La page d'accueil concernant les cas de la vague française de 1954 se trouve ici.
Référence pour ce cas: 29-oct-54-Biarritz.
Merci de citer cette référence dans toute correspondance avec moi en rapport avec ce cas.
Le journal régional Le Journal de Biarritz et de la Côte Basque du 30 octobre 1954, avait rapporté qu'une "Courge volante" [sic] avait atterri au centre du terrain de golf de Biarritz:
Hier soir vers 21 h., le chef de poste du Commissariat de police recevait un coup de téléphone d'une personne disant être le concierge du Golfe de Biarritz, l'informant qu'une lueur insolite était aperçue au milieu du terrain de golf. L'auteur de la communication paraissait très ému et raccrocha aussitôt.
Le chef de poste, sceptique, envoya néanmoins deux gardiens de la paix sur les lieux. En arrivant, ils furent reçus par Mme Dufour, femme du concierge, qui déclara que son mari était absent et qu'elle n'était au courant de rien.
En quittant le golf, les agents rencontrèrent un de nos confrères alerté lui aussi par l'appel téléphonique.
Le journaliste, muni de son appareil photo, en arrivant au Golf constata qu'effectivement une lueur se trouvait au centre du terrain. Etait-ce une "soucoupe volante"? Il s'approcha prudemment avec une vingtaine de personnes du quartier, intriguées par cette lumière, et ils trouvèrent au centre du terrain de golf, une belle citrouille évidée, percée de trous, à l'intérieur de laquelle brûlait une bougie.
Le "Martien" n'était autre qu'un Biarrot facétieux...
[Ref. jbz1:] JOURNAL "LE JOURNAL DE BIARRITZ":
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Hier soir vers 21 h., le chef de poste du Commissariat de police recevait un coup de téléphone d'une personne disant être le concierge du Golfe de Biarritz, l'informant qu'une lueur insolite était aperçue au milieu du terrain de golf. L'auteur de la communication paraissait très ému et raccrocha aussitôt.
Le chef de poste, sceptique, envoya néanmoins deux gardiens de la paix sur les lieux. En arrivant, ils furent reçus par Mme Dufour, femme du concierge, qui déclara que son mari était absent et qu'elle n'était au courant de rien.
En quittant le golf, les agents rencontrèrent un de nos confrères alerté lui aussi par l'appel téléphonique.
Le journaliste, muni de son appareil photo, en arrivant au Golf constata qu'effectivement une lueur se trouvait au centre du terrain. Etait-ce une "soucoupe volante"? Il s'approcha prudemment avec une vingtaine de personnes du quartier, intriguées par cette lumière, et ils trouvèrent au centre du terrain de golf, une belle citrouille évidée, percée de trous, à l'intérieur de laquelle brûlait une bougie.
Le "Martien" n'était autre qu'un Biarrot facétieux...
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Après avoir publié des articles sur les observations de "soucoupes volantes" en France en septembre et octobre 1954, de nombreux journaux tels que [jbz1] ont adopté un ton "sceptique", alors qu'un certain nombre de canulars et de mauvaises interprétations ont circulé. Je pense que cela a joué un rôle majeur dans la fin de la "vague française de 1954".
Bien sûr, tout cela ne semble pas très sérieux ; par exemple, la lumière est d'abord interprétée par le journaliste comme l'atterrissage d'une soucoupe, puis comme un "Martien"…
Cette affaire est ce que l'on appelle un "cas négatif" en ufologie.
Un cas négatif est un cas expliqué comme ayant une cause ordinaire, immédiatement, sans l'intervention d'ufologues ou d'autres enquêteurs, par un ou plusieurs témoins, ou par des proches ou des tiers.
Souvent passés sous silence, les cas négatifs sont néanmoins importants, dans la mesure où ils permettent une ufologie comparative grâce à la collecte des explications ordinaires possibles et à la comparaison entre observations expliquées et inexpliquées.
(Ces mots clés sont uniquement destinés à aider les recherches et ne préjugent pas des faits.)
Biarritz, Pyrénées-Atlantiques,
[----] indique des sources que je n'ai pas encore pu consulter.
| Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
|---|---|---|---|
| 1.0 | Patrick Gross | 26 août 2025 | Première publication, [jbz1]. |
