Regnery, Chicago, 1965; Vallee, Jacques, A Century of Landings (N = 923), (dans JVallee04), Chicago, 1969; Vallee, Jacques, Passport to Magonia, Henry Regnery, Chicago, 1969; Cramp, Leonard G., Piece for a Jig-Saw, Somerton, Isle of Wight, 1966; Schoenherr, Luis, Computerized Catalog (N = 3173); Carrouges, Michel, Les Apparitions de Martiens, Fayard, Paris, 1963; Binder, Otto, What We Really Know About Flying Saucers, Fawcett T1863, Greenwich, 1967; Rogerson, Peter, World-Wide Catalog of Type 1 Reports; Hall, Richard H., The UFO Evidence, NICAP, Washington, 1964; Olsen, Thomas M., The Reference for Outstanding UFO Sighting Reports, UFOIRC, Riderwood, 1966; Phillips, Ted R., Ted Phillips investigation files; Phillips, Ted R., Physical Traces Associated with UFO Sightings, CUFOS, Chicago, 1975; Hall, Richard H., Uninvited Guests, Aurora Press, Santa Fe, 1988, ISBN:0-943358-32-9; Delaire, J. Bernard, UFO Register Volume 7 (1976), Data Research, Oxford, 1976; Coupures de Presse; Hall, Richard H., The UFO Evidence, Volume II: A Thirty-Year Report, Scarecrow Press, Lanham, 2000, ISBN:0-8103-3881-8; Hatch, Larry, *U* computer database, l'Auteur, Redwood City, 2002; Smith, Willy, UNICAT computer database; Vallee Magonia Database; Rosales, Albert, Humanoid Sighting Reports Database".

[Ref. uda2:] SITE WEB "UFODNA":

Le site web indique que le 26 septembre 1954 à 14:30 à Chabeuil, France, "Mme Leboeuf a été soudainement confrontée à une créature ressemblant "à un enfant dans un sachet en plastique, avec les yeux plus grands que les yeux humains."

"Mme Leboeuf a été soudainement confrontée à une créature ressemblant "à un enfant dans un sachet en plastique, avec les yeux plus grands que les yeux humains." Cette créature est entrée dans une machine plate et circulaire, qui a décollé vers le nord-est avec un sifflement doux. Traces. Témoins en état de choc."

"On a observé un objet non identifiable et ses occupants à distance proche."

La source est indiquée comme "Vallee Magonia Database".

[Ref. uda3:] SITE WEB "UFODNA":

Le site web indique que le 28 septembre 1954 à 14:30 à Chabeuil, France, "des phénomènes météorologiques mystérieux ont été rapportés. Un objet a été observé en conditions boueuses par plusieurs témoins à un cimetière."

La source est indiquée comme "Guieu, Jimmy, Flying Saucers Come from Another World, Citadel, New York, 1956".

[Ref. dle1:] "LE DAUPHINE LIBERE":

CROP CIRCLES

L'histoire de la "soucoupe volante" à Chabeuil en 1954

par La Rédaction du DL | le 23/07/08 à 06h45

J'ai vu, Monsieur, comme je vous vois, l'homme de la soucoupe volante de Chabeuil. Et Mme Leboeuf, de Valence, encore tremblante, de nous conduire à ce champ. "Dimanche après-midi, je me trouvais dans un chemin, je ramassais des mûres dans la haie. Soudain, mon chien se mit à aboyer. Je me retournai et vis l'animal, le poil hérissé, à l'arrêt, devant ce qui me semble être un épouvantail.

"L'épouvantail s'avance vers moi"

Je me dirigeai vers le chien pour l'empêcher d'aboyer. C'est alors que l'épouvantail s'avance vers moi. C'était un petit être : il ne mesurait guère plus d'un mètre. J'avais l'impression que c'était un gosse enfermé dans un sac en cellophane...

La frayeur s'est emparée de moi. J'ai hurlé et je me suis empressée de me jeter dans la haie. Je ne sais combien de temps j'y suis restée. De là, je voyais le maïs, mais il n'y avait plus personne. Puis un engin circulaire de trois mètres de diamètre environ, épais de cinquante centimètres, a décollé de derrière le maïs. L'engin s'est envolé, d'abord en biais, il n'allait pas vite, il faisait le bruit d'une toupie qui ronfle et on entendait aussi un sifflement, l'engin est passé ensuite de la position horizontale à la position verticale. Il est alors monté tout droit à une vitesse vertigineuse. Des passants sont passés, m'ont vue dans la haie, se sont inquiétés de ma pâleur. Je leur ai raconté ce que j'avais vu et je les ai conduits à l'endroit d'où j'avais vu décoller la soucoupe volante. Comme vous pouvez le constater, il y a sur le sol, une empreinte circulaire bien visible". Effectivement, nous avons fait sur les lieux, diverses constatations : sept pieds de maïs étaient couchés, l'herbe entre le maïs et les acacias était foulée, des petits pieds d'aubépine avaient été brisés, une branche d'acacia, même, était cassée, comme si elle avait reçu un choc de haut en bas. Quant à Mme Leboeuf, après 24 heures passées au lit avec 39 degrés de fièvre, elle regrette un peu sa frayeur. "Ah ! Si je n'avais pas eu si peur, j'aurais peut-être su qui c'était!"

Extrait du journal "Le Provençal" paru le 26 septembre 1954

[Ref. cri1:] CHRIS RUTKOWSKI:

Chris Rutkowski indique qu'Aimé Michel a enquêté et a documenté des cas remarquables, tels que le cas du 26 septembre 1954 dans le village de Chabeuil. A environ 4 heures une femme est allé promener son chien dans les bois, recherchant des champignons. Pendant qu'ils passaient par les arbres son chien a commencé à aboyer et hurler et elle a regardé pour voir ce qui causait ceci. Au bord d'un champ de blé bordant les bois, il y avait un objet qu'elle a d'abord pensé être un épouvantail mais elle bientôt vu que c'était une "petite tenue de plongée, fait de matière plastique transparente" de seulement environ un mètre - trois pieds - de haut. La partie de la tête était également translucide et un visage avec deux grands yeux la regardait. Terrifiée, elle a crié et s'est sauvée de nouveau dans les arbres.

Le chien a continué à hurler, et elle a entendu beaucoup d'autres chiens rejoindre le choeur. Elle a regardé hors du bosquet et a vu que la créature était partie. Soudain un grand objet en forme de disque métallique s'est élevée vers le haut de quelques arbres proches et a volé au-dessus du champ de blé avec son de sifflement, a ensuite gagné de l'altitude et a disparu dans la distance.

Les hurlements des chiens, son cri perçant et le bruit de sifflement de l'engin ont mené des gens du coin à courir aux bois pour voir ce qui n'allait pas. Quand ils sont allés à l'endroit boisé où l'objet a semblé avoir monté ils ont trouvé un secteur circulaire d'environ trois mètres - 10 pieds - de diamètre où les buissons avaient été écrasés, des branches des arbres environnants étaient cassés, les feuilles arrachées, et le champ de blé avait un certain genre de lignes rayonnant à travers lui.

Rutkowski suggère que peut-être ceci étaient un précurseur des crop circles britanniques qui seraient trouvés des décennies plus tard.

Quand le peuple est arrivé la femme était dans "un état d'effondrement nerveux", elle est restée alitée avec une forte fièvre pendant deux jours suivant l'observation et son chien a été agité et nerveux pendant plusieurs jours aussi.

Rutkowski indique que Michel a précisé que ce cas et deux autres le même jour, y compris l'un qui a été expliqué comme étant un envol d'étourneaux semblait s'être produits sur la même ligne les uns que les autres. Michel a suggéré quelque chose ait fait voir à des gens des objets inhabituels le long de lignes et peut-être qu'il y avait autre chose causant les rapports, quelque chose qui pourrait affecter la perception de la réalité des gens.

[Ref. evo1:] BLOG "OVNI 61":

Le 26 septembre 1954, Mme Leboeuf, à Chabreuil, dans la Drôme, voit un petit être en scaphandre se rapprocher ; les chiens aboient, un disque s'élève du sol en sifflant, bascule et disparait. Des traces furent découvertes sur le sol, le maïs est aplati, une branche cassée, une autre effeuillée, des arbrisseaux écrasés ainsi qu'un trou dans l'herbe de 15 cm, situé dans la périphérie d'une trace circulaire.

[Ref. mre1:] MICHEL RIBARDIERE:

20 septembre 2010

1954 Retour sur la vague de manifestations d'engins inconnus sur le territoire national

1954 est une année importante dans l'histoire de l'ufologie Française.

[Généralités]

Voici quelques une des rencontres:

[... Autres cas... ]

Le 26 septembre 1954, Mme Leboeuf, à Chabreuil [sic], dans la Drôme, voit un petit être en scaphandre se rapprocher; les chiens aboient, un disque s'élève du sol en sifflant, bascule et disparait. Des traces furent découvertes sur le sol, le maïs est aplati, une branche cassée, une autre effeuillée, des arbrisseaux écrasés ainsi qu'un trou dans l'herbe de 15 cm, situé dans la périphérie d'une trace circulaire.

[... Autres cas... ]

[Ref. prn2:] PETER ROGERSON:

26 septembre 1954, 1430hrs.

CHABEUIL (DROME : FRANCE)

Mme Leboeuf était à la cueillette des champignons dans le bois près du cimetière, quand son chien a commencé à aboyer et à hurler. Elle a vu le chien debout au bord du champ de blé face à ce qui à première vue ressemblait à un épouvantail. En s'approchant, elle a vu que c'était une créature avec les yeux plus grands que ceux des hommes, d'environ 1m de haut, portant une sorte de combinaison de plongée de plastique translucide et un casque. La créature se dirigea vers elle d'un pas rapide se dandinant, sur quoi elle s'est enfuie. Son chien a été rejoint par les hurlements des autres chiens, tandis qu'un grand objet métallique circulaire plat est passée derrière quelques arbres, avec un sifflement, a traversé le champ de blé et s'est dirigé vers le nord-est. Son mari et d'autres personnes dans le cimetière ont entendu les hurlements et le sifflement et se sont donc hâtés sur les lieux, où ils ont trouvé Mme Leboeuf dans un état d'effondrement. Sur le site ils ont trouvé un cercle d'arbustes et de buissons de 3m de diamètre écrasées. Une branche sur un acacia au bord du cercle était cassée, un autre acacia a été dépouillé de ses feuilles à la hauteur de 2,5 m, et les quelques premiers mètres de blé dans la trajectoire de l'objet ont été aplati en lignes rayonnantes. Mme Leboeuf a été alitée avec une forte fièvre pendant deux jours, et tremblait encore trois jours plus tard.

Michel 1958, pp.83 + Vallee cas 156, citant Le Figaro + Combat + Le Parisien tous du 30 sept 1954.
Carrouges 1967, p.116
Vallee 1966a, p70.
Vallee 1969, p.54
Constance 1956, p.256.

[Ref. nip1:] "THE NICAP WEBSITE":

*26 sep. 1954 - Entendant ses chiens aboyer et hurler à 2:30 du matin, Mme. Lucette Leboeuf de Chabeuil, France a vu dans un champ de maïs un "épouvantail." Après s'être approchée à moins de huit pieds elle a vu que c'était un "scaphandre" de plastique transparent, de 3,5 pieds de haut. Un petit homme avec de grands yeux était dedans, ressemblant à un "enfant dans un sac en plastique, avec des yeux plus grands que ceux des humains." Elle n'a pas pu voir de bras sur la créature. Quand il a commencé à se dandiner vers elle, elle s'est sauvée. Un disque plat de quatre mètres de large a été vu s'élevant vers le haut avec un bruit de sifflement, pour voler au loin vers le nord-est. Sur l'emplacement a été trouvé un cercle de onze pieds de buissons cassés. Mme. Leboeuf est restée alitée pendant les deux jours suivants. (Sources: Jacques Vallee, Anatomy of a Phenomenon, p. 70; Jacques Vallee, Passport to Magonia: A Century of Landings, p. 211; Gordon I. R. Lore, Jr., Strange Effects from UFOs, p. 67; David F. Webb & Ted Bloecher, HUMCAT: Catalogue of Humanoid Reports, cas 1954-55, citant Aime Michel).

[Ref. jgz1:] JULIEN GONZALEZ:

L'auteur indique qu'il y a eu une rencontre rapprochée du troisième type à Chabeuil, dans la Drôme, le 26 septembre 1954 à 14:30:

Mme Lucette Leboeuf, 32 ans, était occupée à ramasser des mûres dans un chemin creux, sur un petit plateau de 2 ha, en forme de trapèze dont les deux côtés Sud et Ouest surplombent le cimetière où elle était passée quelque temps auparavant pour fleurir le caveau familial.

"J'appelais ma chienne Dolly, un cocker noir qui folâtrait à proximité", dit-elle. "Comme elle arrivait près de moi, elle tomba à l'arrêt et se mit à hurler à la mort (j'ai remarqué que les chiens des maisons voisines qui étaient attachés hurlaient également à la mort). C'est en levant la tête que je vis sortir des maïs à 2,50 m de moi un petit être d'un 1,10 m à 1,15 m qui paraissait enveloppé dans un scaphandre transparent des pieds à la tête (comme de la cellophane). Il portait un casque, son visage n'était pas visible car l'avant de ce casque en forme de cloche était brouillé. Ses bras n'étaient pas visibles (ce qui ne veut pas dire qu'il n'en possédait pas). J'ai hurlé et je me suis cachée dans la haie, la peur me faisait claquer des dents, il s'est avancé vers moi en sautillant. Ensuite (je ne sais combien de temps je suis restée cachée dans la haie), du champ se trouvant derrière le carré de maïs, s'est élevé un engin en forme de soucoupe ressemblant à une grosse toupie mécanique d'enfant, mais le dessous était plat. Le temps était gris, il venait de pleuvoir une heure avant, et cet appareil avait une couleur sombre, gris sale et terre. Je n'ai remarqué ni lumière ni hublot (de ma place, je n'ai pu à aucun moment distinguer l'engin lorsqu'il était au sol). Il s'est élevé lentement au-dessus du champ de maïs à l'horizontale, j'ai perçu un léger ronronnement pendant ce mouvement, puis il a basculé de 90° (position verticale) et a disparu en direction du nord-est à une vitesse vertigineuse en émettant un sifflement bizarre; je n'ai pas remarqué de mouvement giratoire. Les gens qui se trouvaient au cimetière ont entendu les hurlements de ma chienne et le sifflement provoqué par la "soucoupe". Mon mari qui se trouvait au cimetière a entendu le bruit de la "soucoupe" et lui qui était dans l'aviation s'est parfaitement rendu compte qu'il ne s'agissait pas d'un avion à réaction. Des gens sont venus, dont trois agriculteurs qui, à ma mine, ont bien vu qu'il m'était arrivé quelque chose de fantastique. Ils m'ont trouvée dans les buissons, j'étais comme paralysée et je ne pouvais appeler. La première chose que les agriculteurs ont faite, c'est de me mener à la ferme de M. Masso et de me servir une grande tasse d'eau-de-vie".

Julien Gonzalez commente que Mme Leboeuf est restée couchée deux jours avec la fièvre. La peur avait entraîné chez elle des troubles qualifiés de strictement féminins, selon une enquête de M. Pierre Bouvard de l'Association mondiale interplanétaire). Dolly, la chienne de Mme Lebœuf a tremblé pendant trois jours et trois nuits consécutives.

Il ajoute que sur les lieux de l'atterrissage, on a trouvé des traces: dans la première rangée de maïs, la plus éloignée du chemin mais la plus proche des robiniers qui bordent le champ de luzerne, sept pieds étaient couchés en forme rayonnante; une branche de robinier était cassée sous l'effet d'un effort dirigé de haut en bas, il s'agissait d'une branche de 8 cm de diamètre; sur un robinier proche, une branche était complètement effeuillée, elle se trouvait à 2,50 m du sol; des arbrisseaux, sous les robiniers (aubépines journalières) étaient couchés, cassés, tassés, pliés, comme s'ils avaient reçu un choc important; un trou dans l'herbe de 15 cm de diamètre, situé sur la périphérie d'une trace circulaire. En outre, certains témoins auraient remarqué sur les lieux des empreintes de pas comme une grosse patte de chien avec un talon étroit.

Il ajoute qu'en dessinant l'engin sur la demande de Jean-Louis Ruchon en 1974, Mme Leboeuf a refusé de préciser certains détails sans vouloir donner la raison de ce refus, mais en précisant que des Scandinaves lui avaient demandé en 1954 de ne pas divulguer certains points!

Il ajoute qu'en 1954, les journalistes et certains ufologues venus l'interviewer ont rapporté que Mme Leboeuf aurait déclaré que les yeux de l'être la fixaient et que son visage était bien humain; mais ce fait a été contesté par Mme Leboeuf lors de la contre-enquête réalisée par Michel Figuet et Jean-Louis Ruchon en 1974.

Il note que l'hebdomadaire France-Dimanche a consacré un reportage-photo à l'affaire de Chabeuil dans son édition du 10 octobre 1954.

Il liste les source du cas comme Jimmy Guieu, Black-Out sur Les Soucoupes Volantes, pages 137- 140; Aimé Michel, Mystérieux Objets Célestes, pages 132-135; Michel Carrouges, les Apparitions de Martiens, pages 116-118; Ouranos, n° 13, pages 19-21 (enquêtes de M. R. Arnaud de la C.I.E. Ouranos et de M. Pierre Bouvard de l'Association Mondiale Interplanétaire); Michel Figuet et Jean-Louis Ruchon, OVNI: le premier dossier complet des rencontres rapprochées en France, pages 86-89; lumières dans la Nuit, n° 177, pages 16-18 avec une contre-enquête de MM. Michel Figuet et Jean-Louis Ruchon.

[Ref. tai1:] SITE WEB "THINK ABOUT IT"

Lieu: Chabeuil France

Date: 26 septembre 1954

Heure: 1430

Entendant ses chiens aboyer & hurler à 2:30 du matin, Mme. Lucette Leboeuf de Chabeuil, France a vu dans un champ de maïs un "épouvantail." Après s'être approchée à moins de huit pieds elle a vu que c'était un "scaphandre" de plastique transparent, de 3,5 pieds de haut. Un petit homme avec de grands yeux était dedans, ressemblant à un "enfant dans un sac en plastique, avec des yeux plus grands que ceux des humains." Elle n'a pas pu voir de bras sur la créature. Quand il a commencé à se dandiner vers elle, elle s'est sauvée. Un disque plat de quatre mètres de large a été vu s'élevant vers le haut avec un bruit de sifflement, pour voler au loin vers le nord-est. Sur l'emplacement a été trouvé un cercle de onze pieds de buissons cassés. Mme. Leboeuf est restée alitée pendant les deux jours suivants.

Source: Aime Michel; Magonia 156

[Ref. jbu1:] JEROME BEAU:

Le dimanche 26 septembre 1954 à 14:30, à Chabeuil (Drôme), témoin se promène avec sa petite chienne Dolly et s'arrête pour cueillir des mûres le long d'une haie. Revenant vers sa maîtresse, la chienne tombe soudainement à l'arrêt: "Le chien commença à aboyer, puis à hurler lamentablement. Elle se retourna et vit le petit animal au bord d'un champ de blé, devant quelque chose qu'elle prit d'abord pour un épouvantail. Mais en s'approchant elle vit que "l'épouvantail" n'était autre qu'une petite combinaison de plongeur faite d'une matière plastique translucide; haute de 90 cm ou un peu plus, avec une tête également translucide, et soudain elle comprit qu'à l'intérieur de la combinaison était une Chose, et que derrière le "casque", dont la transparence était un peu brouillée, 2 yeux la regardaient ; du moins, elle eut l'impression que c'étaient des yeux, mais ils étaient plus grands que des yeux humains. Tandis qu'elle prenait conscience de tout cela, la combinaison de plongeur commença à avancer vers elle, à pas pressés, tout en se dandinant."

La témoin, terrifiée, hurle et s'enfuit en courant pour se cacher dans un fourré. "La peur me faisait claquer des dents. "Quand elle essaie de repérer à nouveau le petit être "casqué et aux bras non visibles "elle ne voit rien, mais tous les chiens du village aboient furieusement. Soudain, un grand objet métallique et rond, ressemblant à "une grosse toupie mécanique d'enfant, mais dont le dessous était plat "s'élève en sifflant de derrière un bouquet d'arbres, bascule, et prend la direction nord-est à grande vitesse. Des gens situés à proximité et qui ont entendu la femme crier, dont le mari de madame Leboeuf, accourent vers elle. Ils la trouvent prostrée, sans voix. A l'endroit où l'on a vu l'objet rond s'élever, on découvre un cercle d'environ 3 m de diamètre où les mûriers et les buissons ont été écrasés: "Sur le bord de cette empreinte circulaire, une branche d'un des acacias, grosse de plus de 6 cm, pendait, cassée par une pression venue du dessus. Une branche d'un autre acacia, qui pendait à environ 2,30 m au-dessus du cercle, était entièrement dépouillée de ses feuilles. Les quelques premiers mètres de blé dans le sillage de l'objet lors de son envol étaient aplatis en forme de rayons de roue."

Elle aura selon toute vraisemblance observé la même créature qu'un agriculteur 10 jours plus tôt, et que Marius Dewilde le vendredi précédent. Elle la décrira également comme "un enfant dans un sac plastique, avec des yeux plus grands que les yeux humains".

Dernière modification le 07 June 2016 00:46

[Ref. tai2:] SITE WEB "THINK ABOUT IT"

Date: 29 septembre 1954

Lieu: Chabeuil, France

Heure: 1600

Résumé: Mimi Leboeuf, ramassant des champignons vers 1600, a été surprise par son chien aboyant après ce qui ressemblait à un épouvantail au bord d'un champ de blé. "L'épouvantail" était un humanoïde d'environ 3 pi de haut, enfermé dans un matériau translucide qui lui l'a fait ressembler à quelque chose emballé dans un sac en plastique. Mme. Leboeuf avait l'impression de deux grands yeux. L'homme-sac se mit à marcher vers elle et elle se retourna et courut. Peu de temps après, un objet en forme de soucoupe métallique s'élevait parmi les arbres voisins. M. Leboeuf trouva plus tard que les arbustes et les buissons dans la région où Mme. a dit que l'objet a décollé avaient été écrasés comme si quelque chose avait reposé sur eux.

Source: Lorenzen, UTWS, pg 167

[Ref. ubk1:] "UFO-DATENBANK":

Cette base de données a réussi l'exploit d'enregistrer ce même cas 38 fois au lieu d'une!

N° de cas Nouveau N° de cas Enquêteur Date d'observation CP Lieu d'observation Pays d'observation Heure d'observation Classification Commentaires Identification
19540900 00.09.1954 Chabeuil France Après-midi RR III
19540919 19.09.1954 Chabeuil France 16.00 RR III
19540919 19.09.1954 Chabeuil France 16.00 RR III
19540926 26.09.1954 Chabeuil France 14.30 RR III
19540926 26.09.1954 Chabeuil France RR III
19540926 26.09.1954 Chabeuil France 14.30 RR III
19540926 26.09.1954 Chabeuil France RR III
19540926 26.09.1954 Chabeuil France RR III
19540926 26.09.1954 Chabeuil France RR III
19540926 26.09.1954 Chabeuil France RR III
19540926 26.09.1954 Chabeuil France 14.30 RR III
19540926 26.09.1954 Valence France 14.30 RR III
19540926 26.09.1954 Chabeuil France 16.00 RR III
19540926 26.09.1954 Chabeuil France 14.30 RR III
19540926 26.09.1954 Chabeuil France RR III
19540926 26.09.1954 Valence France 16.00 RR III
19540926 26.09.1954 Chabeuil France 14.30 RR III
19540926 26.09.1954 Chabeuil France 14.30 CE II
19540926 26.09.1954 Chabeuil France 14.30 RR III
19540926 26.09.1954 Chabeuil France 16.00 RR III
19540926 26.09.1954 Chabeuil France 16.30 RR III
19540926 26.09.1954 Chabeuil France RR III
19540926 26.09.1954 Chabeuil France 16.00 RR III
19540926 26.09.1954 Chabeuil France RR III
19540926 26.09.1954 Chabeuil France RR III
19540926 26.09.1954 Chabeuil France RR III
19540926 26.09.1954 Chabeuil France 16.00 RR III
19540926 26.09.1954 Chabeuil France RR III
19540926 26.09.1954 Chabeuil France 16.00 RR III
19540926 26.09.1954 Chabeuil France 14.30 RR III
19540926 26.09.1954 Chabeuil France 14.30 RR III
19540926 26.09.1954 Chabeuil France 16.00 RR III
19540928 28.09.1954 Chabeuil France 14.30 CE I
19540928 28.09.1954 Chabeuil France 14.30
19540928 28.09.1954 Chabeuil France RR III
19540928 28.09.1954 Chabenil France
19540928 28.09.1954 Chabeul [sic] France
19540930 30.09.1954 Valence France RR III

[Ref. prn3:] PETER ROGERSON - "INTCAT":

26 septembre 1954. 1430hrs,

CHABEUIL (DROME : FRANCE)

Mrs LucetteLeboeuf ramassait des champignons dans le bois près du cimetière, quand son dog a commencé à aboyer et hurler. Elle a vu le chien se tenant au bord du camp de blé face à ce qui initialement ressemblait à un épouvantail. Venant plus près elle a vu que c'était une créature avec des yeux plus grand que des yeux humains, d'environ 1m de haut, portant une sorte de tenue de plongée de plastique translucide et un casque. La créature s'est déplacée vers elle avec une démarche de dandinement rapide, sur quoi elle s'est enfuie. Son chien a été joint par les hurlements d'autres chiens, tndis qu'un grand objet métallique circulaire aplati s'élevait de derrière quelques arbres, avec un son de sifflement, traversait le champ de blé et pris la direaction du nord-est. Son mari et quelques autres personnes dans le cimetière on entendu le hurlement et le sifflement et se sont donc précipités sur les lieux, où ils ont trouvé Mme Leboeuf dans un état de choc. Sur le site ils ont trouvé un cercle de buissons et de broussailles aplatis de 3m de diamètre. Une branche d'un acacia au bord du cercle était cassée; un autre acacia a eu ses feuilles arrachées à la hauteur de 2.5m et les quelques premiers mètres de blé dans la trace de l'objet ont été aplatis en des lignes rayonnantes. Mme Leboeuf a été alitée avec une forte fièvre pendant deux jours, et était encore tremblante trois jours plus tard.

Michel 1958 pp. 83 + Vallée cas 156 citant Le Figaro + Combat + Le Parisien tous du 30 septembre 54.

Carrouges 1967 p116

Vallee 1966a p70 : : Vallee 1969 54

Constance 1956 p256

Gross 1954. avec biliographie étendue, les sources les plus importantes sont une enquête par un collègue de travail de Raymond Veillith conduite le 3 décembre 1954. + Mr Arnaud et Pierre Bouvard dans Ouranous 1955/1 p19 citant leurs enquêtes indépendantes

Michel Figuet dans Lumieres dans le [sic] Nuit 177 p16

[Ref. wia1:] SITE WEB "WIKIPEDIA FR":

Copie d'écran.

Dans sa page sur la vague de 1954 en France, Wikipedia FR évoque 21 observations de la "vague", dont:

[... autres cas...]

26 septembre [1954]: une "rencontre du troisième type" en plein jour est rapportée1 par une habitante de Chabeuil.

[... autres cas...]

La source "1" est notée comme "RR3 de Chabeuil [archive]." Un lien renvoie à une page Web qui n'existe plus.

Explications:

Carte.

Non encore recherchée.

Note: les villages ont généralement un cimetière.

Mots clés:

(Ces mots clés sont uniquement destinés à aider les recherches et ne préjugent pas des faits.)

Chabeuil, Drôme, Leboeuf, occupant, humanoïde, atterrissage, soucoupe, disque, yeux, son, sifflement, traces, vêtement

Sources:

[----] indique des sources que je n'ai pas encore pu consulter.

Historique du document:

Version: Créé/changé par: Date: Description:
0.1 Patrick Gross 9 novembre 2006 Première publication.
1.0 Patrick Gross 8 mars 2010 Conversion de HTML vers XHTML Strict. Première version formalisée. [jca1], [tps2], [amr1], [amo1], [dle1], [mcs1].
1.1 Patrick Gross 18 juin 2010 Addition [jve5].
1.2 Patrick Gross 24 juin 2010 Additions [lcn1], [cri1].
1.3 Patrick Gross 4 juillet 2010 Additions [jve7], [lcp1], [uda1], [uda2], [uda3].
1.4 Patrick Gross 6 juillet 2010 Additions [jve6], [sdn1], [sdn1].
1.5 Patrick Gross 19 octobre 2011 Additions [oo3], [cir1].
1.6 Patrick Gross 13 août 2013 Addition [prn1].
1.7 Patrick Gross 13 septembre 2014 Addition [lgs1].
1.8 Patrick Gross 15 novembre 2014 Additions [nip1], [tai1].
1.9 Patrick Gross 6 octobre 2016 Addition [fde1].
2.0 Patrick Gross 10 octobre 2016 Addition [jbu1].
2.1 Patrick Gross 25 octobre 2016 Additions [lcp1], [mre1], [mft2].
2.2 Patrick Gross 28 novembre 2016 Addition [ubk1].
2.3 Patrick Gross 6 janvier 2017 Addition [dbr1].
2.4 Patrick Gross 12 janvier 2017 Addition [tai1].
2.5 Patrick Gross 7 avril 2019 Additions [via1], [krs1], [lhh1], [prn2].
2.6 Patrick Gross 20 février 2020 Additions [cpd1], [ads1], [mtn1], [bbr2], [prn1], [jsr2], [ton1].
2.7 Patrick Gross 1 mars 2020 Addition [nnm1].
2.8 Patrick Gross 13 mars 2020 Addition [lbl1].
2.9 Patrick Gross 29 mars 2020 Addition [cdn1].
3.0 Patrick Gross 19 avril 2020 Addition [vdn1].
3.1 Patrick Gross 25 avril 2020 Addition [jps1].
3.2 Patrick Gross 30 avril 2020 Addition [rdr1].
3.3 Patrick Gross 13 juin 2020 Addition [nll1].
3.4 Patrick Gross 24 juin 2020 Addition [nmn1].
3.5 Patrick Gross 5 janvier 2021 Addition [lcx1].
3.6 Patrick Gross 7 janvier 2021 Addition [bre1].
3.7 Patrick Gross 25 janvier 2021 Addition [cpd1].
3.8 Patrick Gross 16 mars 2021 Addition [lgs2].
3.9 Patrick Gross 5 mai 2021 Additions [lon1], [gqy1].
4.0 Patrick Gross 19 mars 2022 Additions [jgu1], [tbw1], [tbr1], [ldl2].
4.1 Patrick Gross 7 avril 2022 Additions [gcn2], [gep1], [lgs4].
4.2 Patrick Gross 15 juin 2022 Additions [jve3], [agd1], [tps1], [jgz1], [wia1].
4.3 Patrick Gross 18 juillet 2022 Additions [gab1], [gab2], [gab3], [jsr1], [goe1], [vau1].
4.4 Patrick Gross 22 juillet 2022 Additions [pmi1], [jve8], [amn1], [lgs5].

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Cette page a été mise à jour le 22 juillet 2022.