L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Quotidien de la Haute-Loire, le 14 octobre 1954.
Un automobiliste de Briatexte (Tarn), M. Jean Pierre Mitto, agent technique dans une société exposant actuellement aux Arts Ménagers de Toulouse a déclaré avoir rencontré à la tombée de la nuit, sur la route nationale N° 631, les passagers d'une soucoupe volante. Rentrant de Toulouse en compagnie de deux parents, a-t-il dit, j'ai soudain distingué dans le faisceau de mes phares deux petits personnages qui ont traversé la route à quelques mètres à peine de ma voiture. J'ai stoppé aussitôt et, à notre grand étonnement, nous vîmes alors s'envoler d'un pré voisin un grand disque rouge d'un diamètre de six mètres environ, montant à la verticale. L'engin disparut dans le ciel en quelques secondes.
De son côté un instituteur colonial actuellement en congé dans l'ile d'Oléron, M. Martin, affirme avoir rencontré dans l'ile deux jolies Martiennes mesurant environ 1,70 mètres, bottées, gantées et casquées de cuir. Les deux Martiennes se saisirent du stylo de M. Martin, tracèrent des signes incompréhensibles sur son carnet, tout en essayant de se faire comprendre. M. Martin aurait conservé précieusement ce manuscrit.
Dans la nuit de dimanche à lundi, les habitants d'une ferme située à quelques centaines de mètres du village de Montcourt (Meurthe et Moselle) ont été mis en émoi par un sifllement extérieur anormal. A travers les persiennes ils distinguèrent une lueur aveuglante qui paraissait fixée à flanc de coteau et qui disparut peu après en s'élevant verticalement. Les recherches entreprises en direction du lieu indiqué par les témoins ont fait découvrir, sur un chemin de terre, des traces de calcination intense. Des prélèvements de pierres et de terre ont été opérés pour être soumis à des experts.
Dans la nuit de samedi à dimanche, un boulanger de Bompas, Pyrénées Orientales, M. Sebelli [ou Sibelli] a aperçu, posé dans une rue de ce village un objet en forme de cigare d'environ deux mètres de longueur, entouré de lueurs frisées. M. Sibelli [ou Sebelli] réveilla des voisins qui assistèrent au départ rapide de l'engin.
Une étrange aventure, dans la nuit de dimanche à lundi (10/10/1954 au 11/10/1954) à M. Baptiste Jourdy, de Jonzieux, un petit village niché sur un haut plateau boisé, à 25 kilomètres au sud de St Etienne. M. Baptiste Jourdy conduisait à St Etienne le camion de laitier de M. Vallat, après avoir procédé au ramassage dans la région, vers 04h 15. Comme il arrivait à proximité de l'embranchement de la route du Chambon-Feugerolles, avant le hameau de Fonfrède, le moteur cala brusquement et les phares s'éteignirent. Instinctivement, le conducteur freina, mit le levier de vitesse au point mort, serra son frein à main et descendit. En bon mécanicien, il avait de suite pensé à un desserrage possible d'une corde des accumulateurs, qui aurait expliqué logiquement cette double panne de lumière et de moteur. A tâtons sous le capot, il vérifiait le câble... Soudain, il vit dans le ciel, au-dessus de lui, une énorme lueur se déplaçait dans le ciel, perpendiculairement à la route. La lueur était à une hauteur assez grande, mais sous le plafond des nuages et s'éloignait à grande vitesse. Il la suivit des yeux quelques secondes, peut-être une minute, il ne sait. Lorsqu'il revint de sa stupeur, il constata que, chose encore plus extraordinaire, les phares s'étaient rallumés, sans qu'il eut manoeuvré la commande. Les câbles et les cordes aboutissant aux accus étaient intacts et le moteur répondit à la première sollicitation du démarreur.
La même aventure est arrivée à deux marchands forains de Clamecy (Nièvre) MM. Henry Gallois et Louis Vigneron qui se rendaient en camionnette de bonne heure, à la foire de Corbigny. "Alors que je circulais sur le milieu de la route a déclaré M Gallois, j'ai ressenti comme une décharge de courant électrique sur tout le corps. Quelques secondes plus tard le moteur de ma voiture s'est arrêté et les phares se sont éteints."
"Puis j'eu comme le souffle coupé, car à cinquante mètres de moi environ, je venais d'apercevoir un engin de forme cylindrique d'un assez grand diamètre que j'ai pu comparer aux soucoupes. Cet engin avait une teinte grisâtre, mais je ne pus en distinguer les caractéristiques exactes. J'ai nettement vu à bord de cet engin, trois êtres de petite taille, qui m'ont paru de forme bizarre, mais dont il m'a été impossible de distinguer les traits. Il m'a semblée que l'un d'eux fumait, ou alors c'était une petite lumière qui se trouvait à bord. Mon camarade et moi nous étions immobilisés à l'intérieur du véhicule et dans l'impossibilité de nous déplacer. Ce n'est qu'après la disparition de cet engin et de ses occupants que nous avons pu continuer notre route. L'apparition n'a duré que quelques secondes, mais elle fut très nette et aucun doute n'existe pour moi". M. Louis Vigneron, a confirmé en touts points les dires de M. Gallois. D'autre part, M. Henry Chaumeau, charron à la Carie, près de Clamecy, a certifié avoir également vu cet engin...