L'article ci-dessous est paru dans le quotidien L'Est Républicain, France, page 5, le 1 novembre 1954.
Le Mont Palomar, en Californie, possède le plus bel observatoire du monde. C'est que le ciel y est particulièrement limpide, et que les astronomes trouvent là les meilleures conditions pour observer les astres. Georges Adamski, modeste commerçant de Palomar Gardens, sur le flanc de la montagne, à 17 kms de l'observatoire, n'est qu'un astronome amateur. Mais nuit et jour avec son télescope, il scrute le ciel. Il croit fermement aux soucoupes volantes. Il a même réussi à en prendre des photographies. Du moins croit-il reconnaître ces mystérieux objets sur ses clichés. Mais il allait avoir une révélation beaucoup plus éclatante des engins planétaires. Ecoutez-le plutôt: Ce fut à 12h30 environ, le Jeudi 20 novembre 1952 que j'entrai pour la première fois en contact personnel avec un homme d'un autre monde". C'est ainsi qu'Adamski commence le récit de cette extraordinaire rencontre. Il était allé, avec des amis, à Desert-Centre au-dessus de Blythe, en Californie. Un peu après 12h, les quatre personnes virent au-dessus des montagnes, un splendide "astronef" en forme de cigare. Le cigare vira brusquement sans bruit, et disparut derrière la montagne. Adamski eut alors l'intuition que cet astronef était venu à sa rencontre et qu'une soucoupe l'attendait un peu plus loin: "Que quelqu'un me conduise au bas de la route, vite" cria-t-il surexcité. Bientôt il était installé avec son télescope de 6 pouces et son Brownie Kodak, à l'endroit choisi par lui.
Il pria alors ses amis de s'éloigner, tout en continuant d'observer ce qui allait se passer. Quelques minutes plus tard, son attention fut attirée par une petite soucoupe qui disparut derrière un éperon rocheux. Quelques instants plus tard, il apercevait au seuil d'un ravin un être qui lui faisait signe d'approcher. Deux choses le frappèrent lorsqu'il fut à quelques mètres de l'individu: ses pantalons ressemblaient à des pantalons de ski, il avait des cheveux blonds longs et ondulés. De taille plus petite qu'Adamski, 1m65 environ, il paraissait aussi plus jeune, et surtout, d'une beauté presque irréelle, avec des mains d'artiste aux doigts effilés, un sourire radieux sur le visage. Adamski fut alors convaincu qu'il n'était pas en présence d'une créature terrestre! L'être de l'espace avait un visage rond, le front très haut, des yeux gris-vert, légèrement bridés, un petit nez finement ciselé, sa peau était légèrement bronzée et son visage aussi lisse que celui d'un enfant. Son vêtement était d'une seule pièce, d'une couleur brun chocolat. Une ceinture de 20 cm de large entourait sa taille et un galon plus clair de 3 cm, environ, bordait la ceinture. On ne voyait pas de bouton, ni de boucles, ni d'agrafes, ni de poches, ni de coutures. Aux pieds, le mystérieux visiteur portait des chaussures à tiges montantes, d'une matière extrêmement souple.
D'abord cloué par la stupeur. Adamski essaya bientôt d'entrer en conversation avec lui. Cela, n'alla point sans difficultés.