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URECAT - UFO Related Entities Catalog - VF:

URECAT est un catalogue formel des rapports d'observation d'entités dans un contexte OVNI avec l'objectif de fournir des informations de qualité pour des études précises de ce sujet. Les informations additionnelles, corrections et revues sont bienvenues à patrick.gross@inbox.com, précisez svp si vous souhaitez être crédités pour votre contribution ou non. La page principale du catalogue URECAT est ici.

2 JUILLET 1968, QUILMES, BUENOS AIRES, AGENTINE, ALEJANDRA MARTINEZ DE PASCUCCI:

Bref résumé de l'événement et des suites:

Le journal Cronica, de Buenos Aires, Argentine, a rapporté le 4 juillet 1968 l'histoire qui serait arrivée à Alejandra Martinez da Pascucci, mère de famille, un, deux ou trois jours auparavant: en arrivant à 23:30 à son domicile au coin de la rue Alvear et de la rue Savedra, dans un quartier peu développé avec des terrains découverts de la ville de Quilmes qui l'a toujours rendue nerveuse, elle avait senti une force invisible qui l'a pressée et enveloppée en l'empêchant de crier, et sans perdre connaissance, elle s'est retrouvée dans un espace fermé très chaud, à l'intérieur d'un engin rond avec des ouvertures montrant des lumières rouges et vertes, qui semblait être fait pour 4 ou 5 personnes.

Il y avait là deux hommes en tenues métalliques dont les tenues, les casques et les chaussures dégageaient une lumière puissante. L'un mesurait plus de deux mètres de haut et l'autre était un peu plus petit. Ils l'ont regardé et lui ont parlé dans une langue qui lui était inintelligible, puis un des hommes a appuyé sur un bouton, et peu après elle a été débarquée de façon similaire à son embarquement, se retrouvant non pas sur Mars comme elle l'avait craint, mais près d'un cimetière de sa ville, d'où elle a pris un taxi pour rentrer chez elle.

Tableau des informations de base:

Numéro de cas: URECAT-000022
Date d'observation: 2 juillet 1968
Premier rapport: 4 juillet 1968
Délai de rapport: 2 jours
Témoignage apporté via: Non connu.
Premier enregistrement allégué par: Journal Cronica
Premier enregistrement certain par: Bulletin du CEFAI
Type premier enregistrement allégué: Journal national
Type premier enregistrement certain: Groupe d'ufologie
Ce dossier créé le: 8 septembre 2006
Sa plus récente mise à jour: 8 septembre 2006
Pays de l'événement: Argentine
Etat/Département: Buenos Aires
Type de lieu: Terrain découvert
Conditions d'éclairage: Nuit
OVNI observé: Oui
Arrivée OVNI observée: Non
Départ OVNI observé: Oui
Relation OVNI/entité: Certaine
Nombre de témoins: 1
Ages des témoins: Adulte
Types de témoins: Femme, mère de 2 enfants.
Photographies: Non.
Dessins par témoins: Non.
Dessins approuvé par témoins: Non.
Nombre d'entités: 2
Type d'entités: Humanoïde
Taille d'entités: 2 mètres, et un peu moins
Tenues d'entités: D'apparence métallique lumineuse.
Couleur des tenues d'entités: Non rapporté.
Couleur de peau d'entités: Non rapporté.
Corps des entités: Non connu.
Têtes des entités: En casque lumineux.
Yeux des entités: Non connu.
Bouches des entités: Non connu.
Nez des entités: Non connu.
Pieds des entités: Chaussures lumineuses.
Bras des entités: Non connu.
Doigts des entités: Non connu.
Nb de doigts des entités: Non connu.
Pilosité des entités: Non connu.
Voix des entités: Non connu.
Actions des entités: Ont emmené de force le témoin dans l'OVNI, bref voyage, ont relâché le témoin.
Interactions entités/témoins: Enlèvement.
Réactions des témoins: A voulu crier.
Sentiments des témoins: Effrayés.
Interprétations des témoins: Visiteurs extraterrestres.
Catégorie explicative: Visiteurs extraterrestres.
Certitude de l'explication: Sans.

Récits:

[Ref. ce1:] BULLETIN DU CEFAI:

2. 1968, 2 juillet. Quilmes (Buenos Aires). Mardi. 20:30

Alejandra Martínez de Pascucci, mère de 2 fils, allait vers sa maison, en devant traverser un terrain en friche situé entre les rues Saavedra et Alvear. Elle s'y trouvait quand elle a senti qu'une "force invisible" la serrait et l'enveloppait, en l'empêchant de crier. Sans en arriver à perdre connaissance, elle s'est trouvée dans un lieu chaud où il y avait deux hommes de quelque 2 m de stature, avec des tenues d'apparence métalliques-lumineuses, qui parlaient dans une langue incompréhensible pour la protagoniste. Après avoir entrepris un bref voyage, durant lequel elle dit avoir seulement vu des lumières vertes et rouges à travers les ouvertures, ils l'ont ramenée à terre, près d'un cimetière, d'où elle est finalement revenue en taxi à son domicile.

(Source: journal Crónica, Buenos Aires, 4 juillet 1968).

[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:

Albert Rosales indique qu'à Quilmes, Buenos Aires, Argentine, le 3 juillet 1968 à 23:30, Alejandra Martinez de Pascucci marchait vers chez elle quand elle a senti "une force invisible" qui faisait pression sur elle et l'a empêché de crier. Elle s'est soudainement trouvée dans un espace clôt qui "aurait pu être fait pour 4 ou 5 personnes" avec deux hommes habillés de tenues et de casques lumineux métalliques, l'un de 6 pieds de taille, l'autre un peu plus petit. Il y avait une chaleur intolérable; l'engin était rond et avait de petites fenêtres rouges et vertes. Quand un des hommes a appuyé sur un bouton, l'engin a commencé à se déplacer, mais quand elle a été laissée dehors elle était toujours à Quilmes, face à un cimetière. Rosales indique FSR Vol.14 #5 comme source.

[Ref. pr1:] PETER ROGERSON:

Peter Rogerson indique que le 2 juillet 1968, La Cronica a rendu compte de l'histoire de Alejandra Martinez da Pascucci qui a indiqué qu'arrivant à son domicile la nuit précédente à 23:30 au coin de Calle Alvear et de Calle Savedra, un secteur peu développé avec des terrains découverts de la ville de Quilmes qui l'a toujours rendue nerveuse, elle avait senti une force invisible l'enfonçant et "l'enveloppant." L'histoire est que sans perdre conscience, elle s'est trouvée dans un espace fermé chaud comme un four à l'intérieur d'une machine ronde avec des fenêtres rouges et vertes. Il y avait deux hommes avec elle, en habillements métalliques qui dégageaient une lumière puissante, de même que leurs chaussures et casques. L'un d'eux était de plus de deux mètres de haut et l'autre un peu plus petit. Ils l'ont regardé et lui ont parlé dans une langue inintelligible, puis un des hommes a appuyé sur un bouton. Peu après elle est descendue avec les mêmes sensations, débarquant sans à-coup non pas sur Mars comme elle l'avait craint, mais près d'un cimetière en sa propre ville d'où elle a pris un taxi pour rentrer chez elle. Peter Rogerson indique que l'histoire est de Gordon Creighton, dans "A New South American Wave", FSR 14.5, p.23-28.

Points à considérer:

Le cas est rapporté par un journal, dont le texte ne m'est pas disponible actuellement, et il semble qu'aucune enquête ufologique n'ait été menée du tout.

Liste de problèmes:

Id: Sujet: Sévérité: Noté le: Soulevé par: Noté par: Description: Proposition: Statut:
1 Données Grave 7 septembre 2006 Patrick Gross Patrick Gross Manque de la source primaire journalistique La Cronica. Aide nécessaire. Ouvert.
1 Données Grave 7 septembre 2006 Patrick Gross Patrick Gross Manque de l'article de Gordon Creighton dans FSR. Aide nécessaire. Ouvert.

Evaluation:

Visiteurs extraterrestres.

Références des sources:

* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.

Histoire du document:

Rédaction

Auteur principal: Patrick Gross
Contributeurs: Aucun
Reviewers: Aucun
Editeur: Patrick Gross

Historique des changements

Version: Créé/changé par: Date: Description:
0.1 Patrick Gross 7 septembre 2006 Création, [ce1], [ar1], [pr1].
0.2 Patrick Gross 8 septembre 2006 Première publication.

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Cette page a été mise à jour le 8 septembre 2006