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Les OVNIS dans la presse quotidienne:

Le cas de Beaucourt-sur-l'Ancre, 1957:

L'article ci-dessous est paru dans le quotidien France-Soir, Paris, France, le 14 mai 1957.

La "soucoupe volante" de Beaucourt-sur-l'Ancre divise le village en deux clans

Une scène digne d'un hallucinant roman "science-fiction" s'est déroulée dans un village de la Somme, où six personnes affirment avoir vu apparaître en même temps qu'une boule lumineuse quatre petits êtres étranges, dont l'un braquait sur la campagne un rayon aveuglant.

Cela s'est passé dans la nuit de vendredi à samedi dernier entre 22 h. 45 et 23 h. 15, à cent mètres à peine de la gare de Beaucourt-sur-l'Ancre. C'est un ouvrier, M. Michel Fekete, réfugié hongrois, qui, passant sur la route, fut "attaqué" par les "Martiens" et donna l'alerte à cinq personnes.

- Lorsque M. Fekete, déclarent-ils, nous eut appelé, nous avons nettement aperçu sur la route, a cent mètres de nous, trois ou quatre petits hommes vêtus de gris qui s'agitaient, éclairés par la luminosité se dégageant d'un engin d'ou émanaient des rayons tantôt rouges, tantôt blancs.

- A cette heure-la, affirment de leur côté M. et Mme Chatelain, notre fille faisait une tournée du bétail dans les champs, à l'endroit même où seraient apparus les Martiens. Ella portait pour s'éclairer une grosse lampe tempête...

Mme LEPOT, M. LEPOT ET Mme IKHLEF Y CROIENT

[Photo 1:] Mme LEPOT, 27 ans, mère de trois enfants: "je soignais ma petite fille malade lorsque j'ai entendu M. Fekete, qui criait dehors: "Venez vite voir... je viens d'être attaqué..." Je suis sortie et j'ai vu une formidable lumière..."

[Photo 2:] M. LEPOT, 30 ans, cantonnier à la S.N.C.F., était chez lui. Après avoir éteint la lumière, il est sorti sur le seuil: "j'ai très nettement aperçu une boule lumineuse d'où s'échappaient des rayons rouges et jaunes. L'engin se déplaçait lentement; il était gros comme ça... Peu après, j'ai distingué les silhouettes de trois petits hommes qui sent restés près de vingt minutes, allant et venant dans le champ et sur la route."

[Photo 3:] Mme IKHLEF, 26 ans, habite sur la route à 100 mètres de "l'apparition". Elle était avec son mari, chez M. Lepot: "On se moque de nous dans le village, mais je comprends cela. Moi non plus, avant, je ne croyais pas aux soucoupes volantes."

[Photo 4:] M. CHATELAIN, cultivateur, qui était dans les champs: "Laissez-moi rire, la soucoupe volante, c'était le falot de ma fille."

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Cette page a été mise à jour le 22 décembre 2006.