Le document qui suit est le N. 10 du bulletin du groupe d'ufologie CEFAI, Argentine, paru en 1980, ici avec ma transcription et traduction en français.
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Casilla de Correos 9 - Suc.26 (CP 1426) Bueno Aires - ARGENTINA
Sinopsis: EL PRESENTE Boletín CEFAI N° 10 PRETENDE RATIFICAR UNA VEZ MAS EL PROPOSITO VERTIDO EN EL LIBRO Los ovnis y sus occupantes, DE NUESTRO COORDINADOR, [-] Roberto E. Banchs, EN EL SENTIDO DE REUNIR LA TODALIDAD DE LOS INFORMES DEL TIPO 1 (ATERIZAJES Y SEMIATERISAJES CON OCUPANTES), CELEBRADOS EN LA REPUBLICA ARGENTINA, EN RAZON DE LA EXISTANCIA DE EPISODIOS QUE NO HAN LLEGADO A MANOS DE AUTOR OPORTUNALMENTE, Y DE OTROS, ACAECIDOS EN FECHAS MAS RECIENTES, SIRVA, PUES, LO SIGUIENTE COMO "SEGUNDO ANEXO".
En las cercanías del "Sporting Club", varias personas avistaron un extraño fenómeno. Entre ellas, Corina Robles, quien declaró que al salir a su jardín notó en el cielo un gran platillo que irradiaba una intensa luz hacia abajo, motivo por el cual entró a su casa para avisar a su madre y, al salir nuevamente, vio en el mismo lugar una figura semejante a un robot de no menos de 3 m. de talla. "Estaba como suspendida en el aire -afirmó- y luego partió desplazándose lentamente, como volando, hasta perderse detrás de los cerros".
La figura fue observada también por Francisco Emilio Solá, de 14 anos, en la misma zona. El joven se encontraba viendo las evoluciones del ovni en las inmediaciones del Cerro Veinte de Febrero, cuando, de pronto, advirtió un ser luminoso de unos 2,50 m. flotando en el aire que desapareció en la cima del cerro. Las versiones parecen haber sido ratificadas por otras familias vecinas y por el bufetero del citado club. La niña Silvia Rosa Olmos coincide con los testimonios, y agrega que algo similar vio a las 17 en otro cerro, juntamente con dos albañiles que trabajaban en su casa. Esa noche, antes de las 20, tres agentes de policía denunciaron haber visto evolucionar un ovni sobre el Barrio El Portezuelo.
(F. d. Instransigente, Salta, Julio 3, 1968; d. Crónica, Buenos Aires, Julio 4, 1968).
Alejandra Martínez de Pascucci, madre de 2 hijos, se apeaba a su hogar, debiendo cruzar un baldío existente entre las calles Saavedra y Alvear. Fue entonces cuando sintió que "una fuerza invisible" la apretaba y absorbía, impidiéndole gritar. Sin llegar a perder el conocimiento, se encontro en un caluroso resinto en donde había dos hombres de unos 2 m. de estatura, con envestiduras de aspecto metálico-luminosas, hablando en una lengua incomprensible para la protagonista. Luego de emprender un corto viaje, en el cual dice haber visto solo luces verdes y rojas a través de las ventanillas, la re-
Boite postale 9 - Suc. 26 (CP 1426) Bueno Aires - ARGENTINE
Synopsis: LE PRESENT Bulletin du CEFAI N° 10 ENTEND RATIFIER UNE FOIS DE PLUS LE BUT VERSÉ DANS LE LIVRE Les OVNIS et leurs occupants, DE NOTRE COORDINATEUR, [-] Roberto E. Banchs, DANS LE BUT DE REUNIR LA TOTALITE DES RAPPORTS DU TYPE 1 (ATTERISSAGES ET QUASI-ATTERRISSAGES AVEC OCCUPANTS), QUI ONT EU LIEU DANS LA REPUBLIQUE ARGENTINE, EN RAISON DE L'EXISTENCE D'EPISODES QUI NE SONT PAS ARRIVES DANS LES MAINS DE L'AUTEUR A TEMPS, ET D'AUTRES, PARVENUS A DES DATES PLUS RECENTES, SERVEZ-VOUS, DONC, DE CE QUI SUIT, COMME "SECONDE ANNEXE".
Dans les alentours du "Sporting Club", plusieurs personnes ont aperçu un phénomène étrange. Parmi elles, Corina Robles, qui a déclaré qu'en sortant dans son jardin, elle a remarqué dans le ciel une grande soucoupe qui irradiait une lumière intense vers le bas, motif pour lequel elle est entré dans sa maison pour informer sa mère et, en sortant de nouveau, a vu dans le même lieu un personnage semblable à un robot de pas moins de 3 m de hauteur. "C'était comme suspendu dans l'air - a-t-elle affirmé - et il est ensuite parti en se déplaçant lentement, comme en volant, jusqu'à être perdu derrière les collines".
Le personnage a aussi été observé par Francisco Emilio Sola, 14 ans, dans la même zone. Le jeune s'était trouvé voir les évolutions de l'ovni dans les environs de la colline du 20 février, quand, il a signalé tout de suite un être lumineux de quelque 2.50 m flottant dans l'air qui a disparu par delà le sommet de la colline. Les versions paraissent avoir été confirmées par d'autres familles de voisins et par le buffetier du club cité. L'enfant Silvia Rosée Olmos confirme les témoignages, et ajoute qu'elle a vu quelque chose semblable à 17 heures en une autre colline, avec deux maçons qui travaillaient à sa maison. Cette nuit, avant 20 heures, trois agents de police ont déclaré avoir vu évoluer un ovni sur le Quartier Le Portezuelo.
(Source: journal Instransigente, Salta, 3 juillet 1968; journal Crónica, Buenos Aires, 4 juillet 1968).
Alejandra Martínez de Pascucci, mère de 2 fils, allait vers sa maison, en devant traverser un terrain en friche situé entre les rues Saavedra et Alvear. Elle s'y trouvait quand elle a senti qu'une "force invisible" la serrait et l'enveloppait, en l'empêchant de crier. Sans en arriver à perdre connaissance, elle s'est trouvée dans un lieu chaud où il y avait deux hommes de quelque 2 m de stature, avec des tenues d'apparence métalliques-lumineuses, qui parlaient dans une langue incompréhensible pour la protagoniste. Après avoir entrepris un bref voyage, durant lequel elle dit avoir seulement vu des lumières vertes et rouges à travers les ouvertures, ils l'ont
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gresaron a tierra, próxima a un cementerio, desde donde regresó finalmente en taxi a su domicilio.
(F. d. Crónica, Buenos Aires, Julio 4, 1968).
Unas versiones que no obtuvieron confirmación alguna, se refieren a la presencia de un ovni que habria descendido sobre la Avenida General Paz -límite federal-. Los rumores parecen haber generado, a su vez, un agregado aun más sensacional : un automóvil se habría llevado por delante al objeto posado en la referida artería, siendo presuntamente capturados dos de sus ocupantes.
(F. d. Cronica, Buenos Aires, Setiembre 4, 1968).
Francisco Asis Miró, su esposa y otros testigos, observaron un fenomeno de extrañas características. Se trataba de una semiesfera semejante a un paracaídas, habiendo debajo de éste una figura de aspecto humano y color oscuro. Estuvo suspendido y evolucionando durante aproximadamente una hora, hasta desaparecer.
(F: Folcini, D. y Morales,R., en r. Ufo-Press, Buenos Aires, n°11, abril 1979; pp. 27/36).
Carlos William Brandi se dirigía a su casa en un taxi conducido por Aldo Modesto Nievas, cuando observaron una aeroforma luminosa que decidieron seguir por su extrañeza. Habiéndose acercado a unos 80 m. de distancia, el chofer Nievas notó en la estructura del objeto, unos ventanales a través de los cuales se advertían unas siluetas de apariencia humana deslizándose con pasos largos y vestidas con un tipo de buzo negro, que observaban al testigo, virtualmente paralizado. En ese transcurso, constataron la detención del vehículó e interferencias en la transmisión de radio, que fue normalizándose a medida en que el ovni se alejaba. El conductor del taxi sufrió luego una fuerte crisis nerviosa.
[Légende du dessin:]
Croquis realizados por el testigo Aldo Nievas del ovni y una de las figuras observadas en su interior.
(F: Investigación del autor; también, en d. Mendoza, Mendoza., Julio 25, 1978).
ramenée à terre, près d'un cimetière, d'où elle est finalement revenue en taxi à son domicile.
(Source: journal Crónica, Buenos Aires, 4 juillet 1968).
[Voir ici pour plus d'informations]
Des récits qui n'ont obtenu aucune confirmation se réfèrent à la présence d'un ovni qui serait descendu sur l'Avenue du Generale Paz - frontière fédérale -. Ces rumeurs paraissent avoir produit, à leur tour, un ensemble encore plus sensationnel: une automobile a été emportée par l'objet posé dans l'artère mentionnée, prétendument en capturant deux de ses occupants.
(Source: journal Cronica, Buenos Aires, 4 septembre 1968).
Francisco Asis Miro, son épouse et d'autres témoins, ont observé un phénomène de caractéristiques inconnues. Il s'agissait d'une demi-sphère semblable à un parachute, ayant en-dessous un personnage d'aspect humain et de couleur sombre. Il était suspendu et il a évolué pendant approximativement une heure, jusqu'à disparaître. [Note: la description évoquer un homme en parapente.]
(Source: Folcini, D. et Morales, R., dans le magazine Ufo-Press, Buenos Aires, n°11, avril 1979; pp. 27/36).
Carlos William Brandi se dirigeait vers sa maison dans un taxi conduit par Aldo Modesto Nievas, quand ils ont observé un aéroforme lumineux qu'ils ont décidé de suivre en raison de son étrangeté. S'ayant approché à quelque 80 m de distance, le chauffeur Nievas a remarqué dans la structure de l'objet, des baies vitrées à travers lesquelles se voyaient des silhouettes d'aspect humain glissant en longs pas et habillées avec une sorte de combinaison de plongée noire, qui observaient le témoin, virtuellement paralysé. Pendant que cela se passait, ils ont constaté l'immobilisation du véhicule et des interférences dans la transmission de la radio, qui se sont atténuées à mesure que l'ovni s'éloignait. Le conducteur du taxi a ensuite souffert d'une forte crise nerveuse.
[Légende du dessin:]
Croquis effectués par le témoin Aldo Nievas de l'ovni et d'un des personnages observés dans son intérieur.
(Sources: Enquête de l'auteur; également dans le journal Mendoza, Mendoza, 25 juillet 1978).
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El hachero Miguel Freites, de 26 años, se encontraba haciendo un alto en sus tareas, en las cercanías de la Estancia Ticky-Tako, cuando vio un ovni que se le fue acercando hasta unos 2 metros. De su interior emergió una figura humanoide a la cual "no se le veía el rostro ni las extremidades inferiores". Se aproximó al testigo con las manos hacia adelante, mostrando las palmas. Cuando Freites intentó escapar, quedo paralizado. En esas circunstancias, fue introducido al artefacto y sus ocupantes lo interrogaron y le "pincharon los brazos". Horas después, fue liberado a unos 35 ó 40 km. del sitio donde trabajaba, no sin antes recibir una serie de objetos que fueron analizados por la policía local, y "una caja de donde salían las voces de esos seres", que dejó abandonada en el lugar.
(F: d. La Razón, Buenos Aires, Setiembre 27, 1978).
El agricultor Ricardo Germán Safontes afirmó haber visto en horas de la mañana un fenómeno detenido en el cielo, a unos 1.000 m. de altura. "Tenía la forma de un hombre descendiendo en paracaídas, pero estaba quieto, hasta que media hora después desapareció", señaló Safontes. Otro testimonio fue el aportado por Oscar Ricardo Riesgo, quien transitaba en esos momentos con su automóvil y juntos pudieron observarlo.
(F: d. Clarín, Buenos Aires, Setiembre 19, 1978).
Mientras realizaban el trayecto entre Trelew y Esquel en sendas camionetas, dos Ford F-1OO, Jorge Castillo y Alfredo Gianonni, observaron un ovni que maniobraba cercano a la ruta n°25. En un momento, a través del espejo retrovisor, Castillo notó la presencia de unas 4 figuras que ocupaban la parte posterior de su vehículo, que desaparecen al encender la luz de la cabina. El testigo sufre después serios transtornos visuales, dolor de cabeza y brazo. Luego de ésto, aparecen 2 figuras similares, de 1,50- m. de estatura, vestidos a la manera de un traje espacial blanco, caminando por la ruta; las que también desaparecen al encender las luces. De repente la camioneta de Gianonni, que circulaba a unos 10 ó 20 metros delante, se desliza en la banquina y se levanta el aire para quedar volcada a un costad de la ruta.
[Légende de la photo:]
Una de las fotografías - jamás difundidas- que muestra el estado de la camioneta conducida por Alfredo Gianonni (Gentileza del Sr. Salim M. Bestene).
(F: Investigación del autor; también, en r. Cuarta Dimensión, Buenos Aires, n°66, pp. 36/42)
Le bucheron Miguel Freites, 26 ans, faisait une pause dans son travail, dans les alentours de l'estancia Ticky-Tako, quand il a vu un ovni qui s'est approché jusqu'à quelque 2 mètres de lui. De son intérieur a émergé un personnage humanoide duquel " on ne voyait pas la face ni les membres inférieurs". Il s'est approché du témoin avec les mains en avant, en montrant les paumes. Quand Freites a essayé de fuir, il s'est trouvé paralysé. Dans ces circonstances, il a été introduit dans l'engin et ses occupants l'ont interrogé et lui ont "perforé les bras". Des heures plus tard, il a été libéré à quelque 35 ou 40 km de l'emplacement où il travaillait, non sans avoir reçu une série d'objets qui ont été analysés par la police locale, et "une boîte d'où sortaient les voix de ces êtres", qu'il a abandonnée sur les lieux.
(Source: journal La Razón, Buenos Aires, 27 septembre 1978).
L'agriculteur Ricardo Germán Safontes a affirmé avoir vu à des heures matinales un phénomène suspendu dans le ciel, à quelque 1.000 m de hauteur. "Il avait la forme d'un homme descendant en parachutes, mais était immobile, jusqu'à ce qu'il ait disparu à midi", a indiqué Safontes. Un autre témoignage a été celui apporté par Oscar Ricardo Risque, qui se déplaçait à ce moment avec son automobile et ils ont pu l'observer ensemble.
(Source: journal Clarín, Buenos Aires, 19 septembre 19, 1978).
Alors qu'ils effectuaient le trajet entre Trelew et Esquel dans des chemins dans deux camionnettes, des Ford F-1OO, Jorge Castillo et Alfredo Gianonni, ont observé un ovni qui manoeuvrait près de la route n°25. A un moment, à travers le miroir su rétroviseur, Castillo a remarqué la présence de quelques 4 personnages qui occupaient la partie postérieure de leur véhicule, qui ont disparu quand il a allumé la lumière de la carlingue. Le témoin souffre depuis de sérieux troubles visuels, de douleur de la tête et des bras. Après cela, ce sont 2 personnages semblables, de 1.50 m de stature, habillées d'une sorte de combinaison spatiale blanche, marchant par la route; celles-ci disparaissent aussi quand les lumières ont été allumées. Au commencement, la camionnette de Gianonni, qui circulait à quelque 10 ou 20 mètres devant, a glissé dans le bas côté et s'est élevée en l'air pour se retrouver renversée sur un côté de la route.
[Légende de la photo:]
Une des photographies - inédite - qui montre l'état de la camionnette conduite par Alfredo Gianonni (Remerciement à M. Salim M. Bestene).
(Source: Enquête de l'auteur; et le magazine Cuarta Dimensión, Buenos Aires, n°66, pp. 36/42)
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En un establecimiento agrícola situado a 40 km. al sudoeste de esa ciudad, habría descendido un ovni, ocupado por varios humanoides de baja talla, dos de los cuales bajaron del artefacto. El fenómeno parece haber sido observado por unos 30 trabajadores del Departamento de Irrigación de la Provincia, que cumplían servicios en ese lugar, de muy difícil acceso por su topografía y vegetación. Cuando los obreros quisiron aproximarse al ovni, los ocupantes se introdujeron rápidamente y el aparato levantó raudo vuelo, perdiéndose entre las montañas. En el sitio habrían quedado nítidas huellas del ovni.
(F: d. La Razón, Buenos Aires, Octubre 13, 1978).
El médico Juan Nobital regresaba de una excursión con su esposa, 3 hijos y 2 sobrinos, cuando, al pasar por un paraje se detuvieron para fotografiarse con una sencilla cámara. Al revelar una de las placas -que obtuvo notable repercusión periodística-, aparecieron dos conjuntos de manchas, una de tono anaranjado-rojiza que semeja una pequeña figura humana, y otra, compuesta por una secuencia de puntos alineados de coloración amarillenta y verdosa, induciendo a pensar a algunós que se trataba de la "nave" del pretendido "ser extra-humano", sugerida por la mancha anteriormente mencionada.
(F: r. Semanario, Buenos Aires, n°10, Setiembre 6, 1979; pp. 2/3).
Ernaldo Camusoni, de 49 años, estaba cortando malezas en el campo donde se desempeña como encargado rural, cuando fue sorprendido por una potente luz a sus espaldas. Al darse vuelta, advirtió un objeto rojo-violáceo de unos 5 m. de diámetro que desciende a unos 40 m. De la parte posterior del ovni, surge entonces un humanoide de poco más de 1 m. do talla, pero de gran contextura fisica. El ocupante del ovni avanzo en dirección al testigo y, cuando hubo hecho unos 3 m., de detuvo como observándolo, giró, y retornó al objeto, el que comenzó luego a elevarse verticalmente, para partir a elevada velocidad en la misma dirección que habría venido (sud). Al día siguiente, se halló un círculo de vegetación seca, de unos 14 m. de diámetro, con peculiares trazas simétricas en su interior.
(F: Allemano, O. en Boletin Cefai, Buenos Aires, n° 9, Marzo 1980 ; pp. 1/12).
Nota: La información concerniente a este caso, puede hallarse consultando el número anterior del Boletín CEFAI, donde se incluye un exámen detallado del mismo.
(F: Banchs, R. y M., en Boletín Cefai, Buenos Aires, n°9, Marzo 1980; pp. 1/12).
Dans un établissement agricole situé à 40 km au sud-ouest de cette ville, un ovni est descendu, occupé par plusieurs humanoïdes de petites tailles, dont deux sont descendus de l'engin. Ce phénomène paraît avoir été observé par quelque 30 travailleurs du Département d'Irrigation de la Province, qui accomplissaient des services dans ce lieu, d'accès très difficile par sa topographie et végétation. Quand les travailleurs ont tenté de s'approcher à l'ovni, les occupants s'y sont rapidement introduits et l'appareil a décollé rapidement, se perdant entre les montagnes. A l'emplacement, il reste des traces nettes de l'ovni.
(Source: journal La Razón, Buenos Aires, 13 octobre 1978).
Le médecin Juan Nobital revenait d'une excursion avec son épouse, leurs 3 fils et 2 neveux, quand, en passant par un endroit ils se sont arrêtés pour être photographiés avec une caméra simple. En révélant une des plaques - qui a obtenues des répercussions journalistiques remarquable -, sont apparues deux ensembles de taches, une de ton orange-rougeâtre qui ressemble une petite figure humaine, et une autre, composée d'une séquence de points alignés de coloration jaunâtre et verdâtre, menant certains à penser certains qu'il s'agissait du "navire" du prétendu "extra-humain", comme suggéré par forme précédemment mentionnée.
(Source: magazine Semanario, Buenos Aires, n°10, 6 septembre 1979; pp. 2/3).
Ernaldo Camusoni, 49 ans, coupait des broussailles dans le champ où il est affecté en tant que représentant rural, quand il a été surpris par une lumière puissante dans son dos. En se retournant, il a vu un objet rouge-violacé de quelque 5 m de diamètre qui s'est posé à 40 m de lui. De la partie postérieure de l'ovni, apparaît alors un humanoïde peu plus de 1 m. de taille, mais d'une forte constitution physique. L'occupant de l'ovni avança en direction du témoin et, quand il eut parcouru quelque 3 m, il s'est arrêté comme en l'observant, il a tourné, et est retourné à l'objet, qui a ensuite commencé à s'élever verticalement, pour partir à vitesse importante dans la même direction que celle d'où il était venu (sud). Le lendemain, un cercle de végétation sèche a été trouvé, de quelque 14 m de diamètre, avec des traces symétriques bizarres à l'intérieur.
(Source: Allemano, O. dans le Bulletin du CEFAI, Buenos Aires, n° 9, mars 1980 ; pp. 1/12).
Note: L'information concernant ce cas peut être trouvée en consultant le numéro précédent du Bulletin CEFAI, où est inclut un examen détaillé de ce dernier.
(Source: Banchs, R. et M., dans le Bulletin du CEFAI, Buenos Aires, n°9, mars 1980; pp. 1/12).