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Les OVNIS dans la presse quotidienne:

R-U, le rapport Condign n'enfini as d'être discuté, 2007:

L'article ci-dessous est paru dans le quotidien The Guardian, R-U., le 22 février 2007.

S'il vous plait lisez ce que vaut vraiment ce "Rapport Condign" ici.

Pourrions-nous avoir été balladés en OVNI?

Des dossiers nouvellement déclassifiée pourraient mettre un terme au mystère, mais ce faisant d'autres sont laissés sans réponse

James Randerson

Ce n'est pas le genre de discussion que vous imaginez chez les ronds de cuirs de Whitehall, les analystes de la défense discutant de l'existence de petits hommes verts et spéculant de s'ils ont visité la terre ou non.

Mais un ensemble de documents nouvellement déclassifiés par le Ministère de la offre une perspectice fascinante sur l'intérêt des militaires pour les OVNIS. Ils racontent l'histoire de la décision du Ministère de la Défense d'étudier la menace qu'ils pourraient constituer et si la technologie militaire extraterrestre pourrait être employée pour la défense du royaume. Ils indiquent également les attitudes contradictoires à Whitehall sur le sujet et les peines que que les fonctionnaires se sont donnéEs afin de maintenir le projet secret.

Les documents, dont beaucoup sont marqué "Secret, seulement pour les yeux Britanniques", présentent le raisonnement pour le rapport du projet Condign, de trois ans, qui a analysé plus de 10.000 observations possibles d'OVNIS rassemblés sur plusieurs décennies, beaucoup venant de personnels militaires. L'existence du rapport de 460 pages a été révélée l'année dernière suite é des demandes d'information par David Clarke, un conférencier en journalisme à l'université de Sheffield Hallam, et à son collègue Gary Anthony. C'est par des efforts d'utilisation de la Loi sur l'Accès à l'Information de leur part qu'a été révélé ce paquet de papiers.

Les documents prouvent que des effort internes d'incitation pour une étude des OVNIS ont commencé en 1993. Dans une note résumée de la branche des enquêtes du Renseignement de la Défense - appelée DI55 - un auteur anonyme a écrit: "les implications en matière de sécurité nationale sont considérables. Nous avons beaucoup de rapports d'objets étranges dans les cieux et nous ne les avons jamais étudiés."

Réaction paranoiaque

"Je crois également qu'il est important d'apprécier que ce qu'est une "fait" scientifique de nos jour, qui peu être vrai aujourd'hui et faux demain... Si les rapports sont pris pour argent comptant alors il existe des engins qui n'utilisent pas les systèmes conventionnels de propulsion à réaction, ils ont un éventail très divers de vitesses et sont furtifs. Je propose que nous pourrions employer cette technologie, si elle existe."

Et il spécule: "Si les observations sont celles d'engins qui ne viennent pas de la terre alors leur but doit être déterminé en priorité... des possibilités sont: 1) la reconnaissance militaire. 2) scientifique. 3) le tourisme."

Selon un ancien analyste du renseignement au Ministère de la défense qui a demandé à ce que son nom ne soit pas mentionné, le Ministère de la Défense était paranoiaque vers la fin des années 80 de ce que l'Union Soviétique avait développé une technologie qui aurait dépassé les connaissances occidentales en physique. "Durant de nombreuses années nous craignions terriblement que dans certains domaines les Russes aient un savoir faire en physique que nous n'avions pas du tout. Nous ne savions tout simplement pas sur quelles bases ils travaillaient fondamentalement," a-t-il dit. "Nous avons encouragé nos scientifiques à ne pas penser que nous, à l'Ouest, aurions sur tout ce qui devait être connu."

Le matériel qui a été retenu de la publication originale par la Loi d'Accès à l'Information du rapport Condign, mais qui a été publié en octobre après qu'il ait été fait appel, suggère que le Ministère de la Défense ait suspecté que cette connaissance scientifique soit venue de l'étude des OVNIS - ou phénomènes aériens non identifiés (UAP) comme le Ministre de la Défense préfère les appeler. "Les républiques soviétiques russes, les anciennes républiques et les autorités chinoises ont fait un effort coordonné pour comprendre le sujhet des UAP. Plusieurs avions ont été détruits et au moins quatre pilotes ont été tués en 'pourchassant les OVNIS'."

L'une de conclusions du projet Condign était que des événements UAP pourraient être expliqués comme des phénomènes mal compris appelés les plasmas. Le rapport indique que les militaires russes faisaient des recherches en utilisant des plasmas comme antennes de réflecteur, réducteurs de traînée aérodynamiques, revêtement furtifs et les employait pour produire des "volumes en forme de soucoupes."

La demande initiale en 1993 pour un projet de recherche du Ministère de la Défense sur les OVNIS avait été enterré, mais dans une note postérieure datée du 19 juin 1995 suivant une augmentation subite des rapports d'OVNIS, le même commandant d'escadrille anonyme du DI55 a écrit: "jusqu'à ce que nous fassions une certaine analyse des dossiers nous n'aurons aucune idée de ce que représentent ces nombreux rapports. Si à n'importe quelle étape dans l'avenir il est démontré mque les UAP existent, alors il y a potentiellement de graves embarras."

Clarke, dont le livre "Flying Saucerers: The social History of Ufology" [Les Soucoupistes: Histoire Sociologique de l'Ufologie"] sera publié en avril, a dit: "ils savaient que parce qu'aucune étude détaillée du sujet n'avait jamais été effectué - et par conséquent ils n'avaient aucune idée de ce que les OVNIS étaient - ils ne pourraient pas justifier l'affirmation qu'ils ne sont pas une menace."

Nick Pope, qui a travaillé au bureau public du ministère de la Défense pour les OVNIS jusqu'en 1994 et est cité dans la correspondance, ajoute: "C'était toujours cela le grand débat. Comment pourriez-vous probablement accomplir le mandat d'examiner la question correctement pour voir s'il y avait quelque chose d'importance de la défense, sans une recherche et la mise en oeuvre d'enquêtes? Je pense que c'est un de ces sujets où il y a à la fois basse probabilité, et conséquence élevée," ajoute-il. "Pour la peine de devoir dépenser un petit peu d'argent, le potentiel de bénéfice s'il y avait quelque chose de la moindre importance pour la Défense justifierait bien cette dépense."

Mais combien d'argent le Ministère de la Défense a-t-il dépensé? Un document se rapporte à une estimation des coûts de 35,000£, alors que dans d'autres de 1996, le chef du renseignement de la défense (scientifique et technique) estimait qu'une étude d'un an coûterait 80,000£. Le projet Condign quand il a été entrepris a pris plus de trois ans pour se faire. Est-ce que cela signifie une fourchette de prix d'au moins 240,000£ ?

Non, selon le Ministère del a Défense, bien qu'il ne publie pas le chiffre effectif. "Cette supposition que la somme ira jusqu'à 80,000£ par an n'est pas soutenue et est imprécise. Elle a été estimée à parti d'un contrat existant dans des niveaux budgétaires existants," ajoute-il.

Le projet a été donné à un entrepreneur de confiance de la défense et bien que les détails du contrat n'aient pas été indiqués, les documents suggèrent qu'il ait été géré pour pour ne pas exposer le projet Condign à examen minutieux. Dans la correspondance initiale sur le sujet en 1993, une note du DI55 se rapporte "à l'embarras politique" potentiel si le projet devenait connu publiquement. La note continue: "je crois que l'ouverture d'un nouveau contrat spécialement pour une telle étude et faire un appel d'offre exposeraient potentiellement l'étude à un public trop large."

Mais Pope croit que c'était simplement une mesure pratique. "Utiliser un contrat existant va toujours être plus facile que de réellement commissionner un nouveau contrat," dit-il. "Ce n'était pas une tentative pour le mettre à l'abri des oreilles du public. C'était la solution la plus simple."

Esprits soupçonneux

Les notes internes et les notes sommaires sont pimentées de tonalités considérablement sceptique que le commandant du DI55 a rencontré chez ses supérieurs. Dans le dossier original d'août 1993, il écrit: "je suis bien conscient du fait que n'importe qui qui parle d'OVNIS est traité avec un certain degré de suspicion. Je vous parle de cela parce que le DI55 a une responsabilité OVNI, pas parce que je parle à des petits hommes verts chaque nuit!"

Et dans un document postérieur, il décrit un briefing par le DI55 sur le sujet. "Les scientifiques et les ingénieurs prenaient le sujet au sérieux tandis que les non-scientifiques (ou ceux sans culture scientifique) faisaient les plaisanteries habituelles au sujet des petits hommes verts et les hallucination de masse!"

Quand le projet Condign a finalement pris fin en 2000, il a conclu qu'il n'y avait aucune évidence que les UAP étaient d'origine extraterrestre. Mais il y avait une limite à ce que l'auteur a pu faire, parce qu'il ne lui a pas été permis d'interviewer les personnes qui avaient été témoin d'événements UAP ou de discuter avec des experts. [NdT: d'où l'incroyable bêtise de ce rapport!]

"La nature de la classification de sécurité signifiait qu'il ne pouvait pas discuter de l'étude avec des scientifiques qui auraient pu le conseiller sur la crédibilité des conclusions qu'il a tirées," dit Clarke. Ceci explique la conclusion embarrassante du projet que les UAP sont réels, mais causé par des plasmas étranges, qui sont sur les franges de la compréhension scientifique. "Il a finalement essayé d'expliquer un mystère en se référant à d'autres mystères," a dit Pope.

A lire à ce sujet:

Le Ministère de la Défense britannique a fait rédiger un rapport secret sur les OVNIS, qui dit qu'ils sont "essentiellement de la foudre en boule." La presse de 2006 jubile: "ET n'était qu'une bouffée de plasma?"

Les OVNIS qui font bang!
L'OVNI de Petit-Réchain.

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Cette page a été mise à jour le 24 février 2007.