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Les OVNIS dans la presse quotidienne:

Atterrissage à Louhans, France, 1954:

L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Bien Public, France, le 2-3 octobre 1954.

Voir le dossier de ce cas ici.

Scan.

Encore et toujours "elles"

UN COMMERCANT DE LOUHANS AURAIT OBSERVE UNE SOUCOUPE VOLANTE POSEE DANS UN CHAMP

Louhans (C.P.). -- Les apparitions de soucoupes volantes deviennent de plus en plus fréquentes.

La région du Louhannais à son tour vient d'être visitée par l'un de ces engins. Un commerçant de Louhans, M. Emile Nicolas, agent des cycles Terro dans cette ville, ne croyait pas aux "soucoupes" ni aux engins du même genre.

Travaillant par habitude plutôt de nuit que de jour, M. Nicolas essayait donc un scooter sur la route de Louhans à Bourg-en-Bresse dans la nuit de samedi à dimanche. Arrivé à l'entrée du pont de la Barque il fit demi-tour et c'est alors que machinalement son regard se posa dans le ciel demi-obscur: il aperçut distinctement une masse noirâtre descendre à la verticale et se poser à terre. M. Nicpolas nous a d'ailleurs donné la version suivante: "Comme je le fais d'habitude lorsque j'essaie une machine, j'étais allé jusqu'au pont de la Barque. En faisant demi-tour, j'ai vu sur ma gauche une masse très noire qui descendait du ciel verticalement et qui se posa dans un pré entre la ligne de chemin de fer Dijon-Bourges et la route à une cinquantaine de mètres de moi. J'ai stoppé immédiatement pour mieux observer l'engin qui, aussitôt à terre, laissa échapper par deux ouvertures de forme ovale, une lumière jaunâtre mais très forte. Rien ne bougeait. Je suis resté à regarder pendant 10 minutes au moins l'engin qui mesurait à peu près huit mètres d'envergure, dont la base était très cylindrique tandis que le dessus formait une légère courbe. Je n'ai pas pu m'approcher, mais j'ai eu l'idée d'aller chercher M. Rodot qui se trouvait dans mon atelier. Quand j'ai mis mon moteur en marche et que je l'ai fait tourner à plein régime les lumières s'éteignirent aussitôt et l'engin s'éleva très rapidement à la verticale. Je revins sur les lieux avec M. Rodot mais nous ne vîmes plus rien."

Ayant peur de passer pour plaisantin, M. Nicolas n'avait pas parlé de son aventure à son entourage. Ce n'est qu^hier qu'il en fit état lorsqu'il vit dans la presse les nombreux témoignages apportés sur ce sujet.

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Cette page a été mise à jour le 7 janvier 2017.