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URECAT - UFO Related Entities Catalog - VF:

URECAT est un catalogue formel des rapports d'observation d'entités dans un contexte OVNI avec l'objectif de fournir des informations de qualité pour des études précises de ce sujet. Les informations additionnelles, corrections et revues sont bienvenues à patrick.gross@inbox.com, précisez svp si vous souhaitez être crédités pour votre contribution ou non. La page principale du catalogue URECAT est ici.

19 JUILLET 1968, OLAVARRIA, BUENOS AIRES, ARGENTINE, CAPORAL MENENDEZ ET SOLDATS CABO ET ROSA:

Bref résumé de l'événement et des suites:

Une source journalistique locale, puis des reprises dans la presse nationale et mondiale, ont annoncé avec plus ou moins d'exactitude qu'un incident OVNI est survenu à Olavarria en Argentine, dont la date correcte est le 19 juillet 1968.

Selon les sources qui semblent les plus directes et des informations personelles qui me sont parvenues, l'incident a été d'abord rapporté dans le journal "El Popolar", et son déroulement est le suivant:

Un peu avant l'aube, ou à 02:05 du matin, le caporal Menéndez, qui a ce moment allait relever son camarade de garde du 2eme Régiment de Tirailleurs de la Cavalerie Blindée "General Paz" a d'abord observé le phénomène, qui était une grande lueur dans le secteur de la rivière Tapalqué accompagné d'un bourdonnement étrange qui est devenu de plus en plus intense. Il a rapidement alerté d'autres témoins, puis a informé ses supérieurs, et il a été envoyé vers les lieux en Jeep de patrouille avec les soldats Cabo et Rosa, armés de mitraillettes.

Arrivant sur les lieux, ils ont été stupéfait de voir un objet ovale, plutôt plat, qui évoluait à quelques mètres de haut en projetant des étincelles multicolores. Ils ont distingué de courtes jambes sur les bords de l'objet.

L'objet a alors effectué des manoeuvres signalant qu'il était sous contrôle intelligent: il s'est d'abord mis en position verticale, et à une trèS grande vitesse. a décrit une courbe qui l'a placé en un instant dans le dos de leur Jeep, s'interposant entre eux et le poste de garde d'où ils étaient venue, et se posant, slon les sources, soit près de broussailles derrière la piste d'atterrissage utilisée par les forces aériennes en cas d'urgence, soit sur la piste même.

L'engin une fois posé a diminué sa forte luminosité et apparaissait maintenant comme de couleur argentée. Trois occupants en sont sortis, de forme humanoïde, d'une taille de 2 mètres ou plus, portant des tenues argentés. Ils ont fait des pas lent qui donnaient l'impression de manquer de stabilité, ce qui a été comparé à des mouvements de grands singes. Ils semblaient avancer vers le groupe des militaires qui était alors extrêmement nerveux, et en réaction, le caporal Menéndez a tiré cinq salves de sa mitraillette vers ces êtres.

Ceux-ci ont alors chacun levé une main, en montrant quelque chose de semblable à une petite lanterne allumée, et tous les témoins se sont sentis envahis par une sensation de dégoût et de fatigue, et rendus inapte à utiliser à nouveau leurs armes, sans qu'ils puissent déterminer si ceci était dû à un effet psychologique ou directement du aux objets lumineux que tenaient ces êtres.

Les êtres se sont alors de nouveau dirigé vers leur engin, comme si les salves de mitraillette n'avaient eu aucun effet, ils y sont entrés, et l'engin a décollé à grande vitesse en zigzaguant. A ce moment seulement, le groupe de militaire a recouvré ses facultés, et ils sont retournés à Olavaria pour rapporter ces événements incroyables à leurs supérieurs, le major Catani et le chef de leur unité le colonel Luis Maximo Prémoli.

Tableau des informations de base:

Numéro de cas: URECAT-000041
Date d'observation: 19 juillet 1968
Premier rapport: 26 juillet 1968
Délai de rapport: Jours
Témoignage apporté via: Non connu.
Premier enregistrement allégué par: Journal local "El Popular".
Premier enregistrement certain par: Journal national "La Razon".
Type premier enregistrement allégué: Journal local.
Type premier enregistrement certain: Journal national.
Ce dossier créé le: 28 septembre 2006
Sa plus récente mise à jour: 28 septembre 2006
Pays de l'événement: Argentine
Etat/Département: Buenos Aires
Type de lieu: Terrain découvert
Conditions d'éclairage: Nuit
OVNI observé: Oui
Arrivée OVNI observée: Incertain
Départ OVNI observé: Oui
Relation OVNI/entité: Certaine
Nombre de témoins: 3 ou plus.
Ages des témoins: Adultes.
Types de témoins: Un caporal et deux soldats ou plus.
Photographies: Non.
Dessins par témoins: Non.
Dessins approuvé par témoins: Non.
Nombre d'entité: 3
Type d'entités: Humanoïde
Taille d'entités: 2 mètres ou plus.
Tenues d'entités: Non décrite.
Couleur des tenues d'entités: Argenté.
Couleur de peau d'entités: Non rapporté.
Corps des entités: Non rapporté.
Têtes des entités: Non rapporté.
Yeux des entités: Non rapporté.
Bouches des entités: Non rapporté.
Nez des entités: Non rapporté.
Pieds des entités: Non rapporté.
Bras des entités: Deux.
Doigts des entités: Non rapporté.
Nb de doigts des entités: Non rapporté.
Pilosité des entités: Non rapporté.
Voix des entités: Aucune entendue.
Actions des entités: Sortie de l'OVNI, témoins agressent, entités réagissent, entrée dans l'OVNI, départ.
Interactions entités/témoins: Entités semblent se défendre.
Réactions des témoins: Observation, tirs de mitraillettes.
Sentiments des témoins: Effrayés.
Interprétations des témoins: Non rapporté.
Catégorie explicative: Visiteurs extraterrestres ou canular journalistique ou canular.
Certitude de l'explication: Faible.

Récits:

[Ref. ra1:] JOURNAL "LA RAZON":

ARROYO TAPALQUE, OLAVARRIA, B.A., 26 JUILLET 1968. -- Le journal "El Popular" a publié les détails d'un épisode de "contact" dans lequel des témoins humains ont répondu, comme cela arrive fréquemment, de manière violente, en étant rapidement réduit à l'impuissance par des effets d'une arme paralysante que nous ne connaissons pas sur Terre. Il convient d'ajouter que cette arme, dont l'utilisation de leur part a été observée à de nombreuses occasions, soit à titre préventif soit directement en réaction de défense, immobilise la personne contre laquelle elle est dirigé mais, ses effets étant dissipés, celle-ci retourne à la normalité sans éprouver aucun bouleversement ultérieur. Pour cette raison, il est permis de supposer que ceux qui l'emploient appartiennent à une culture plus évoluée que le nôtre.

Voici les faits:

Quelques minutes après 2 heures du matin, un grand secteur autour du de l'Arroyo de Tapalqué a été illuminé tandis qu'on percevait un bourdonnement qui augmentait en intensité. Un chef de la police, qui un instant avant avait pris son tour de garde, a alerté à un fonctionnaire de la distribution, et a reçu de celui-ci l'ordre d'aller se rendre compte du cas.

Par conséquent, dans un jeep découverte, une patrouille armée avec des mitraillettes est allée vers le théâtre des événements. Une fois arrivés, ils ont vu l'OVNI, qui était d'apparence ovale, avec des jambes, et diffusait des lumières de diverses couleurs. Après plusieurs manoeuvres rapides, l'aéronef s'est posé derrière la piste pour les atterrissages d'urgence existant dans ces lieux. Le bourdonnement et la lumière ont alors diminués.

A ce moment, les policiers ont distingué trois silhouettes de plus de deux mètres de stature, qui étaient habillées de vêtements argentés. Avec lenteur, comme si quelque chose les gênait dans le libre mouvement de leurs jambes, les membres de l'équipage de l'OVNI ont marché en direction de la garnison militaire. Le chef, sans doute en raison de la nervosité, a ouvert le feu contre eux avec sa mitraillette, mais la rafale n'a pas donné de signe d'avoir fait impact dans le groupe.

Comme suite, les trois inconnus ont soulevé en même temps une de leurs mains, dans lesquelles ils tenaient des sortes de sphères lumineuses. Immédiatement, les témoins se sont sentis très fatigués et ont éprouvé un grand dégoût, jusqu'au point de se trouver dans l'impossibilité de réagir.

Ils sont alors remontés dans leur appareil, lequel s'est éloigné en zigzagant, et les policiers sont revenus à leur état normal. A Olavarría, ils ont informé leurs supérieurs de ces faits.

[Ref. jf1:] JEAN FERGUSON:

L'auteur indique que le 25 juillet 1968, en Argentine à Olavarria, dans la matinée sur un terrain d'aviation, les quatre militaires ont été intrigués par une lueur intense sur une piste de secours. Ils se sont rendu sur place en jeep et ont vu un engin rond muni d'atterrisseurs et de phares de différentes couleurs qui stationnait au sol.

Trois êtres d'une taille de deux mètres en sont descendus, qui avaient une apparence humaine mais étaient vêtus d'uniformes phosphorescents. Les militaires effrayés ont vu que ces êtres venaient vers eux, et le brigadier qui commandait leur groupe a décidé de les mitrailler, mais dans son énervement, il ne les a heureusement pas atteints.

Ces êtres avaient des boules lumineuses à la main et ces boules ont lancé des rayons sur les soldats qui ont été paralysés. Les êtres ont aussitôt regagné leur engin qui s'est envolé à toute vitesse.

[Ref. pd1:] PIERRE DELVAL:

Pierre Delval indique que le 25 juillet 1968, en Argentine, un caporal et plusieurs soldats cantonnés à Olavarria ont vu un OVNI atterrir, dont trois anthropoïdes de deux mètres portant une combinaison phosphorescente sont sortis. En les voyant, le chef de la patrouille a tiré une rafale de mitraillette dans leur direction, mais les balles n'ont eu aucun effet sur eux, soit parce qu'il les avait manqué la cible, soit parce que ces extraterrestres étaient immunisés contre les armes à feu. Après ce tir inefficace, les soldats de la patrouille sont restés paralysés sur place pendant plusieurs minutes.

[Ref. hd1:] HENRI DURRANT:

Henri Durrant indique que la presse française a rapporté le cas en plusieurs récits comportant des divergences de détail selon les unes et les autres sources ufologiques, et résume le cas à partir de l'article du journal France-Soir du 30 juillet 1968, page 5, qui publie le récit sur la base d'une dépêche de l'Agence France Presse.

Il donne un résumé de cet article: le 25 juillet 1968 à Olivarria [sic, Olavarria], en Argentine, des gens ont alerté un caporal et trois hommes du régiment d'infanterie cantonné là. Ces militaires ont sauté dans une Jeep et se sont rendus à l'aérodrome proche, où une sorte de lumière multicolore, de forme ovale et assez plate, munie de sortes de pieds, se préparait à se poser sur une piste de secours.

Les militaires sont arrivés peu après son atterrissage. Ils ont vu sortir de la chose trois êtres d'apparence humaine, d'une taille d'environ deux mètres, portant "des treillis phosphorescents".

Le caporal les a sommés de se rendre, mais les occupants de la chose n'ont pas répondu. Le caporal a alors lâché une rafale de mitraillette, qui n'a eu aucun effet ni sur eux ni sur l'engin. Au même moment, les militaires ont été paralysés pendant trois minutes par des rayons qui étaient sortis de sphères brillantes que ces êtres tenaient chacun d'une main et qu'ils avaient élevées au-dessus de leurs têtes.

Quand les militaires ont "recouvré leur sens", les occupants de la chose étaient remontés tranquillement dans leur engin qui avait décollé et n'était plus qu'un point de lumière dans le ciel.

[Ref. pd2:] PIERRE DELVAL:

Pierre Delval indique que le 28 juillet 1968, la presse a publié l'article suivant:

"Mitraillés par des policiers, les Martiens ripostent avec des rayons paralysants".

Olavarria (Argentine), 27 juillet.

"Un brigadier de police argentin a vu trois êtres descendre d'une soucoupe volante et a déchargé sa mitraillette sur eux, révèle un journal d'Olavarria, ville située à 350 kms au Sud-Ouest de Buenos Aires."

"L'affaire s'est produite dans la matinée de jeudi, précise le journal, sur un aérodrome proche d'Olavarria. Alerté par une source lumineuse intense, et étrange, sur une piste de secours, le brigadier s'arma et sauta dans une jeep, avec trois hommes."

"Arrivés sur les lieux, les quatre policiers virent, évoluant à faible hauteur et émettant des lumières multicolores, un engin de forme ovale, assez plat et muni de pieds. L'objet se posa alors et trois êtres en descendirent: ils mesuraient environ deux mètres, portaient un uniforme phosphorescent et avaient une apparence humaine. Comme ils avançaient sur la patrouille, le brigadier tira une rafale de mitraillette mais sans les atteindre."

"Les "êtres" ripostèrent en dirigeant sur les policiers les rayons de boules lumineuses qu'ils tenaient à la main, paralysant les représentants de l'ordre. Ils remontèrent à bord de leur soucoupe qui disparut à toute vitesse."

[Ref. jl1:] JOHN LEAR:

John Lear, sans citer ses sources, indique que le 22 juillet 1968 à Olavarria, en Argentine, sur l'aéroport, un OVNI qui émet une forte luminosité se pose sur trois pieds. Trois êtres de 2 mètres de hauteur sortent, avec des armes lumineuses à la main. Un caporal et trois soldats tirent une rafale de mitrailleuse, la mitrailleuse s'enraye et ces militaires sont paralysés lorsque les êtres lèvent la main.

[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:

Albert Rosales indique que juillet 25, 1968, à 02:05, Olavarria, province de Buenos Aires, en Argentine, un caporal et plusieurs soldats sont allés à l'endroit où un OVNI émettait des flashes multicolores et produisait un bruit de bourdonnement, apparemment en train d'atterrir. L'OVNI a atterri, et trois êtres de plus de 6 pieds de haut, en uniformes argentés, en sont sortis et ont avancé à pas lents et instables vers les soldats.

Le caporal ouvert le feu vers eux avec une mitraillette, et les êtres on levé leurs mains pour montrer une petite boule lumineuse. Quand ils ont fait cela, tous les témoins ont été submergés par une étrange lassitude et ils n'ont plus pu utiliser leurs armes.

Les soldats ont récupéré leurs facultés seulement après que ces êtres soient rentrés dans l'OVNI qui a décollé avec un mouvement zigzagant.

Albert Rosales indique que sa source est la Flying Saucer Review, volume 14, N.6; qui citait une source journalistique.

[Ref. in1:] UN RECIT SUR L'INTERNET:

Ce récit sans source circule sur l'Internet hispanophone: le 30 juillet 1968, à Olavarria, état de Buenos Aires, Argentine, plusieurs habitants, ont demandé à un groupe de police composé par deux agents et un inspecteur d'aller voir à Tapalque, a peu de kilomètres d'Olavarria, d'où ils ont pu observer trois extraterrestres, avec un navire ovoïde qui projettait des lumières multicolores. Les témoins ont décrit ces êtres comme de plus de deux mètres et habillés de tenues argentées. Le groupe des policiers a tiré une rafale de mitraillette vers ces êtres, ce à quoi les êtres ont répliqué en lançant un rayon de lumière compacte depuis une sphère qu'ils tenaient dans leur main. Ce rayon de lumière a paralysé ces hommes tandis que les êtres retournent à leur vaisseau, lequel a décollé sans produire de bruit.

[Ref. pc1:] UN CORRESPONDANT PRIVE:

Un correspondant ufologue argentin qui souhaite conserver l'anonymat m'indique les détails suivants sur cette affaire.

Cela ne s'est pas passé le 25 juillet mais le 19 juillet 1968 un peu avant l'aube. L'incident a commencé lorsqu'une vaste secteur qui est traversé par la rivière Tapalqué, dans les alentours d'Olavarria, province de Buenos Aires, a été illuminé par une grande lueur accompagné d'un bourdonnement étrange qui est devenu de plus en plus intense.

C'est le caporal Menéndez, qui a ce moment allait relever son camarade de garde du 2eme Régiment de Tirailleurs de la Cavalerie Blindée "General Paz" qui a d'abord observé le phénomène, et a rapidement alerté d'autres témoins, puis a informé ses supérieurs.

Une patrouille avec Menédez et les soldats Cabo et Rosa, armés de mitraillettes PMA, a été envoyé en jeep, et en arrivant sur les lieux, ils ont été stupéfait de voir un objet ovale, plutôt plat, qui évoluait à quelques mètres de haut en projetant des étincelles multicolores. Ils ont distingué de courtes jambes sur les bords de l'objet.

L'objet a alors effectué des manoeuvres signalant qu'il était sous contrôle intelligent: il s'est d'abord mis en position verticale, et à une trèS grande vitesse. a décrit une courbe qui l'a placé en un instant dans le dos de la Jeep de la patrouille, s'interposant entre la patrouille et le poste de garde d'où elle était venue, et se posant près de broussailes derrière la piste d'atterrissage utilisée par les forces aériennes en cas d'urgence. Mon correspondant précise que sur ce point, d'autres versions indiquent que l'objet s'est posé sur la piste elle-même.

L'engin une fois posé a diminué sa forte luminosité et apparaissait maintenant de couleur argentée. Trois occupants en sont sortis, d'aspect humanoïde, qui mesuraient plus de deux mètres de hauteur et portaient des tenues argentés. Ils ont fait des pas lent qui donnaient l'impression de manquer de stabilité, ce qui a été comparé à des mouvements de grands singes, et ils semblaient avancer vers le groupe des militaires qui était alors extrêmement nerveux. En réaction, le caporal Menéndez a tiré cinq salves de sa mitraillette vers ces êtres.

Ces êtres ont alors levé une main, en montrant quelque chose de semblable à une petite lanterne allumée, et tous les témoins se sont sentis envahis par une sensation de dégoût et de fatigue, et rendus inapte à utiliser à nouveau les armes, sans qu'ils puissent déterminer si ceci était du à un effet psychologique ou à quelque chose en rapport direct avec les boules lumineuses que tenaient ces êtres.

Les êtres se sont alors de nouveau dirigé vers leur engin, comme si les salves de mitraillette n'avaient eu aucun effet. Ils sont entrés dans l'engin qui a décollé à grande vitesse. A ce smoment seulement, le groupe de militaire a recouvré ses facultés, et ils sont retournés à Olavarria pour rapporter ces événenements incroyables à leurs supérieurs, le major Catani et le chef de leur unité le colonel Luis Maximo Prémoli.

Points à considérer:

Sans sources primaires disponibles ni rapports militaires, avec apparemment aucune enquête ufologique, il est impossible de vraiment déterminer maintenant que ces événements se sont produits réellement comme les sources de presse l'ont rapporté. Si c'est le cas, il est est peu crédible que l'événement ait été une certaine sorte de confusion.

L'affaire mériterait réellement une enquête approfondie.

Liste de problèmes:

Id: Sujet: Sévérité: Noté le: Soulevé par: Noté par: Description: Proposition: Statut:
1 Données Grave 28 septembre 2006 Patrick Gross Patrick Gross Source la plus primaire connue, journal "El Popular", non disponible. Aide nécessaire. Ouvert.

Evaluation:

Visiteurs extraterrestres ou canular ou canular journalistique.

Références des sources:

* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.

Histoire du document:

Rédaction

Auteur principal: Patrick Gross
Contributeurs: Aucun
Reviewers: Aucun
Editeur: Patrick Gross

Historique des changements

Version: Créé/changé par: Date: Description:
0.1 Patrick Gross 16 septembre 2006 Création, [ra1], [jf1], [pd1], [hd1], [pd2], [ar1], [pc1]
0.1b Patrick Gross 26 septembre 2006 Addition, [jl1], [in1]
0.2 Patrick Gross 28 septembre 2006 Première publication
1.0 Patrick Gross 19 juin 2007 Conversion de HTML 4 en XHTML strict.

Valid XHTML 1.0 Strict



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Cette page a été mise à jour le 19 juin 2007