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Un cas fortement médiatisé - rapport OVNI par des militaires Mexicains, 2004:

Je notais initialement:

A noter: tout ceci est du travail en cours et est incomplet. Le cas a fait surface en mai 2004. Je n'offre pas "d'explanation", j'offre uniquement de la documentation.

Je puis noter ensuite:

Cette observation a reçu une explication certaine: ce qui a été filmé par les caméras infra-rouge de l'avion était la chaleur causée par les torchères des exploitations pétrolifères off-shore de Campeche.

Dans ce dossier:

Cliquez! Résumé du cas.
Cliquez! Extraits de l'interview de trois membres d'équipage.
Cliquez! Conversations de l'équipage du C-26 durant l'incident.
Cliquez! Un rapport de Rodolfo Garrido Cotham.
Cliquez! Un article pour la presse par Jaime Maussan.
Cliquez! Le ministre de la défense mexicaine répond à certaines allégations.
Cliquez! L'avis d'un connaisseur du FLIR, l'un des deux types d'appareils qui a détecté ces OVNIS.
Cliquez! L'avis du sous-directeur de la Météo Nationale du Mexique.
Cliquez! Questions et réponses.
Cliquez! Comment les média ont rapporté cette affaire.
Cliquez! La folie de l'explication-minute.

Résumé des événements:

Le 5 mars 2004, un groupe de huit militaires des Forces Aériennes Mexicaines (Fuerza Aérea Mexicana) effectuaient une patrouille aérienne de surveillance dans le cadre de la lutte contre le transport de drogues par voie aérienne.

Les militaires étaient à bord d'un avion bimoteur Merlin C26/A, et se trouvaient entre la ville de Copalar, dans l'état du Chiapas, et Ville du Carmen, dans l'état de Campeche, aux coordonnées: latitude Nord 18° 26 minutes 60 secondes et longitude Ouest 90° 45 minutes et 69 secondes, entre 17:00 et 17:30.

L'opérateur radar à bord de l'avion, le Lieutenant Germán Marin Ramirez, a soudainement repéré sur l'écran de son radar la présence d'échos inconnus. Il a d'abord pensé qu'ils étaient précisément les échos d'avions de trafiquants de drogue opérant illégalement dans le secteur.

Après en avoir été informé, le pilote de l'avion militaire, le Major Magdaleno Castañón Muñoz, a mis le cap vers la direction où l'opérateur radar lui a indiqué que se trouvaient les échos, qui se trouvaient à deux miles de la position initiale de l'avion.

Etonnamment, étant donné la distance à laquelle étaient supposés être les avions non identifiés, l'équipage de l'avion n'a pas pu voir visuellement le moindre objet. Ceci a intrigué l'équipage, puisque sur le radar de bord, les échos d'origine inconnue apparaissaient toujours, à la même position que précédemment.

Il a alors été demandé à l'opérateur du FLIR (Forward Looking Infra Red, soit une caméra détectant et enregistrant les images dans l'infrarouge et destinée à aider au vol de nuit en détectant les avions par le fait qu'il émettent de la chaleur visible dans l'infrarouge), d'essayer de déterminer si quelque chose apparaissait sur le FLIR.

L'opérateur du FLIR, le Lieutenant Mario Adrián Vázquez Téllez, a effectivement pu voir au moyen de ce dispositif, ce dont ils pensaient toujours qu'il étaient des avions opérant illégalement, bien que l'absence d'observation visuelle ait été anormale. A ce moment, les échos inconnus étaient toujours repérés sur le radar, toujours à la même position.

Pendant au moins 30 minutes, les aviateurs de la Force Aérienne Mexicaine ont suivi les sources infrarouges étranges. Il s'est d'abord avéré que tandis que l'avion avançait vers ces sources, ils ont commencé à détecter plus d'échos sur le radar et plus de sources infrarouges sur le FLIR, en avant d'eux. Il y eut bientôt 11 objets ou phénomènes observés à la fois sur radar et sur le FLIR. Il a été déterminé que ces objets ou phénomènes ont finalement entouré l'avion.

L'ufologue Mexicain Jaime Maussan, à qui l'on doit la connaissance de ces observations, a noté:

"Il vaut la peine de rappeler que tout le personnel militaire pour ce type de missions, est constitué de gens hautement qualifiés, parce qu'ils opèrent dans un secteur très sensible de la sécurité nationale. En tenant compte de ceci, il est intéressant et surprenant s'entendre l'enregistrement audio de la mission, comment les expressions des membres de l'équipage allaient de l'émotion au choc. Donc, quand nous écoutons leurs conversations entre eux, nous entendons des expressions comme "Les gars, c'est notre jour de chance aujourd'hui." De tous, celui que nous considérons comme le moment le plus mémorable que l'enregistrement est quand ils disent: "Les gars ... nous ne sommes pas seuls..."

L'avion des Forces Aériennes Mexicaine a du abandonner la poursuite des phénomènes non identifié car l'avion allait être à court de carburant. En reprenant le trajet du retour, les aviateurs ont été très surpris, quand ils se sont rendu compte avec leurs instruments que deux des objets non identifiés ont apparemment commencé à suivre leur avion. L'enregistrement audio fait entendre une voix qui dit: "pourquoi nous suivent-ils?"

Après les faits, le Ministre de la Défense Nationale du Mexique a décidé que ce cas devait faire partie du domaine public, puisque le gouvernement mexicain actuel a entrepris une politique de transparence de l'information qu'il a assumée depuis le début de sa gestion. Ainsi fut fait: le ministre a invité le reporter et ufologue mexicain Jaime Maussan, bien connu dans le pays pour son intérêt pour la question OVNI.

Le 20 avril, celui-ci s'est rendu dans les bureaux de la Défense et a eu une premièRe rencontre avec de hauts gradés des forces militaires mexicaines, qui lui ont donné les détails du cas. Deux jours plus tard, Jaime Maussan a reçu une copie de l'enregistrement du FLIR de l'avion, et l'approbation du Général Ricardo Clément, chef des Forces Armées du Mexique, de prendre toute liberté de rendre l'affaire publique et de mener ses réflexions à ce sujet comme il l'entendra.

Ensuite, le 1er mai, dans les bâtiments mêmes de la SEDENA (le Ministère de la Défense Nationale), Jaime Maussan est invité à interviewer les trois principaux témoins du cas. Le pilote, le Major Magdaleno Castañón Muñoz, l'opérateur du radar, le Lieutenant Germán Marin Ramirez, et l'opérateur de "FLIR," le Lieutenant Mario Adrián Vázquez Téllez. Ceux-ci, sans aucune sorte de censure, ont donné leur témoignage devant les caméras de Jaime Maussan, qui a noté leur professionnalisme de gens formés pour opérer et travailler avec des équipements spécialisés, et "les détails de ce cas surprenant, qui, sûrement, changera la manière de considérer le le phénomène des Non Identifiés."

Extraits de l'interview de l'équipage du C-26:

Voici des extraits de transcription des interviews avec trois membres d'équipage directement impliqués dans l'incident du C-26 de l'Armée de l'Air Mexicaine le 5 mars 2004, menées par le journaliste et ufologue Jaime Maussan en avril 2004, quand 'armée de l'ait lui a fait connaître l'incident. L'ufologue Santiago Yturria doit être remercié pour la première publication et la traduction initiale de l'espagnol vers l'anglais, qui figure dans la version anglaise de cette page (voir tout en haut de cette page.)

Les parties entre [crochets] sont mes commentaires personnel.

Interview du Major Magdaleno Castanon - Pilote du C-26.

Question: Major, vous êtes-vous sentis inquiet à un moment quelconque quand vous avez réalisé que vous avez été entourés par ces lumières inconnues?

Réponse: Selon l'information que j'ai entendue de la part du chef de la coordination des opérations - il était responsable de visualisation sur les écrans - il a mentionné que les objets étaient dans notre dos, et de notre côté gauche et devant nous. C'est à ce moment j'ai commencé à me sentir stressé.

[Des sceptiques ont parlé de "panique". Il n'y a pas de panique, ce qui insinue des réactions injustifiées. Il y a un stress, terme parfaitement correct décrivant un effet logique dans cette situation.]

Question: Diriez-vous que les objets étaient invisibles pour les yeux?

Réponse: Je dirais que oui parce que personne dans l'équipage n'a pu les voir avec les yeux.

[C'est un des aspects qui donne au cas son caractère non-conventionnel. L'intervieweur insiste encore pour qu'il n'y ait pas d'ambiguité à ce sujet:]

Question: A cette distance, celle à laquelle les objets étaient par rapport à vous, n'auriez-vous pas du les voir?

Réponse: La distance la plus proche que nous avons obtenue avec les objets était de 2 miles. Notre expérience nous indique que nous pouvons identifier les engins volants conventionnels à cette distance, c'est la tout le doute que cela nous laisse.

[Le pilote utilise un langage d'une objectivité totale. Il fait aucune conjecture du type "à 2 miles on reconnait tout avion", il dit les faits: dans leur expérience, à deux miles, ils reconnaissent les avions. Ce tye de nuance de langage du pilote indique son souci d'objectivité, une personnalité rationnelle.]

Question: Au début de l'incident, était-il possible ces objets se soient rendus compte que vous les suiviez?

Réponse: C'est juste une conjecture, mais peut-être il y avait un rapport, en ce sens, parce qu'il est très étrange que nous les ayons d'abord poursuivis, mais que quand nous avons abansonné et avons fait complètement demi-tour, les objets aient également alors tourné - mais dans NOTRE direction et aient commencé à nous suivre. Je pense qu'il pourrait être possible que d'une certaine manière ces objets se rendaient compte que nous les avions suivi et observé.

Interview du Lieutenant German Ramirez Marin, opérateur radar.

Question: Quand était la première fois où vous vous êtes rendu compte [de la présence] des objets?

Réponse: Quand nous avons fait un virage pour nous diriger vers Campeche, l'opérateur de la caméra infrarouge FLIR a détecté une cible sans forme, juste un éclat. La cible a continué à être observée avec le FLIR. Ensuite nous avons détecté d'autres cibles sur le côté gauche de l'avion. Il y avait onze cibles. Nous n'avons jamais eu le contact visuel avec elles.

(NOTE: cela semble de référer au virage après la poursuite initiale (de 37 miles à 2 miles))

Question: Les onze cibles sont-elles apparues sur le radar normal (non-infrarouge)?

Réponse: Les onze cibles n'ont pas été détectées sur l'écran de radar. Au début, seulement une cible a été détectée par le radar.

(NOTE: Est-ce que ceci se rapporte à la cible initiale (de 37 miles à 2 miles)? Naturellement l'avion aurait volé vers la cible radar initiale (en pensant qu'elle était un avion) de sorte de mettre la cible initiale à 12:00 (droit devant). Y avait-il une cible de radar droit devant après le "demi-tour" et pendant les images infrarouges? Il semble en être ainsi.)

Ensuite une autre cible est apparue à une heure, celle dont nous décrivons la position comme étant devant nous mais légèrement vers notre droite. Et ensuite une troisième derrière l'avion. Telles étaient les seules trois cibles qui sont apparues sur l'écran de radar pendant l'incident. Les autres qui étaient dans la direction neuf heure, de notre côté gauche, ne sont jamais apparus sur le radar.

(NOTE: dans ce qui précède, il parle apparemment de la situation tandis que le système FLIR montrait des "lumières" à la gauche de l'avion. Les lumières à la gauche n'ont pas été détectées par le radar, qui balayait continuellement les 360 degrés autour de l'avion. La direction de pointage du FLIR a été contrôlée par son opérateur lequel n'a apparemment jamais (?) balayé sur un tour entier (du moins aucun rapport ne dit cela pour le moment).

Question: Il y avait eu un moment où ces objets vous ont entouré.

Réponse: Oui, nous pouvons voir les choses comme cela parce que nous avons eu l'information d'une cible à l'avant, une autre légèrement vers la droite, une dans le dos, et selon le FLIR plusieurs autres de notre côté gauche. Ainsi, nous avons estimé que nous avons été entourés.

(Note: le radar indique une cible radar à 12:00, cible radar à 01:00 et une autre cible radar à 06:00 à peu près (derrière) relativement à 12:00. Le FLIR indique des objets multiples à la gauche. Aucune déclaration au sujet d'une détection par le FLIR des objets en avant ou à la droite ou derrière.)

Question: Les mouvements d'objets sur le radar étaient-ils hors de l'ordinaire?

Réponse: Absolument. Notre information sur les données - surtout, les icônes (blips, signalétique), les faisceaux - étaient toujours là sur l'écran, mais l'information sur leurs mouvements changeait constamment. Leurs changements de vitesse étaient soudains, 60 - 120 - 300 noeuds, selon l'information des radars.

(Note de Bruce Maccabee: C'est une information importante non présentée dans le rapport initial (du moins non traduite). Le radar a les possibilités par l'effet Doppler de mesurer la vitesse "instantanée" d'un objet. Cependant, la mesure est seulement faite une fois toutes les 10 secondes (la vitesse de rotation du radar). Néanmoins, changer sa vitesse comme indiqué ci-dessus en 10 secondes serait anormal. Et, en fait, le rapport des changements rapides de vitesse ajoute encore plus à l'aspect non expliqué de cette observation.)

Il en était de même avec leurs trajectoires de vol. Les cours se sont montrés à 90 degrés d'abord puis, soudainement, à 130 degrés sur l'écran de radar.

Question: Qu'est ce que cela signifie?

Réponse: Cela signifie que la cible a changé sa direction constamment à grande vitesse. Il n'y a aucun avion qui peut exécuter de tels changements de direction tellement rapidement.

Interview du Lieutenant Mario Adrian Velazquez Tellez, opérateur du FLIR:

Question: est-il possible que le FLIR donne de fausses informations?

Réponse: It is not possible. This was visual information of a target that had both heat and movement, so it would not make reference to something that was not there.

(NOTE: The FLIR system is designed to respond only to radiation in the range 3.6-5 microns. There is no reason to expect it to create images of anything other than sources of 3.6-5 micron electroagnetic radiation.)

Question: Est-ce que le FLIR enregistre l'air chaud?

Réponse: Non. Le FLIR n'enregistre pas l'air chaud, il enregistre un objet qui produit de la chaleur.

Le FLIR ne peut pas "voir" le gaz chaud sortant d'un moteur. Il peut voir le corps chaud du moteur, cependant.

Question: Donc les onze objets qui ont été détectés par le FLIR produisaient de la chaleur. Est-ce que ces objets étaient là quoique vous ne puissiez pas les voir avec vos yeux?

Réponse: Ils étaient là, et nous avons les données de références par leurs positions. Ils étaient de notre côté gauche, à la même altitude et à la même vitesse [que nous].

(NOTE: the interview does not say whether or not the FLIR operator rotated the FLIR sensor to scan in all directions. It would certainly seem natural that he would do that, but it would be nice to see a statement to that effect. In particular, it would be nice to know whether or not the FLIR system picked up a target at 12:00, one at 1:00 and one at 6:00.)

Question: Combien de chaleur les objets généraient-ils?

Réponse: We ran several measurements trying to get an image and all the time the targets registered very hot. We never found any irregular shape, they were spherical all the time.

(NOTE: what experiments?)

Question: Is this type of shape irregular [unconventionnal] with respect to other aircraft you have detected before?

Réponse: Yes, it was an irregular [unconventionnal] shape. I know of nothing like the aircraft I saw.

(NOTE: for a typical airplane at several miles distance the FLIR system could show an image that has the shape of an airplane with very "hot spots" at the locations of the engines.)

Question: In your experience do you have any previous personal knowledge of any similar incident like this?

Réponse: I have never experienced anything like this and I don't know what to tell you. I don't have any explanation for what these objects were.

Question: You had detection with both radar and FLIR?

Réponse: Correct. The radar gave us positions and then with the FLIR we searched that area. We located the targets and we kept those targets on screen while the radar was detecting other targets, giving us more positions. We tried to keep all the targets on screen all the time, so as not to lose them.

(NOTE: the radar and FLIR was "coupled" in such a way that the radar would give target direction to the FLIR and then the operator could scan back and forth relative to that direction to search for a target. Typically he would look for the heated engines of an airplane. Evidently the FLIR operator found the large number of objects at the left but it is necessary to know whether or not he pointed the FLIR in any other direction and, in particular whether or not he got images in the directions of the radar targets during the time of being "surrounded.")

Question: How did the objects surround the airplane?

Réponse: Le radar a eu des objets sur l'avant, et lègèrement vers la droite et derrière nous. Le FLIR a eu plusieurs objets du côté gauche donc nous pouvions dire que nous avons été entourés.

Question: Were the objects big in size?

Réponse: They were big, especially two of them that were closer to us.

Can't really say much about size except that if the objects were 2 miles away the infrared light sources couldn't have been larger than the diameter of the bright circular image projected to 2 miles, i.e., they were smaller than about 7 ft. (This refers to the two very bright lights side by side, separated by about 17 ft).

Question: Could FLIR have created this - is it posible to manipulate the FLIR information?

Réponse: No. It is not possible to load information into the FLIR. All the information the FLIR detects is out there and is really happening. And the FLIR records this information in real time.

(NOTE: Both the FLIR system and the radar system had tape recorders. Apparently on the FLIR system was actually recording the events. Of course, the air traffic control also had a tape and maybe the airplane cockpit recorder.)

Les conversations de l'équipage dans l'avion lors de l'incident:

Transcription de l'enregistrement audio à bord d'un Merlin C-26A de Armée de l'Air Mexicaine durant un incident OVNI.

Date: 5 mars 2004
Lieu: au-dessus de Ciudad Del Carmen, espace aérien de Campeche.

Traduction par Santiago Yturria avec assistance finale de John Velez pour la traduction Espagnol-Anglais, traduction Anglais/Français par l'auteur de ce site.

Note: les identifications des voix, ci-dessous, ne correspond pas aux mêmes membres d'équipage dans chaque partie. Les voix sont marquées par ordre d'apparition dans chaque partie.

PARTIE 1:

[Le C-26A est en patrouille sur des routes aérienne connues pour être suivies par les trafiquants de drogues.]

TIMIMG VIDEO SUR LE FLIR: (Heure/minute/seconde) 12:55:09 to 12:55:29

[Conversations de l'équipage]

VOIX A: Est-ce que tu vois le Lagon?

VOIX B: Oui, il est sur notre droite.

VOIX A: Nous allons vers le lagon et nous allons faire ça.

VOIX B: Vers la droite?

VOIX A: Oui.

VOIX B: Et nous revenons au point, ou bien nous nous éloignons?

VOIX A: Nous nous éloignons, c'est à dire, nous suivons un cours plus ou moins en arc de cercle.

VOIX B: Ok.

TIMIMG VIDEO SUR LE FLIR: de 13:16:22 à 13:16:33

[Pas de dialogue]

TIMIMG VIDEO SUR LE FLIR: de 16:42:44 à 16:43:30

VOIX A: Presque à 12:00 de notre position, distance, 2.9, vitesse, 75.

VOIX B: Fais un panoramique plus vers la gauche, à cause du Soleil.

VOIX C: Oui.

VOIX B: Pointe vers la gauche.

VOIX A: Ok, je le vois.

VOIX A: LA piste est là à une.

VOIX C: Tu es où?

VOIX A: EuH, at 12 heure de notre position, 2.3.

VOIX B: Une piste.

PARTie 2:

[Un trafic inconnu apparaît. L'équipage commence à agir. Ils rapportent à leur base une cible suspectée être un avion clandestin.]

TIMIMG VIDEO SUR LE FLIR: de 16:45:33 à 16:45:55

VOIX A: Je vais vous le dire tout de suite.

VOIX B: Une position?

VOIX C: Une position. 7 - 4.

VOIX A: A 12 heure de notre position, je l'ai toujours.

VOIX D: Un trafic.

VOIX E: Peux-tu m'obtenir l'officier des quartiers généraux, le capitaine Danzon, pour lui faire savoir que nous détectons une cible.

VOIX A: Point Carmen 18 - 4.

VOIX B: Il marque une vitesse de 2-106 et son cap est 301.

TIMIMG VIDEO SUR LE FLIR: de 16:52:03 à 16:53:00

VOIX A: Il est derrière les nuages.

VOIX A: Que pourrait-il avoir été?

VOIX B: Sais pas. Il est allé de l'autre côté - exactement où je l'avais eu.

[L'opérateur de FLIR essayant de dépister l'objet à travers les nuages.]

VOIX A: Viens, viens.

VOIX B: Go.

VOIX A: C'est bon, c'est bon.

VOIX B: Le voilà! Le voilà !!

VOIX B: Le voilà... Le voilà !!

PARTIE 3:

[L'objet est clairement visible sur le FLIR. L'équipage commence à se demander à haute voix ce qu'est l'objet inconnu.]

TIMIMG VIDEO SUR LE FLIR: de 16:50:03 à 16:50:22

VOIX A: C'est quoi, Juarez? Juarez, qu'est-ce que c'est?

VOIX B: C'est un rond.

VOIX C: Un rond. Il est là.

VOIX D: Il est là derrière nous.

VOIX C: C'est correct, il est mainenant à notre position 7 heure à 10.5 miles de distance.

VOIX C: Son cap est, 2 - 8 - 3 avec une vitesse de 3 - 3 - 4.

VOIX D: Encore.

TIMIMG VIDEO SUR LE FLIR: de 16:55:16 à 16:57:32

VOIX A: Au moins nous avons un contact avec lui sur le FLIR et nous avons été en contact radar tout le temps.

VOIX B: Quelle est son altitude - à peu près, chef?

VOIX A: Je pense qu'il est à la même altitude que nous.

VOIX B: Aahh.

VOIX C: L'inclinaison du FLIR est ... horizontale.

VOIX C: Exactement.

VOIX A: Il est au-dessus de nous.

VOIX C: C'est exact.

VOIX B: Ah, c'est pour ça que tu n'a pas pu le voir.

VOIX D: Je suis presque en train de le perdre sur le radar, il quitte presque l'écran.

VOIX B: Aahh.

VOIX C: Il est exactement à un mile de Carmen. De Carmen.

VOIX B: Combien de miles?

VOIX C: Un ou deux miles de Carmen.

VOIX D: Je ne l'ai pas sur l'écran mais le radar donne toujours la distance à 37 miles.

VOIX C: Il est maintenant au-dessus de Carmen.

VOIX B: Bon, maintenant il est perdu.

VOIX D: Le voilà.

VOIX C: Il dépasse Carmen.

VOIX D: Il continue toujours.

VOIX D: Qu'est-ce qu'il fait?

VOIX C: Il tourne.

VOIX D: Est-ce qu'il tourne à droite?

VOIX C: Oui.

TIMIMG VIDEO SUR LE FLIR: de 16:59:05 à 16:59:46

VOIX A: Juste une lumière. On n'a pas pu le distinguer.

VOIX B: On n'a pas pu déterminer si c'était un avion ou quelque chose d'autre.

VOIX C: C'est le même que celui qu'on a vu il y a un moment.

VOIX D: Oui.

VOIX E: Faites gaffe, hein?

PARTIE 4:

TIMIMG VIDEO SUR LE FLIR: de 17:03:36 à 17:07:40

[Deux objets apparaîssent.]

VOIX A: Laissez-moi vérifier.

VOIX B: A 7 heure à la même altitude.

VOIX C: Il y a quelques nuages, ça doit être par là.

VOIX D: [bégayant presque] C'est, mais, attention à ça, c'est derrière nous.

VOIX E: Regardez à quoi ça ressemble. On dirait que c'est en deux parties.

VOIX C: C'est à 7 ou 8 heure par rapport à notre position.

VOIX C: Ce qui est étrange c'est, qu'il a un point voyageant devant. Un petit point, devant lui.

VOIX C: Il n'est pas là? Il en arrive un autre.

[Plus d'objets, en formations, apparaissent sur le FLIR. L'opérateur les détecte et déplace la caméra FLIR vers l'arrière pour les compter.]

VOIX F: Voyons, qu'avons-nous là?

VOIX A: Rien sir. Attendez, laissez-moi voir.

VOIX C: Commandand qu'est ce que c'est que ça?

VOIX F: Vous les aviez à quelle distance, Tellez?

VOIX C: Ehh?

VOIX A: Hé, attention, c'est comme si...

VOIX C: Il y en a encore qui arrivent. Il y en a encore... ils sont derrière. Il y a dix, onze objets.

VOIX A: Il y a plein d'objets.

VOIX F: Ehh?

VOIX C: Ils doivent être à notre position 9 heure maintenant.

VOIX F: A 9 heure. Un instant.

VOIX A: A 9 heure, presque la même altitude, presque.

VOIX F: Ok, un instant.

VOIX C: Affirmatif. Ils s'en vont.

VOIX C: Ils s'en vont.

VOIX C: Go un.

VOIX A: Un.

VOIX C: Et ils rejoignent les autres derrière, ce qui nous suivent.

VOIX F: Mon dieu, qu'est-ce que c'est.

VOIX B: Ils se poursuivent les uns les autres (souriant).

VOIX F: Qu'est-ce que c'est? Voyons. Essaye de mettre au point.

VOIX C: C'est au maximum.

VOIX F: Ok, ne les laisse pas te dépasser.

VOIX F: Ok.

VOIX C: Go.

VOIX F: Suis celui là, Tellez, ne le perd pas.

VOIX C: Les voilà, ils sont tous là, il y en a environ dix, vous les avez-vu? Vous les avez-vu?

VOIX F: Tu les suis.

VOIX C: Les voilà.

VOIX A: Ils arrivent.

VOIX A: Trois, quatre, cinq, six... Il y en a six?

VOIX F: Au-dessus ou en-dessous? Au-dessus? Où?

VOIX C: Au milieu, les voilà, à la même altitude.

VOIX A: Ils arrivent, regardez, un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept... non, il y en a huit.

VOIX F: C'est terrible...

VOIX C: On les verra bientôt mieux - là.

VOIX C: Et ils vont à une vitesse qui...

VOIX C: Un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, j'en ai huit sur l'écran.

VOIX F: Suis-les, ne les perd pas!

VOIX A: Est-ce qu'ils sont à la même altitude, Tellez?

VOIX C: Affirmatif. Au-dessus.

VOIX C: Huit, neuf, dix, onze, en comptant tos ceux qui sont derrière nous.

VOIX C: Deux, quatre, six, huit, dix, onze.

VOIX F: [Apparemment en s'adressant au contrôle au sol] Ecoutez nous ne savons ce que nous voyons, ce sont des objets lumineux qui volent à la même altitude que nous. Nous se savons pas à quelle distance.

VOIX B: A quelle position vous l'avez, Tellez?

VOIX C: A 8 heure.

VOIX F: A 8 ou 9 heure.

VOIX B: A 9 heure. Je ne pense pas que le radar peut les détecter là, nous avons un angle mort là, Sir.

VOIX F: A 8 ou 9 heure?

VOIX B: Oui.

VOIX B: Nous avons un angle mort de 20 degrés là.

VOIX F: Mais vous les aviez?

VOIX B: Oui, mais c'est étrange, maintenant je n'ai rien.

TIMIMG VIDEO SUR LE FLIR: de 17:14:58 à 17:16:14

[Un très grand objet est vu sur l'écran du FLIR.]

VOIX A: [Souriant] Pourquoi est-ce qu'ils nous suivent? Conservez ça.

VOIX B: Ils sont à 12 heure il a dit.

VOIX C: Non. Ils sont à 1 heure.

VOIX A: Oui, ça c'est l'un d'eux mais nous en avons un autre à 9 heure.

VOIX D: Nous en avons un à neuf heure.

VOIX B: Ah j'en ai un là, laissez-moi vérifier celui qui est à 9 heure.

VOIX D: Et devant nous il y en a deux autres.

VOIX A: Et ce sont les mêmes, eh?

VOIX D: Nous les avons devant nous - au côté et à 8 heure.

VOIX B: [Riant] Ahh, merde...

VOIX A: [Riant] Attachez vos ceintures!

VOIX D: Voyons ça...

VOIX B: [Riant] Ne vous effrayez pas.

VOIX D: Si vous pouviez vérifier par la fenêtre, nous en avons un qui est à à peu près une heure. Les autres continuent toujours à 9 heure.

VOIX A: Est-ce que ça veut dire que nous sommes encerclés?

VOIX D: Eh bien... Je ne sais pas.

VOIX B: A quelle distance?

VOIX D: Le radar indique juste le cap.

VOIX A: Les gars, c'est notre jour de chance aujourd'hui!! [Rires]

VOIX B: A quelle distance?

VOIX A: Et celui-là se rapproche de l'autre.

VOIX D: Il n'affiche pas la distance.

VOIX B: Ok, celui que nous avons à 1 heure de notre position, je l'ai à 19 miles, à 1 heure de notre position, allant à 52 noeuds.

VOIX D: Celui que vous avez à 1 heure, j'en ai un à 9 heure et celui qui devance celui qui est à 9 heure. Approximativement à 9 heure, mais en même temps il y a deux deux points lumineux qui vont avec eux à l'avant.

VOIX B: A quelle position, Tellez?

VOIX D: A 9 heure de notre position.

VOIX B: A 9 heure? Attendez, laissez-moi vérifier...

TIMIMG VIDEO SUR LE FLIR: de 17:16:32 à 17:18:23

[Un objet est vu sur l'écran près de l'hélice gauche de l'avion.]

VOIX A: Il se déplace à notre altitude - pas possible.

VOIX B: Celui que tu as, quelle est sa position?

VOIX C: Lequel? Celui qui est en-dessous du nuage? Celui-là?

VOIX A: Oui.

VOIX C: Ok.

VOIX A: Roger.

VOIX B: Celui que tu as là, quelle est sa position?

VOIX A: Je l'ai à neuf heure.

VOIX D: Les gars...

VOIX B: Nous ne somme pas seuls. [Rires]

VOIX D: Oui, nous ne somme pas seuls, correct. C'est vrai. C'est vraiment bizarre, ils nous entourent.

VOIX A: Hé, celui que vous avez à une heure?

VOIX B: A une heure je l'ai à 14.8 miles at 1 heure cap au 99 et vitesse à 52.

VOIX A: Ah, c'est le... Il en suit un et je suis l'autre.

VOIX D: Ok.

VOIX A: Je veux dire, les autres.

VOIX D: Qu'est-ce que c'est?

VOIX E: Ca ne peut pas être un fichu avion - Il s'est arrêté là!

VOIX D: Ehh?

VOIX A: Tu l'as en vue?

VOIX B: On dirait, approchons-nous.

VOIX E: Il s'est arrêté!

VOIX B: Il s'est arrêté? Il quitte le champ?

VOIX D: Non mais celui que nous avons à 9 heure...

VOIX E: Il est dans les nuages.

VOIX D: Celui que nous avons à neuf heure nous suit, il est en formation avec nous, il est en formation... à 9 heure.

VOIX A: Celui que tu as à 1 heure, vous l'avez, Génération?

VOIX B: Attendez, "Géné" je l'ai à ... à 1 heure.

VOIX A: Il y en a un qui se rapproche de nous.

VOIX B: A une heure de notre position à 10 miles de distance et à une vitesse de 52.

TIMIMG VIDEO SUR LE FLIR: de 17:26:30 à 17:27:02

[Le FLIR est pointé vers un objet qui présente une forme.]

[Le pilote est apparemment en train de rapporter cet objet à sa base.]

VOIX A: Le radar les a. Le FLIR les a. Nous voyons sur le FLIR un objet lumineux, il a un cours opposé à nous mais il ne nous lâche pas, il est à deux miles derrière nous.

VOIX A: Il ne s'écarte pas de nous, non, il ne s'écarte pas de nous.

VOIX A: Correct, va savoir ce que c'est.

VOIX A: Il est toujours avec nous, Marin?

VOIX B: Oui je l'ai toujours.

TIMIMG VIDEO SUR LE FLIR: de 17:27:11 à 17:28:02

VOIX A: Maintenant j'ai un peu perdu en qualité, il est en qualité 5.

VOIX B: Regardez encore on dirait que...

VOIX A: Celui que nous avions à 1 heure est perdu maintenant.

VOIX B: Ok.

VOIX A: Il vient juste de quitter le radar.

VOIX B: Comme c'est bizarre tout ça.

Le rapport de Rodolpho Garrido Cotham:

Le rapport en version française ci-dessous est suivi de la version originale en espagnol plus bas. Le mexicain Rodolfo Garrido Cotham étudie le phénomène OVNI depuis 22 ans et a rédigé cette analyse pour la défense mexicaine.

ANALYSE DES OBJETS DETECTES AU-DESSUS DE LA VILLE DE DEL CARMEN LE 5 MARS 2004

Etudes basées sur des données qualitatives fournies par le détecteur thermique dans la région de l'infrarouge (FLIR)

Etude rédigée par:
Rodolfo Garrido Cotham

REFERENCES GENERALES:

Date de l'événement: 5 mars 2004.
Heure de l'événement: De 17:00 Hrs à 17:30 Hrs.
Evénement: En mission.
Lieu: Espace aérien ville de Del Carmen à 10.500 pieds.
Coordonnées: LAT N 18° 26.60´ : LON W 90° 45.69´
Equipement de détection: FLIR STAR ZAFIRO II, RADAR AN/PS 143 BRAVO VICTOR 3
Détection radio: 50 miles.
Bande passante du FLIR: de -40°C à 1,500°C
Objectif de caméra: au Germanium.
Avion: Merlín C26A Bimoteur

OFFICIERS IMPLIQUES:

Capitaine Naviguant: Major Magdaleno Jasso Núñez
Opérateur FLIR: Lieutenant Mario Adrián Vázquez
Opérateur Radar: Lieutenant Germán Ramírez
Tous membres de l'Escadron Aérien 501

CONDITIONS EXCEPTIONNELLES DU PHENOMENES.

  1. Détections d'objets lumineux concordantes entre le FLIR et le radar.
  2. Indétection visuelle des objets bien qu'étant à portée de sensibilité du radar et du FLIR
  3. Indétection des objets par les installations de radars militaires [au sol].
  4. Indétection de fréquences acoustiques émises par les objets [aucun son entendu].
  5. Indétection de communications et d'identification par les objets [pas de réponses IFF ou transpondeur].

APPROCHE ANALYTIQUE PRELIMINAIRE.

Les équipements spécifiés dans la section de Références Générales, établissent seulement la détection du mouvement dans le cas du Radar, et une présence de chaleur marquée par une différence avec la température de fond.

Le FLIR spécifié fournit seulement des images de valeur qualitative et non quantitative. De ce fait les données recueillies et fournies par les officiels indiquent seulement des paramètres visuels [apparents] et non des paramètres numériques chiffrés.

Des équipements plus sophistiqués permettent de stocker dans une carte type PCMCIA un total de 170 Mo d'information, qui établit des représentations numériques de chaque pixel en fournissant de l'information sur la quantité de température par pixel, les distances et le contour spécifique de la forme.

En l'absence de cet équipement et de cette information, les images permettent seulement d'établir de manière optique et déductive quelques aspects d'ordre chimique, électrique, magnétique et électromagnétique, ainsi que quelques phénomènes intéressants en rapport avec les systèmes qui sont trouvés dans l'environnement, des objets d'étude comme des halos particuliers, des nuages, des reflets et l'étude de relief.

CONDITIONS GENERALES.

La zone dans laquelle se situait le vol bénéficiait de conditions météorologiques idéales, de vents pas plus rapides que 35 km/heure, une humidité relative de 72% et une température moyenne de 34°C. Aus 10.000 pieds d'altitude, la température moyenne est de -27°C et la visibilité moyenne de 96%.

La région n'enregistre pas de l'activité volcanique, ni non plus n'a pas enregistré de mouvements tectoniques. On n'a pas détecté de centrales de stockage et distribution de courant électrique d'importance.

Sur la base de ce qui précède, on n'a pas trouvé de sources de phénomènes électriques, magnétiques par des centrales électriques ou mouvements séismiques, ni possibilité d'effets de boule de feu par activité volcanique.

On n'a pas enregistré de tempête solaire en ce moment, ni d'explosions solaires significatives, ce pourquoi on élimine des effets luminiques d'ionisation comme les feux de Saint Telme [sic, Saint Elme] ou les orages électriques.

ANALYSE.

Etant donné le manque de valeurs quantitatives par les équipements, nous pouvons seulement établir des estimations qualitatives à partir des images et les expériences des opérateurs dans la tour, d'une telle manière, que les patterns détectés qui suivent soient signes d'une explication logique en fonction des choses normales de la technologie aérienne telle qu'elles sont connues à travers le monde et qui représentent ce qui est conventionnel.

Dans l'image suivante on observe deux objets symétriques de nature sphérique, suspendus à quelque 10.700 pieds, de conditions lumineuses, de type rayonnant, qui présentent l'émission d'un halo chaud pour chacun d'eux.

Les conditions observées permettent l'analyse des points suivants.

1. - Les halos observés qui suivent indiquent un pattern d'induction magnétique selon le modèle de la Dynamo type a2.

Ce modèle est proposé par le De en Physique et Mathématiques S. Childress, qui dans son traité de cinématique a établi la façon dont on peut obtenir des champs de type toroïdaux et avec pôles semblables à celui produit par le champ électromagnétique de la planète entière.

Son modèle JB´/Jt - kmV2B = (v - B0) détermine le champ magnétique dérivé des parties fluctuantes de chaque objet. Avec ce modèle, les circuits formés par les champs sont semblables à ceux observés dans l'image, ce pourquoi on détermine que le halo se présente ainsi.

2. - Le champ induit est radial et se propage de manière concentrique à une distance de 13 fois le diamètre de l'objet, notons que les nuages ne présentent aucun halo bien que le FLIR détecte une émission thermique venant d'eux, ce qui démontre visuellement que le halo n'est pas produit par une émission ou un reflet thermique du soleil, mais un moyen de dissipation thermique grâce au champ électromagnétique présent dans les objets étudiés. Les systèmes de navigation aérienne actuelle ne dépendent pas de ces principes pour leur sustentation et se déplacent par le biais de la mécanique des fluides, et de la dynamique des fluides en milieu homogène, les systèmes de dynamique magnétique sont régis sur la base de l'émission de sources d'énergie stationnaires au sol étant donné les grandes quantités consommées et leur génération. Il n'y a pas encore de technologie créée pour permettre de tellement grandes demandes d'énergies dans des systèmes de taille réduites et encore moins dans des systèmes fermés et autonomes comme le serait un vaisseau aérien. Produire un champ induit comme on le voit dans l'image, requiert de produire au moins un champ magnétique moyen de de 200.000 Gauss. Une telle puissance est seulement obtenue par certains laboratoires ayant d'importants systèmes de contrôle et de sécurité. Je ne vois pas comme on pourrait obtenir cela de manière autonome dans un objet isolé dans l'atmosphère.

3. - D'où que le modèle précédent provienne, il est soutenu dans les relations mathématiques fournies par Maxwell:

VxH = J + JD/Jt

VxE = - JB/Jt

V * B = 0

V * D = Pe

Celles-ci peuvent soutenir la présence de champs magnétiques de type Dynamo Turbulente, celles mêmes qui ont été développés par le Dr en Astrophysique E.N. Parker (B = B0 + b), en étant à l'origine des champs secondaires qui pourraient être susceptibles de correspondre à une volonté technologique, de telle sorte qu'ils puissent soutenir la présence et représenter ce qui seraient des vortex d'une plus grande énergie et être les foyers d'attraction thermique pour les capteurs thermiques du FLIR, Comme nous le constatons dans la partie inférieure de l'image. Ces principes sont seulement trouvés dans le comportement de corps stellaires, non dans la technologie courante, puisque les champs sont tellement intenses que nous ne disposons encore pas le développement tant scientifique que technologique pour les obtenir. Il convient de clarifier que ces perturbations ne sont pas les foyers du champ qui produit l'objet, puisque comme on peut voir le champ radial concentrique de chaque objet il n'a pas pour centre de référence le point où il est détecté par le FLIR. La référence d'origine est le même objet central.

Le champ magnétique d'un des objets est plus grand que celui de l'autre, indiquant par là qu'ils sont indépendants entre eux, en indiquant très probablement que l'un d'eux est légèrement plus loin que l'autre, ou le cas échéant, qu'il émet un champ plus faible.

4. - Les images en relief [l'analyste a utilisé l'effet "emboss"] nous montrent la présence de deux masses qui se déplacent à un second plan comme le démontre la masse du nuage, en nous indiquant que l'écho recueilli par l'effet de résonance magnétique du radar est correct et réel, confirmant à nouveau la concordance avec la détection correspondante du FLIR, ceci indiquant que les deux radars détectent une présence thermique et une présence de masse dans le même lieu et en même temps.

L'image en relief laisse également voir que le champ émis perturbe aussi le milieu en laissant une trace en relief sur l'atmosphère dans la zone périphérique des objets. Devant ces preuves que nous montrent l'image en question, on ne peut pas s'expliquer que les n'aient pas pu voir à l'oeil nu les objets, en considérant que ceux-ci n'étaient pas à bien plus de deux miles de distance, à moins que ces objets émettaient dans le spectre de l'infrarouge, de telle sorte qu'ils ne correspondent ainsi à aucune technologie de navigation aérienne connue jusqu'à présent, qui utiliserait ces principes.

Sur ce point, je présente plus bas quelques suggestions technologiques d'avant-garde sur les camouflages élaborées par l'Université de Tokyo.

5. - Un autre élément distinctif dans cette analyse des objets détectés qui mérite d'être souligné est le suivant:

La combinaison du champ magnétique observé qui entoure ces objets conjointement avec leur déplacement, est à l'origine d'une déformation de ce dernier très typique de celles attendues dans l'électrodynamique des champs magnétiques dans des milieu homogènes.

Cela veut dire que le champ magnétique produit une friction avec le milieu magnétique présent dans l'atmosphère en étant à l'origine des phénomènes d'ionisation au moment où l'un d'eux tend à se déplacer.

Ce mouvement provoque une déformation typique sur le champ produit par l'objet, de manière à ce qu'étant donné l'induction magnétique de l'objet, il est déformé en étant orienté vers la zone de décharge ionique pour justifier son équilibre avec l'environnement. Cette zone est par nature opposée à son sens de déplacement, produisant une traînée de type "jet" et une déformation du champ dans cette direction. Ce phénomène avec ses détails comme on peut le voir dans ces images, sont un autre élément qui justifie et donne des preuves que ces objets ont des champs magnétiques intenses pour leur navigation, et leur sustentation anti gravitationnelle.

6. - un autre aspect important est le suivant: c'est encore une loi universelle inexorable. L'Entropie, ò¶Q/T £ 0 , autrement dit le principe du désordre.

Les événements naturels basent leur principe aléatoire sur cette loi universelle, c'est pourquoi les systèmes naturels tendent à ce principe, donc les récurrences des formations aériennes de ces objets comme il est visible dans ces images n'obéissent pas à cette loi naturelle, en répondant à des événements contrôlés antinaturels et nécessairement d'ordre technologique par leur contrôle de navigation.

Les preuves détectées et enregistrées par les officiers en missions de ce que les objets ont viré de 180° quand ils [le aviateurs] ont reçu l'ordre de rentrer, font qu'il y a la une action de ces objets, délibérée, intentionnée et intelligente.

D'autre part les formations sont symétriques et elles sont répétées dans des groupes semblables à des formations. Le rapprochement de ces objets vers l'appareil militaire se décrit comme étant stratégique, de telle sorte que les officiers qui bénéficient d'une préparation et d'une qualification en tactique militaire détectent qu'en accord avec le mouvement et la distribution qu'ont prise ces objets, ils ont considéré qu'ils ont été encerclés par ces derniers. Au point qu'ils aient pris des mesures tactiques au moment d'éteindre les lumières de l'avion.

Bien qu'il n'y ait eu d'aucunes preuves d'agression ou de menace par ces objets, leurs mouvements et formations correspondent à des manoeuvres tactiques, ordonnées, pré-délibérées et intelligentes.

7. - en ce qui concerne les sources thermiques détectées et indiquées par le FLIR dans l'image suivante, il convient de faire une observation d'un détail de ce phénomène.

En premier lieu, s'est posée la question de savoir si ces points lumineux faisaient partie physiquement de chaque objet ou si au contraire elles devraient être considérés comme indépendantes d'eux... Nos approches initiales indiquaient qu'elles faisaient partie intégrale d'eux, en constituant une sorte d'extension de leurs structures; une analyse plus approfondie a toutefois révélé qu'il puisse s'agir d'un mirage magnétique en accord avec les signaux suivants et les principes suivants de physique mathématique des champs de type synchrotoniques.

Ceci peut être observé de la manière suivante: d'abord les champs radiaux produisent une propagation concentrique qui dessine des halos dont les changements de fréquence sont ce qui donne la preuve de leur existence.

D'autre part, les deux sources lumineuses sont placées sous les objets rayonnants et non dans une autre position, c'est-à-dire, ils ne sont pas placé aux côtés ni non plus au-dessus de l'objet.

La réponse peut être découverte avec l'observation suivante et avec l'hypothèse suivante:

Les sources se situent précisément dans la fréquence radiale du premier halo visible, on observe que la source ne montre pas une connexion physique avec la sphère plus grande.

En partant de ce que ces objets ont une masse, de ce que celle-ci est attirée vers le centre de cette masse plus grande qu'est la terre et que celle-ci est sous les objets, nous devons établir de cette façon que le vecteur de gravité de leur masse pointe vers le bas et non pas dans une autre direction.

En considérant que les halos sont des preuves de champs magnétiques intenses et dynamiques, nous devons établir que l'interaction entre le champ magnétique de la sphère la plus grande et le vecteur de la gravité qui est aussi une force, interagissent de manière radiale et physique, en produisant un vortex énergétique qui à son tour, émet lumière et chaleur, auxquelles les capteurs du FLIR sont sensibles et qu'ils détectent.

Les modélisations de ce vortex ont été déjà établies par la science, d'abord durant l'année 1965 par le Dr Physique Quantique Richard Feydman, prix Nobel durant cette même année, qui a décrit dans sa Théorie de l'Electrodynamique Quantique, que dans l'interaction de deux champs de forces dont l'un n'est pas magnétique, produit de manière naturelle, il est généré de manière naturelle un champ de torsion quantique se comportant comme un ressort, dont le sens est opposé au vecteur normal de référence.

Les lois qui régissent ce principe ont été établies par le Dr V. Vladimirsky en 1949, qui a débuté de cette façon la théorie des radiations sychrotoniques, dont le principe et la formulation sont montrées dans la figure qui suit.

L'INVISIBILITE

Le Dr Susumu Tachi de l'Université de Tokyo a développé les techniques de camouflage actuellement les plus avancées, connues sous les désignations "Vision Cristalline" ou "XTAL VISION" qui permet un effet d'invisibilité sur la matière.

La technique initiale dans sa phase 1 consistait en ceci:

  • Un viseur qui combine des images en mouvement et qui est capable de les refléter à distance dans des pièces de vêtement, crée l'illusion de la transparence de la matière et un semblant d'invisibilité, comme l'a vérifié l'ingénieur japonais Susumu Tachi, de l'Université de Tokyo.

Le résultat de l'expérience est surprenant, puisque grâce au dispositif optique, la personne qui en fait l'expérience est transparente. La technique employée est appelée Camouflage optique et elle se base une idée très simple: si on projette une image de ce qui est derrière une personne sur le vêtement qu'il port, on crée l'illusion que le corps de cette personne est transparent.

La technique peut être appliquée à une scène réelle en mouvement à travers un rétro-reflecteur, un ensemble de miroirs qui reflètent depuis divers angles un espace déterminé. C'est ce rétro-reflecteur qui, stratégiquement situé, rassemblera les choses cachées par un objet matériel en offrant à la vue une image stéréoscopique de "l'autre côté"; ce qui résulte en l'illusion trompeuse que cet objet matériel est transparent. Le but de ces travaux sur la réalité virtuelle consiste, d'une part, à développer un dispositif qui permet à un observateur de toucher un objet virtuel comme s'il était réel. Pour ce travail on emploie aussi la vision cristalline, très adéquate pour obtenir un effet de "réalité accrue". Cette réalité accrue est telle qu'elle permet de confondre, ou d'unifier, une scène virtuelle avec une scène réelle et telle que l'on peur obtenir qu'une main réelle soit observée quand elle intervient dans un espace virtuel.

D'autre part, ces travaux développent ce que l'on appelle le camouflage optique. C'est la technique qui permet que les objets paraissent transparents, grâce à une synchronisation parfaite obtenue entre les objets réels et ce qui est virtuel. Les travaux qui sont développés dans le Laboratoire Tachi, de l'Université de Tokyo, sont à la pointe dans le développement d'applications innovatrices dans le domaine de la réalité virtuelle. Outre l'invisibilité, il travaille aussi le projet de télé-existence, ce qui consiste à manipuler des objets à distance, ou d'en obtenir dans des espaces virtuels, individuels et partagés, dans lesquels est développée une sensation de présence réelle.

En ce moment, la phase 2 de cet effet optique nouveau et surprenant, est de tenter d'incorporer cette technologie optique à des membranes nanotechnologiques, les membranes en question incorporeront la technologie optique nécessaire pour cet effet stéréoscopique.

En annexe, animation d'archives de ces développements optiques fournie par le Dr Susumu Tachi lui-même.

Ce système de camouflage pourrait rendre une masse apparemment invisible, mais laisserait enregistrer sa chaleur émise à travers des capteurs infrarouges ainsi que des résonances électromagnétiques au moyen de radars.

REFERENCES

  • 1.- GENERATION DE CHAMPS MAGNETIQUES PLANETAIRES, Ana Leonor Rivera López, Instituto de Geofísica UNAM
  • 2.- Nouvelles solutions pour des problèmes de systèmes cinématique, S. Childress J. Match 1, 205
  • 3.- Physique Quantique , Resnick Ed. Limusa
  • 4.- Thermodynamique, Gordon Van Wylen Limusa

Rodolfo Garrido Cotham

La présentation pour la presse et la conférence des forces aériennes mexicaine selon Jaime Maussan:

L'article suivant a été écrit par l'ufologue et journaliste Jaime Maussan le 11 mai 2004, comme document de présentation à la presse de la conférence du Ministère de la Défense Mexicaine qui y a donné la confirmation publique de l'incident, par son ministre le Général Clemente Vega Garcia, comme vu par Jaime Maussan. La conférence de presse a eu lieu à l'hôtel Sevilla Palace à Mexico et les représentants des médias internationaux y ont été invités, comme il est d'usage. C'est ainsi que le cas a été entendu par les représentants de plusieurs agences d'information comme Reuters ou l'AFP et a fait l'objet d'une brêve de ces agences, reprise par un certain nombre de leur clients des média papier, électronique et TV dans le monde entier.

LES FAITS: Le 20 avril 2004, Jaime Maussan a été contacté par un haut gradé du Ministère de la Défense pour avoir un entretien privé pour discuter d'un sujet de très haute importance. Le jour suivant, Maussan a rencontré le Général Clemente Vega Garcia, Ministre de la Défense, et son état-major, et il fut informé de l'incident qui avait eu lieu le 5 mars 2004 dans l'espace aérien de la ville de Ciudad del Carmen, état de Campeche, au cours duquel un avion bimoteur de l'Air Force de type Merlin C-26A effectuait un vol de routine dans le but de détecter les avions de contrebandiers pendant une opération anti-narcotiques.

Le Merlin C-26A était pourvu d'un appareillage numérique de haute technologie pour enregistrer et filmer toute les activités pendant l'opération. Des détecteurs sensitifs puissants comme le FLIR STAR SAPHIRE II et un radar AN/PS 143 BRAVO VICTOR 3 ont été utilisés par le personnel qualifié à bord de l'avion et toute l'opération a été enregistrée tant en mode normal qu'en mode infra-rouge. L'avion était sous le commandement du Major Magdaleno Jasso Nuñez.

L'opérateur du FLIR était le Lieutenant Mario Adrián Vazquez et l'opérateur radar était le Lieutenant German Ramirez, tous membres du 501ème Escadron Aérien. Cet avion n'est utilisé que pour les procédures de surveillance et de détection, pas pour les manoeuvres d'interception ou de combat. Leur mission est de détecter et d'identifier les avions des trafiquants de drogues, puis d'en rendre compte immédiatement à la base d'où des avions de chasse décollent d'urgence afin d'intercepter les trafiquant de drogues. A environ 17:00, le Merlin C-26A a détecté un trafic inconnu à environ 10.500 pieds au-dessus de l'espace aérien de la ville de Ciudad del Carmen, état de Campeche, et suspectant un avion de trafiquants de drogues, le Major Magdaleno Jasso a effectué une manoeuvre pour s'approcher à une certaine distance du trafic non-identifié, selon la procédure, afin de mieux voir et d'enregistrer la cible avec l'équipement de bord.

Au même moment, le Major Jasso a rendu compte par radion à sa base qu'un suspect possible était détecté, demandant que les avions d'interception soient mis en alerte. Le radar AN/PS 143 BRAVO VICTOR 3 détectait ce trafic inconnu et le FLIR STAR SAPHIRE II enregistrait l'objet en infra-rouge. Tandis que le Merlin C-26A s'approchait du trafic indéterminé pour effectuer une identification visuelle, il s'est brusquement enfui, en une manoeuvre surprenante, s'éloignant à une vitesse extrême.

A ce moment, le Major Jasso a tenté de poursuivre la cible mais elle était très rapide. Tout ceci était enregistré par le FLIR, de même que les conversations radio avec leur base, décrivant la manoeuvre imprévue de l'inconnu. Toutefois, le C-26A n'avait toujours aucun contact visuel avec l'objet inconnu. Après quelques instants, ce dernier est soudainement revenu et a commencé à suivre le Merlin C-26A en créant une situation surprenante.

Ceci était détecté par le radar et par le FLIR pendant que l'équipage tentait d'effectuer un contact visuel avec le trafic non-identifié qui les suivait maintenant. Au bout de quelques secondes, l'équipement ne détectait plus seulement un, mais deux trafics inconnus qui les suivait. Les images, autant celle du radar que celle du FLIR, étaient claires et nettes. Mais ni le pilote ni l'équipage n'ont pu avoir de contact visuel avec ces deux trafics qui les suivaient, ajoutant une bonne dose de suspense à cette situation déconcertante.

Le Major Magdaleno Jasso a rendu compte de l'incident qui se déroulait à la base, donnant le détail de toutes les informations enregistrées par les équipements, tout en tentant d'obtenir un contact visuel avec les inconnus. Le FLIR continuait à enregistrer en infra-rouge chaque mouvement effectué par les deux objets inconnus qui semblaient maintenir leur distance avec le C-26A mais le suivant toujours. Le personnel à bord du MERLIN C26A était perdu et déconcerté de voir les images sur le FLIR et le RADAR, se demandant ce qui se passait là.

L'INCIDENT DEVIENT PLUS DRAMATIQUE

Mais le moment stressant que vivait l'équipage du C26A n'était que le début de quelque chose de plus dramatique qui allait transformer leur expérience indésirable en un véritable cauchemar. Quelques minutes passèrent pendant lesquelles l'équipage du Merlin C-26A de l'Armée de l'Air Mexicaine a poursuivi ses manoeuvres pour obtenir un contact visuel avec les inconnus, parce qu'en dépit du radar et du FLIR qui montraient de manière parfaitement claire les deux objets non-identifiés, pour des raisons inexplicables, il n'y avait aucun contact visuel bien que les objets aient été à ce moment à une distance très petite. C'est pendant ces manoeuvres par lesquelles ils essayaient de tourner autour des deux objets pour les identifier, que quelque chose d'incroyable s'est produit. En à peine quelques secondes, davantage d'objets inconnus sont arrivés sur la scène et l'équipage du C-26A a été totalement déconcerté.

Le radar et le FLIR ont immédiatement détecté la présence de neuf nouveaux objets, de même taille et caractéristique, objets inconnus qui sont arrivés sur place étonnamment comme s'ils venaient de nulle part.

La situation devenait maintenant hautement dangereuse, et le Major Magdaleno Jasso a rendu compte par radio à sa base de la nouvelle situation, demandant des instructions. Mais la chose la plus bizarre était que, bien qu'il y ait onze objets inconnus à proximité, l'équipage ne pouvait toujours pas les voir, aucun contact visuel avec les inconnus n'était possible, pour une raison encore jamais rencontrée par ces hommes hautement entraînés. Mais l'équipement high-tech sophistiqué et les détecteurs ne mentaient pas, il y avait bien onze cibles dehors avec des intentions imprévisibles.

En plein coeur de la confusion et déconcertation les plus totales au sein de l'équipage du C-26A, les objets inconnus ont brusquement effectué une manoeuvre pour entourer l'avion de l'Armée de l'Air Mexicaine d'un cercle rapproché. Le radar et le FLIR présentaient l'image de onze objets à proximité dans une formation circulaire entourant le Merlin C-26A. La situation était hors de tout contrôle. Le Major Magdaleno Jasso a rendu compte à la base que la situation du Merlin C-26A était maintenant celle d'une alerte rouge, entouré par onze objets mystérieux de forme circulaire, camouflés par une technologie avancée et inconnue qui empêchait tout contact visuel.

Le Major Jasso gardait toutefois son calme, de même que l'équipage qui effectuait des mesures rapides et qui enregistrait chaque détail de l'incident exceptionnel, consciencieux de leur devoir de militaires et d'hommes entraînés. Confronté à cette situation d'encerclement par des objets non-identifiés et d'une fin imprévisible, le Major Magdaleno Jasso a pris la décision d'éteindre tous les feux de l'avion et d'attendre pour voir ce qui allait se produire. Des moments de très grand suspense furent vécus par l'équipage, pendant que le FLIR enregistrait les images de ces brillants objets dont il était impossible d'obtenir le contact visuel, moments de silence et d'incertitude.

L'équipage du C-26A est resté calme, faisant son devoir, documentant chaque moment de cet étrange incident, pendant que le Major Jasso maintenait son contact avec la base. Après quelques minutes stressantes, les onze objets ont disparu, mettant fin à cette étrange expérience que les membres du 501ème Escadron Aérien venaient de vivre. Le Merlin C26A est rentré en toute sécurité à la Base des Forces Aériennes et le Major Magdaleno Jasso a rédigé un rapport complet de l'incident, de même que les membres de l'équipage du C26A. Le Ministre de la Défense a pris connaissance du rapport du Major Jasso et a lancé une enquête pour étudier et évaluer chaque élément de ce cas.

Les déclarations de l'équipage, images, lectures et mesures de l'équipement, de même qu'une évaluation complète des données météorologiques ont été fournies. L'incident a été pris très au sérieux par le Ministère de la Défense et après quelques semaines d'enquête, ils décidèrent, sous le commandement du Général Clemente Vega Garcia, de contacter l'enquêteur et journaliste TV Jaime Maussan, pour une collaboration spéciale dans cette enquête, étant donné qu'il est un enquêteur expérimenté de ces questions. Le 22 avril 2004, le Général Clemente Vega Garcia, Secrétaire de la Défense, a donné à Jaime Maussan une copie de tous les enregistrements et données collectés par le Merlin C-26A pendant l'incident, pour étude, évaluation et analyse par l'équipe de recherche de Maussan, en complément de l'enquête, et en tant que source de collaboration externe, pour tenter d'établir une explication des causes possibles et des conséquences de l'incident du 5 mars 2004.

Le Général Vega, de même que son personnel, étaient très ouverts pour discuter du sujet et ont montré leur intérêt légitime pour la conduite de l'enquête afin d'établir la véracité de ce qui s'était produit. Le Général Vega a autorisé l'équipage du Merlin C-26A à donner à Jaime Maussan les interviews nécessaires sans cansure, donnant tous les moyens de présenter ce cas au peuple Mexicain, une décision historique sans précédent qui ouvrira la porte à une nouvelle ère de collaboration mutuelle entre les ufologues Mexicains et les forces militaires, collaboration basée sur le respect et l'intérêt de trouver la vérité sur l'intense activité OVNI que nous expérimentons ici, au Mexique, depuis le début de l'Incroyable Vague d'OVNIS Mexicains datant du 11 juillet 1991.

Cette nouvelle ère de collaboration entre les témoins d'OVNIS au Mexique, les observateurs du ciel, les ufologues et nos forces militaires tentera d'établir et de donner forme à une législation nouvelle de notre système juridique, pour être prêts à n'importe quel incident impliquant ces objets volants non-identifiés, notre peuple, nos avions commerciaux et militaires, etc. pour apprendre et comprendre ce que nous allons faire et comment nous nous confronterons à cette réalité.

Le ministre de la défense critiqué pour avoir confié les données à un ufologue, et autres affirmations:

Note du webmaster: le texte ci-dessous concerne évidemment l'affaire dont on parle en ce moment, un rapport d'observation d'OVNIS comportant des enregistrements infrarouge et témoignage de pilotes de l'armée de l'air Mexicaine, tel que diffusé par les média internationaux et trop brièvement résumé dans ma section dernière nouvelles.

Quel que soit la cause de ces observations, si elle est déterminée ou discutée, plus d'information suivront, naturellement. L'article ci-dessous m'a paru intéressant en ce sens qu'il montre un comportement que je trouve parfaitement rationnel et sensé de la part du ministre de la défense du Mexique.

Essentiellement, quand les média ont diffusé que le rapport et les données de cette observation d'OVNI ont été confiées à Jaime Maussan, un ufologue et journaliste mexicain connu depuis longtemps pour son enthousiasme à propos de la question des OVNIS, des critiques ont été adressée au Ministère de la Défense du Mexique, arguant que ce n'est pas bien de confier des rapports d'observations d'OVNI par les militaires à un ufologue, et que cela aurait du être confié à des scientifiques.

Le ministre explique ici clairement qu'il n'a pas connaissance de scientifiques à qui adresser les données, qu'il tient les données à la disposition de scientifiques qui souhaiteraient les consulter, et qu'il n'y pas à faire de procès d'intention à son ministère.

Source: Fundacion Cosmos AC et Milenio de Monterrey
Date: 12 may 2004

"Les données n'ont pas été confiées aux scientifique parce que nous ne savons pas qui ils sont"

Des suspicions sur le fait que le SEDENA n'a pas remis la vidéo aux scientifiques

Les vidéos montrant les objets étranges prise par des avions militaires ont été données à Jaime Maussan parce qu'il est quelqu'un "qui s'est intéressé depuis toujours" à l'étude des dits phénomènes, et n'a pas été donné aux scientifiques institutionnels de plus haute éducation "peut-être parce que nous ne les connaissons pas ou ne savons pas qui ils sont supposés être," selon le Général Gerardo Clemente Vega Garcia, ministre de la défense.

"Je n'ai aucune objection à ce que des scientifiques analysant ceci ou le voient, et je n'ai pas non plus la moindre raison de me demander pourquoi nous ne leur avons pas remise - peut-être parce que nous ne les connaissons pas ou ne savons pas qui ils sont censés êtres. Nous ne pouvons en aucune manière être suspecté de la moindre mauvaise foi à ce sujet," a dit Vega en ce qui concerne les rapports rassemblés par MILENIO concernant la livraison des preuves à un ufologue, plutôt que de demander leur validation par des organismes scientifiques.

Le Ministre de la Défense a rejeté de même que ceci pourrait être une diversion de la part du gouvernement fédéral, comme certains observateurs de la politique l'ont suggéré, particulièrement pendant que le cas d'Ahumada a atteint son zénith et a affecté les relations diplomatiques avec Cuba. "Je ne me livre pas à des choses pareilles," a dit le militaire.

Dans une interview donné à l'émission "Hoy por Hoy" présentée par Carlos Loret de Mola, Vega Garcia a fait remarquer que quand il a vu l'enregistrement "j'ai pensé qu'avec la quantité de trafic de stupéfiants dans le sud-est, ceux-ci pourraient être des avions transportant de la drogue. C'était ma première impression, parce que nous travaillons là dessus. Il y a deux jours nous avons capturé un avion privé avec des drogues, mais quand je l'ai étudié avec (d'autres experts), voyant les lumières derrière l'avion, devant son nez et à ses côtés, je me suis dit qu'il ne pourrait pas y avoir autant d'avions."

Il a ajouté que "naturellement, le phénomène est non expliqué" et indiqué clairement que le personnel militaire mexicain "ne parle jamais d'OVNIS ou de soucoupes ou n'importe quoi de pareil - seulement d'observation de contacts très étranges, incompréhensible dans cette situation, puisqu'il n'y avait absolument rien en vol dans le secteur, selon les rapports de Ciudad del Carmen, l'aéroport de Campeche."

Le Ministère de la Défense a reconnu qu'il y avait eu ceux qui ont déclaré que "nous sommes ici pour distraire l'attention du public de la situation actuelle. Ce n'est pas mon but, et en tant que militaire je ne me livre pas à de telles choses."

Il a reconnu, cependant, qu'il y a ceux qui croient en la théorie de la diversion "et ils ont le droit de penser aussi librement qu'ils le veulent, mais je puis garantir qu'il n'y a aucune tentative de ce genre."

Il a été remarqué qu'il est peu ordinaire pour un gouvernement ou une agence militaire telle que le Ministère de la Défense (SEDENA) de prendre la décision de publier un document d'une telle nature. Il lui a été demandé s'il avait la moindre hypothèse personnelle au sujet de ce qui est montré dans les enregistrements. Il a répondu: "je n'ai aucune hypothèse. Tout que je puis dire est que ces taches blanches sont là, elles ont été enregistrées, et c'est toute l'information que nous avons."

En conclusion, il a précisé que ceci "ne peut nullement" être considéré comme une question de sécurité nationale, en reconnaissant qu'aux Etats-Unis il y a beaucoup de discussions des observations partout dans le monde. "Il y a une communauté qui est intéressée à voir ceci, mais cela est éloigné de moi. Tout que je fais est de rendre les documents disponibles. C'est de cela qu'il s'agit - il n'y a aucune complication ni quoi que ce soit d'extraordinaire à cela," ajoutant que si le moindre chercheur ou scientifique est intéressé à voir le matériel, il sera à leur disposition à la SEDENA.

Traduction Espagnol-Anglais © Scott Corrales, Institute of Hispanic Ufology.
Remerciements particuliers à Ing. Marco Reynoso.

L'avis d'un spécialsite du FLIR, l'un des deux appareils de détection ayant détecté ces OVNIS:

Les parties entre [] et seulement celles-là sont des notes par l'auteur de ce site et non pas des parties de l'article original.

De: Santiago Yturria
A: ufoupdates@virtuallystrange.net
Date: Wed, 19 May 2004 00:53:55 -0500
Sujet: Mexico's FLIR Rep On AF UFO Case

En tant qu'élément de la recherche, le représentant de la société FLIR pour le Mexique, M. Gilberto Rocha, a été interviewé par Jaime Maussan concernant les images enregistrées par le FLIR Star SAFIRE II à bord de l'avion mexicain MERLIN de l'Armée de l'Air lors de l'incident du 5 mars 2004 au-dessus de la région de Campeche.

[La page de la société FLIR concernant ce FLIR est à www.flir.com/imaging/Airborne/Products/StarSafireII.aspx]

NOTE: Les commentaires et les avis exprimés par M. Gilberto Rocha sont les siens propres, basés sur son expérience et sa connaissance des fonctions opérationnelles du FLIR Star SAFIRE II de la société FLIR et ne représentent pas nécéssairement l'opinion et le point de vue de la société FLIR Inc.

Question: M. Rocha, vous juste avez passé en revue quelques images enregistrées par l'Armée de l'Air pendant une opération contre le trafic de drogue au-dessus de Campeche le 5 mars 2004. Quel est votre avis à leur sujet?

Réponse: Ce sont des images intéressantes parce qu'elles ne sont pas ordinaire. Je vais essayer de m'expliquer. L'oeil humain perçoit certaines fréquences de la lumière que que le soleil émet. Au delà de ces fréquences l'oeil humain n'a pas la capacité de percevoir ces images. La source infrarouge ou les rayons infrarouges peuvent seulement être détectée avec le FLIR ou avec des appareils photo spéciaux qui peuvent détecter le rayonnement infrarouge.

[Le FLIR détecte un type de lumière que l'oeil humain n'arrive pas à voir. Cette lumière est de "l'infra-rouge" et est émise en particulier par les corps chauds. A l'oeil nu, les aviateurs n'ont rien vu.]

L'équipement que l'Armée de l'Air utilise a la capacité de détecter des images [dans la gamme du] visible [par l'oeil nu] et des images infrarouges. Les images que nous avons vues du film de l'Armée de l'Air correspondent à des objets qui émettent de la température - ils émettent de la chaleur et ils émettent ce rayonnement vers leur extérieur et la caméra lit ceci.

Ces images peuvent avoir une faible résolution en raison de la distance que nous mesurons, mais elles représentent des objets de forme ronde qui ne peuvent être assimilées à aucun aucun objet connu que nous avions recherché dans notre espace aérien.

[Gilberto Rocha veut dire qu'on peut pas voir de détails sur ces sources de chaleur, mais qu'elle sont vraiment de forme ronde, et non pas ronde par manque de précision.]

Question: Est-ce que ceux-ci auraient pu être des avions ou engins volants conventionnels?

Réponse: Non, parce que les avions conventionnels ont une température très bien définie dans leurs turbines et à leur vant où le frottement est enregistré, donc ils ne pourraient pas être vus sous forme de lumières rondes.

Si nous avions une image plus proche des objets, peut-être aurions-nous pu avoir une meilleure définition de la forme de ces objets mais en raison de l'information que nous avons, ces objets sont de forme ronde et nous ne pouvons pas les considérer comme des avions.

[Si vous cherchez des images FLIR d'avions avec une taille apparente comparable, vous verrez bien que ce sont des avions et non des ronds.]

Question: Y a-t-il la moindre possibilité que ce soient un hélicoptère?

[L'interviewer tient à ce que les choses soient claire, au cas ou l'on penserait que ce sont des avions ronds donc des hélicoptères.]

Réponse: Non, c'est la même chose: la turbine et les lames seraient le point de température la plus élevée définissant la forme de l'hélicoptère et ce serait là encore une forme connue et pas un objet de forme ronde.

[Si c'était des hélicoptère, vu la taille des ronds, on verrait leurs pales et leur turbine, et à vrai dire, quasiment toute leur silhouette. Rappelez-vous les images nocturnes par caméra infrarouge de la guerre en Irak. C'est le même appareil. On voit bien les camions, les hangars, et même les soldats.]

Question: Si ces objets ne sont pas aucun avion connu que pensez-vous qu'ils soient?

Réponse: Dans le sens strict des mots, en évitant n'importe quelle déformation ou confusion, ce sont des objets qui volent et que nous ne pouvons pas identifier.

[Ce sont des OVNIS, jusqu'à nouvel ordre, c'est à dire des objets volants non identifiés. Le travail des ufologues est de les identifier. Quelle que soit finalement l'identification, si elle se révèle possible.]

Question: Est-ce qu'est-il il posible que le FLIR pourrait nous avoir fourni des informations fausses, que ces lectures de hautes températures soient inexistantes?

[Dans ce genre de cas, on pense évidemment tout de suite qu'il pourrait y avoir un problème avec l'appareil de détection.]

Réponse: Négatif, parce que dans les images nous voyons les nuages qui ont une température plus élevée que la température moyenne ambiante, et nous pouvons voir les silhouettes des nuages parce que le FLIR détecte leur fréquence infrarouge.

[Gilberto Rocha voit bien que l'appareil marche et donne des images tout à fait normales des gradients de températures entre les nuages et l'air. Il y a 800 FLIR de ce modèle précis en service dans le monde.]

Les objets que nous voyons sont les points où la température est la plus haute là. Personnellement, je n'ai jamais vu n'importe quoi de pareil. Mon expérience avec ces caméras est complètement industrielle, nous analysons une variété entière d'appareils industriels aussi bien que pour l'industrie électrique, mais pour moi le cas de l'Armée de l'Air mexicaine est très inhabituel.

[Conclusion du spécialiste: ce ne sont pas des avions ou des hélicoptères. Le FLIR a fonctionné normalement. Le cas est hautement étrange [par d'autres aspects encore].]

L'avis du sous-directeur de la météorologie nationale mexicaine:

Les parties entre [] et seulement celles-là sont des notes par l'auteur de ce site et non pas des parties de l'article original.

De: Santiago Yturria
A: ufoupdates@virtuallystrange.net
Date: Tue, 18 May 2004 13:07:29 -0500
Sujet: Mexico's Meteorological Expert On 03-05-04 Conditions

Voici les déclarations faites par Alberto Hernandez Unzon hier, lors d'une interview télévisée au sujet du cas d'OVNIS de l'Armée de l'Air Mexicaine.

L'ingénieur en géophysique Alberto Hernandez est le sous-directeur du Service National de la Météorologie, le centre météorologique officiel du Mexique. Il est également un membre du Comité Consultatif Scientifique du Service National de la Protection Civile, et membre du Comité Ouragans de l'Association Météorologique Mondiale.

Question: Alberto, vous avez effectué l'étude complète par le Service National de Météorologie des conditions météorologiques du 5 mars 2004 au-dessus de la région de Campeche. Quels sont les résultats?

Réponse: Selon les images satellites, les conditions enregistrées dans les observatoires et les images radar des satellites, il y avait des conditions stables dans la zone entière de Campeche. Au centre d'intérêt spécifique dans cette affaire, il y avait des formations de nuages et quelques nuagess de type stratus qui sont des conditions stables [normales] pour cette saison.

Il n'y avait aucune pluie enregistrée et le type de nuage était très stable comme nous pouvons voir dans ces images satellites et la vidéo de l'Armée de l'Air.

Question: Il y a eu certaines déclarations indiquant qu'il y aurait eu des conditions orageuses dans le secteur à ce moment-là. Quelles étaient les conditions à ce moment-là?

Réponse: Météorologiquement parlant, un éclair de foudre est d'une courte durée et d'une intensité courte. C'est la définition de base. Nous avons tous été témoin d'un orage à un moment ou un autre. Des conditions particulières sont exigées pour qu'il y ait de grands nuages d'orage verticaux, et une atmosphère complètement instable du point de vue électrique, une ionisation dans l'atmosphère et les systèmes météorologiques qui créent ce type de nuage.

Question: Cela signifie que les conditions météorologiques n'étaient pas appropriées à la foudre pour ce jour là au-dessus de Campeche et cela contredit donc ce que les scientifiques de l'UNAM ont affirmé dans leur rapport?

Answer: Yes. On March 5, we were entering into the final stage of the winter season. The meteorological conditions in this season are of cold fronts but that day in particular there were none present. What we had were the type of clouds that do not cause the flash phenomena.

Réponse: Oui. Le 5 mars, nous entrions dans la fin de l'hiver. Les conditions météorologiques dans cette saison sont des fronts froids mais ce jour en particulier il n'y en avait aucun présent. Ce que nous avons eu étaient le type de nuages qui ne causent pas les phénomènes d'éclairs.

Question: Les scientifiques de l'UNAM ont-ils approché les services météorologiques nationaux pour demander les conditions météorologiques au-dessus de Campeche afin de justifier leur théorie?

Réponse: Non, ils ne nous ont jamais approchés, à aucun moment. S'ils ont parlé des phénomènes météorologiques à cet endroit, ils auraient du venir nous voir aux services météorologiques nationaux pour obtenir les conditions météorologiques juste comme votre équipe, comme les journalistes l'ont fait.

Il n'y avait aucun ballons météo lâché dans ce secteur.

Question: Quelle est la durée d'un éclair de foudre?

Réponse: Un flash dure des micro-secondes. Nous ne pouvons pas parler même de une ou deux secondes parce qu'il est juste une simple décharge. Dire que ces lumières sur la vidéo sont de la foudre en boule ou des étincelles électriques est non-sens.

Je répète, ce jour là, il n'y avait aucune condition météorologique permettant des éclairs ou de la foudre en boule dans la région entière de Campeche. Les nuages doivent avoir été à approximativement 7 kilomètres de haut donc ce que nous voyons sont des formations stables de nuage de type stratus.

Question: Que pourrions-nous voir ici dans cette vidéo?

Réponse: Si c'est un phénomène optique il ne peut pas relever d'une nature météorologique. Ce n'est pas un photométéore, ce n'est pas lithométéore. Ce ne sont pas des cristaux de glace ni un feu de Saint-Elme. Ceux-ci sont tous des phénomènes météorologiques. Et ce ne sont pas des phénomènes de mirage.

En conclusion, nous n'avons pas d'explication pour ces phénomènes. Il y a les satellites Aqua et Terra et nous pouvons inviter la NASA à nous envoyer des images de ce jour pour poursuivre cette étude et pour obtenir plus d'information pour essayer de découvrir ce qui pourrait s'être produit ce jour-là.

Questions et réponses:

Lors de discussions du cas entre ufologues de toutes opinions, j'ai noté certaines questions et affirmations et me suis efforcé d'y répondre. En voici un résumé.

Quel était l'équipement qui a permis ces détections?

Le FLIR (Forward-Looking InfraRed) est décrit ici:

http://www.flir.com/imaging/Airborne/Products/StarSafireII.aspx

La documentation technique du radar est ici:

http://www.telephonics.com/products/MaritimeSurveillance.shtml#anaps147

L'avion, un Fairchild-Dornier Merlin C-26A:

http://www.fas.org/man/dod-101/sys/ac/c-26.htm

(Le constructeur, Fairchild-Dornier, a fait faillite il y a deux-trois ans il me semble, c'est pourquoi il n'y a pas de site Internet du constructeur).

Lors d'une analyse des mouvements du phénomène, Il y a peut-être une illusion dont nous devons nous méfier: le mouvement observé n'est peut-être pas celui des objets mais celui des nuages qui défilent devant la camera de l'avion. Cela peut jouer des tours dans l'interprétation.

Certainement. Tenir compte de la vitesse des vents dans les calculs: l'armée a indiqué "pas plus de 35 km/h." Les vitesses des phénomènes ont été de 120 kmh à un maximum inconnu, avec des vitesses typiquement de 240 à 500 miles par heure. Vous voyez que les ventes de 35 kmh maximum sont sans grand impact ici.

Il y a sur l'enregistrement vidéo des images du FLIR des sortes de choses en forme de croix qui clignotent, ce sont des phares d'avions, ces OVNIS sont des avions.

Non.

La vidéo qui a été diffusée en de très petits format pourrait laisser planer un doute là dessus, et il m'a été objecté que la vidéo en haute qualité est trop longue à charger. Cette image extraite de la vidéo devrait lever ce doute:

Les petites croix + et x qui semblent se superposer ou environner les phénomènes et semblent tantôt clignoter son la signalétique de l'électronique de bord sur le HUD (Head Up Display) du pilote. Un grand nombre de données provenant des instruments de bord (FLIR, radar, altimètre etc.) peuvent être projeté sur le HUD, un écran transparent placé devant les yeux du pilote et qui lui permet au pilote de consulter ces données tout en voyant à travers elle la réalité qui se trouve devant lui. Les + et les x ne sont pas des caractéristiques du phénomène.

Hypothèse: cela pourrait être des avions de la chasse mexicaine.

Cela n'a aucun sens ici. Les avions ont entre autre un système de communication IFF (Identification Friend or Foe - identification ami ou ennemis) qui leur permet de s'identifier automatiquement les uns les autres, et ont la radio pour communiquer entre eux et avec le contrôle au sol.

Dans la demi-heure de l'événement, par radio entre eux ou avec le contrôle au sol, par IFF, battements d'ailes et autres, les avions se seraient nécéssairement identifiés et reconnus entre eux. Même sans cela, dans les briefings ultérieurs, il aurait été vite clairement établi qui faisait quoi et se trouvait où.

L'équipage a clairement tenté d'identifier électroniquement le phénomène et également de communiquer avec lui. Si le phénomène avait été d'autres avions de l'armée de l'air mexicaine, ils auraient répondu. Même si aucune des radio ou des IFF ne fonctionnait, cela aurait été établi pendant la mission parce que ces appareils ont été utilisés et au retour de la mission.

Brève revue de l'affaire dans les medias:

12 mai 2004, ABC NewsOnline, "La vidéo des forces Aériennes mexicaine crée une agitation OVNI".

ABC Online fournit la dépêche de Reuters.

http://www.abc.net.au/news/newsitems/s1106371.htm

12 mai 2004, couverture médiatique mondiale

CNN, MSNBC, NBC, CBS, ABC et de nombreuses autres agences de nouvelles et chaînes d'information TV ont diffusé des extraits du film et/ou la dépêche de Reuters.

12 mai 2004, KFI Radio, LA, USA: pas de commentaires sarcastiques.

L'ufologue Greg Boone rapporte à UFOupdates que sur la radio KFI, 640 AM à Los Angeles, une station importante, l'émission de "John et Ken" a mis l'histoire en avant "et aucuns commentaires sarcastiques n'ont suivis! Normalement n'importe quelle nouvelle présentée pendant cette émission suscite un commentaire d'une manière ou d'une autre des bons vieux "John et Ken."

(http://www.virtuallystrange.net/ufo/updates)

12 mai 2004, Hollywood.com: "Qui donc n'apprécie pas un bon film d'OVNI?"

Hollywood.com indique que la bizarre histoire mexicaine tombe à pic et suggère d'acheter les DVD de X-Files qui viennent de sortir.

Le site résume l'histoire et copie la remarque de Reuters, "n'oublions pas qu'au Mexique on voit des OVNIS partout et que presque tous sont expliqués comme étant des farces, des missiles, des ballons, des phénomènes atmosphériques et des débris de fusées."

(http://www.hollywood.com/news/detail/article/1752748)

12 mai 2004, Euronews, chaîne TV d'information, Europe.

Euronews diffuse la brève sur le film réalisé par les militaires mexicains. On y voit clairement la série de ronds filmés en infrarouge, et un gros plan sur deux ronds parallèles.

12 mai 2004, l'Internet.

De nombreux portails d'information publient la nouvelle. Voir www.smh.com.au/articles/2004/05/12/1084289693075.html
http://www.iol.co.za/index.php?click_id=122&art_id=qw1084294082176B252&set_id=1
http://www.thesandiegochannel.com/news/3292542/detail.html

13 mai 2004, FOX TV Channel 4, Dallas, Texas, USA: "Cela donne à réfléchir."

L'ufologue Terry Groff a regardé les informations en continu sur Channel 4, Dallas, Texas, USA, et fait remarquer sur UFOupdates qu'ils avaient diffusé "un reportage de 20 secondes sur l'observation. Ce n'est pas particulièrement spectaculaire mais ce que j'ai noté était que le présentateur des news était tout à fait calme et sérieux avec comme commentaire final "cela vous incite à réfléchir".

(http://www.virtuallystrange.net/ufo/updates)

13 mai 2004, journal "EL Universal", Mexique: "ce sont des ballons météo."

Le journal fournit "l'explication scientifique des chercheurs de la Sociedad Astronomica Urania" qui est que ces OVNIS "sont des ballons météorologiques, qui sont souvent lâchés et que les pilotes prennent pour des OVNIS."

Article ici.

13 mai 2004, journal "Der Spiegel", Allemagne: "les experts pensent que les OVNIS sont des éclairs."

Le journal indiquent que "les experts considèrent ces OVNIS comme étant des éclairs" mais que "d'autres experts doutent de cette explication." Der Spiegel se réfère au déclarations de Rafael Navarro González et Julio Herrera Velázquez de l'Institut de L'Atome de l'Université Nationale du Mexique au journal mexicain "La Jornada", lesquels indiquent que ces OVNIS sont des plasmoïdes.

(http://www.spiegel.de/wissenschaft/erde/0,1518,299728,00.html)

13 mai 2004, l'AP donne l'avis d'un "expert", c'est du "gaz chaud."

Les journaux reprennent cet avis confus et erroné et les média oublient l'affaire.

Article ici.

Depuis...

Le "Vrai Journal" de Karl Zéro sur Canal Plus ricane: les pilotes mexicains abusent de la cocaïne et c'est pour cela qu'ils voient des soucoupes volantes dans le ciel.

A suivre...

La valse des explications:

Comme souvent lorsqu'un rapport d'observation d'OVNI fait la une des média, une foule de scientifiques, ufologues, passionnés, journalises, sceptiques et autres se sentent interpellés et se hâtent "d'expliquer" le cas.

Au 14 mai 2004, les "explications" comprennent d'ores et déjà:

Mais cette observation a reçu une explication certaine: ce qui a été filmé par les caméras infra-rouge de l'avion était la chaleur causée par les torchères des exploitations pétrolifères off-shore de Campeche.

Quant aux échos radars, il semble probable qu'il s'agissait d'echos retournés par des véhiles au sol tels que des camions.

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Cette page a été mise à jour le 18 juillet 2004