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Les OVNIS dans la presse quotidienne:

la vague française de 1954 dans la presse:

L'article ci-dessous est paru dans le quotidien La Voix du Nord, Nord - Pas-de-Calais, France, page 3, 9 septembre 1954.

Voir le dossier du cas.

Scan.

Une soucoupe volante
s'est-elle posée
près d'Amiens?

Deux maçons l'affirment
avec une troublante précision

Selon les dires de deux ouvriers, un engin mystérieux se serait, mardi matin, envolé d'un champ bordant la route qui relie Harponville à Contay, dans les environs d'Amiens.

Ayant quitté son domicile à bicyclette, pour se rendre à son travail à La Houssoye, M. Emile Renard, 27 ans, artisan maçon, demeurant route de Doullens à Acheux en Amiénois, était accompagné de son ouvrier, M. Yves de Gillaboz, 23 ans, demeurant route de Bertrancourt dans la même localité.

DANS UN CHAMP

Les deux cyclistes avaient traversé Harponville et se dirigeaient vers Contay, lorsque leur attention fut attirée par un gros engin, posé dans un champ à environ 200 mètres sur la droite de la route.

"On aurait dit une meule non terminée, déclarent-ils. Et le dessus quelque peu arrondi ressemblait à une assiette retournée".

Intrigués, les deux hommes sautèrent de leur machine, et en courant s'engagèrent dans les champs en direction de l'engin de couleur grise, qui pouvait avoir une dizaine de mètres de diamètre.

Il oscillait quelque peu, mais ne faisait aucun bruit, et sur sa paroi on distinguait une sorte de porte fermée plus large que haute.

L'ENGIN DISPARAIT

"Cependant, déclare M. Renard, alors que précédant mon compagnon, j'avais parcouru une cinquantaine de mètres, je vis l'appareil s'éléver en diagonale, tandis qu'une fumée s'échappait par une sorte de tuyau placé dans sa partie basse. A une quinzaine de mètres de hauteur, l'engin poursuivit son ascension en verticale et plus rapidement."

Et il finit par disparaitre aux yeux des deux hommes qui, médusés, se demandaient à quel phénomène ils venaient d'assister.

A la gendarmerie d'Acheux-en-Amiénois, où les deux hommes ont été longuement et séparément interrogés, on garde le silence le plus complet, se gardant d'infirmer ou de confirmer ce qui demeure pour tous un mystère.

MM. Renard et de Gillaboz ont été également conduits à l'endroit où ils avaient aperçu l'appareil. Mais là, aucune trace n'a été relevée sur le sol.

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Cette page a été mise à jour le 16 avril 2020.