Ovni contre avion: On a frôlé le crash!
En Argentine, un pilote en approche
du terrain de Bariloche
n'en a pas cru des yeux.
Pourtant plusieurs observations
confirment son témoignage
Une "soucoupe volante" de "couleur blanche", se déplaçant à grande vitesse, a perturbé
pendant une quinzaine de minutes, dans la nuit de lundi à mardi, le trafic de l'aéroport
de San Carlos de Bariloche, 1800 kilomètres au Sud-Ouest de Buenos Aires, ont indiqué une
dizaine de témoins oculaires.
Tout à débuté alors qu'un vol d'Aérolinas Argentinas, en provenance de Buenos Aires avec
102 passagers et 3 membres d'équipage, terminait ses manoeuvres d'approche pour se poser
sur la piste de Bariloche, une station de sports d'hiver située sur les premiers contreforts
de la cordilière des Andes.
"Le pilote a dû faire une manoeuvre désespérée pour ne pas entrer en collision avec un ovni",
affirment plusieurs membres des forces aériennes argentines. Selon un officier, qui lui aussi a vu l'ovni,
"une coupure de courant s'est produite au même moment dans toute la ville et les appareils de mesure
de l'aéroports sont devenus fous."
Intermittence
Plusieurs habitants disent également avoir aperçu l'engin, juste avant la coupure
de courant. "A quinze minutes de vol de Bariloche, la tour de contrôle nous a autorisée
normalement à entamer nos manoeuvres d'approche," explique le pilote Jorge Polanco.
"A moment où j'entamais la dernière descente, j'ai soudain vu en face une lumière
blanche qui venait directement sur nous à toute vitesse, avant de s'arrêter d'un coup
à une centaine de mètres. Quand j'ai repris les manoeuvres, l'objet a fait un tour bizarre pour
accompagner notre virage de descente et rester en parallèle à une centaine de mètres",
indique-t-il. "Au bout d'un moment, la soucoupe, de la taille d'un avion de ligne, a
changé de couleur, deux lumières vertes apparaissant aux extrémités avec une lueur orange
dans le centre qui s'allumait par intermittence," poursuit le pilote.
Au moment où j'amorçais ma dernière approche, les lumières de la piste de l'aéroport
se sont éteintes d'un coup. J'ai dû remonter à 3 miles, en faisant une manoeuvre de fuite, toujours
accompagné par l'ovni qui est remonté à une vitesse surnaturelle" et s'est soudain
évanoui. "Cet engin ne se déplaçait pas selon les lois physiques et naturelles
connues. Je n'en croyais pas mes yeux!" ajoute Polaco, qui avoue être resté, après l'atterrissage,
"cinq minutes dans la cabine le coeur au bord des lèvres."
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