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ACUFO:

ACUFO est un catalogue à visée exhaustive des cas de rencontres entre aéronefs et OVNIS, qu'elles soient «expliquées» ou «inexpliquées».

Le catalogue ACUFO donne pour chaque cas un dossier comprenant un numéro de cas, un résumé, des informations quantitatives (date, lieu, nombre de témoins...), des classifications, l'ensemble des sources mentionnant l'affaire, avec leur références, une discussion du cas dans le but d'une évaluation de ses causes, et un historique des changements apportés au dossier.

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Entre Ie Jima et Iwo Jima, Japon, le 28 août 1945:

Numéro de cas:

ACUFO-1945-08-28-IESHOMA-1

Résumé:

En 1957, dans son livre «Inside Saucer Post... 3-0 Blue», l'ufologue américain Leonard H. Stringfield (1920 - 1994) a raconté son observation d'OVNI:

«Pour bien commencer par le début, je dois remonter à «un jour» de 1950, lorsque ma curiosité sans enthousiasme à propos des soucoupes volantes m'a finalement rapporté une riche récompense - deux rapports de première main élogieux, chacun se produisant peu de temps après l'événement. L'un d'entre eux parlait d'une famille locale assise dehors, choquée par un objet volant bas au-dessus de leur maison. Selon le témoin clé, l'objet a éclairé toute la cour et le toit. L'autre rapport décrivait une boule de couleur bleue se balançant comme un pendule sur l'étendue d'une crête juste au nord de Cincinnati.»

«Pour moi, ces rapports semblaient authentiques, principalement, je suppose, parce que les observateurs eux-mêmes étaient des personnes «authentiques». D'une manière ou d'une autre, pensais-je, les articles de presse avaient toujours donné l'impression que l'observateur était irréel! Mais mon jugement sur les événements passés à l'époque n'était guère honorable. Dans aucun cas, je ne me souviens avoir fait autre chose que passer sous silence une histoire. En bref, ma vie entre 1947, lorsque les soucoupes ont été médiatisées pour la première fois, et 1950, a été principalement une vie de «mari» et de carrière dans la publicité. Les astronautes et les vaisseaux spatiaux étaient très loin de mes pensées.»

«Mais lorsque les observations de 1950 me sont parvenu, tout d'un coup, un incident du passé a pris une réelle signification. Cet incident, qui avait été oublié avec d'autres événements désagréables des années de guerre, a soudainement apporté un formidable soutien à la suggestion selon laquelle les soucoupes étaient interplanétaires et, en conséquence, a pris une signification nouvelle et inquiétante. De là est finalement né le CRIFO et les raisons sous-jacentes des nombreux tons pessimistes de ses publications...»

«J'ai essayé à plusieurs reprises depuis 1950 de reconstituer les faits de l'incident, à la recherche de détails, en essayant de me souvenir de mes réactions. Mais les terreurs du moment et l'effacement du temps ne me laissent pas grand-chose sur quoi me reposer, à l'exception des points forts les plus marquants. Une vérification dans mon journal militaire m'a appris que l'incident s'était produit le 28 août 1945, alors que nous volions depuis Ie Shima, près d'Okinawa, à Iwo Jima. J'étais transporté dans un C-46, un «cercueil volant» dont le numéro était 304. J'étais l'un des neuf membres du personnel de la 5e Force aérienne 1 (avec un équipement spécial) affectés à occuper l'aérodrome d'Atsugi, près de Tokyo, au Japon, avant l'arrivée des principales forces de débarquement. Pour l'incident lui-même, je dois me fier à ma mémoire.»

«Pendant le vol, à peu près à mi-chemin entre Ie Shima et Iwo Jima, le C-46 a soudainement eu des problèmes au niveau du moteur gauche, avec mise en drapeau de l'hélice. Alors que l'avion plongeait, crachait de l'huile et perdait de l'altitude, je me souviens avoir regardé à travers l'un des hublots et, à ma grande surprise, avoir vu trois taches non identifiables de lumière blanche brillante, chacune de la taille d'une pièce de dix cents, tenues à bout de bras.»

Dans une note Stringfield ajoutait que d'après une note dans son journal, les passagers étaient Harry Berning, de Stouch, W. J. Smith, de Ramsey, Greenwell, Vucetich, Caverly, Briggs, et trois membres d'équipage inconnus, le pilote, le copilote et le navigateur. Dans sa recherche d'une éventuelle vérification, il avait localisé un seul passager, Harry Berning de Cincinnati. Sans mettre de mots dans sa bouche, il avait demandé à Berning ce qu'il se rappelait de l'incident d'Iwo. Berning a déclaré: «Je me souviendrai de ce vol toute ma vie. J'avais très peur... Je me souviens que notre avion avait dévié de sa trajectoire. Nous étions perdus. J'ai d'abord su que quelque chose n'allait pas lorsque le copilote est revenu et m'a dit nous, 'Nous sommes en difficulté.' Je me souviens que notre avion volait dans de gros nuages et que le copilote m'a tendu une paire de jumelles pour que je puisse les aider à chercher une éclaircie.» Quand il a demandé à Berning s'il avait vu les trois objets, il a répondu que non. Quand il lui a dit qu'il les avait vus du côté gauche de l'avion, Berning a dit qu'il était du côté droit et a encore souligné: «J'avais très peur». Stringfield indique que même s'il pense que les objets avaient été responsables du comportement de l'avion, il espère ne pas avoir trop dramatisé l'incident.

«Les blobs se déplaçaient en ligne droite à travers des congères nuageuses, apparemment parallèles au C-46 et à la même vitesse. Je me souviens vaguement que lorsque mon avion s'est arrêté, les objets sont restés en dessous et ont disparu dans un banc de nuages. Tous les autres détails sont flous car je n'avais à ce moment-là aucune raison de rationaliser les objets ou d'essayer de les identifier. De plus, ma principale préoccupation à ce moment était la performance du C-46 et ma sécurité personnelle. Je me souviens avoir montré les objets à un compagnon à proximité, mais je ne me souviens d'aucune inquiétude inhabituelle de sa part concernant les lumières, car lui aussi craignait davantage pour sa sécurité. L'avion, sans autre incident, a atterri en toute sécurité à Iwo. Je me souviens qu'il avait subi des contrôles approfondis afin qu'il soit prêt et décollé pour le dernier saut vers Atsugi. Personne, lors de l'escale, n'a mentionné les objets d'après mes souvenirs, et je ne les ai pas non plus signalés, car Iwo à cette époque était une zone de transit animée attendant la fin officielle de la guerre.»

«Au moment où j'écris ces lignes, m'appuyant toujours sur ma mémoire ravivée en 1950, je ne trouve aucune explication banale aux trois objets volant à côté de mon avion au-dessus du Pacifique. Je pense que les objets étaient des engins propulsés, pouvant être analogues, en apparence et en comportement, au populaires «foofighters» de la Seconde Guerre mondiale, lesquels sont encore inexpliqués, selon les déclarations de l'Air Force. Je crois aussi que le comportement soudain et erratique de mon avion était dû à une force mystérieuse générée par les OVNIS.»

«Bien que j'aie souvent fait allusion à cet incident dans des écrits et des conférences précédents, je n'en avais jamais divulgué les détails. Aux débuts du CRIFO, j'ai été tenté à plusieurs reprises de le mettre en avant dans la Lettre d'Information, mais il s'agissait d'abord de suivre l'actualité du moment. Cependant, le silence ultérieur était une question de circonstances. Dans le numéro de mars 1955 de la Newsletter, qui dénonçait la théorie suggérant que les soucoupes étaient des armes secrètes américaines, j'avais prévu d'inclure une section sur les foo-fighters. Un lien parfait, pensais-je, pour un tel «foo-nomène», comme j'en ai été témoin, qui ne pouvait pas avoir été créé sur terre. Aucune nation, en défaite ou en victoire, à mon avis, n'aurait été assez téméraire pour utiliser une arme secrète pendant la période délicate de la capitulation. J'avais tous mes arguments alignés, les bons, ai-je raisonné. Pour étayer mes affirmations, je commencerais par d'autres rapports de Foo Fighter, déjà publiés dans la littérature sur les soucoupes. Ensuite, il y avait eu la possibilité d'obtenir deux autres bons rapports provenant de sources fiables.»

Stringfield a publié ce croquis qu'il a réalisé de mémoire:

Scan.

Stringfield a également rapporté cette expérience dans son livre de 1977 «Situation Red - The UFO Siege», dans lequel il ajoutait qu'ils volaient à 3 000 mètres, dans un ciel brillamment ensoleillé. Il a décrit les trois objets comme étant «d'un blanc éclatant, comme du magnésium en train de brûler», s'approchant du C-46 sur une trajectoire parallèle, lorsque soudain le moteur gauche est tombé en panne. Il a ajouté qu'il avait appris plus tard que les aiguilles magnétiques des appareils de navigation étaient devenues folles et que la dernière vision fugace qu'il avait eu des trois engins les plaçait à environ 20 degrés d'élévation par rapport à l'avion, toujours en formation serrée. Ils ont alors disparu dans un banc de nuages, et immédiatement le moteur défectueux avait recommencé à fonctionner correctement.

Données:

Données temporelles:

Date: 28 août 1945
Heure: Jour.
Durée: Brève.
Date du premier rapport connu: 1957
Délai de rapport: 1 décennie.

Données géographiques:

Pays: Japon
Département/état:
Commune ou lieu: A mi-chemin entre Ie Jima et Iwo Jima

Données concernant les témoins:

Nombre de témoins allégués: 2
Nombre de témoins connus: 1
Nombre de témoins nommés: 1

Données ufologiques:

Témoignage apporté via: Témoignage personnel.
Conditions d'éclairage: Jour, soleil, nuages.
OVNI observé: Oui.
Arrivée OVNI observée: Non.
Départ OVNI observé: Oui.
Actions OVNI: Volent.
Actions témoins:
Photographies: Non.
Dessins par témoins: Oui.
Dessins approuvé par témoins: Oui.
Sentiments des témoins: Etonnés.
Interprétations des témoins: Engins extraterrestres.

Classifications:

Senseurs: [X] Visuel: 2.
[ ] Radar aéronef: N/A.
[ ] Radar sol directionnel:
[ ] Radar sol altitude:
[ ] Photo:
[ ] Film/vidéo:
[ ] Effets EM: Possible effet sur compas.
[ ] Pannes: Possible panne d'un des deux moteurs.
[ ] Dégâts:
Hynek: DD
Armé / non armé: Non armé.
Fiabilité 1-3: 2
Etrangeté 1-3: 3
ACUFO: Possibles engins extraterrestres.

Sources:

[Ref. lsd1:] LEONARD H. STRINGFIELD:

Scan.

L'INCIDENT EN ALLANT VERS IWO...

Pour bien commencer par le début, je dois remonter à «un jour» de 1950, lorsque ma curiosité sans enthousiasme à propos des soucoupes volantes m'a finalement rapporté une riche récompense - deux rapports de première main élogieux, chacun se produisant peu de temps après l'événement. L'un d'entre eux parlait d'une famille locale assise dehors, choquée par un objet volant bas au-dessus de leur maison. Selon le témoin clé, l'objet a éclairé toute la cour et le toit. L'autre rapport décrivait une boule de couleur bleue se balançant comme un pendule sur l'étendue d'une crête juste au nord de Cincinnati.

Pour moi, ces rapports semblaient authentiques, principalement, je suppose, parce que les observateurs eux-mêmes étaient des personnes «authentiques». D'une manière ou d'une autre, pensais-je, les articles de presse avaient toujours donné l'impression que l'observateur était irréel! Mais mon jugement sur les événements passés à l'époque n'était guère honorable. Dans aucun cas, je ne me souviens avoir fait autre chose que passer sous silence une histoire. En bref, ma vie entre 1947, lorsque les soucoupes ont été médiatisées pour la première fois, et 1950, a été principalement une vie de «mari» et de carrière dans la publicité. Les astronautes et les vaisseaux spatiaux étaient très loin de mes pensées.

Mais lorsque les observations de 1950 me sont parvenu, tout d'un coup, un incident du passé a pris une réelle signification. Cet incident, qui avait été oublié avec d'autres événements désagréables des années de guerre, a soudainement apporté un formidable soutien à la suggestion selon laquelle les soucoupes étaient interplanétaires et, en conséquence, a pris une signification nouvelle et inquiétante. De là est finalement né le CRIFO et les raisons sous-jacentes des nombreux tons pessimistes de ses publications...

J'ai essayé à plusieurs reprises depuis 1950 de reconstituer les faits de l'incident, à la recherche de détails, en essayant de me souvenir de mes réactions. Mais les terreurs du moment et l'effacement du temps ne me laissent pas grand-chose sur quoi me reposer, à l'exception des points forts les plus marquants. Une vérification dans mon journal militaire m'a appris que l'incident s'était produit le 28 août 1945, alors que nous volions depuis Ie Shima, près d'Okinawa, à Iwo Jima. J'étais transporté dans un C-46, un «cercueil volant» dont le numéro était 304. J'étais l'un des neuf membres du personnel de la 5e Force aérienne 1 (avec un équipement spécial) affectés à occuper l'aérodrome d'Atsugi, près de Tokyo, au Japon, avant l'arrivée des principales forces de débarquement. Pour l'incident lui-même, je dois me fier à ma mémoire.

Pendant le vol, à peu près à mi-chemin entre Ie Shima et Iwo Jima, le C-46 a soudainement eu des problèmes au niveau du moteur gauche, avec mise en drapeau de l'hélice. Alors que l'avion plongeait, crachait de l'huile et perdait de l'altitude, je me souviens avoir regardé à travers l'un des hublots et, à ma grande surprise, avoir vu trois taches non identifiables de lumière blanche brillante, chacune de la taille d'une pièce de dix cents, tenues à bout de bras.

1 D'après une note dans mon journal, les passagers étaient Harry Berning, Stouch, W. J. Smith, Ramsey, Greenwell, Vucetich, Caverly, Briggs, moi-même et trois membres d'équipage inconnus, le pilote, le copilote et navigateur. Dans ma recherche d'une éventuelle vérification, j'ai localisé un seul passager, Harry Berning de Cincinnati. Sans mettre de mots dans sa bouche, j'ai demandé à Berning ce qu'il se rappelait de l'incident d'Iwo. Berning a déclaré: «Je me souviendrai de ce vol toute ma vie. J'avais très peur... Je me souviens que notre avion avait dévié de sa trajectoire. Nous étions perdus. J'ai d'abord su que quelque chose n'allait pas lorsque le copilote est revenu et m'a dit nous, 'Nous sommes en difficulté.' Je me souviens que notre avion volait dans de gros nuages et que le copilote m'a tendu une paire de jumelles pour que je puisse les aider à chercher une clairière.» Quand j'ai demandé à Berning s'il avait vu les trois objets, il a répondu que non. Quand je lui ai dit que je les avais vus du côté gauche de l'avion, il a dit qu'il était du côté droit et a encore souligné: «J'avais très peur». Même si je pense que les objets sont responsables du comportement de mon avion, j'espère ne pas avoir trop dramatisé l'incident.

Scan.

Les blobs se déplaçaient en ligne droite à travers des congères nuageuses, apparemment parallèles au C-46 et à la même vitesse. Je me souviens vaguement que lorsque mon avion s'est arrêté, les objets sont restés en dessous et ont disparu dans un banc de nuages. Tous les autres détails sont flous car je n'avais à ce moment-là aucune raison de rationaliser les objets ou d'essayer de les identifier. De plus, ma principale préoccupation à ce moment était la performance du C-46 et ma sécurité personnelle. Je me souviens avoir montré les objets à un compagnon à proximité, mais je ne me souviens d'aucune inquiétude inhabituelle de sa part concernant les lumières, car lui aussi craignait davantage pour sa sécurité. L'avion, sans autre incident, a atterri en toute sécurité à Iwo. Je me souviens qu'il avait subi des contrôles approfondis afin qu'il soit prêt et décollé pour le dernier saut vers Atsugi. Personne, lors de l'escale, n'a mentionné les objets d'après mes souvenirs, et je ne les ai pas non plus signalés, car Iwo à cette époque était une zone de transit animée attendant la fin officielle de la guerre.

Au moment où j'écris ces lignes, m'appuyant toujours sur ma mémoire ravivée en 1950, je ne trouve aucune explication banale aux trois objets volant à côté de mon avion au-dessus du Pacifique. Je pense que les objets étaient des engins propulsés, pouvant être analogues, en apparence et en comportement, au populaires «foofighters» de la Seconde Guerre mondiale, lesquels sont encore inexpliqués, selon les déclarations de l'Air Force. Je crois aussi que le comportement soudain et erratique de mon avion était dû à une force mystérieuse générée par les OVNIS.

Bien que j'aie souvent fait allusion à cet incident dans des écrits et des conférences précédents, je n'en avais jamais divulgué les détails. Aux débuts du CRIFO, j'ai été tenté à plusieurs reprises de le mettre en avant dans la Lettre d'Information, mais il s'agissait d'abord de suivre l'actualité du moment. Cependant, le silence ultérieur était une question de circonstances. Dans le numéro de mars 1955 de la Newsletter, qui dénonçait la théorie suggérant que les soucoupes étaient des armes secrètes américaines, j'avais prévu d'inclure une section sur les foo-fighters. Un lien parfait, pensais-je, pour un tel «foo-nomène», comme j'en ai été témoin, qui ne pouvait pas avoir été créé sur terre. Aucune nation, en défaite ou en victoire, à mon avis, n'aurait été assez téméraire pour utiliser une arme secrète pendant la période délicate de la capitulation. J'avais tous mes arguments alignés, les bons, ai-je raisonné. Pour étayer mes affirmations, je commencerais par d'autres rapports de Foo Fighter, déjà publiés dans la littérature sur les soucoupes. Ensuite, il y avait eu la possibilité d'obtenir deux autres bons rapports provenant de sources fiables.

Scan.

Croquis, de mémoire, de trois «taches» de lumière non identifiées vues depuis un C-46 en péril alors qu'il volait de Ie Shima à Iwo Jima, au sud du Japon, le 28 août 1945. Bien que cette observation ne soit pas concluante, je l'ai classée parmi d'autres phénomènes inexpliqués de «foo fighter» observés par les aviateurs pendant la Seconde Guerre mondiale.

[Ref. lsd2:] LEONARD STRINGFIELD:

Leonard Stringfield a expliqué que bien qu'il ait répertorié les rencontres avec des pilotes dans ses publications du CRIFO, dont beaucoup étaient certes des «cas limites ne comportant que des preuves suspectes», il se souvient cependant plus clairement de sa propre expérience alors qu'il se rendait à Iwo Jima en 1945. Si son avion avait plongé dans la mer, a-t-il expliqué, personne, y compris l'armée de l'air, n'en aurait compris la cause.

[Ref. gld1:] GORDON LORE ET HAROLD DENEAULT:

Leonard H. Stringfield était passager à bord d'un C-46 en route pour occuper l'aérodrome d'Atsugi, près de Tokyo, le 28 août 1945, avant le débarquement allié principal.

Stringfield se rappelait qu'à mi-chemin entre Ie Shoma et Iwo Jima, le C-46 a soudainement développé des problèmes avec le moteur gauche.

«Alors que l'avion plongeait, crachait de l'huile et perdait de l'altitude», a-t-il déclaré, «je me souviens avoir regardé à travers l'un des hublots et, à ma grande surprise, avoir vu trois taches non identifiables de lumière blanche brillante, chacune de la taille d'une pièce de dix cents tenue à bout de bras.»

Les «blobs» voyageaient en ligne droite à travers des paquets de nuages, «apparemment parallèles au C-46», en suivant leur rythme à une vitesse que Stringfield estimait égale à celle de l'avion. «Lorsque mon avion a freiné, les objets sont restés en dessous et ont disparu dans un banc de nuages.»

Ce n'est qu'au début de l'ère des «soucoupes volantes», en juin 1947, que Stringfield a réalisé que les trois «avions de chasse ennemis» auraient pu provoquer la panne du moteur du C-46. Seul le moteur gauche était tombé en panne et les objets étaient apparus sur la gauche.

Les auteurs indiquent que la source est «Inside Saucer Post... 3.0 Blue», par Leonard H. Stringfield, à compte d'auteur, 1957, pp 7-10.

[Ref. lgs1:] LOREN GROSS:

Vingt jours après la capitulation japonaise, le 28 août, les forces d'occupation américaines devaient débarquer sur le sol japonais, mais un typhon a retardé les mouvements des troupes. En mer, lors d'un vol entre Okinawa et Iwo Jima, un C-46 transportant du personnel d'occupation a connu des problèmes de moteur alors qu'il volait par mauvais temps. L'avion a commencé à perdre de l'altitude et l'équipage et les passagers ont observé le moteur crachotant avec une grande inquiétude, espérant qu'il ne serait pas nécessaire d'amerrir dans un océan secoué par la tempête. Alors que l'attention de tous était attirée sur un côté de l'avion, un passager, un officier de l'armée de l'air nommé Leonard Stringfield, a regardé par les fenêtres du côté opposé. A la grande surprise de Stringfield, il vit trois boules de feu brillantes de couleur blanche suivre le C-46. A ce moment-là, le moteur hésitant de l'avion a recommencé à fonctionner correctement et l'avion a retrouvé son ancienne altitude. Les boules de feu ne sont pas restées avec l'avion dans sa montée et Stringfield a finalement perdu leur trace dans les nuages en contrebas.

[Ref. jkl1:] JOHN KEEL:

Les archives de l'Air Force montrent que l'un des premiers cas d'effet électromagnétique a eu lieu au-dessus d'Iwo Jima, le 28 août 1945, lorsque les moteurs d'un C-46 sont tombés en panne alors que trois OVNIS manœuvraient autour de lui. Dans ceux à l'époque, les militaires appelaient les OVNIS des Foo Fighters. Les Foo Fighters ont déconcerté les pilotes alliés et de l'Axe au-dessus de l'Allemagne et du Japon dans les derniers jours de la guerre. Les équipages des bombardiers signalaient également une constante apparitions de petits hommes verts qui envahissaient leurs avions et provoquaient toutes sortes de méfaits. La presse les a qualifiés de Gremlins et de la conclusion populaire était que les équipages hallucinaient simplement en raison de la haute altitude et de la faible atmosphère. Depuis lors il y a eu des milliers de rapports de petits hommes verts de partout dans le monde. Ils font désormais partie intégrante de la tradition des soucoupes volantes.

Notes: nous avons là encore un exemple des véritables délires ou inventions pures de John Keel. Le cas ne provient pas des archives de l'Air Force, mais directement du témoin Leonard Stringfield. Les trois boules de feu n'ont pas «manœuvré autour» de l'avion. Il n'est pas établi que les moteurs sont tombés en panne à cause de ces OVNIS. Il n'y a aucune trace de ce que les pilotes «de l'Axe» (allemands, Italiens, japonais) aient rapporté des «Foo-fighters», seuls les pilotes alliés l'ont fait. Alors que Keel prétend que les équipages de bombardiers ont signalé «une constante apparitions de petits hommes verts», il n'y en a jamais eu un seul. Aucun article de presse ne parle de «Gremlins». Les «petits hommes verts» ne sont en rien un fait ou une constante de la casuistique ufologique, ils ne sont qu'une manifestation de moqueries sur le sujet. Keel ne donnait aucune source pour justifier ces affirmations alors qu'il ne cessait de reprocher aux ufologues de ne pas donner leurs sources.

[Ref. rbm1:] RALPH AND JUDY BLUM:

Mon ami Leonard Stringfield m'a récemment parlé d'une observation qu'il a eue le 28 août 1945, alors qu'il se rendait à Iwo Jima à bord d'un C-46, un «cercueil volant». Il était l'un des neuf membres de la 5e Force aérienne affectés à occuper l'aérodrome d'Atsugi, près de Tokyo. L'avion était lourdement chargé d'équipements spéciaux. Dans son livre Inside Saucer Post... 3-0 Blue, Stringfield écrit:

L'effet le plus frappant de la proximité du Foo Fighter était électromagnétique, et on a d'abord pensé que les blobs enflammés étaient d'origine allemande, envoyés en l'air par télécommande pour perturber les allumages et interférer avec notre radar. Cependant, l'interrogatoire des pilotes allemands capturés ont révélé qu'eux aussi avaient été tourmentés par les mystérieux foofighters.

Lorsque nous avons parlé au téléphone, j'ai demandé à Stringfield s'il se souvenait d'autres détails. «Non, juste que le moteur gauche n'arrêtait pas de s'emballer et de crachoter,» dit-il, «et que nous avons perdu de l'altitude. Nous avions tous assez peur. Il y a même eu une suggestion de saut en parachute. Dans un C-46 à cette époque-là, il fallait être sacrément bon pour voler avec un seul moteur. Lorsque j'ai montré un croquis que Stringfield avait fait de ses «blobs» à un ancien pilote du 415th, il a souri et a dit: «Ouais, c'est à ça que ressemblaient ces bébés.»

[Ref. jcf1:] JEROME CLARK ET LUCIUS FARISH:

Leonard Stringfield, qui deviendra plus tard un éminent ufologue, faisait partie des personnes à bord d'un C-46 en route pour occuper l'aérodrome d'Atsugi, près de Tokyo, le 28 août, juste avant le projet de débarquement allié majeur des forces d'occupation. Soudain, à mi-chemin entre Ie Shoma et Iwo Jima, le moteur gauche de l'avion a commencé à tomber en panne.

«Alors que l'avion plongeait, crachait de l'huile et perdait de l'altitude», a-t-il écrit, «je me souviens avoir regardé par l'une des fenêtres et, à ma grande surprise, avoir vu trois taches non identifiables de lumière blanche brillante, chacune de la taille d'une pièce de dix cents tenue à bout de bras.» Les lumières se déplaçaient en ligne droite à travers les nuages, suivant le rythme et restant parallèles au C-46. «Lorsque mon avion s'est arrêté», a déclaré Stringfield, «les objets sont restés en dessous puis ont disparu dans un banc de nuages.»

Ce n'est que des années plus tard que Stringfield, qui connaissait alors des cas dans lesquels des OVNIs semblent avoir provoqué des interférences électromagnétiques avec des avions et des voitures, a pensé à relier les cahots du moteur aux blobs énigmatiques. Il se souvint que c'était le moteur gauche qui était en panne, et que les OVNIs se trouvaient de ce côté de l'avion.

[Ref. lsd3:] LEONARD H. STRINGFIELD:

Scan.

C'est vers 1950 que je m'éveillai réellement à l'importance du problème. Deux témoignages inhabituels, obtenus directement de témoins inattaquables sur des soucoupes à basse altitude me parurent chargés de signification.

L'information me rappelait de façon saisissante une expérience personnelle remontant à la Seconde Guerre mondiale. Elle aurait pu être un désastre et j'avais cherché à l'oublier. C'était le 28 août 1945 pendant la période délicate de la reddition japonaise. J'étais l'un des douze spécialistes de la 5e Armée de l'Air embarqués à bord d'un C 46 allant de Ie Shima à Iwo Jima où il devait faire escale technique pour gagner aussitôt après l'aérodrome d'Atsugi, près de Tokyo. Personnellement j'avais la charge du renseignement. Nous devions atterrir au Japon trois jours avant les principales forces d'occupation.

Nous approchions, volant à trois mille mètres, dans un ciel de grand soleil, quand je vis, à ma grande stupeur, par un hublot de tribord, trois objets en forme de poire. Ils étaient d'un blanc éclatant, comme du magnésium brûlant et approchaient du C 46 en route parallèle. Tout à coup le

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moteur de gauche flancha. Je devais apprendre plus tard que les aiguilles magnétiques des appareils de navigation étaient devenues folles. Le C 46 s'enfonçait. L'huile jaillissait du moteur défaillant. Le pilote donna l'alerte. On prévint l'équipage et les passagers de se tenir prêts au plongeon. Je ne me souviens pas de ce que j'ai pensé ou fait pendant les minutes horribles qui suivirent. Mais la dernière vision fugitive que j'eus des trois engins les plaçait à environ 20 degrés en élévation par rapport à nous. Cependant, toujours en formation serrée, ils disparurent dans un banc de nuages. Aussitôt le moteur défaillant se remit à tourner rond. L'avion reprit de l'altitude, et nous mena sans encombre à Iwo Jima.

Cette expérience extraordinaire était pour moi une preuve suffisante que le Foo fighter 1 de la Deuxième Guerre mondiale, dit aussi sur le théâtre européen: «kraut fireball» et la soucoupe volante, n'étaient qu'un seul et même engin et provenait de la même origine extra-terrestre. Le commandant Donald E. Keyhoe avait lancé la théorie de l'extra-terrestre en 1949. Son article de True Magazine avait fait l'effet d'une bombe. Il devait apporter en 1953 des preuves plus convaincantes encore dans son livre Flying Saucers From Outer Space.

[Ref. ibl1:] ILLOBRAND VON LUDWIGER:

Leonard H. Stringfield, le célèbre chercheur américain sur les OVNIS, décrit une expérience survenue le 28 août 1945. Comme le montre son journal de guerre, il pilotait un C-46 (n° 304) depuis Le Sima près de Kinawa jusqu'à la base d'Iwo Jima. Stringfield faisait partie d'une unité spéciale de 9 membres de la 5e US Air Force. Elle avait la mission de prendre l'aéroport d'Atsugi, près de Tokyo, avant l'arrivée des premières troupes de débarquement. Pendant le vol, vers la moitié du vol, il y a eu soudainement un problème avec le moteur gauche. Alors que l'avion baissait le nez, crachait de l'huile et perdait de l'altitude, Stringfield regardait par l'un des hublots de gauche. A sa grande surprise, il remarqua trois «gouttelettes» non identifiables émettant une lumière blanche et brillante. Chacune des choses avait la taille d'une pièce de 10 cents à la distance d'un bras tendu, ce qui correspond à environ 1,5 degrés d'angle ou trois fois la taille de la lune.

Ces structures en forme de larme volaient parallèlement à l'avion C-46 apparemment à la même vitesse. Stringfield se souvient qu'au moment où le C-46 a repris de l'altitude, les missiles inconnus ont pris du retard et ont disparu dans un banc de nuages. Selon lui, les problèmes temporaires du moteur pourraient être liés à la proximité des «OVNIS» (Stringfield 1957).

Ralph Blum, journaliste et auteur du livre «Beyond Earth - man's contact with UFOs», a montré le croquis de Stringfield à un ancien pilote du 415th Night Fighter. Il a souri et confirmé que les choses qui avaient également été repérées en Europe étaient exactement les mêmes. Blum l'a appris d'un ami qui travaillait alors dans la Division du «Renseignement Technique» stratégique de l'Air Force des Etats-Unis qui visait à fournir plus de détails sur d'étranges dysfonctionnements de moteur. A maintes reprises, les pilotes revenant vers l'Angleterre de vols de bombardement ont signalé que leurs moteurs s'étaient soudainement mis à crépiter sans raison apparente. Les rapports d'espionnage ont renforcé les soupçons des Alliés selon lesquels des stations secrètes au sol étaient capables de perturber les moteurs des bombardiers. Cependant, les calculs ont montré qu'il aurait fallu plus d'énergie pour influencer électromagnétiquement les systèmes d'allumage des moteurs d'avion que la production totale d'énergie en Europe - en supposant que de tels stations aient été installés au sol (Blum 1974).

[Ref. lwr1:] DR. LOUIS WINKLER:

Scan.

1945 28 août/Iwo Jima, O. Pacifique/Lore-Deneault, Stringfield (1957)

Trois blobs brillants ont suivi le rythme de l'avion alors qu'il développait des problèmes de moteur à 10 000 pieds. Il a perdu de l'altitude et de l'huile du moteur, et le système de navigation magnétique s'est déchaîné. Lorsque l'avion s'est relevé, les objets sont restés en dessous et le moteur a recommencé à fonctionner correctement.

[Ref. jck2:] JEROME CLARK:

Cet auteur indique que le 28 août 1945, un C-46 était en route vers l'aérodrome d'Atsugi près de Tokyo, juste avant le projet d'invasion alliée du continent japonais, lorsque son moteur tomba en panne entre Shoma et Iwo Jima. Parmi les personnes à bord se trouvait le soldat Leonard H. Stringfield. Alors que l'avion commençait à perdre de l'altitude, il est devenu très nerveux et a jeté un coup d'œil par le hublot, d'où il a vu «trois blobs non identifiables de lumière blanche brillante, chacun de la taille d'une pièce de dix cents tenue à bout de bras». Ils se déplaçaient en ligne droite à travers les nuages, restant sur une trajectoire parallèle à l'avion de transport en voie de perdition. Le moteur a soudainement repris son fonctionnement normal, et le C-46 a repris son altitude et sa trajectoire antérieures, et les objets ne l'ont pas suivi, ils sont restés en dessous, puis ont disparu dans un banc de nuages. Stringfield, décédé en 1994, est devenu un ufologue bien connu dans les années qui ont suivi 1947, lorsque les soucoupes volantes ont été reconnues comme un phénomène. Comme tous les ufologues, il s'est familiarisé avec des cas dans lesquels des problèmes ou des pannes de moteur étaient associés à des apparitions d'ovnis, et il se demandait si la présence de lumières mystérieuses avait affecté les performances de l'avion.

[Ref. dwn3:] DOMINIQUE WEINSTEIN:

28 août 1945, Iwo Jima, Japon

Un pilote a eu un dysfonctionnement moteur alors qu'au même moment trois points lumineux brillants suivaient son avion à une altitude de 10 000 pieds. L'avion a perdu de l'huile et de l'altitude et le système de navigation magnétique est devenu fou. Puis le pilote est monté et les lumières sont restées derrière son avion et son moteur a commencé à fonctionner normalement.

Source: Analyse des données de type OVNI avant 1947, FUFOR, p.63

[Ref. gvo1:] GODELIEVE VAN OVERMEIRE:

1945, 28 août

JAPON, Iwo Jima

Un transporteur C 46 mis en difficulté: pannes de moteur et perte d'altitude lors de l'observation de 3 Ovni. (Marcel J. Lefèvre - 1968 - Bruxelles) J'étais l'un des douze spécialistes de la 5e Armée de l'Air embarqués à bord d'un C 46 allant de Ie-Shima à Iwo Jima où il devait faire escale technique... (...) Nous approchions, volant à trois mille mètres, dans un ciel de grand soleil, quand je vis, à ma grande stupeur, trois objets en forme de poire. Ils étaient d'un blanc éclatant, comme du magnésium brûlant, et approchaient du C 46 en route parallèle. Tout à coup le moteur de gauche flancha. Je devais apprendre plus tard que les aiguilles magnétiques des appareils de navigation étaient devenues folles. Le C 46 s'enfonçait. L'huile jaillissait du moteur défaillant. Le pilote donna l'alerte. On prévint l'équipage et les passagers de se tenir prêts au plongeon. (...) La dernière vision fugitive que j'eus des trois engins les plaçait à environ 20 degrés en élévation par rapport à nous. Cependant, toujours en formation serrée, ils disparurent dans un banc de nuages. Aussitôt le moteur défaillant se remit à tourner rond. L'avion reprit de l'altitude (...) (Leonard STRINGFIELD: «Alerte générale OVNI», éd. France - Empire, 1978, p. 27, 28) Le C-46, en route pour occuper l'aérodrome Atsugi près de Tokyo, se trouvait à mi-chemin entre Shoma et Iwo Jima, quand le moteur droit eut des ratés. L'avion descendit, crachait de l'huile. A bord il y avait Leonard Stringfield. Il regardait par l'un des hublots et vit à sa surprise trois taches de lumière blanche brillante, chacune de la taille d'un pouce tenu à bout de bras. Les lumières volaient en ligne droite à travers les nuages, volant parallèlement au C-46. Quand l'avion put reprendre de l'altitude, les lumières restèrent en dessous et disparurent ensuite dans un banc de nuages. (The Mysterious Foo Fighters of WWII. - Jerœn Wierda PUFORI, 19.5.1997)

[Ref. lhh1:] LARRY HATCH:

555: 1945/08/28 00:00 5 139:50:00 E 33:00:00 N 3331 ASP JPN IWJ 7:7
pr IWO JIMA,JAPAN:L.STRINGFIELD+12 OBS:3 GOUTTES BLC SUIVENT C46 AAF:/r215p52
Ref#176 STRINGFIELD,Leonard: SITUATION RED Page No. 25-EN VOL

[Ref. dwn1:] DOMINIQUE WEINSTEIN:

28 août 1945

Iwo Jima, Japon

Un pilote a eu un dysfonctionnement moteur alors qu'au même moment trois points lumineux brillants suivaient son avion à une altitude de 10 000 pieds. L'avion a perdu de l'huile et de l'altitude et le système de navigation magnétique est devenu fou. Puis le pilote est monté et les lumières sont restées derrière son avion et son moteur a commencé à fonctionner normalement.

Source: Analysis of UFO-like data before 1947, FUFOR, p.63

[Ref. tgd1:] TIMOTHY GOOD:

L'auteur indique que le 28 ao&ucric;t 1945, l'officier de renseignement de l'USAAF Leonard Stringfield était l'un des douze spécialistes de la 5ème Force aérienne à bord d'un avion de transport volant de Ie-shima à Tokyo via Iwo Jima, chargé d'occuper l'aérodrome d'Atsugi près de Tokyo. L'avion, un Curtiss C-46 Commando, s'est approché d'Iwo Jima à environ 10 000 pieds dans un ciel ensoleillé, lorsque Stringfield a été surpris de voir trois objets en forme de gouttes depuis sa fenêtre de droite. Stringfield est cité comme disant:

Ils étaient d'un blanc éclatant, comme du magnésium en train de br&ucric;ler, et se rapprochaient d'une trajectoire parallèle à notre C-46. Soudain, notre moteur gauche s'est mis en drapeau, et j'ai appris plus tard que les aiguilles magnétiques des instruments de navigation se sont déchaînées. Alors que le C-46 perdait de l'altitude, avec de l'huile jaillissant du moteur en panne, le pilote a déclenché une alerte; l'équipage et les passagers ont reçu l'ordre de se préparer à un atterrisage forcé!

Je ne me souviens pas de mes pensées ou de mes actions au cours des moments horribles qui ont suivi, mais mon dernier aperçu des trois «bogies» les mettait à environ 20 degrés au-dessus du niveau de notre avion de transport. Volant dans la même formation serrée, ils se fondirent dans un banc de nuages. Instantanément, le moteur de notre avion s'est mis en marche, nous avons pris de l'altitude et avons suivi une trajectoire régulière pour atterrir en toute sécurité sur Iwo Jima.

Tim Good dit que l'incident a conduit Stringfield à s'intéresser toute sa vie au sujet des ovnis, qu'il connaissait Stringfield comme un enquêteur honnête et diligent, ce qui pour lui confère une crédibilité supplémentaire à l'affaire.

Tim Good indique que sa source est"Stringfield, Leonard, Situation Red, The UFO siege, Doubleday, New York, 1977 pp 9-10."

[Ref. fre1:] FRANCIS RIDGE - THE NICAP WEBSITE:

Un C-46 Rencontre des Objets / Les Boussoles «S'Affolent»

28 août 1945

Pr. Iwo Jima, Japon

Keith Chester:

38 août 1945; pr. Iwo Jima, Japon

De jour. En tant que membre des premières troupes à entrer au Japon, le sergent Leonard Stringfield était embarqué dans un C-46, numéro 304. A bord se trouvait un «équipement spécial» que lui et neuf autres membres de l'équipe de renseignement de la Cinquième Force aérienne apportaient avec eux. Leur plan de vol était de quitter Ie Shima, de faire un court arrêt à Iwo Jima, puis de s'envoler vers l'aérodrome d'Atsugi sur l'île de Honshu, au Japon. Ils volaient à 10 000 pieds, entre les îles japonaises de Shima et Iwo Jima, lorsque leur «C-46 a soudainement eu des problèmes au niveau du moteur gauche». Soudain, «l'avion a plongé» et le moteur a eu du mal à continuer de fonctionner. Il a «craché de l'huile» et le C-46 a commencé à perdre de l'altitude, tombant d'environ 25 à 50 pieds. C'est à ce moment-là que Stringfield vit quelque chose qui le surprit complètement. En regardant par sa fenêtre «côté tribord», il a été «choqué de voir trois objets en forme de larme». En regardant attentivement, il a déterminé que les «trois gouttes non identifiables» avaient «à peu près la taille d'une pièce de dix cents tenue à bout de bras». Ils étaient «d'un blanc brillant, comme du magnésium brûlant». Volant en «formation serrée», les objets «se déplaçaient en ligne droite à travers des congères de nuages, apparemment parallèles au C-46 et à la même vitesse». Stringfield s'alarma; ils «semblaient être intelligemment contrôlés». Il était convaincu qu'il ne s'agissait pas d'avions américains réfléchissant le soleil. En fait, ils ne ressemblaient à aucun avion qu'il ait jamais vu. Ils étaient extrêmement avancés; Stringfield n'a vu ni ailes ni fuselage, et il n'y avait aucun contour d'objet solide derrière la masse de luminescence. Connaissant les derniers rapports et résumés des renseignements décrivant la forme et les caractéristiques des avions à réaction allemands et des Baka japonais, il était tout à fait sûr qu'il ne s'agissait pas d'avions ennemis. «Les aiguilles des instruments» dans le cockpit «se sont déchaînées.»

[Ref. dwn2:] DOMINIQUE WEINSTEIN:

Cas 146

28 août 1945

Entre Ie Shoma et Iwo Jima, Japon

Le pilote d'un C-46 en route pour occuper l'aérodrome d'Atssagi près de Tokyo a eu un dysfonctionnement du moteur gauche tandis qu'au même moment trois taches lumineuses de lumière vive suivaient son avion à une altitude de 10 000 pieds. Les lumières se déplaçaient en ligne droite à travers les nuages, en suivant la vitesse et en restant parallèle à l'avion. Le C-46 a plongé, a craché et a perdu de l'huile et de l'altitude et le système de navigation magnétique est devenu fou. Puis le pilote est monté et les lumières sont restées derrière son avion et son moteur a commencé à fonctionner normalement.

Sources: Analysis of UFO-like data before 1947, FUFOR, p.63 / Inside Saucer Post 3-0 Blue, Leonard Stringfield, 1957 / UFO Encyclopedia volume 2, Jerome Clark / Mysteries of the skies, Gordon Lore & Harold Deneault, NICAP, 1968, p. 128 / Strange Company, Keith Chester, 2007

[Ref. mmy1:] MACK MALONEY:

Le 28 août, presque deux semaines après la capitulation japonaise, qui a mis fin à la Seconde Guerre mondiale, un avion cargo américain C-46 a atterri à l'aérodrome d'Atsugi, près de Yokahama, au Japon. Environ 150 soldats américains étaient à bord, l'avant-garde d'une importante force américaine qui allait bientôt occuper et gouverner le pays vaincu pendant plusieurs années.

Mais quelque chose d'étrange est arrivé au C-46 sur son chemin vers ce débarquement historique.

L'avion volait à proximité de l'île d'Iwo Jima lorsque son moteur bâbord a commencé à tomber en panne. L'hélice crachait de l'huile et l'avion commença à perdre de l'altitude.

L'un des passagers était le sergent Leonard Stringfield, membre de l'équipe de renseignement avancée de la Cinquième Force aérienne.

Alors que l'avion commençait à tomber et que toute l'attention était attirée par le moteur gauche soudainement en panne, Stringfield regarda par la fenêtre droite et vit quelque chose d'étonnant.

Trois objets en forme de larme volaient en formation juste à côté du C-46 accidenté, correspondant parfaitement à sa vitesse.

Stringfield dira plus tard qu'il savait qu'il ne s'agissait pas d'avions américains ou japonais. Ils n'avaient ni ailes, ni fuselage. En fait, il n'y avait que peu de traces de masse derrière les boules de lumière vive.

Stringfield a gardé les objets en vue pendant environ une demi-minute avant qu'ils ne disparaissent dans les nuages. Un instant plus tard, le moteur en panne de l'avion est soudainement revenu à la vie. Bientôt, la trajectoire redevint normale et l'avion atterrit à Iwo Jima sans autre problème.

Bien qu'il se soit avéré que Stringfield était la seule personne à bord de l'avion à avoir vu les objets, il était convaincu qu'ils avaient quelque chose à voir avec le dysfonctionnement du moteur et sa récupération quelque peu miraculeuse.

Et bien qu'il n'ait jamais pu interroger directement les pilotes du C-46 à ce sujet, Stringfield a entendu plus tard que pendant l'incident, le système de navigation magnétique de l'avion était devenu «fou».

Cet épisode a eu un tel effet sur Leonard Stringfield qu'après la guerre, il est devenu un ufologue réputé, a écrit deux livres sur le sujet et a consacré beaucoup de temps à essayer d'obtenir des réponses à la question déroutante du Foo Fighter ainsi qu'aux incarnations ultérieures du phénomène.

(Ref. nip1:) "THE NICAP WEBSITE":

28 août 1945; près Iwo Jima

De jour. Le sergent. Leonard Stringfield dans un C-46 volait à 10.000 pieds, entre les îles japonaises de Ie Shima et Iwo Jima, lorsque leur «C-46 a soudainement développé des problèmes au niveau du moteur gauche». Soudain, «l'avion a plongé» et le moteur a eu du mal à continuer de fonctionner. Il a «craché de l'huile» et le C-46 a commencé à perdre de l'altitude, tombant d'environ 25 à 50 pieds. En regardant par sa fenêtre «côté tribord», il a été «choqué de voir trois objets en forme de larme». En regardant attentivement, il a déterminé que les «trois gouttes non identifiables» avaient «à peu près la taille d'une pièce de dix cents tenue à bout de bras». Ils étaient «d'un blanc brillant, comme du magnésium brûlant». Volant en «formation serrée», les objets «se déplaçaient en ligne droite à travers des congères de nuages, apparemment parallèles au C-46 et égales à sa vitesse». (Voir rapport détaillé) Remarque: «les aiguilles des instruments de navigation magnétiques» dans le cockpit «se sont déchaînées». (Keith Chester)

[Ref. get1:] GEORGE M. EBERHART:

28 août - Douze spécialistes du renseignement de la 5e Force aérienne volant à bord d'un C-46 à l'approche d'Iwo Jima (dans les îles Ogasawara, au Japon) voient trois objets blancs en forme de larme parallèles à l'avion. Les aiguilles de navigation se déchaînent, le moteur crache et l'avion vacille jusqu'à ce que les objets s'éloignent. L'un des passagers est le futur enquêteur sur les ovnis Leonard Stringfield. (Stringfield, Situation Red, Fawcett Crest, 1977, pp. 9-10; Strange Company 191-193, 209-211; NICAP, «C-46 Encounters Objects / Magnetic Compasses 'West Wild'»)

[Ref. ekl1:] EGON KRAGEL:

Cet auteur indique que le 28 août 1945, un avion C-46 survolait l'océan Pacifique, en direction de Tokyo. Trois semaines plus tôt, les deux premières bombes atomiques étaient larguées sur Hiroshima (6 août 1945) et Nagasaki (9 août 1945). L'un des occupants, le sergent Leonard Stringfield, raconte:

«J'étais l'un des douze spécialistes de la 5ème Air Force à bord d'un C-46 allant de Shima à Iwo Jima où nous devions faire un arrêt technique... [...] Nous volions à 3 000 mètres, en un ciel lumineux et ensoleillé, quand j'ai vu à travers une fenêtre tribord, et à mon grand étonnement, 3 objets en forme de poire. Ils étaient d'un blanc éclatant, comme du magnésium brûlant. Ils s'approchaient du C-46 en volant parallèlement avec lui. Soudain, le moteur gauche est tombé en panne. J'ai appris plus tard que les aiguilles magnétiques des appareils de navigation étaient devenues folles. Le C-46 tombait. De l'huile jaillissait du moteur en panne. Le pilote a donné l'alarme. L'équipage et les passagers ont été avertis d'être prêts à plonger. Je ne me souviens pas de ce que j'ai pensé ou fait pendant les horribles minutes qui ont suivi. La dernière vision fugace que j'ai eue des 3 engins était qu'ils étaient à environ 20 degrés au-dessus de nous. Puis, toujours en formation serrée, ils ont disparu dans un nuage. Immédiatement, notre moteur en panne a recommencé à tourner. L'avion a repris de l'altitude et nous a transportés en toute sécurité jusqu'à Iwo Jima.»

L'auteur dit que, marqué par cet épisode, Leonard Stringfield est devenu un ufologue de renom. Il a collaboré notamment avec le CRIFO, le CUFOS, le NICAP et le MUFON, quatre groupes d'études américains étudiant le phénomène. Et il a écrit plusieurs livres sur le sujet.

L'auteur indique que la source est «Leonard Stringfield, General Alert: UFOs, France Empire, 1978, pp. 27-28 - UFODATA Magazine, Septembre-Octobre 2007, pp. 34-35.»

[Ref. twf1:] SITE WEB "THE WHY FILES":

Le 28 août 1945, Leonard Stringfield (photo ci-dessus) était, avec d'autres, à bord d'un avion des USA C-46 en route vers Tokyo lorsque, à mi-chemin entre Ie Shoma et Iwo Jima, le moteur gauche de l'avion a commencé à tomber en panne. Alors que l'avion perdait de l'altitude, Stringfield a regardé par l'une des fenêtres et a vu trois gouttes de lumière blanche brillante, chacune d'environ la taille d'une pièce de dix cents tenue à bout de bras. Les «gouttes de lumière» se déplaçaient en ligne droite, restant parallèles à l'avion jusqu'à ce que l'avion s'arrête. Elles ont continué à voler sous l'avion jusqu'à disparaître dans un banc de nuages. Les objets volaient sur le côté gauche de l'avion - du même côté que le moteur qui crachotait.

[Ref. tai1:] SITE WEB "THINK ABOUT IT":

Date: 28 août 1945

Localisation: près d'Iwo Jima, en mer

Heure: jour

Résumé: Le Sgt. Leonard Stringfield dans un C-46 volait à 10 000 pieds, entre les îles japonaises de Shima et Iwo Jima, lorsque leur «C-46 a soudainement développé des problèmes au niveau du moteur gauche.» Soudain, «l'avion a plongé» et le moteur a eu du mal à continuer de fonctionner. Il a «craché de l'huile» et le C-46 a commencé à perdre de l'altitude, tombant d'environ 25 à 50 pieds. En regardant par sa fenêtre «du côté tribord», il a été «choqué de voir trois objets en forme de larme». En regardant attentivement, il a déterminé que les «trois gouttes non identifiables» avaient «à peu près la taille d'une pièce de dix cents tenue à bout de bras». Ils étaient «d'un blanc brillant, comme du magnésium brûlant». Volant en «formation serrée», les objets «se déplaçaient en ligne droite à travers des congères de nuages, apparemment parallèles au C-46 et égales à sa vitesse». (Voir rapport détaillé) Remarque: les «aiguilles des instruments de navigation magnétiques» dans le cockpit «se sont déchaînées».

Source: Keith Chester

Ce site Web a noté le même cas une seconde fois:

Date: 28 août 1945

Emplacement: Entre. Ie Shima et Iwo Jima, Japon

Heure:

Résumé: Trois objets en forme de larme, d'un blanc brillant, comme du magnésium brûlant, de la taille d'une pièce de dix cents, tenus à bout de bras, volaient en formation serrée et semblaient intelligemment contrôlés.

Source:

[Ref. get1:] GEORGE M. EBERHART:

28 août - Douze spécialistes du renseignement de la 5e Force aérienne volant à bord d'un C-46 à l'approche d'Iwo Jima (dans les îles Ogasawara, au Japon) voient trois objets blancs en forme de larme parallèles à l'avion. Les aiguilles de navigation se déchaînent, le moteur crache et l'avion vacille jusqu'à ce que les objets s'éloignent. L'un des passagers est le futur enquêteur sur les ovnis Leonard Stringfield. (Stringfield, Situation Red, Fawcett Crest, 1977, pp. 9-10; Strange Company 191-193, 209-211; NICAP, «C-46 Encounters Objects / Magnetic Compasses 'West Wild'» [link to https://www.nicap.org/450828iwojima_dir.htm])

[Ref. jbu1:] JEROME BEAU:

Leonard Harry Stringfield

Stringfield naît le vendredi 17 décembre 1920 à Cincinnati (Ohio, Etats-Unis). Au lycée, on le surnomme «Webster» parce qu'il aurait mémorisé la totalité du dictionnaire. Il obtient son diplôme en 1939.

En 1941, après avoir appris l'attaque de Pearl Harbor, il rejoint la 5? Air Force près de Wright Field. Il sert en Australie, aux Philippines et au Japon, d'abord comme journaliste puis comme membre du renseignement et du contre-espionnage.

Observation

En 1945 Stringfield est témoin d'une observation:

C'était le mercredi 28, pendant la période délicate de la réédition japonaise. J'étais l'un des 12 spécialistes de la 5? Air Force embarqués à bord d'un (bimoteur) C-46 allant de Ie-Shima à Iwo Jima où nous devions faire une escale technique pour rejoindre aussitôt après l'aérodrome d'Atsugi, près de Tokyo. Personnellement, j'avais la charge du renseignement. Nous devions arriver au Japon 3 jours avant les principales forces d'occupation. Nous approchions, volant à 3000 m, dans un ciel de grand soleil, quand, par un hublot de tribord, je vis à ma grande stupeur 3 objets en forme de poire. Ils étaient d'un blanc éclatant, comme du magnésium brûlant, et approchaient du C-46 en route parallèle. Tout à coup le moteur de gauche flancha. Je devais apprendre plus tard que les aiguilles magnétiques des appareils de navigation étaient devenues folles. Le C-46 perdit de l'altitude. L'huile se mit à jaillir du moteur défaillant et le pilote donna l'alerte. On prévint l'équipage et les passagers de se préparer au grand plongeon. Je ne me souviens pas de ce que j'ai pensé ou fait pendant les minutes effrayantes qui suivirent. Mais la dernière vision fugitive que j'eus des 3 engins les plaçait à environ 20° en élévation par rapport à nous. Cependant, toujours en formation serrée, ils disparurent dans un banc de nuages. Aussitôt, le moteur défaillant se remit à tourner rond. L'avion reprit de l'altitude et nous mena sans encombre à Iwo Jima.

Par la suite Stringfield entre chez Chemed, Corp., en 1950. Il va travailler pour la division de la Compagnie Chimique DuBois, dont il créera le département artistique. En parallèle, il se passionne pour les ovnis, et durant plus de 30 ans servira diverses organisations ufologiques majeures dans le domaine des relations publiques, finissant dans le Comité Directeur du MUFON.

[...]

[Ref. wia1:] "WIKIPEDIA" FR:

Leonard Stringfield, né en 1920 et mort le 18 décembre 1994, est un essayiste américain. Il a écrit de nombreux livres et des publications dans le domaine de l'ufologie, pour lesquels son autorité fut incontestable.

Biographie

Leonard Stringfield fut officier des services d'information militaire durant la Seconde Guerre mondiale. Après la guerre, il rejoint l'industrie de fabrication internationale Dubois Chemicals, où il exercera pendant 31 ans, en devenant directeur des relations publiques et des services de marketing. Intéressé par les OVNIS depuis la fin des années 1950, il écrivit plusieurs livres et publications sur le sujet et il fut appelé à collaborer au Rapport Condon. Il a pris sa retraite en 1981 et s'est consacré à plein temps à l'ufologie. Il est décédé en 1994 après avoir mené un long combat contre le cancer.

Chronologie de son activité

Foofighter

Stringfield a déclaré avoir vu un OVNI pour la première fois en 1945 au Japon, près d'Iwo Jima, trois jours avant la fin de la guerre, alors qu'il pilotait un Curtiss C-46 avec une douzaine de spécialistes de l'aéronautique. La rencontre lui fut tellement traumatisante qu'il essaya de l'oublier. Ce souvenir resta ancré dans sa mémoire, et au début des années cinquante, il s'est intéressé à l'ufologie eu égard aux nombreuses observations d'OVNI dans les Etats-Unis, depuis 1940. Stringfield fut convaincu que les Foo Fighters repérés par les pilotes pendant la guerre et les OVNIS découverts plus tard étaient de même nature et qu'il s'agissait probablement d'engins extraterrestres.

[...]

Note: on voit bien ici à quel point Wikipedia est peu fiable en matière d'ufologie: il est totalement faux que Stringfield pilotait le C-46. Par ailleurs, aucune référence n'est donnée dans la page quant à l'observation, dont la date n'est pas donnée non plus; ce n'est pas parce que l'observation avait été «tellement traumatisante» qu'il «essaya de l'oublier».

Informations aéronef(s):

Le Curtiss C-46 «Commando» (photo ci-dessous) était un appareil de transport bimoteur américain conçu à l'origine comme un appareil commercial de haute altitude. Au lieu de cela il a été utilisé comme appareil de transport militaire pendant la Seconde Guerre mondiale.

C-46.

Discussion:

Stringfield bizarrement écrit que l'avion décollait de «Ie Shima»; ce devait être Ie Jima, une île d'Okinawa avec un aérodrome. L'avion se dirigeait donc vers l'est jusqu'à Iwo Jima. Stringfield indiquait que l'observation s'est produite à mi-chemin du voyage; la distance entre Ie Jima et Iwo Jima étant de 1300 km.

Carte.

Il n'y a guère d'alternative ici: ou bien ce que Stringfield rapport est exact, ou bien il l'aurait inventé.

Evaluation:

Possibles engins extraterrestres.

Références des sources:

* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.

Historique du dossier:

Rédaction

Auteur principal: Patrick Gross
Contributeurs: Aucun
Reviewers: Aucun
Editeur: Patrick Gross

Historique des changements

Version: Créé/changé par: Date: Description:
0.1 Patrick Gross 17 janvier 2024 Création, [lsd1], [lsd2], [gld1], [lgs1], [jkl1], [jcf1], [lsd3], [lwr1], [jwa1], [dwn3], [gvo1], [lhh1], [jck2], [dwn1], [fre1], [dwn2], [nip1], [get1], [jbu1], [wia1].
1.0 Patrick Gross 17 janvier 2024 Première publication.
1.1 Patrick Gross 23 juin 2024 Addition [tgd1].
1.2 Patrick Gross 19 juillet 2024 Additions [rbm1], [ibl1].
1.3 Patrick Gross 2 août 2024 Addition [mmy1].

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Cette page a été mise à jour le 2 août 2024.