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Référence pour ce cas: 4-oct-54-Millencourt-en-Ponthieu.
Merci de citer cette référence dans toute correspondance avec moi en rapport avec ce cas.
Dans son livre de 1997 sur la vague fançaise de 1954, l'ufologue et auteur Jean Sider indique qu'un article en page 3 du journal Le Courrier Picard, d'Amiens, du 6 octobre 1954, rapportait une observation du 4 octobre 1954, à 19:00 à Millencourt-en-Ponthieu dans la Somme:
Un propriétaire de Caours-d'Heure, cycliste, qui n'a tenu à confier son aventure qu'à ses enfants domiciliés à Abbeville, a vu en haut de la côte de Millencourt une énorme masse illuminée.
Il a d'abord pensé que cela était un camion lourd conduit par des personnes qu'il a pris pour des voleurs de bestiaux. "Il fit la garde quelques minutes, ne vit rien mais fut ébloui." Il s'est ensuite senti tout à coup fatigué, est reparti et a essayé de retrouver sa bicyclette. Le vélo avait été posé à un endroit habituel, mais il ne l'a retrouvé qu'après dix minutes de recherche, parce qu'il était un peu bouleversé par la lumière qui se dégageait de l'engin. Il a aperçu l'engin peu après au-dessus du bois de Saint-Riquier.
[Ref. cpd1:] JOURNAL "LE COURRIER PICARD":
Il faudra bien un jour que les savants, ces messieurs dignes qui connaissent tant de choses et n'ont en fin de compte que cinquante ou cent ans d'avance sur le citoyen moyen, expliquent les mystères célestes qui nous intriguent actuellement.
Il ne suffit pas de dire "Les soucoupes volantes n'existent as et de laisser dans l'ignorance les gens de bonne foi qui, chaque jour, voient des phénomènes incompréhensibles.
Bien sûr! Il y a les incorrigibles farceurs, 50% environ, dont le constructeur de Montgolfières dont on lira l'odyssée par ailleurs. Ce sont ceux qui, sans doute, donnent le plus de détails: Martiens sans bras, dotés d'une antenne de radar particulière et de pieds palmés. Là, on rit, et c'est normal.
Mais les "apparitions" comme celles de dimanche soir ont été contrôlées par de nombreuses personnes, toutes dignes de foi et que nous avons pu interroger séparément avant qu'elles aient eu pratiquement le temps d'entrer en contact.
Il y a donc "quelque chose". C'est l'avis de beaucoup de monde. Ballons-sondes? engins téléguidés? vaisseaux interstellaires? Nul ne le sait.
Nous avons, hier, parlé du passage sur Boves et Demuin d'un disque orangé qui se déplaçait vraisemblablement à basse altitude. Un troisième témoignage avait été recueilli par notre informateur de Moreuil avant la parution du "Courrier Picard" portant la date du 5 octobre. Trop scrupuleux, notre correspondant avait eu peur de transmettre un canular et ce n'est qu'hier, qu'il constata, à la lecture de son journal, la coïncidence troublante avec les nôtres, des déclarations recueillies par lui.
Il s'agissait, en l'occurrence, des observations faites dans la soirée, par un Moreuillois, M. Julien Bédier, boulanger, rue Thibeauville.
Celui-ci revenait, en compagnie de sa femme et de ses enfants, M. et Mme Quenehen, bouchers à Péronne, en voiture, sur la route Amiens-Saint-Quentin quand, entre Foucaucourt et Estrées, il aperçut, vers 21 h. 15, un objet lumineux se déplaçant au ras du sol, en direction de Montdidier, à une distance qu'il lui fut, on le comprendra, impossible à évaluer.
De la forme, de la grosseur (apparente) d'un "pain de quatre livres)" (sic) bombé sur le haut, la "chose", de la couleur du minium, était immobile, et les occupants de la voiture, après s'être arrêtés, purent l'observer à loisir, tout en émettant les suppositions les plus diverses. Une barre sombre, verticale occupant environ le 1/5e de la largeur de celui-ci, apparut au milieu de la tache lumineuse, et s'y maintint tout le temps que dura l'observation, soit environ 10 minutes.
Ayant repris la route, nos voyageurs perdirent de vue l'engin, après avoir, à Warfusée, emprunté la route de Marcelcave.
M. et Mme Bédier se gardent bien de tirer des conclusions. Ils ont vu un objet lumineux, étrange, au ras du sol, et voilà tout. Ce n'était pas la lune. Sur ce point M. Bédier est formel: "Dame, à 65 ans passés, on sait ce que c'est qu'un quartier de lune, quand même".
D'autres personnes ont également confirmé le passage du disque orange dans le ciel picard, et notamment M. et Mme Bielecka et Mlle Janine Boitel qui, revenant de Paris en voiture, remarquèrent "l'objet" tout au long de la route de Saint-Just à Boves, en passant par Montdidier et Moreuil.
Un chauffeur d'autocar, M. Caron, qui assurait dimanche soir la ligne Roye-Amiens eut son attention attirée par un enfant assis non loin de lui et qui s'écria soudain "Oh! la drôle de lune!". Mais un bon conducteur surveille sa route, et M. Caron ne put jeter qu'un rapide coup d'oeil, suffisant néanmoins pour évaluer le diamètre de l'engin mystérieux: trois mètres environ. Mais à quelle distance était-il?
On comprendra qu'il nous est impossible de rechercher des témoins et de les interroger dans tous les villages de la Somme survolés par la prétendue soucoupe. Il faudrait d'abord pouvoir reconstituer la "ligne de vol".
De Boves vers le Santerrre, c'est à peu près fait. Avant, on trouve un passage sur un faubourg d'Amiens: Montières (témoin également digne de foi) et sur Dreuil, passage contrôlé par un gardien de la paix.
La soucoupe venait-elle donc de la côte? C'est fort possible puisque, peu avant qu'elle ne soit aperçue en Picardie (20 minutes environ) un ingénieur boulonnais, M. Marcel Thiebaut remarqua, alors qu'il circulait en voiture sur le plateau de Tingry, à mi-chemin entre Boulogne et Montreuil, deux disques rouges en mouvement. De nombreux automobilistes stoppèrent d'ailleurs pour scruter attentivement le firmament.
Entre Tingry et Dreuil, il restait évidemment un "trou", mais hier en fin de soirée, nous avons recueilli une intéressante déclaration qui nous permet de compléter tout au moins l'itinéraire d'un des mystérieux engins. On lira donc avec intérêt la curieuse déclaration suivante.
Une commerçante amiénoise, Mme Nelly Mansart, épicière, 6 rue de la Morlière, a vécu, en effet, dimanche soir, des minutes pathétiques et dont la simple évocationa de nouveau mis en émoi cette jeune femme, hier après-midi, lorsqu'elle nous a conté l'événement dont elle fut témoin.
Mme Mansart était allée passer l'après-midi chez ses parents à Hérissart et vers 21 heures, elle revenait en voiture vers Amiens, en compagnie de voisins, M. et Mme Delarouzée qui habitent 5, rue de la Morlière.
Tout en conduisant et en sortant du village d'Hérissart, Mme Mansart aperçut sur sa droite une boule éclatante dans le ciel. Cette boule a vrai dire avait à peu près la forme d'une collerette de champignon et était de couleur orange vif. Son diamètre était d'environ 6 à 8 mètres.
En plaisantant, Mme Mansart dit à ses amis: "Regardez, on dirait une soucoupe volante!..." Puis, observant la lueur avec plus d'attention, Mme Mansart remarqua, ainsi que des passagers, que ce "champignon" laissait échapper à sa partie supérieure des flammes tournant du violet au verdâtre, tandis que des sortes de câbles pendaient au-dessous.
Mais, laissons parler Mme Mansart: "Ce champignon bizarre, de couleur orange, tirant sur le feu m'impressionna énormément ainsi que mes amis. Je reconnais que j'ai eu peur. Cela vous fait un drôle d'effet et j'étais pressée de rentrer.
"La "soucoupe" nous a suivis pendant dix kilomètres, elle volait en rase-motte, à environ 150 mètres de nous et sa lueur se reflétait dans les glaces de ma voiture, à tel point que M. Delarouzée ouvrit la portière pour mieux se rendre compte. Lorsque nous traversions un village, l'engin contournait celui-ci et réapparaissait à la sortie. Après Rubempré, la boule écarlate se dirigea sur le hameau de Septenville puis vint nous rejoindre au sommet de la côte de Pierregot. A ce moment nous avons eu l'impression que la "soucoupe" piquait vers nous et j'ai e très peur.
Je continuais à rouler dans un état de surexcitation indescriptible et j'avais toutes les peines du monde à me contrôler. L'engin n'émettait aucun bruit et sans aucune doute il nous observait. A la sortie de Pierregot je me suis arrêtée aux dernières maisons. La "Soucoupe", qui avait contourné le village, nous attendait et faisait du sur-place puis elle s'éloignait comme je redémarrais. Elle se mit à tourner en spirale pendant trois ou quatre cent mètres et le "champignon" changea de forme pour prendre celle d'un croissant allongé et renversé avec une boule en fusion à la corne supérieure. Nous fûmes suivis jusqu'à Rainneville et étant au comble de l'effroi, je ralentis à la sortie de ce pays. J'étais suivie, à ce moment, par une 2 CV que j'empêchais de me doubler tellement j'avais peur. A ce moment, la "Soucoupe" accentua sa giration puis s'éloigna en direction de l'ouest d'Amiens, pour se perdre dans l'infini, en l'espace de quelques secondes, à une vitesse incomparable".
Dès qu'elle fut rentrée chez elle, Mme Mansart donna ses impressions à son mari qui demeura sceptique mais Mme et M. Delarouzée corroborèrent ses déclarations. Et le lendemain matin la fillette de Mme Mansart, âgée de trois ans, qui faisait partie du voyage fantastique et avait vu également le phénomène, dit à sa mère en s'éveillant; "T'as vu maman la grosse lune" et ce disant la fillette prit une serviette à laquelle elle donna la forme de l'engin aperçu la veille...
Deux ouvriers, travaillant à Amiens, mais domiciliés à Pont-Remy, affirment d'autre part, avoir vu distinctement une soucoupe dans cette dernière localité, lundi soir, vers 22 h. 30.
Il s'agit de MM. Serge Hetru, dépanneur radio, chez M. Van Béghin, et André Cahon, manoeuvre.
L'engin, qui se trouvait dans la campagne, au ras du sol, affectait, paraît-il, la forme d'un disque renflé au centre et cerclé d'une étrange lueur bleu violet. Les deux hommes estimèrent qu'il se trouvait à une centaine de mètres d'eux et qu'il avait - vu de cette distance - environ trois mètres de diamètre. Il s'éleva sans bruit, en diagonale, mais suivant une ligne plus proche de la verticale que de l'horizontale.
Nous avions souri en écoutant les propos de M. Serge Hetru et celui-ci en avait paru vivement contrarié. D'ailleurs son patron devait, par la suite, nous affirmer qu'il était un excellent ouvrier, sérieux et incapable de monter une blague de cette envergure.
Enfin, dernier témoignage pour aujourd'hui, celui d'un jeune Amiénois qui nous écrit, en signant, pour nous dire qu'il a aperçu lundi, vers 13 heures, alors qu'il se trouvait sur la route de Doullens à Amiens, à deux kilomètres de cette dernière ville, un engin métallique tournoyant à environ 1.000 mètres d'altitude.
Couleur bleu-gris; forme ovale; aucun bruit.
"Je crois pouvoir vous dire que c'était une soucoupe volante", écrit notre correspondant dont nous ne citons pas le nom parce que c'est en vain que nous avons essayé de le joindre hier, pour lui faire confirmer de vive voix les termes de sa lettre.
Nous voudrions bien, en conscience, être aussi affirmatifs que lui...
L'arrondissement d'Abbeville encore que des milliers d'habitants ne s'en aperçoivent pas, est actuellement le centre d'apparitions mystérieuses de soucoupes volantes et de cigares - puisque chacun les appelle ainsi - qui défrayent la chronique en engendrant les commentaires les plus divers.
M. Georges Galland, boucher rue Gaston-Caudron à Rue, revenait en voiture automobile de Berck, dimanche soir, avec sa femme et son fils. Tous trois se virent suivis bien avant Rue par un engin mystérieux qui avait la forme d'un cigare.
Légitimement inquiet, le conducteur ralentit l'allure de son véhicule et stoppa par deux fois. L'engin qui se rapprochait de plus en plus était toujours là.
Il s'agissait d'une grosse boule, nous ont dit les intéressés, hier soir, au téléphone, mais de forme allongée et de couleur orange.
Depuis le Pont-à-Cailloux jusqu'à Herre-les-Quend, M. Galland, son épouse et son fils, qui commençaient à s'inquiéter sur les suites de l'aventure, ont nettement aperçu le cigare-soucoupe qui ne se déplaçait pas plus, ont-ils déclaré, à 50 km à l'heure, leur voiture ne roulant, pour leur permettre de voir mieux le mystérieux engin, qu'à 20 ou 30 à l'heure.
Les occupants de la voiture ont vu finalement l'engin disparaître dans la direction de Saint-Quentin-en-Tourmont, vers la mer.
Autre détail à signaler: M. Georges Savary, de Rue, travaillant pour le compte de M. Savreux, transporteur, a aperçu le même jour vers 21 h. 15, un engin ressemblant à une toupie de couleur vive qui s'est posé à 400 mètres environ de chez lui. Il a voulu s'en approcher mais l'appareil mystérieux a décollé doucement en direction du Crotoy. Il a monté à la verticale à une vitesse vertigineuse.
Mme Savary a également constaté le phénomène, ainsi que M. Maurice Véron, chauffeur de camion.
Deux autres apparitions de soucoupes volantes, récit que nous tenons de peronnes dignes de foi, ont été constatées lundi soir, vers 19 heures, dans le triangle formé au nord d'Abbeville par les communes de Millencourt-en-Ponthieu, Agenvillers et Saint-Riquier.
Un propriétaire de Caours-l'Heure, qui n'a tenu à confier son aventure qu'à ses enfants domiciliés à Abbeville, a vu, en haut de la côte de Millencourt, une masse énorme illuminée. Tout d'abord il pensa qu'il s'agissait d'un lourd camion conduit par des personnes qu'il prit pour des voleurs de bestiaux...
Il fit la garde quelques minutes, ne vit rien mais fut ébloui. Se sentant tout à coup fatigué, il s'en retourna et essaya de retrouver sa bicyclette. Le vélo avait été posé à un endroit habituel, mais il ne le retrouva qu'après dix minutes de recherches, quelque peu bouleversé par la lumière qui se dégageait de l'engin, qu'il devait apercevoir peu après au-dessus du bois de Saint-Riquier.
Ces manifestations lumineuses dans le ciel de l'arrondissement d'Abbeville laissent perplexes tous ceux qui, au fil des jours, ne se prétendent pas victimes d'hallucinations.
[Ref. jsr1:] JEAN SIDER:
L'ufologue et auteur Jean Sider a appris par un article en page 3 du journal Le Courrier Picard, d'Amiens, du 6 octobre 1954, ces détails d'une observation au 4 octobre 1954, à 19:00 à Millencourt-en-Ponthieu dans la Somme:
Un propriétaire de Caours-d'Heure, cycliste, qui n'a tenu à confier son aventure qu'à ses enfants domiciliés à Abbeville, a vu en haut de la côte de Millencourt une énorme masse illuminée.
Il a d'abord pensé que cela était un camion lourd conduit par des personnes qu'il a pris pour des voleurs de bestiaux. "Il fit la garde quelques minutes, ne vit rien mais fut ébloui." Il s'est ensuite senti tout à coup fatigué, est reparti et a essayé de retrouver sa bicyclette. Le vélo avait été posé à un endroit habituel, mais il ne l'a retrouvé qu'après dix minutes de recherche, parce qu'il était un peu bouleversé par la lumière qui se dégageait de l'engin. Il a aperçu l'engin peu après au-dessus du bois de Saint-Riquier.
[Ref. lhh1:] LARRY HATCH - "*U* COMPUTER DATABASE":
3966: 1954/10/04 19:00 2 1:54:00 E 50:09:00 N 3333 WEU FRN SMM 8:6
MILLENCOURT-en-PONTHIEU,FR:IMMENSE LUMn MASSE/SOL:OBS EBLOUI+SOUDAINEMENT FATIGUES.
RefN°194 LUMIERES dans la NUIT.(LDLN France) Numéro No. 319 : PAYS DE FERMES
[Ref. lcn1:] LUC CHASTAN:
Luc Chastan note dans sa base de données que dans la Somme à Millencourt en Ponthieux le 4 octobre 1954 à 19:00 heures, "Le témoin observa une masse énorme illuminée en haut de la côte de Millencourt. Prennant cela pour un camion de voleur de bestiaux il guetta pendant quelques minutes et se retrouva soudainement ébloui. Une fatigue envahit le témoin il esseya de rechercher sa bicyclette pour repartir mais ne la retrouva qu'au bout de dix minutes. Il observa ensuite un objet émettant de la lumière au-dessus du bois de St Riquier."
Luc Chastan indique comme source: "Lumières dans la Nuit".
Le rapport de la presse est peu clair. On ne sait pas par exemple si c'est le témoin ou "l'OVNI" qui était "en haut de la côte de Millencourt".
Comme le témoin "a d'abord pensé que cela était un camion lourd", l'OVNI devait être visuellement sur une route ou proche d'une route.
Le témoin a finalement encore "aperçu l'engin peu après au-dessus du bois de Saint-Riquier."
J'ai essayé de situer les choses, mais j'ai fait "chou blanc":
Où se trouvait le témoin? Aucune indication ne me permet de le ldire, et donc, aucune direction d'observation ne ressort.
Mon idée était de vérifier la situation de la Lune. Faute de direction, j'ai tout de même décidé de vérifier si elle était dans le ciel à ce moment - elle s'était couchée à 22:20, à 19:00 elle était encore trop haute dans le ciel (14° 54) pour que le témoin ait pu penser à un camion. Encore que l'heure ne soit peut-être pas bien précise, et que si la Lune était derrière une côte, ce qui est possible, cela aurait pu convenir plus ou moins.
J'ai aussi envisagé que la "masse lumineuse" ait bien été un véhicule arrêté sur la route, avec des phares éblouissants, et que ce que le témoin a vu après, au-dessus du bois, aurait pu être autre chose, peut-être la Lune.
Mais faute d'informations précises, je n'ai rien de précis à proposer. Un "non identifié" donc, mais qui ne fait pas très "extraterrestre"...
(Ces mots clés sont uniquement destinés à aider les recherches et ne préjugent pas des faits.)
Millencourt-en-Ponthieu, Somme, Caours-d'Heure, masse, lumineux, ébloui
[----] indique des sources que je n'ai pas encore pu consulter.
Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
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0.1 | Patrick Gross | 12 novembre 2005 | Première publication. |
1.0 | Patrick Gross | 15 mars 2009 | Conversion de HTML vers XHTML Strict. Première version formalisée. Additions [lcn1]. |
1.1 | Patrick Gross | 13 décembre 2019 | Additions [lhh1], Summary. |
1.2 | Patrick Gross | 8 mai 2020 | Addition [cpd1]. |