L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Franc-Tireur, Paris, France, page 8, le 20 octobre 1954.
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Rome, 19 octobre. -- C'est l'italie qui a connu, aujourd'hui, la plus intense activité des "soucoupes" et autres "engins". L'un d'entre eux, un disque qui laissait s'échapper de façon très classique des rayons lumineux, s'est même posé, près de Capri, sur la terrasse de la villa de l'écrivain Curzio Malaparte. Quatre petits hommes en descendirent et se dégourdirent les jambes pendant vingt minutes, sans que l'unique témoin ait donné l'alerte. Le disque, ensuite, s'envola, verticalement, comme il se doit.
Un cas plus grave a, d'autre part, été signalé à Livourne où un témoin, Bruno Sénési, 34 ans, s'est présenté à l'hôpital, en criant:
- Ils me persécutent... Des lumières... Des fumées... Les Martiens viennent me chercher...
Il a été aussitôt interné.