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La vague française de 1954:

La page d'accueil concernant les cas de la vague française de 1954 se trouve ici.

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2 octobre 1954, Saint-Souplet, Nord:

Référence pour ce cas: 2-oct-54-Saint-Souplet.
Merci de citer cette référence dans toute correspondance avec moi en rapport avec ce cas.

Rapports:

[Ref. nmn1:] JOURNAL "NORD-MATIN":

Scan.

Selon un astronome du Kenia

"Des visiteurs d'un autre monde
dressent une carte de la terre"

On continue à signaler de partout des apparitions d'engins mystérieux qui affectent tantôt la forme de soucoupes, de boules lumineuses, de disques incandescents. Mais tous ces témoignages n'apportent rien de neuf sur la question. Par contre, un savant vient de prendre la parole pour faire connaître le résultat d'une observation peronnelle.

M. G. Duncan Fletcher, vice-président de l'Association Astronomique du Kenya, a lui-même observé dernièrement, un objet survolant Nairobi. Il était dans son observatoire (qui est très bien équipé), en compagnie de quatre amis. Il était 19 h. 40 quand, très bas à l'Est, apparut une grande lueur qui n'avait rien à voir avec l'astronomie, ni avec les avions qui venaient de se poser sur l'aéroport. L'objet était à environ 700 mètres d'altitude et était immobile. Quand M. Fletcher et ses quatre amis l'aperçurent, il émettait une vive lueur orangée. Cette lueur s'intensifia jusqu'au jaune clair et l'objet s'éleva, redescendit et reprit de la hauteur pour disparaître finalement dans les nuages.

M. Fletcher fait connaître que des soucoupes ont été signalées par de sobservateurs très expérimentés de tous les points du globe et d'après lui "des visiteurs d0un autre monde observent la terre et en dressent probablement la carte géographique".

Citant à l'appui de sa thèse l'opinion du Dr. P. Foyle, professeur d'astrophysique à Cambridge et celle de Sir James Jean, le Dr. Fletcher déclare que des raisons innombrables militent en faveur de l'existence de nombreuses planètes capables d'abriter la vie, mais les formes de vie sur les autres planètes pourraient être très différentes de tout ce que nous pouvons imaginer".

Il ajoute que c'est peut-être une simple coïncidence, mais il fait remarquer que ces êtres d'autres mondes s'intéressent aux activités terrestres depuis la première explosion atomique, il y a environ sept ans.

"Il semble ne faire aucun doute, poursuit M. Fletcher, que ces êtres sont extrêmement en avance sur nous. Je pense qu'ils nous abordent comme nouis ferions si nous étions à leur place".

Une boule de feu à Sequedin

En attendant, d'autres engins mystérieux ont été signalés au-dessus de notre région.

Dimanche soir, à 21 h., M. Ferdinand Millecamps, 21 ans, maçon, demeurant à Haubourdin, 22 rue Victor Loridan, se trouvant sur le pont de Sequedin, vit, à environ 500 mètres, entre Sequedin et Hallennes, et sur la voie ferrée, une boule de feu, de la taille d'un tramway. Elle se trouvait à 4 ou 5 mètres du sol et, après être demeurée un moment immobile, elle partit à la verticale. Effrayé par cette apparition fantastique, M. Millecamps quitta précipitamment les lieux, et plus tard, encore très ému, raconta son aventure en arrivant à Haubourdin.

Deux "Martiens"
à St-Amand-les-Eaux

Samedi, M. Marcel Sénéchal, 20 ans, demeurant à St-Amand, au lieu di "La Pannerie", avait comme à son habitude, passé la soirée à Hauteville-Nivelle chez sa fiancée. Il s'en revenait à bicyclette vers St-Amand en longeant le canal de la Scarpe, vers 1 h. du matin.

Arrivé à la hauteur de la pâture Vandeville à Nivelle, il entendit soudain une conversation tenue en un langage inconnu et semblant parvenir de sa droite. Il tourna la tête de ce côté et à son grand émoi aperçut alors une masse lumineuse en forme de meule ainsi que deux formes humaines de 1 m. 20 de hauteur environ, revêtues d'un vêtement brillant. Un rayon lumineux sortait de l'engin.

Les personnages mystérieux n'avaient sans doute pu voir l'approche du jeune cycliste qui roulait dans l'obscurité, une panne ayant immobilisé son éclairage.

Le jeune homme effrayé, s'éloigna à toutes pédales et regagna son domicile ému à l'extrême et rapporta ces faits à sa famille et à des voisins.

Informé par la rumeur publique, le commissaire de St-Amand, M. Gravet et deux inspecteurs chargés de la Police de l'Air attachés à l'aérodrome de Lesquin se sont rendus sur les lieux et ont procédé à des recherches; mais ils ne purent relever aucune trace.

Un étrange phénomène
dans la Somme

Des habitants de Boves dans la Somme ont été dimanche soir, les témoins d'un étrange phénomène.

Il était 20 h. 50, M. et Mme Dheilly qui étaient allés chez des amis, rentraient chez eux. Alors que M. Dheilly cherchait dans l'obscurité à ouvrir sa porte, Mme Dheilly remarqua soudain un demi-disque orange, à faible hauteur dans le ciel, en direction de l'extrémité de la rue. Elle alerta son mari et tous deux purent voir le disque se déplacer lentement vers une crête boisée.

Deux de leurs voisins, M. et Mme Quin, à leur tour avertis, purent eux aussi voir le mystérieux demi-disque qui, toujours lentement, s'éloigna et disparut derrière les arbres du marais proche.

Confirmation, en quelque sorte indirecte, de cette "apparition" a été donnée par des habitants de Demuin, M. et Mme Deslarides, ouvriers agricoles, qui affirment eux, avoir vu vers 21 h. 15, une sorte "d'abat-jour volant" phosphorescent qui se déplaçait sans bruit et paraissait vouloir atterrir.

Une boule lumineuse dans un
jardin à Saint-Souplet

Un habitant de St-Souplet, dans le Cambrésis, a reçu une curieuse visite dans la nuit de dimanche à lundi.

Réveillé par un claquement sec, le témoin dit: "J'ai cru tout d'abord à un incendie de l'immeuble en face, mais il s'agissait en fait d'une boule lumineuse, qui montait vers le ciel. Une vitre de porte fut soufflée et le verre réduit en centaines de petits morceau était dispersé dans la pièce attenante. A l'endroit d'où venait de repartir l'engin, les légumes du jardin étaient tous couchés dans le même sens, quelques-uns étant déracinés, juste à l'endroit où s'était posée la boule. A part la vitre brisée que l'on peut expliquer par le déplacement d'air de l'appareil, aucun autre dégât n'a été fait à la propriété".

[Ref. fru1:] MICHEL FIGUET ET JEAN-LOUIS RUCHON:

Les auteurs indiquent qu'à Saint Souplet en 1963 ou 1964 à la tombée de la nuit une femme anonyme sommeillait avec les volets ouverts malgré la tombée de la nuit quand elle a été brusquement réveillée par un bruit violent et a vu une masse lumineuse de couleur rouge qui décollait de son jardin.

Elle en informe son fils mais comme il fait nuit ils ont décidé d'aller voir dans le jardin seulement le lendemain.

Le matin ils constatent que le champ d'épinard semble écrasé sur une zone circulaire d'environ 3 mètres de diamètre, sans brûlure apparente, sans cassure mais avec une sorte de flétrissement de chacune des plantes. Un fil de fer qui traversait la zone n'était ni cassé ni distendu. La vitre supérieure d'une des fenêtres de la femme était cassée de manière assez régulière mais le projectile qui aurait pu le faire et les morceaux de verre étaient introuvables.

Ils ont découvert plus tard les morceaux de verre projetés de l'autre côté de la pièce et derrière un meuble, et ce qui était encore plus anormal était que ce verre à vitre banal était cassés en petits éclats comme ce que donne le verre pyrex.

Lors de l'enquête une photo d'époque a été ressortie qui montrait le trou dans la vitre.

Une autre personne qui dormait dans la maison voisine a entendu le bruit violent à la même heure et la comparé au bruit d'une portière que l'on claque très amplifié.

Une enquête de gendarmerie a été faite à l'époque.

Les auteurs indiquent que la source est LDLN N. 153 page 22.

[Ref. tmn1:] TERENCE MEADEN:

Le scientifique indique qu'il y avait eu un cas de crop circle en France il y a de nombreuses années à Saint Souplet dans le Nord dans lequel une formation de cercle dans un grande zone coïncidait avec une boule de lumière rouge et un bruit acoustique.

Les sources sont notées "Anon. 1976, Nord Matin, Octobre 1954".

[Ref. jsr1:] JEAN SIDER:

L'auteur indique que dans la nuit du 2 au 3 octobre 1954 à St. Souplet dans le Nord, un habitant anonyme a été réveillé par un claquement sec et a aperçu dehors une boule lumineuse montant dans le ciel.

Une vitre de sa porte a été soufflée, le verre était réduit en centaines de petits morceaux éparpillés dans la pièce attenante, et sur le site du décollage, les légumes du jardin étaient couchés dans le même sens, certains étant même déracinés là où la sphère s'était posée.

Jean Sider indique que la source est le journal local Nord-Matin, de Lille, du 6 octobre 1954, page 10.

[Ref. jsr2:] JEAN SIDER:

Jean Sider inclut dans son livre de 1997 sur la vague de 1954 un encart sur des "effets secondaires", mentionnant notamment des affaires de "parebrisite".

Il indique que l'ufologue Michel Jeantheau, qui avait épluché la presse à ce sujet, avait découvert que ces "effets en principes naturels" se sont produit en grand nombre en 1954, mais beaucoup moins avant et après, ce qu'il trouve étonnant.

A la Bibliothèque Nationale, Annexe de Versailles, Jeantheau s'était trompé et avait consulté des journaux de 1953 au lieu de 1954, et c'est ainsi qu'il a trouvé que les "anomalies" de cette sorte dataient pour la très grande majorité de 1954. Il a alors vérifié pour 1955 et 19556 et fait le même constat.

Parmi les cas de "parebrisite" ou "cancer du verre" trouvés par Jeantheau, Sider cite "une vitre de porte à Saint-Souplet" dans le Nord.

Jean Sider dit laisser le lecteur en penser "ce qu'il voudra."

[Ref. cir1:] "THE CIRCULAR":

3. 1954, St. Soupplets

Semblable au récit de Premanon, mais quelques jours plus tard, une femme et son fils ont entendu des bruits étranges en dehors de leur maison dans la nuit du 2 octobre. Ils ont été témoins d'une lumière rouge dans le jardin, planant au-dessus de leur potager, dans laquelle des épinards poussaient. Ils ont rapporté que la lumière a filé au loin dans le ciel.

Le matin du 3 octobre, ils ont découvert que dans les épinards il y avait un cercle, se composant de 3m de plantes aplaties. Une fenêtre dans le bâtiment avait également été cassée dans le processus.

Ce cas a été rapporté intensivement par Terence Meaden (par exemple dans Circles Effects and its Mysteries, page 52), qui l'a interprété comme évidence pour son hypothèse de vortex de plasma.

[Ref. goe1:] GODELIEVE VAN OVEMEIRE:

L'ufologue belge indique qu'en 1964 ou 1963 en France, à Saint-Souplet (Nord), "A la tombée de la nuit Mme X. sommeille. Les volets ne sont pas clos. Elle est réveillée brusquement par un bruit violent et voit une masse lumineuse de couleur rouge qui décolle de son jardin. Le lendemain avec son fils, elle trouve le champ d'épinards écrasé sur une zone circulaire d'environ 3m de diamètre. Une sorte de flétrissure de chacune des plantes, sans cassure. La vitre supérieure d'une des fenêtres de la maison est cassée de manière régulière, mais les morceaux de verre ou le projectile demeurent introuvables. Plus tard ils retrouveront derrière un meuble des morceaux de verre pulvérisés en tout petits éclats. Une autre personne dormant dans la maison voisine entendit elle aussi à la même heure un bruit violent, qu'elle compara à un bruit de portière violemment refermée et très amplifié."

La source est indiquée comme "M. FIGUET/ J.L. RUCHON: "Ovni, Premier dossier complet..." - éd. Alain Lefeuvre 1979, p. 649".

[Ref. twn1:] TERRY WILSON:

3. 1954, St. Soupplet

Semblable au récit de Premanon, mais quelques jours à plus tard, une femme et son fils ont entendu des bruits étranges en dehors de leur maison dans la nuit du 2 octobre. Ils ont été témoins d'une lumière rouge dans le jardin, planant au-dessus de leur parcelle de légumes, dans laquelle des épinards poussaient. Ils ont rapporté que la lumière est montée loin dans le ciel.

Le matin du 3 octobre, ils ont découvert que dans la parcelle d'épinards était un cercle, se composant de 3m de plantes aplaties. Une fenêtre dans le bâtiment avait également été cassée dans le processus.

Ce cas a été rapporté intensivement par Terence Meaden (par exemple dans Circle Effects and its Mysteries, p. 52), qui l'a interprété comme preuve pour son hypothèse de tourbillon de plasma.

[Ref. jdt2:] JEAN-PIERRE D'HONDT - GERU:

DATE: nuit du 2 au 3 octobre 1954

LIEU: Saint Souplet nord

TYPE: RR1

REF: journal "Nord matin" édition de Lille du 6-10-54 page 10

CIRCONSTANCES DE L’OBSERVATION:

Un habitant de Saint-Souplet, dans le Cambrésis, a reçu une curieuse visite dans la nuit de dimanche à lundi. Réveillé par un claquement sec le témoin dit: "J'ai cru tout d'abord à un incendie de l'immeuble d'en face, mais il s'agissait en fait d'une boule lumineuse qui montait vers le ciel. Une vitre de porte fut soufflée et le verre réduit en centaines de petits morceaux était tout dispersé dans la pièce attenante. À l'endroit d'où venait de partir l'engin, les légumes du jardin étaient tous couchés dans le même sens; quelques-uns étaient déracinés, juste à l'endroit où s'était posée la boule. À part la vitre brisée pouvant s'expliquer par les déplacements d'air de l'appareil, aucun autre dégât n'a été fait à la propriété".

[Ref. amr1:] "ICCA - THE INTERNATIONAL CROP CIRCLE ARCHIVE":

2. St.Soupplets [sic] - 03.01.1954

Rapport

Dans la nuit du 2 octobre 1954, une femme et son fils ont entendu des bruits étranges en dehors de la maison. Ils ont tous les deux regardé par la fenêtre, pour voir une lumière rouge planer au-dessus d'un carré d'épinards. Après un moment la lumière est "montée au loin". Le matin suivant ils ont trouvé un cercles aplatis mais autrement intact.

Données II

Cercle: 3 m de diamètre

[Ref. cas1:] COLIN ANDREWS ET STEPHEN SPIGNESI:

Les auteurs disent qu'il y a eu 13 crop circles en France, essentiellement des ronds, avec le premier remontant en 1954. Un jour en 1964, à une certaine heure du petit matin deux voisin ont vu un cercle en train de se former à St. souplet. Le cercle s'est formé dans un jardin arrière et les deux voisins ont été réveillés par un bruit étrange très fort tandis qu'une lumière brillante se déplaçait dans le jardin. Les fenêtres de la chambre à coucher ont éclaté en petit morceaux de verre et pulvérisés pendant cet événement. Le cercle qui était apparu a été rapporté être dans des plants d'épinards.

[Ref. amo1:] ANNE MORO:

Anne Moro indique en anglais qu'à "St.Soupplets" [sic] le 03.01.1954 "Dans la nuit du 2 octobre 1954, une femme et son fils ont entendu des bruits étranges en dehors de la maison. Ils tous les deux regardé dehors par la fenêtre, pour voir une lumière rouge planer au-dessus d'un champ d'épinards. Après un moment la lumière est "montée loin". Le matin suivant ils ont trouvé des cercles aplatis mais autrement intact. diamètre de 3 m".

Anne Moro indique que la source est la base de données d'Andréas Müller "ICCA-The international Crop Circle Archive".

Ailleurs elle indique:

1954 2 Octobre 77
SEINE ET MARNE
St Soupplets Un cercle de 3 m de diamètre. Une femme et son fils entendent en pleine nuit des bruits étranges provenant de l'extérieur de leur maison. En regardant par la fenêtre ils observent un objet rouge planer au dessus d'une parcelle d'épinards. Au bout d'un moment l'objet et parti et c'est le lendemain qu'ils observeront 2 cercles de plants aplatis.

Un scan d'un texte anglais dit:

3. 1954, St. Soupplet

Semblable au récit de Premanon, mais quelques jours à plus tard, une femme et son fils ont entendu des bruits étranges en dehors de leur maison dans la nuit du 2 octobre. Ils ont été témoins d'une lumière rouge dans le jardin, planant au-dessus de leur parcelle de légumes, dans laquelle des épinards poussaient. Ils ont rapporté que la lumière est montée loin dans le ciel.

Le matin du 3 octobre, ils ont découvert que dans la parcelle d'épinards était un cercle, se composant de 3m de plantes aplaties. Une fenêtre dans le bâtiment avait également été cassée dans le processus.

Ce cas a été rapporté intensivement par Terence Meaden (par exemple dans Circle Effects and its Mysteries, p. 52), qui l'a interprété comme preuve pour son hypothèse de tourbillon de plasma.

Ceci est indiqué être une traduction "des données d'Andréas Müller comparées avec la revue 'The Circular' n°41 - Printemps 2001."

[Ref. dcn1:] DOMINIQUE CAUDRON:

15 mai 2003

[...] "rue souplet" le 2 octobre 1954. Encore heureux qu'il donne la date, qui manifestement vient de la revue "Lumières dans la nuit". Elle est exacte, c'est moi qui leur avait donné. Pour le lieu c'est St Souplet. Quand à l'observations les témoins n'ont jamais vu un objet rouge qui planait. J'ai enquété sur cette affaire. Les temoins on entendu un bruit d'explosion, et vu une lueur monter vers le ciel. Une vitre s'était fracassé et dans le jardinet, ils trouvèrent un cercle aplati d'environ 3 m. C'aurait d'ailleurs pu être une farce montée au témoin, garde champètre du village. [...]

Oncle Dom

[Ref. gne1:] G.E.R.U.:

DATE: 1963-1964
LIEU: Saint-Souplet nord
TYPE: DN
REF: LDLN 153 page 22
CIRCONSTANCES DE L'OBSERVATION:

Il y a une dizaine d'années, vers les années 1963.1964, Mme X..., déjà âgée, sommeillait chez elle. Les volets n'étaient pas clos malgré la tombée de la nuit. Elle fut réveillée brusquement par un bruit violent, et vit alors une masse lumineuse de couleur rouge, s'élever de son jardin. Elle en informa son fils, et comme il faisait nuit, ils décidèrent d'aller voir dans le jardin le lendemain matin.

Leur examen matinal leur permit de constater que le champ d'épinards semblait écrasé sur une zone circu1aire d'environ 3 m de diamètre. Pas de brûlure apparente, mais une sorte de flétrissement de chacune des plantes, sans cassure. De même un fil de fer, tendu près du sol, traversait la zone touchée et ne fut ni cassé, ni distendu.

Ils constatèrent aussi que la vitre supérieure d'une des fenêtres de Mme X... était cassée de manière assez régulière, mais les morceaux de verre restaient introuvables. Ils les découvrirent, plus tard, projetés de l'autre côté de la pièce, où ils étaient allés tomber derrière un meuble ; ce qui sembla encore plus anormal fut le fait que le verre à vitre banal était pulvérisé en tous petits éclats (comme ceux que donne notre verre pyrex). Une photo d'époque fut ressortie et qui montrait le trou dans 1a vitre. Une autre personne, dormant dans une maison voisine, entendit aussi, à la même heure, le bruit violent, qu'elle compara à un bruit de portière refermée violemment, et très amplifié.

A l'époque, une enquête de gendarmerie fut effectuée.

Après cette affaire, Mme X... ne se sentit pas bien, mais elle pensa que c'était les suites de sa frayeur.

Explications:

Carte.

Informations totalement insuffisantes.

L'épidémie "d'explosions" de parebrises en 1954, appelée "cancer des vitres" ou "parebrisite" est devenue un exemple souvent cité "d'illusion collective" ou "hystérie de masse". Sociologues et psychologues font référence à ces incidents en France, aux Etats-Unis pour assurer que les "foules" peuvent facilement être la proie de mythes collectifs sans fondements.

Et bien entendu, certains ufologues "sceptiques" expliquent que la "parebrisite" qui a précédé la vague des "soucoupes volantes" de 1954 prouve que les soucoupes aussi ne sont qu'illusions.

Aucun ne met en avant le point suivant: "l'hystérie collective" ici ne concernerait de toute façon que l'interprétation des faits, pas les faits eux-mêmes. Et les interprétations n'étaient pas réellement "hystériques", elles étaient des tentatives de rationalisation tout à fait compréhensibles et sensées dans le contexte de l'époque.

Toutes sortes d'explications avaient été avancées à l'époque pour le "cancer des vitres", telles qu'un effet des expérimentations atomiques, une activité de Martiens, ou celle de "vandales". Aux Etats-Unis, la police avait constaté que l'épidémie touchait surtout les anciennes voitures, et on a pensé que les vitres explosaient donc par la suite de leur usure.

Dans les explosions de parebrises rapportées en France en 1954, je constate des "constantes": la mention d'une lumière ou d'un éclair, bleu quand la couleur est mentionnée, l'absence de sens d'une explication par les vandales, les Martiens, les essais atomiques, l'assurance du ou des témoins qu'aucun caillou n'aurait heurté le pare-brise, l'audition d'un don d'explosion, l'opacité de la vitre après l'explosion.

Certains de ces aspects n'ont aucune étrangeté: le bruit d'explosion est parfaitement normal quand un pare-brise se brise. La vitre devient opaque parce que la couche de protection anti-éclatement produisait cela. L'absence de constatation d'un choc par un caillou ou autre peut s'expliquer également: le pare-brise a peut-être été fendu par un choc longtemps avant, et explose plus tard donc sans constat de choc.

Jimmy Guieu reliait ce mystère aux extraterrestres, mais peu d'ufologues l'ont suivi dans cette voie. La presse l'avait fait parfois, mais sans prétendre au sérieux de cette "explication".

Michel Jeantheau trouvait que de telles affaires se produisaient souvent lorsque dans la même région, des "soucoupes volantes" étaient rapportées. Mais ici, la date n'est même pas donnée, ce qui ne permet pas de vérifier l'assertion pour cette occurrence.

Mots clés:

(Ces mots clés sont uniquement destinés à aider les recherches et ne préjugent pas des faits.)

Saint-Souplet, Nord, nuit, bruit, boule, lumineuse, atterrissage, souffle, effets, verre, trace, jardin, végétation

Sources:

[----] indique des sources que je n'ai pas encore pu consulter.

Historique du document:

Version: Créé/changé par: Date: Description:
0.1 Patrick Gross 21 décembre 2005 Première publication.
1.0 Patrick Gross 27 février 2009 Conversion de HTML vers XHTML Strict. Première version formalisée. Additions [jsr1].
1.2 Patrick Gross 11 janvier 2010 Additions [amo1], [gne1], [cas1], [tmn1], [goe1].
1.3 Patrick Gross 20 octobre 2011 Addition [cir1].
1.4 Patrick Gross 29 avril 2020 Additions [nmn1].
1.5 Patrick Gross 22 avril 2022 Additions [jdt2].

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Cette page a été mise à jour le 22 avril 2022.