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Référence pour ce cas: Nov-54-France.
Merci de citer cette référence dans toute correspondance avec moi en rapport avec ce cas.
Dans son deuxième livre sur la question des "soucoupes volantes", "Black-Out Sur Les Soucoupes Volantes", en 1956, le pionnier de l'ufologie en France Jimmy Guieu avait rapporté qu'en novembre 1954, il s'était entretenu avec le directeur d'une importante station météorologique, un technicien, "pondéré, fort étranger aux élucubrations des mystiques et autres illuminés", qui lui avait affirmé avoir vu "un appareil discoïdal, métallique, réfléchissant les rayons du soleil, évoluer dans une vallée."
Le météorologiste se trouvait alors à un endroit dominant la vallée, position qui lui avait procuré une excellente "vue en enfilade", et il avait distingué très nettement l'appareil qui volait silencieusement bien au-dessous de la ligne des crêtes.
Jimmy Guieu précisait que ce technicien avait exigé de conserver l'anonymat, et fait cette remarque de bon sens que l'on oubliera souvent de faire par la suite, en prétendant à tort d'ailleurs que "les astronomes ne voient pas d'OVNIS": "Infiniment mieux placés que les astronomes - qui observent l'espace cosmique - les météorologistes observent l'atmosphère, siège des manifestations et de l'activité des astronefs discoïdaux. Ils ont donc eu l'occasion d'observer eux-même de tels phénomènes ou, du moins, d'étudier avec une meilleure optique les rapports de témoins oculaires qualifiés."
[Ref. jgu1:] JIMMY GUIEU:
En novembre 1954, je m'entretenais avec le directeur d'une importante station météorologique. Ce technicien, pondéré, fort étranger aux élucubrations des mystiques et autres illuminés, m'affirma avoir vu un appareil discoïdal, métallique, réfléchissant les rayons du soleil, évoluer dans une vallée. Ce météorologiste se trouvait alors à un endroit dominant la vallée, position qui lui procurait une excellente "vue en enfilade". Il distingua très nettement l'appareil, volant silencieusement bien au-dessous de la ligne des crêtes. Ce technicien exigea de conserver l'anonymat et je m'empresse d'accéder à son désir. Je sais l'avalanche de railleries, de blessantes insinuations qu'engendrerait pour lui la divulgation de son identité. Je sais aussi qu'en haut lieu, il passerait volontiers pour un rêveur, un imaginatif. Par "haut lieu", je le précise bien, je n'entends pas la direction générale des services météorologiques. Les techniciens responsables de ce service ne se distinguèrent jamais par une hostilité à l'égard du problème "Soucoupe". Infiniment mieux placés que les astronomes - qui observent l'espace cosmique - les météorologistes observent l'atmosphère, siège des manifestations et de l'activité des astronefs discoïdaux. Ils ont donc eu l'occasion d'observer eux-même de tels phénomènes ou, du moins, d'étudier avec une meilleure optique les rapports de témoins oculaires qualifiés.
L'anonymat requis et le manque d'informations de date et lieux rendent malheureusement le cas peu édifiant.
Bien entendu, que Jimmy Guieu ait entendu le témoin en novembre 1954 n'implique pas à coup sûr que l'observation se soit déroulée en novembre 1954.
(Ces mots clés sont uniquement destinés à aider les recherches et ne préjugent pas des faits.)
France, anonyme, météorologue, station météorologique, technicien, disque, métallique, réfléchissant, silencieux
[----] indique des sources que je n'ai pas encore pu consulter.
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1.0 | Patrick Gross | 19 octobre 2025 | Première publication, [jgu1]. |