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Les OVNIS dans la presse quotidienne:

La vague française de 1954 dans la presse:

L'article ci-dessous est paru dans le quotidien L'Est Républicain, Nancy, France, page 7, le 26 octobre 1954.

Voir le dossier du cas.

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A coeur du mystère des soucoupes volantes

III. La course à la mort du capitaine Mantell

Jusqu'alors aucune tentative n'a été faite pour rattraper les mystérieuses soucoupes ou pour se saisir de ces visiteurs étranges. Au début de l'année 1948 la poursuite désespérée du capitaine Mantell est la première expérience tentée pour obtenir des renseignements précis. C'est dans le Kentucky, à Fort Knox, que se déroula cette scène. Dès 2 heures et demie de l'après-midi de nombreuses personnes avaient signalé l'engin: la police d'Etat alerta la police militaire: un immense objet étincelant traversait le ciel à vive allure et se dirigeait vers la base aérienne de Gogman.

La base était sur un pied d'alerte. Dans la tour de contrôle le colonel Hix, entouré de ses officiers, avait ses jumelles braquées dans la direction indiquée. Il était près de 3 heures de l'après-midi quand brusquement l'objet sorti des nuages. Il était immense, on évalua son diamètre à 170 m environ. Trois avions de chasse avaient déjà pris l'air pour tenter de rejoindre cette énorme soucoupe. Le pilote qui commandait la petite escadrille de chasseurs, le capitaine Mantell, prit enfin contact avec la tour de contrôle: l'objet était devant lui et il le suivait dans son sillage. Quelles précisions pouvaient-ils déjà donner? L'engin était énorme, il paraissait être en métal, il n'allait pas plus vite que les avions de chasse, et Mantell pensait le rattraper.

Mais 5 minutes plus tard Mantell annonçait une accélération subite de l'engin qui prenait brutalement de la hauteur à près de 740 kms à l'heure. Puis ce fut le silence. Quand le haut-parleur de l'aérodrome grésilla à nouveau, ce ne fut pas la voie de Mantell qu'on entendit, mais celle d'un autre chasseur. Il annonçait que la soucoupe et l'appareil de Mantell avaient disparu dans les nuages. A 3 h. 15, la voix de Mantell se fit encore une fois entendre: il continuait la poursuite jusqu'à 6.000 mètres; à ce plafond, s'il n'atteignait pas l'engin, il abandonnerait la poursuite. On ne devait plus jamais entendre la voix de Mantell...

Les minutes passaient; l'angoisse se faisaient plus oppressante à la tour de contrôle. Le colonel ordonna alors à l'un des autres chasseurs d'aller à la recherche de Mantell. L'appareil explora le ciel sur des centaines de kilomètres, monta jusqu'à 9.000 mètres. Mais le ciel était vide d'avion et de soucoupe... On retrouva enfin les débris de l'avion éparpillés sur une vaste étendue, mais aucune trace de Mantell. Son corps avait dû être volatilisé...

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Cette page a été mise à jour le 8 mai 2025.