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La vague Belge vue par la presse:

Source:

Cet article est paru dans le journal Britannique The Sunday Express, le 17 septembre 1995.

L'article:

17 SEPTEMBRE 1995:

Le ciel du soir au-dessus de la Belgique étaient totalement dégagés quand les rapports ont commencé à arriver, d'abord par dizaines puis par centaines.

Ils décrivent un grand objet triangulaire, avec des lumières brillantes en ses trois coins et au centre, flottant à basse altitude à une allure d'escargot arpentent le ciel dans un silence irréel.

C'était le commencement d'un mystère qui a dérouté les scientifiques pendant cinq années - des observations d'OVNIS les mieux certifiées jamais rapportées, et qui refusent obstinément de se rapporter à une explication raisonnable.

Car en effet les objets dans le ciel ont été pistés par des radars et photographiés par des pilotes de jet. Ils ont été aperçus par pas moins de 13.500 personnes au sol, dont 2.600, y compris des juges et des policiers, ont rédigé des rapports écrits décrivant en détail ce qu'ils avaient vu.

Et aujourd'hui le Sunday Express de Dimanche publie une lettre confidentielle dans laquelle l'ancien ministre de la défense de la Belgique Léo Delcroix admet qu'en dépit des recherches officielles les plus rigoureuses, aucune explication terrestre n'a été trouvée.

Les observations sont traitées avec beaucoup de sérieux ce week-end et la communauté Européenne reconsidère à nouveau des projets pour installer un centre de dépistage des OVNIS.

Le Parlement européen a promis une véritable enquête - et un appel clair pour que le ministère britannique soit plus ouvert au sujet de ses propres investigations et résultats.

Alors que les rapports commençaient à arriver en cette soirée de mars en 1990, les traqueurs militaires à quelques milles au Sud de Bruxelles ont capté un grand objet non identifié sur leur radar. Deux jets F-16 étaient dépêchés de Beauvechain, la base aérienne la plus proche, pour interception.

Ils se sont élevés à 3.000 pieds et se sont verrouillés sur l'engin, rapportant de nouveau à la base qu'ils avaient intercepté "un OVNI structuré". Mais soudainement, selon les pilotes, il a commencé à se comporter d'une manière extraordinaire.

Leurs écrans de radar à bord ont enregistré une forme en diamant [1] qui changeait rapidement, qui a soudainement accéléré à 600mph avant de ralentir tout aussi brutalement à 170mph. Puis elle a plongé de 3.300 pieds en deux secondes et a accéléré de 170mph à 1,100mph dans le même temps. Il y avait une absence totale de bang supersonique.

Selon les instruments à bord des chasseurs, l'engin a subi une accélération de 46G - 46 fois la force de la pesanteur, assez pour réduire n'importe quel corps humain à l'état de pulpe. Il se dirigea vers l'Ouest à travers la Manche vers la campagne du Kent avant de disparaître dans le ciel de nuit.

Pendant leur observation de 65 minutes, les pilotes ont pris 15 photographies. Mais une poursuite avec leur F-16s, capable plus de deux fois de la vitesse du son, fut impossible.

Au cours des mois précédents, il y avait eu des observations d'un objet de semblable de manière saisissante dans les cieux au-dessus de la Belgique. Et maintenant il y avait des preuves scientifiques solides pour les soutenir.

Dans sa lettre confidentielle, M. Delcroix admis auprès de l'auteur britannique Derek Sheffield, qui avait étudié les observations de la "vague Belge", qu'il y avait eu au moins une autre tentative plus tôt par la Belgique d'arrêter un OVNI semblable en envoyant les F16.

Le ministre a éliminé la possibilité que ce que les témoins avaient vu était un bombardier Stealth, un AWACS ou le F-117 Stealth fighter. Il pouvait seulement conclure qu'il n'y avait aucune explication raisonnable de ces preuves.

La nuit dernière un porte-parole du ministère de la défense Belge a dit: "ces incidents étaient, et sont toujours, traités avec le plus grand sérieux. Nous avons fait donné la chasse mais ne pouvions pas continuer la poursuite avec les F16. Peut-être ne résoudrons nous jamais entièrement ces affaires mystérieuses, mais nous continuons d'essayer. "

En Grande-Bretagne, l'Amiral de la Flotte Lord Hill-Norton a usé de son autorité pour appeler à une plus grande franchise concernant les investigations par le ministère de la défense.

L'ancien Président du comité militaire de l'OTAN a accepté d'écrire une préface au prochain livre de M. Sheffield sur les observation, "Une Dissimulation Fatale", qui doit être éditée en Janvier.

Dans une lettre à l'auteur du Kent, âgé de 65 ans, il dit: "Laissez moi vous dire tout de suite que je trouve le compte rendu des deux observations sur la Belgique convainquant entièrement. Ce qui est peu commun est que le ministère de la défense de la Belgique, sa police, son Armée de l'Air et ses politiciens ont joué franc-jeu."

Le porte-parole du parti travailliste le Dr. David Clark a dit dans la soirée au Sunday Express qu'en dépit "de l'information incontestable" de la Belgique, le Ministère de la Défense (Britannique) a constamment caché le sujet des OVNIS sous le tapis.

"Ils ont des informations enregistrées officiellement et notre point de vue est que le MoD est plus que discret à ce sujet. Ils doivent être beaucoup plus ouverts sur cette question. Si ce n'était pas un OVNI mais un bombardier Stealth on devrait nous le dire."

Paul Beaver, un conseiller respecté en matière de défense de l'hebdomadaire Jane's Weekly, dit: "les observations par les F16 sont certainement un des meilleurs exemples en Europe, fascinant et bien documenté."

En même temps, Edward Ashpole, un scientifique distingué dont le livre "Le Phénomène OVNI" a été édité par Headline la semaine dernière, dit des observations en Belgique: "le simple nombre de comptes rendus de témoins oculaires plus le repérage radar et les rapports de l'Armée de l'Air le rendent difficile à ignorer."

Il dit qu'aucun avion américain n'était présent dans l'espace aérien de la Belgique à l'heure des observations, et qu'aucun avion ne pourrait planer ou voler à seulement quelques kilomètres à l'heure, comme de nombreux témoins l'ont rapporté, sans s'écraser.

Parmi les compte rendus de témoins oculaires, un des plus marquant provient de deux de la gendarmerie Belge. Le 29 novembre 1989, quatre mois avant le l'opération des jets F16, Heinrich Nicoll et Hubert Von Montigny, ont rendu compte de deux objets triangulaires planant à très basse altitude au Sud de Bruxelles.

"C'était le crépuscule mais il faisait encore assez clair pour voir," a dit Von Montigny. "Sur le dessous d'un des objets j'ai vu trois lumières puissantes comme des phares de recherche dirigés vers la terre et une lumière clignotante rouge orange."

L'observation a duré de 17:50 jusqu'à 20:00 ou l'engin a disparu aussi mystérieusement qu'il était apparu. Ils ont entendu "un bourdonnement doux" et étaient sûrs que ce qu'ils ont vu n'était ni un avion ni un hélicoptère.

Dix autres policiers ont également fait des déclarations, ainsi que deux juges et un ingénieur, un colonel de l'armée et Valenzano Francesco, un météorologue des forces aériennes.

Le 1er Décembre, 1989, M. Francesco conduisait dans la ville d'Ans, près de Liège, juste avant 18:00. "Ma fille était dans la voiture avec moi," dit-il. "J'ai levé les yeux et j'ai vu un objet volant à basse altitude, de 100 à 150 mètres."

"Ce qui a attiré mon attention, c'était les lumières bleues et rouges autour de l'objet. Quand il était au-dessus de nous, nous avons vu trois grands "phares" pointés vers en bas."

Le Lieutenant Colonel Andre Amond de l'armée Belge a aperçu un OVNI plus tard le même mois. Il conduisait avec son épouse Chantal de son domicile vers la gare de Gembloux, un village près de Bruxelles, à 18:45.

"Dans le ciel vers ma droite, juste au-dessus des arbres, j'ai vu une série de trois ou quatre panneaux de lumières, se dirigeant du nord au sud."

"Mon épouse a demandé à ce que je m'éloigne, car l'objet semblait être agressif. Il n'y avait pas le moindre bruit, son moteur était silencieux. Pendant que je m'éloignais, la grande lumière blanche a disparu et a été remplacée par trois lumières blanches, qui étaient moins puissantes. Elles formaient un triangle, qui était presque équilatéral, et à son centre de gravité il y avait une lumière rouge plus grande.

"Cela semble étrange, mais en dépit du clair de lune, il était impossible de distinguer la forme de l'objet lui-même, en dehors de ce triangle de lumières blanches."

A ce jour, personne ne sait ce que c'était que ces engins et ce qu'il en est des milliers d'autres observations par des témoins visuels. Et cinq ans plus tard, dans les archives militaires partout dans le monde, leurs traces restent classées dans le coffre marqué OVNIS.

Notes par l'auteur de ce site:

[1] La forme en diamant est simplement le symbole représentant l'OVNI acquis par le radar, et non la forme de l'OVNI elle-même. Le symbole indique que le radar a verouillé la cible.

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Cette page a été mise à jour le 23 décembre 2002.