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La vague française de 1954:

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7 octobre 1954, Saint-Blimont, Somme:

Référence pour ce cas: 7-oct-54-Saint-Blimont.
Merci de citer cette référence dans toute correspondance avec moi en rapport avec ce cas.

Rapports:

[Ref. cpd1:] JOURNAL "LE COURRIER PICARD":

Scan.

Une "soucoupe" s'était abattue
au sol près de Saint-Blimont

Mais ce n'était qu'un ballon
de la... Météorologie britannique

A chaque jour sa "soucoupe", ses "cigares" et autres engins volants mystérieux, aperçus ici et là dans le ciel de notre Picardie, sans parler des autres régions de France et d'ailleurs.

La plus prudente circonspection s'imposant en l'occurrence, nous nous borneront à faire état, ici, de témoignages écrits ou oraux recueillis en divers points du département, encore que certains de ces témoignages soit apparemment de nature à susciter un scepticisme amusé.

Ceci dit, il faut bien reconnaître qu'il n'y a pas de fumée sans feu, ni de "soucoupe", sans "tasse" ni "croissants", accessoires habituels du petit-déjeuner du Français moyens.

[Légende photo:] La fausse "soucoupe" de Saint-Blimont. L'appareil météorologique posé sur le sol, est surmonté de l'armature supportant le parachute.

Certes, l'ironie est facile en une matière pouvant relever du domaine de la science inconnue, comme de la plus simple mystification, sinon de la suggestion collective.

Mais il reste cependant le fait que des personnes, parfaitement dignes de foi et présentant toutes les garanties mentales, ont pu contempler des apparitions insolites qui les ont d'ailleurs fortement impressionnées.

Gardons-nous donc de conclure en affirmant que tous les témoignages recueillis, sans exception, soient réellement fondés, comme en disant qu'aucun n'est absolument valable.

Les dernières vingt-quatre heures ont apporté à la rédaction du "Courrier Picard", la manne désormais habituelle de vision plus ou moins fugitives, plus ou moins nettes, plus ou moins coloriées d'engins météorique.

A Saint-Blimont

L'une de ces informations promettait d'être sensationnelle.

Ne s'agissait-il pas, pour la première fois, de la chute d'une soucoupe écrasé au sol près de Saint-Blimont?

Quelques cultivateurs et ouvriers de cette commune ayant vu descendre et se poser dans un champ, un "appareil bizarre", qui émettait des lueurs, s'en furent prévenir en toute hâte, M. Raymond Bouchet, chef de râperie.

Celui-ci se rendit sur place pour constater aussitôt que l'extraordinaire engin était tout simplement une sorte de ballon-sonde appartenant au service de la Météorologie britannique.

Aidé de M. Gaston Lecomte, cultivateur, M. Bouchet transporta l'appareil - très endommagé par la chute - dans son bureau où il l'examina à loisir.

M. Bouchet nous a très complaisamment décrit l'engin, constitué essentiellement d'un ballon (éclaté) d'environ quatre à cinq mètres de diamètre, d'un parachute monté sur une armature en tubes d'aluminium, en forme de croix, le tout retenant, par un fils de dix mètres, l'appareil météo proprement dit, lequel portait la mention de son origine ainsi qu'une carte à adresser - en cas de perte - au Service Royal Météorologique de Grande-Bretagne.

Quant aux lueurs aperçues elles s'expliquent par les reflets du soleil sur les tubes d'alu et les trois pales en cuillère, actionnées par les vents.

M. Bouchet nous a précisé que les pièces attachées à l'appareil ont été expédiées par ses soins au directeur de l'Office Météorologique Headstone Drive, à Harrow (Middlesex).

Ainsi donc, les habitants de Saint-Blimont, qui pensaient être les premiers terriens à posséder effectivement un envoi spécial de la planète Mars, ont dû se résigner devant une réalité plus... terre à terre.

A Nouvion-en-Ponthieu

Cependant dans cette même région d'Abbeville, une autre apparition qui remonte à mercredi soir, vers 18 h. 00, a été constatée par une habitante de Nouvion en Ponthieu, Mme Barotte qui étendait du linge dans sa cour. Elle a perçu, dit-t-elle, dans le ciel un objet en forme de cigare reflétant diverses teintes (rouges, orange, argent, etc...)

Mme Barotte appela aussitôt sa voisine, Mme Crouy, gérante d'épicerie, et toutes deux virent distinctement l'engin se déplaçant à faible vitesse de l'Est vers ‘Ouest, c'est-à-dire vers la mer. Elle purent le suivre des yeux jusqu'à ce qu'un nuage le leur dissimulât.

***

Un autre Picard, mais qui n'a rien vu celui-là - du moins pas encore - nous écrit de Fouilloy, pour nous signaler l'existence d'une intéressante documentation concernant les engins volants inconnus. Elle se trouve dans deux numéros d'une revue. L'un est du mois de juillet 1950 et contient un article titré "Soucoupes et Cigares volants", sous la signature de Henry Taylor, journaliste et commentateur de la Radio, qui donne des explications personnelles, sur la provenance de ces engins, leur contexture, etc...

Malheureusement, l'autre article paru au mois d'août 1952, sous le titre: "Sommes-nous épiés par d'autres planètes", et la signature de H. Darrach et Robert Ginna, oppose un démenti formel au premier, en révélant notamment que des soucoupes volantes furent observés pour la première fois… en 1882.

Tout ceci qui n'est sans doute que spéculation anticipation, ne nous avance guère et le problème demeure posé.

Il le demeurera jusqu'au jour où - tout est possible - les mystérieux voyageurs aériens velus et corsetés d'orange consentiront à échanger des impressions avec nous, au lieu de détaler à la verticale quand s'approche d'eux un terrien terrorisé.

[Ref. reu1:] AGENCE REUTERS:

Scan.

Pendant ce temps, une soucoupe volante rapportée pour s'être écrasée près d'Abbeville s'est avérée être un ballon météorologique employé par l'armée de l'air royale britannique. Il avait éclaté en touchant le sol.

[Ref. lln1:] JOURNAL "LE LORRAIN":

Scan.

LES "SOUCOUPES VOLANTES"

posent de nombreuses énigmes

MAINTENANT, LES VOITURES S'ARRETENT

PARIS. -- Les "soucoupes volantes" continuent.

De partout, on en signale. Et maintenant, voilà qu'elles se mêlent d'arrêter les moteurs.

Un ramasseur de lait du Mans, M. Alexandre Tremblais, qui circulait à bord de son camion sur la petite route près de Saint-Jean-d'Assé (Sarthe), constata soudain que le moteur de son véhicule s'arrêtait et que les phares s'éteignaient.

M. Tremblais descendit de son camion pour voir passer à toute allure au-dessus de lui un cigare lumineux rouge et bleu, d'un mètre de long, qui disparut à l'horizon. Quelques minutes plus tard, le moteur repartait normalement et les phares fonctionnaient à nouveau.

A Nancy, un sceptique endurant, M. Georges Bou, 30 ans, chauffeur à Sarrebruk [sic, Sarrebourg], roulait sur la nationale 3 entre Morsbach et Forbach lorsqu'il vit une ombre large et épaisse barrer la route. Il stoppa, descendit de sa cabine, croyant à un accident. Mais il se rendit compte quil était bel et bien arrêt par une soucoupe. Celle-ci avait neuf mètres de diamètre et quatre mètres de hauteur environ. Elle était éclairée par plusieurs faisceaux lumineux dirigés vers le sol.

Le chauffeur s'approcha de l'étrange appareil. Soudain, celui-ci décolla à la verticale, marqua un temps d'arrêt à dix mètres, puis s'éloigna très rapidement.

Le capitaine de gendarmerie Bohler s'est rendu sur les lieux aujourd'hui avec M. Bou. Mais il n'a pu relever aucune emprunte.

A l'Ile de Ré, M. Simonnetti a déclaré avoir vu une sphère lumineuse de 12 mètres de diamètre environ, qui oscilla à une cinquantaine de mètres du sol.

La sphère, a-t-il dit, est devenue rouge, a viré au bleu et s'est élevée très rapidement à la verticale.

Deux autres habitants et deux Parisiens en vacances ont confirmé.

A Duclair (Seine-Inf.), M. Landrin, préposé aux eaux, qui se promenait en compagnie de sa femme, a été aveuglé par un faisceau lumineux. Lorsqu'il rouvrit les yeux, Déclara-t-il, il vit une boule qui disparut quelques minutes plus tard.

- Près de Reims, un mécanicien des usines Panhard, M. Joseph Roy, 30 ans, a vu près de l'Isles-sur-Suippe un cigare posé au sol, ressemblant d'après sa description à celui de Marignane. Des témoins alentours ont confirmé.

- A la Montagne-de-Béruges (Vienne), un cultivateur, M. Edouard Thébault, a observé dans son champ un énorme engin lumineux.

Quelques minutes plus tard, l'engin s'éteignit et un énorme phare balaya la route, puis quand le témoin revint accompagné de son père qu'il avait été quérir, tout avait disparu.

- Plusieurs pêcheurs et toute la famille d'un marchand de poissons ont vu dans le ciel, à Plozevet (Finistère), une vive lueur entourée d'une fumée dense. Cette lueur, d'abord immobile, se dirigea vers eux à une altitude d'environ dix mètres. Elle avait l'apparence d'une sphère orange.

- Un engin siffleur, de couleur grise, s'est immobilisé un instant à 100 mètres environ de Chassevreuil (Indre). L'appareil est reparti à vive allure, laissant derrière lui comme un brouillard.

Dans la même commune, un jeune homme a vu un engin lumineux de couleur rouge-orange qui se déplaçait en direction nord-sud.

- Une coupole demi-sphérique de couleur aluminium, éclairée à l'intérieur, qui se trouvait à environ trois mètres de la route et à un mètre du sol, a été vue à Jettingen (Haut-Rhin) par M. René Ott, employé à la S.N.C.F. Effrayé, M. Ott s'enfuit. Il eut cependant, dit-il, le temps de remarquer qu'une porte s'ouvrait dans l'appareil. Celui-ci évolua au-dessus de lui sur une distance de 800 mètres avant de disparaître. Les gendarmes n'ont relevé aucune trace.

- Un engin silencieux, qui se déplaçait en tournant comme une toupie, a été vu à Calais, au-dessus du théâtre municipal, par un gardien de la paix, un coiffeur, un chauffeur de taxi et un boucher. Il s'est éloigné en direction de la mer.

- Une soucoupe volante s'élevant sans bruit à la verticale à été vue à Vigneux (Seine-et-Oise) par M. Marais, hier à 21 heures. Elle était lumineuse et comportait des hublots.

LA SOUCOUPE ECLATEE DE SAINT-VALERY-sur-SOMME N'ETAIT QU'UN BALLON-SONDE DE LA R.A.F.

ABBEVILLE. -- Encore une fausse soucoupe! L'engin mystérieux qui éclata dans le ciel picard et dont les débris s'éparpillèrent dans une pâture, à Boismont, près de Saint-Valéry-sur-Somme, n'était qu'un ballon-sonde.

Les habitants de la région, dans la crainte du fameux rayon vert "paralysant", n'osèrent s'approcher des débris. Seul, M. Raymond Boucher, employé de sucrerie, eut le courage de venir contempler la soucoupe. Il s'agissait plus simplement d'un ballon utilisé par les services météorologique de la Royal Air Force qui, en touchant le sol, avait éclaté bruyamment.

VIENNE. -- Des milliers de personnes ont vu hier une formation de soucoupes volantes au-dessus de Ried, volant d'est en ouest.

L'OPINION D'UN SAVANT

Interrogé au sujet des voitures qui s'arrêtent, a dit:

- Soucoupes ou pas soucoupes, il faut retenir comme vraies les informations qui parviennent en ce moment. En ce qui concerne l'arrêt brusque de moteurs au passage d'engins, il faut admettre la présence et l'action de rayons inconnus. Cela ne veut pas dire que ces rayons aient une origine extra-terrestre. Vous vous souvenez de ce fameux rayon Z, dont on parlait tant bien avant la dernière guerre? Pendant les hostilités, les belligérants ont encore perfectionné le procédé. J'ai vu personnellement, il y a une quinzaine d'année, des expériences en laboratoires où des rayons électriques enflammaient à des distances de quelques mètres du papier u d'autres matières combustibles.

[Ref. me1:] ALEXANDER MEBANE:

Feu l'ufologue Alex Mebane traduisait des articles de la presse française concernant les soucoupes volantes; lesquels ont fini dans les archives du programme Blue Book de l'U.S. Air Force.

Sous sa traduction d'un article dans Le Courrier Picard du 8 octobre 1954, il a noté:

Scan.

(Omis: la première partie de l'article, décrivant le ballon météo britannique qui est tombé à Saint-Blimont et a été pris pour l'épave d'une soucoupe volante.)

[Ref. ale1:] JOURNAL "ABBEVILLE LIBRE":

Scan.

Alerte! Une soucoupe volante
aurait éclaté à St-Blimont
et ce n'était qu'un ballon-sonde

Depuis déjà quelques semaines, il n'est bruit que de soucoupes, cigares, engins lumineux, dans toute la France et notamment dans notre région.

Il semble que l'on s'amuse avec ces petits "trucs", que d'aucuns prennent au sérieux, tandis que d'autres restent sceptiques.

Une nouvelle qui paraissait sensationnelle est venue du village de St-Blimont, dans le canton de St-Valery.

Quelques cultivateurs et ouvriers de cette commune ayant vu descendre et se poser dans un champ un "appareil bizarre", qui émettait des lueurs, s'en furent prévenir M. Raymond Bouchet, chef de râperie.

Celui-ci constata que l'engin était tout simplement un ballon-sonde, provenant des Services de la Météorologie britanniques.

En compagnie de M. Gaston Lecomte, cultivateur, il examina cet appareil.

Il mesurait environ 4 à 5 mètres de diamètre, était garni d'un parachute monté sur une armature en aluminium en forme de croix.

Cet appareil portait la mention d'origine "Service Royal Météorologique de Grande-Bretagne".

Quant aux lueurs aperçues elles s'expliquaient par les reflets du soleil sur les tubes d'alu et l'hélice trois pales à cuillère, sectionnée par les vents.

Les habitants de Saint-Blimont n'ont donc pas eu leur "soucoupe" volante et ils l'attendent... avec les Martiens.

[Ref. bvl1:] JOURNAL "BRESLE ET VIMEU LIBRE":

Scan.

SAINT-BLIMONT

LA SOUCOUPE DE SAINT-BLIMONT

Saint-Blimont a faille passer au premier plan de l'actualité mondiale.

A failli seulement...

Car, en fin de compte, il a fallu se rendre à l'évidene qu'il ne s'agissait que d'une erreur.

On avait pris un ballon-sonde des services météorologiques britanniques, descendu au sol, pour une soucoupe volante en panne.

Empressons-nous de dire que la bonne foi des témoins n'est pas à mettre en cause, mais avec les bruits si convaincants qui circulent depuis 15 jours, les esprits les plus sérieux se trouent eux-m'emes prédisposés à voir ce qu'ils voudraient voir.

Mais venons-en au fait. Quelques cultivateurs et ouvriers de Saint-Blimont voyaient, la semaine dernière, se poser dans un champ un appareil bizarre qui émettait des luerus. Ils prévinrent M. Raymond Bouchet, chef de râperie.

Ceui-ci, arrivant sur les lieux, idenfifiait l'engin qui portait mention de son origine, "Service Royal Météorologique de Grance-Bretagne". Il le fit porter dans son bureau et put l'étudier. Il s'agissait d'un ballon de 4 à 5 mètres de diamètres [sic], d'un parachute monté sur une armature en tube d'aluminium, le tout retenant un appareil de météo.

Le ballon s'était accidentellement crevé, l'engin était descendu et le soleil se mirant sur les tubes d'aluminium provoquait les scientillement aperçus par les témoins, leur faisant penser aux fameuses lueurs des soucoupes volantes.

M. Bouchet s'empressa d'expédier les pièces détachées de l'appareil à l'office Météorologique Headstone Drive, à Harrow.

Ainsi se trouve ramenée à ses justes proportion une histoire qui aurait pu, comme tant d'autres, garmir la chronique spécialement ouverte dans la gande presse, sous le titre "Soucoupes Volantes!"

Let à min Cousin Polyte

Va un mouas d'éch' coup d'Ochincourt, t'in souvns-tu? J'él garantis qu'jai là rfouit comme i faut queue chés meudits seucoupes! Ch'étouout bel et bien eune volée d'étourgneux!

Comme à chor-raperie d'Saint-Blimont, l'eute jour, Bouchet i creuyouot dur comme fer éqch'én' étouot eune, Bernique! Ch'étouout eune espèce d'invintion qu'chés Inglais il envoél't' in l'air pour savoér qué temps qui va foaire.

Oui, mais justémont ch'jour éd Saint-Blimont, i m'a arricé un drôle éd tour qui eut qu'éj té racontche. J'érvenouas d'Arrest et pis j'arrivouos tout in heut d'éch monte à crin. Va-ti point qu'éj voès dins ch'temps, mais heut, heut à mort, eune espèce éd cigare aveuc eune soucoupe in dsous qui déchindouot à toute vitesse. Etouaot rouge, quanne, bleu et pis éringté tout à l'intour. Va qu'échl attrinchillage i's pose quasimint à mes pieuds. Quoé qu' j'apercheus? Un piot bonhomme, point pus grand qu'eune pieule carotte. I s'avanche édsus mi et pis i s'met à baragouineu tant qui peut.

- Rabatchamouratcha, qui m' disouot.

J'n'in comprindonc point pu qu'ti. Et pis, tu sais, intré nous, j'en' dis point qu'j'avouos peur, mais j'n'étouaos point fier. Pour finir éj li dis comme o in djisc d'érien:

J'ai ieu rudemint peur, tout à l'heure, quant' oz veu tcheu à terre...

Mi tout, Robert, qui m'a répondu.

I a rmonté dins s'soucoupe et pis in eune vision il a tè si heut qu'é n'voéyouot pus rien du tout.

Alors, Polyte, quoè qui feut n'in pinseu d'chés Marsiens pis d'leurs soucoupes? Mi j'én' sais pus...

Tin Cousin pour la vie:
Robert MONONQUE...

P.-S. - Est égal, él sommes-nous connus!...

Explications:

Carte.

Cas négatif, ballon météo.

Mots clés:

(Ces mots clés sont uniquement destinés à aider les recherches et ne préjugent pas des faits.)

Saint-Blimont, Somme, ballon, confusion, crash, cas négatif, ballon-sonde, parachute, ballon météo, Gaston Lecomte, Raymond Bouchet, reflet, tubes, aluminium

Sources:

[----] indique des sources que je n'ai pas encore pu consulter.

Historique du document:

Version: Créé/changé par: Date: Description:
1.0 Patrick Gross 26 octobre 2011 Première publication, [reu1].
1.1 Patrick Gross 23 janvier 2017 Addition [lln1].
1.2 Patrick Gross 8 mars 2020 Additions [ale1], [bvl1].
1.3 Patrick Gross 6 juin 2020 Addition [cpd1].

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Cette page a été mise à jour le 6 juin 2020.