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Officiel, France:

En France, il n'y a toujours aucune liberté d'accès à l'information sur les OVNIS comme c'est pourtant maintenant le cas dans la plupart des autres pays, USA, Royaume-Uni, Espagne, Italie etc., si ce n'est qu'en principe, les informations sont éventuellement accessibles 60 ans après leur rédaction. (Donc 2014 pour des affaires remontant à 1954 etc). Il se trouve tout de même que si vous êtes "Quelqu'un d'Important" comme le journaliste Jean-Claude Bourret dans les années 70, ou si vous avez des "Amis dans le Sérail", ou en quémandant, vous pouvez glaner quelques éléments, dont celui-ci.

Déposition d'un témoin sur sa rencontre rapprochée, Les Arepennières, 25 novembre 1976:

Ce document a été reproduit dans la littérature ufologique grand public depuis longtemps disponible.

Le dessin du témoin:

Scan

Le rapport du témoin:

Compte rendu de M. [...], 5[x] ans, cultivateur, demeurant à Saint-Etienne-de-Saint-Geoirs (Isère) au lieu-dit Le Maté:

Ce jour 25 novembre 1976, aux environs de 6 h 45, j'ai quitté mon domicile. Je conduisais mon véhicule sur la route de Saint-Marcellin, puis le CD 518, puis j'ai pris le CD 180 en direction de Saint-Pierre-de-Bressieux (38). Au lieu-dit Les Arprennières, j'ai laissé mon véhicule en stationnement sur l'accotement herbeux à gauche par rapport à mon sens de marche. Je connais la région, car je viens souvent chasser. Ce matin, je cherchais un endroit pour me mettre à l'affût. Mon chien de chasse était enfermé dans le coffre de ma voiture. Je suis sorti de la voiture et je me suis tenu près de la porte. J'explorais le coin. Le temps était légèrement brumeux, mais il y avait une bonne visibilité car je voyais les coteaux de Saint-Michel-de-Saint-Geoirs (38). Le jour ne devait pas tarder à se lever. Il devait être 7 h ou 7 h 10, car à ce moment j'ai entendu la caravelle vol régulier quitter l'aéroport de Saint-Etienne-de-Saint-Geoirs.

C'est en regardant les coteaux de Saint-Michel-de-Saint-Geoirs que j'ai cru voir un feu de cheminée aux environs de cette agglomération. J'ai vu une lueur rouge qui scintillait avec des étincelles. Etant loin de toute agglomération, je ne pouvais pas faire appel aux pompiers. Le jour se levant, je me suis dit en moi-même que ce feu avait dû être localisé par un habitant de cette commune et que le nécessaire avait été fait. J'ai pris mon fusil de chasse dans mon véhicule, j'ai jeté un coup d'oeil et le feu de cheminée avait disparu. Cela a duré quelques secondes. De par ma position, je dominais le chemin départemental 130 B qui descendait vers le CD 518. De nouveau, j'ai été attiré par une lumière qui scintillait, genre phare tournant des véhicules des Ponts et Chaussées. Cette lumière se tenait vers le CD 518 et venait vers moi. J'ai pensé tout de suite aux Ponts et Chaussées. Je suivais des yeux cette lumière et, quand celle-ci était à environ une cinquantaine de mètres de moi, j'ai changé d'avis. Ce n'était plus le gyrophare des Ponts et Chaussées, mais une lumière se tenant à 10 mètres du sol. Je n'ai pas cherché à savoir ce que cela était, je n'ai fait que suivre des yeux cette lumière. Lorsque cette lumière était à 10 ou 15 mètres du sol, c'est-à-dire à 10 ou 15 mètres de moi, d'un seul coup, cette chose a pivoté d'un quart de tour. Je me trouvais en présence d'un objet de forme allongée, sorte de poisson ou cigare long de 2 mètres environ, d'un diamètre de 45 à 50 centimètres. Le fuselage cylindrique était incandescent en permanence et une lueur incandescente intermittente se propageait sur tout cet objet.

Cet objet était immobile à 10 m du sol. Des flammes s'échappaient du fuselage, émises sans bruit. J'ai dénombré au moins 5 rangées de petits carreaux de 4 à 5 cm de côté sur tout le fuselage dans la partie visible pour moi. Sur cette même partie, à l'avant, il y avait un hublot d'un diamètre de 20 cm.

L'ensemble rayonnait sans arrêt. Il ne me semble pas avoir vu le sol éclairé par la lueur de cet objet. Je n'ai pas eu peur, j'étais armé. Sur le coup, je n'ai pas pensé à un OVNI, j'ai plutôt cru à un engin secret militaire. Je n'ai pas voulu tirer, je ne voulais pas avoir des ennuis avec l'armée. Je l'ai observé durant une dizaine de secondes, puis je me suis dit: "J'ai intérêt à mettre les bouts avant qu'il ne se produise quelque chose, on ne sait jamais." Sans perdre de vue l'objet, je suis rentré dans mon véhicule puis j'ai refermé la portière. A ce moment, l'engin s'est déplacé en direction du sud, et sa vitesse était de 50 à 60 km/h, sans aucun bruit et toujours en émettant une lueur rouge sur tout le fuselage. J'ai perdu de vue cet objet dès l'instant où il avait franchi le sommet du coteau se trouvant au sud. Je précise que mon chien n'a aboyé à aucun moment. Je ne me suis pas affolé, étant armé. Je suis le seul témoin, je n'ai vu personne dans le coin. C'est la première fois que je vois une telle chose et j'ai poursuivi ma partie de chasse après cela, mais à un kilomètre plus loin. Mon intention était de garder mon aventure pour moi. Je ne voulais pas me faire ridiculiser et je voulais éviter les journalistes.

En rentrant à mon domicile, vers 8 h, j'ai raconté mon histoire à mon épouse. Je ne pouvais la garder, cette chose me tracassait. Mon épouse m'a invité à me présenter à la gendarmerie. Je n'ai pas voulu vous voir plus tôt car je ne voulais pas vous ennuyer avec mon histoire. Cet après-midi, mon épouse a fini par me convaincre. Je n'ai jamais été malade, j'ai seulement été soigné il y a trois ans pour une insuffisance mitrale, mon coeur battait trop lentement. Je me rends sur les lieux avec vous pour vous indiquer mon emplacement et la direction prise par cet objet. Je vous remets un croquis avec les détails correspondant aux particularités vues sur cet objet.

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Cette page a été mise à jour le 15 mai 2005.