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L'incident de Pascagoula:

Interviews et enregistrement des témoins par la police:

Ces informations concernant le cas de Pascagoula proviennent d'un article du journal Clarion-Ledger de Jackson, en 1986. La source orifiginale de cette transcription d'interrogatoire est l'ouvrage "Beyond Earth: Man's Contact With UFOs," de Ralph et Judy Blum, pages 29-36.

Les intervieweurs des deux témoins Charles Hickson et Calvin Parker sont le Sheriff Fred Diamond et le Capitaine Glen Ryder.

Voyez la page principale sur le cas de Pascagoula pour d'autres informations.

"Je peux vous le dire ici et maintenant, et je jure devant Dieu, et je suis croyant, le jour ou je décéderais je dirais à tout le monde ce que j'ai vu. Et ce sera le même récit."

-Charles Hickson

Quand arriva la nuit de Dimanche les gens de la Presse avaient quitté Pascagoula. Le Dr. Hynek était sur le chemin du retour à Chicago, le Dr. Harder rentrait à Berkeley. A ce moment, tout le pays avait appris ce qui était arrivé à Charlie Hickson et à Calvin Parker.

C'était un drôle de moment pour arriver à Pascagoula - comme l'arrivée sur la scène d'un désastre après qu'il se soit produit. Les gens l'ont comparé au moment ou l'ouragan Camile avait frappé la côte. Les shérifs au nerfs d'acier ont dû parler de ce qui s'était produit. Peut-être qu'une semaine plus tard, quand les choses seraient redevenues normale, je n'aurais pas été invité au bureau du shérif pour entendre et copier l'interrogatoire enregistré sur bande magnétique à peine pendant trois heures après que Calvin et Charlie ont vu la lumière bleue clignotante. C'était la première fois dans n'importe quelle rencontre notable avec un OVNI que le témoignage des participants a été enregistré tellement vite, et sur bande.

J'ai essayé d'imaginer les sentiments de Charlie et de Calvin pendant qu'ils racontaient leur histoire. J'avais vu leur état: deux hommes à la limite de l'effondrement qui avaient traversé une expérience pour laquelle rien sur terre ne pourrait les avoir préparées.

L'entrevue a été menée par le Sheriff Fred Diamond et le capitaine Glen Ryder à environ onze heures dans la soirée du jeudi. Elle a commence avec la voix de Charlie:

- ... bien que je vais être la risée du pays, je vais raconter ce que j'ai vu, et l'expérience que j'ai eue...

Vous avez dit que vous vous appellez?

Charles Hickson. H-i-c-k-s-o-n. Bien que le gens de Jackson County vont se moquer, je vais faire ce que je sais être juste. C'est tout ce que je peux faire. Et je ne m'attends pas à ce que quelqu'un me croie. C'est tout simplement pas croyable.

Il y avait une gravité dans la voix de Charlie. Comme si il devait se forcer à faire sortir les mots de sa bouche, se forcer à les prononcer.

- Nous devons juste savoir ce qui s'est passé. Ce qui vous est arrivé, depuis le début.

- Et bien, ça sera la troisième fois.

- Nous devons juste être sûrs. Entendre votre histoire. C'est ce qui nous a convaincu.

- OK. OK. Calvin et moi, ce garçon - il travaille avec moi - nus sommes descendus vers l'ascenceur à céréales le long du fleuve. Nous avons attrapés quelques poissons par là, quelques perches, pas grand chose. Alors j'ai dit à Calvin, fiston, montons vers le vieux bassin maritime Shaupeter. j'avais pris des poissons rouges par là, et des truites mouchetées.

- C'est votre fils?

- Non, non. C'est juste un ami. Il est du conté de Jones. C'est de là que je viens. J'ai une ferme et une maison là bas. Bon, donc nous y sommes allé pour essayer un petit moment. Nous nous sommes installés pour pêcher. Je ne sais pas comment - je pense que nous avons du voir la chose au même moment. C'était une lumière bleue. Elle faisait des cercles.

- C'était à quelle hauteur?

- On ne pouvait pas vraiment dire. Il n'était pas si près. Mais il n'était pas à deux - trois miles de distance. Il était assez près.

- Et une lumière bleue - vous êtes étonnés quand vous regardez dans le ciel et vous voyez une lumière bleue. Elle attire vraiment votre attention sur elle. Alors en juste un petit moment, elle vient droit juste au-dessus du bayou. Vous savez, à environ deux - trois pieds au-dessus de la terre.

- A quelle distance était-ce?

- Vingt-cinq, trente yards. Mais peut-être trente-cinq, quarante yards. Quand vous voyez quelque chose comm ça, ça vous fiche une trouille d'enger! Et je pouvais pas le croire. J'au conmmencé à me dirifer vers le fleuve-

- Y avait-t-il un son?

- Un faible bruit de bourdonnement - nnnnnnnn, nnnnnnnn quelque chose comme ça, c'est tout. N'y avait pas d'échappement ou de souffle ou quelque chose de ce genre. Et, vous pensez que vous êtes en train de rêver qu'une chose comme ça se passe, vous savez. Et j'ai commencé à frapper le fleuve. Et Calvin est simplement - il est devenu hystérique.

- Quel est le nom de famille de Calvin?

- C'est Parker. Calvin Parker, Junior. Il a le nom de son père.

Charlie fit une courte pause, puis poursuivit:

- Alors nous étions droit sur le fleuve. Cela n'a pas touché le sol. Celà planait. Et tout d'un coup - exactement à son extrémité - cette ouverture est apparue là, et trois d'entre eux ont simplement flotté hors de la chose. Ils ne touchaient pas le sol.

- Ils n'avaient pas de pieds?

- Non, ils n'avaient pas d'orteils. Mais ils avaient une forme de pieds... C'était plus ou moins comme une chose genre ronde à leur jambe, si vous pouviez appeler ça une jambe. J'ai été effrayé à mort. Et j'étais là avec ma bobine de canne à pêche - c'est tout ce que j'avais sur moi. Je ne pouvais pas - bien, j'étais tellement effrayé - bon, vous ne pouvez pas imaginer. Calvin était tombé en pleine crise de nerfs -

- Et alors qu'est ce qui est arrivé? Ils ont marché sur vous?

- Ils ont juste - non, ils ont juste glissé vers vers moi. Alors l'un d'eux à fait un peu de son bourdonnant, et les deux autres n'ont jamais fait aucun son.

- Quel genre de son?

- Juste ZZZZZZ zzzZzZZZ.

- Ca sonne comme une machine?

- Ouais, comme ça. Ca pourrait avoir été un contact avec les autres. Vous voyez, je ne sais pas. A ce moment j'étais tellement effrayé que je se savais plus rien. Et deux d'entre eux ont juste flotté autour de moi et derrière et m'ont soulevé au dessus du sol.

- Par vos bras?

- Par mes bras. Avec leurs trucs en pinces. Ils ont du avoir fait quelque chose. J'ai été soulevé du sol.

- Pourtant ils n'ont pas utilisé la force?

- Pas de force. Ils ne m'ont pas fais mal. Je ne sentais rien.

- Et que faisait votre ami alors?

- Il s'est juste évanoui. Et ils m'ont fait glissé dans cette chose. Vous savez, comme quand on guide quelqu'un. Tous nous nous déplaçions comme si on flottait en l'air. Quand je suis entré là, ils m'ont eu, vous savez, ils m'avaient eu, là. Il n'y avait aucun siège, aucune chaîne, ils m'ont juste fait flotter. Je ne pouvais pas leur résister, j'ai juste flotté - n'ai senti aucune sensation, aucune douleur. Ils m'ont maintenu dans cette position un petit moment, alors ils m'ont remis droit.

- Vous avez dit qu'ils ont utilisé un genre d'appareil sur vous, n'est-ce pas?

- Un certain genre d'instrument, je ne sais pas ce que c'était. Je n'avais jamais rien vu comme ça dans ce que j'appellerai des instruments avant.

- A quoi il ressemblait? Pourriez-vous le décrire?

- Je ne pourrais tout simplement pas le décrire.

- Etait-ce comme un appareil de radiologie?

- Non ce n'était pas comme une machine à rayon X. Il n'y a pas moyen de la décrire. Cela ressemblait à un oeil. Comme un grand oeil. Il avait une chose attachée après. Il s'est déplacé. Il ressemblaot à un grand oeil. Et il est allé partout sur mon corps. De haut en bas. Et alors ils m'ont quitté.

- Ils vous ont laissé dans la machine?

- Il m'ont laissé tout seul. Et la position dans laquelle ils m'ont laissé - je ne pouvais pas me mouvoir. Je pouvais seulement bouger les yeux. Et je ne sais pas combien de temps ils m'ont laissé. Je ne sais pas même si j'étais resté conscient mais je pense. Et alors ils sont revenus.

- Ils vous ont laissé combien de temps?

- Je ne sais pas. Je porte jamais de montre.

- Combien de temps diriez vous?

- Je dirais vingt à trente minutes. Puis, quand ils sont revenus, ils m'ont à nouveau étendu en plus en arrière.

- Vous n'avez pas essayé de leur parler, leur demander ce qui se passe?

- Mais j'obtennais juste un bourdonnement de l'un d'entre eux. C'est tout. Ils ne m'ont prêté aucune attention, ni à mes paroles ni à rien.

- Ils avaient combien d'yeux?

- Il pourrait y avoir eu des yeux mais je n'en ai pas vu. Mais il y avait quelque chose qui sortait droit hors de leur face là où plus ou moins un nez se trouverait sur un visage humain.

- Ils avaient des cheveux?

- Je ne sais pas. Je jure que je n'en sais rien. C'est un vide dans mon esprit.

- Vous les avez regardé n'est-ce pas? Est-ce qu'ils respiraient?

- Je vous jure que je s'en sais rien.

- Ils étaient grands comment?

- Ils avaient environ cinq pieds de haut.

- Ils n'avaient pas quelque genre de vêtement?

- Pas de vêtement que j'ai remarqué.

- Et vous pouvez me dire de quelle couleurs ils étaient?

- Ah vous, effrayé comme j'étais -

- Ils étaient blanc? pâle, bleu? vert?

- Le mieux que je puisse me rappeler, ils avaient l'air assez pâles pour moi -

- Une peau plissée?

- Ca se pourrait. Ca ressemblait à quelque chose de collant à la peau. Peut-être qu'ils portaient quelque chose, peut-être que pas. Je ne sais pas.

- Vous dites que sous le nez il y avait une ouverture?

- Comme une fente - et je n'ai jamais vu un mouvement de cette ouverture. Et ils avaient quelque chose de chaque côté de la tête qui ressemblait à des oreilles, mais ne ressemblaient pas aux oreilles que nous connaissons. Et la tête - je n'ai vu aucun cou. Il semblait que la tête repose directement sur le corps.

- Etait-ce juste après la tombée de la nuit?

- C'était pas longtemps après la tombée de la nuit.

- Et ben, pourquoi vous avez attendu aussi longtemps pour nous appeler?

- Et bien, M. Fred, quand je suis sorti de là, je savais que personne ne me croira. Je suis allé au Mississippi Press, j'ai tambouriné à la porte. Il y avait ce gars de couleur assis à un bureau. J'ai dit que je voulais voir un journaliste. Il a dit qu'il n'y aura aucun journaliste avant le matin. J'y ai encore réfléchi. Si j'appelle le département du shérif ils ne me croiront pas. Si j'appelle la police départementale ils ne me croiront pas.

- Ben, comment pouvez-vous savoir avant d'essayer?

- Ben, je m'excuse pour cela. C'est ce que j'avais cru.

- Combien avez vous bu?

- Je n'avais pas bu du tout, mais dans les 45 minutes à une heure avant que je vous aie appelé, j'ai bu! Je devais calmer mes nerfs. J'étais en train de devenir fou. Et il faut que je rentre et parle à ma femme. Elle doit être complètement affolée maintenant.

- Votre femme va bien. Vous vous rappelez être parti?

- Parti où?

- Du vaisseau. Quand ils vous ont sorti.

- La seule chose que je me rappelle est le jeune, Calvin, juste planté là. Je n'ai jamais vu une terreur pareille sur le visage d'un homme, comme j'ai vu sur Calvin. Ca m'a pris un moment pour lui faire reprendre son contrôle, et la première chose je lui ai dit c'était, fiston, il y a pas un chat qui croira ça. Gardons tout ça entre nous. Bon, après plus j'y réfléchissais plus je pensais que je devais en informer des officiels.

- Qu'est ce qu'ils ont fait quand ils vous ont laissé partir?

- Pouvez vous décrire leur véhicule?

- Oui, je peux. C'était d'environ huit pieds de haut. Il n'était pas rond. Il était oblong, comme oblong, et l'ouverture qu'il a eue était à une de ses extrémités. Les seules lumières que j'ai vu sur l'extérieur étaient cette lumière bleue.

- Dedans, ils ont quoi comme lumière?

- Je n'ai vu aucune ampoule ni rien. C'était simplement illuminé. Mais il faisait vraiment clair.

Charlie dit comment il a essayé d'appeler la base aérienne de Keesler et comment ils lui ont dit d'appeler le shérif. Il y avait quelques questions de plus et l'interview prit fin.

Le shérif Diamond a demandé à Charlie de revenir le matin pour faire un rapport complet. Charlie a indiqué qu'il ne voulait aucune publicité, et il ne voulait pas affoler sa famille. Puis Diamond et le capitaine Ryder sont sortis et ont laissé les deux seuls hommes dans la chambre avec le magnétophone qui tournait toujours.

La voix de Charlie tremblait quand il a dit à Calvin: "je ne peux plus supporter ça longtemps" et Calvin semblait terrorisé.

CALVIN: Je dois rentrer à la maison et je dois me coucher ou trouver des tranquilisants ou voir le docteur ou quelque chose. Je ne peux plus tenir. Je suis sur le point de devenir à moitié fou.

CHARLIE: Ecoute, quand on en aura fini, je te trouverai quelque chose pour te reposer et que tu puisse bon sang t'endormir.

CALVIN: Je peux pas dormir comme je suis là. J'en deviens dingue.

CHARLIE: Bon, Calvin, quand ils t'on sorti - quand ils m'ont sorti hors de cette chose, bon sang ont va jamais de la vie sans sortir.

Sa voix devenant plus forte, Calvin a dit, "mes fichus bras, mes bras, je me rappelle qu'ils se sont tout simplement immobilisés et je ne pouvais pas me bouger. Comme si j'avais marché sur un fichu serpent à sonnette."

"Ca ne m'a pas fait ça," soupira Charlie.

A ce moment les deux hommes semblaient de parler à eux-même.

CALVIN: Je me suis évanoui. J'ai jamais pensé de toute ma vie que je m'évanouirais.

CHARLIE: J'ai jamais rien vu comme ça dans toute ma vie. On peut pas convaincre les gens -

CALVIN: Je ne veux pas rester assis là. Je veux voir un docteur -

CHARLIE: Ils feraient mieux de se réveiller et de commencer à y croire... ils feraient mieux de commencer à y croire.

CALVIN: Tu as vu comme cette fichue porte est apparue?

CHARLIE: Je sais pas comment elle s'est ouverte, fiston. Je sais pas.

CALVIN: Elle est juste apparue là et ces f. de p. en sont sortis.

CHARLIE: Je sais. On peux pas croire ça. On peux pas concaincre les gens de ça -

CALVIN: J'ai été paralysé juste moment, Je ne pouvais plus bouger -

CHARLIE: Ils ne le croiront pas. Ils le croiront un de ces jours. Ca pourrait être trop tard. Je savais qu'il y a des gens dans d'autres mondes là haut. Je l'ai toujours su. Je n'ai jamais pensé que ça m'arriverait à moi.

CALVIN: Tu sais bien que je ne bois pas.

CHARLIE: Je sais ça, fiston. Quand j'arrive à la maison je vais me payer un autre verre, pour me faire dormir. Ecoute, pourquoi on reste assis là. Je dois parler à Blanche... Qu'est ce qu'on attend?

CALVIN (paniqué): Je dois rentrer à la maison. Je deviens malade. Je dois sortir de là.

Ensuite Charlie se lève, et Calvin reste seul.

CALVIN: C'est dur à croire ... Oh mon Dieu c'est affreux... Je sais qu'il y a un Dieu là haut ...

Ses paroles, alors qu'il se met à prier, deviennent inaudibles.

Le cas de Pascagoula n'est pas unique. Comme le Dr. Hynek l'a précisé, des gens tout autour du monde, pendant des années, avaient vécu des "rencontres rapprochées" avec des engins bizarre, et, dans de nomreux cas, le contact avec des "occupants."

Mais c'était la première fois que j'avais vu moi-même l'effet profondément inquiétant d'une rencontre OVNI sur deux êtres humains ordinaires. Il était impossible d'être avec Charlie et Calvin - ou d'écouter cette bande - et de ne pas croire que quelque chose de terrifiant leur était arrivée.

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Cette page a été mise à jour le 3 décembre 2002.