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Les OVNIS dans la presse quotidienne:

Ceci est l'article de journal "OVNIS: LA MAIN DE LA SECURITE NATIONALE SUSPECTEE PAR DES ENQUETEURS," par Judith Karns, rédacteur en chef de l'Observer de Flushing, publié dans The Flushing Observer, Michigan, Etats-Unis, le dimanche, 24 avril 1988.

OVNIS: DES ENQUETEURS SUSPECTENT DES AGISSEMENTS DE LA SECURITE NATIONALE

par Judith Karns, Observer Managing Editor

Ils disent que ce n'est pas vrai: il n'existe rien de tel que des "soucoupe volantes." Bien que notre gouvernement ait passé une décennie à s'occuper de grandes recherches, (le projet Bluebook, Majetic 12), soudainement, un beau jour, le couvercle de sécurité a été si puissemment refermé sur le sujet des visiteurs extraterrestres (certains spéculent même qu'ils sont sub-terrestres) que même le couic d'une souris ne puisse plus se faire entendre. Et une fois ce couvercle refermé est venu le démenti "officiel" de l'existence du phénomène.

Pourquoi, alors, demandent les résidents de Flushing Shirley et George Coyne, directeurs d'état du MUFON (Réseau Mutuel OVIS basé à Seguin, Texas), devraient-ils être choisis comme sujets ce qu'ils appellent une "intimidation," par ce qu'ils suspectent pouvoir être l'Administration de la Sécurité Nationale (NSA), un des opérateurs les plus secrèts du renseignement de notre pays?

Les Coynes s'étaient rendu compte depuis longtemps que leur recherches dans le domaine délicat des investigations sur les OVNIS pourraient leur apporter une certaine attention gouvernementale; ils ont entendu de longues histoires d'autres qu'eux qui avaient été impliquées dans ce sujet depuis bien plus longtemps qu'eux. Mais ce n'est pas avant Dimanche, 10 janvvier de cette année, vers 11:30 heure du matin, qu'ils étaient certains d'être les cibles d'une curiosité considérable.

les Coyne étaient dans la chambre à coucher de leur mobile home à deux pièces. Shirley était assise sur le plancher, George dans une chaise voisine. Allongée sur le lit, une femme profondément en transe par des suggestions hypnotiques de l'hypnothérapeuthe Virginie Tilly qui était assise dans une autre chaise près du lit.

La scène n'était pas inhabituelle. les Coyne, au cours de leurs investigations, contactent souvent les sujets qui ont des soupçons forts que leur observation d'OVNIS sont plus que ce que leurs yeux ont perçus. Et quand ceci se produit, "Ginny," professeur d'école et un hypnothérapeuthe de St Joseph, est appellée pour aider à arriver au fond du vague magma de la spéculation.

Selon Shirley, cette session de régression particulière avait été arrangée par deux appels téléphoniques, l'un au témoin et l'autre à Ginny Tilly.

Tandis que Ginny interrogeait le sujet en regression, dans la distance lointaine pouvait être entendue l'approche d'un hélicoptère. De sa position avantageuse sur le plancher, Shirley avait été absorbée de sa propre manière par les clignotements séquentiels des petites lumières rouges sur le magnétophone à commande vocale de Ginny.

A peu près au moment même où ils se sont rendu compte que l'hélicoptère ne passait pas simplement près, Shirley s'est rendu compte que les lumières rouges sur l'enregistreur s'étaient arrêtées. Et ne souhaitant pas déranger la progression de l'hypnose, elle a couru dans la pièce adjacente pour chercher son propre magnétophone, qu'elle a mis en route. C'est sur cet enregistreur que l'approche de l'hélicoptère en une position stationnaire au-dessus de leur mobile home est enregistré.

Selon Ginny, le contenu de sa bande, avant qu'elle nait été "coupée", contenait des commentaires du sujet à propos de "ceux qui se dissimulaient" et qui étaient en ce même moment en train d'approcher dans "cet hélicoptère là, et elle a également fourni une description de l'hélicoptère quoique ses yeux aient été fermés et que les rideaux aient été tirés. On a appris plus tard que le sujet a eu des expériences précédentes avec de tels véhicules près de sa maison dans une autre partie de l'état. Et, "elle a indiqué une heure, une une date, et une plage en Virginie où, censément, les étrangers ont donné au gouvernement des États-Unis une technologie pour pouvoir écouter (des entretiens privés) ", a indiqué Ginny.

En attendant, George était allé à sa voiture rechercher son appareil photo qui était dans le coffre juste au moment où l'hélicoptère les survolait. Shirley l'a rejoint à temps de voir l'hélicoptère "s'incliner" vers le bas pendant qu'il manoeuvrait pour s'éloigner d'eux. En raison de son départ rapide, George n'a pas pu en obtenir de photographie.

C'est l'évaluation des Coynes que, bien qu'il n'ait plus directement plané stationnaire au-dessus d'eux à nouveau, le véhicule a fait des cercles autour du mobile home pendant la durée de la régression hypnotique, pendant approximativement un heure et demie.

Ils l'ont décrit comme noir mat, et grand - au moins pour quatre à six passagers. (d'autres descriptions sont retenues sur demande de George et de Shirley.) Les fenêtres étaient teintes en sombre. George a noté un "câble" qui semblait visiblement aller de l'arrière de l'hélicoptère vers l'avant, et son impression était que c'était une certaine sorte d'antenne.

De fait, le sujet hypnotisé a téléphoné aux Coyne un certain temps après pour leur dire qu'elle avait oublié un détail de l'hélicoptère - ce qui semblait être un câble connectant l'avant et l'arrière.

"J'allais vous dire quelque chose, mais j'ai pensé que je ne devrais pas," a dit Wright. Et il a continué en leur disant que juste avant que son appel téléphonique en arrive à la prise de ligne, la voix d'un homme est arrivée sur la ligne, "comme si quelqu'un avait pris fait un branchement sur la ligne dans ma propre maison. C'était une voix masculine - dans la quarantaine - qui avait dit, "juste une minute; je dois m'occuper de ça," comme si il était quelque part en train de se brancher sur la ligne et parlait à quelqu'un d'autre."

Wright dit que son impression initiale était que la ligne de Coyne avait était sur écoute, toutefois il dit, "ce pourrait avoir été ma ligne plutôt que la leur. Leur téléphone n'avait pas encore sonné." Ginny Tilly, bien qu'elle soit certaine que ses actions sont surveillés par un moyen comme l'écoute téléphonique, juge que la situation est plus une marque de curiosité et de recherche d'information plutôt qu'une action d'intimidation.

Les Coyne ont leurs propres idées au sujet des écoutes téléphoniques, et prennent en grande considération leurs (plusieurs fois chaque semaine) appels fréquents constitués d'une seule sonnerie n'aboutissant qu'à une tonalité quand il répondent, et ils ont été attentifs à une information qu'ils ont reçue concernant la possibilité que ces tonalités sont conçues pour activer un 'micro' (un dispositif caché d'écoute) dans leur maison.

Le 29 Mars les Coyne étaient prêt à effectuer un court voyage de plusieurs jours. Avant leur départ, ils ont passé un appel téléphonique à l'ami qu'ils étaient sur le point de visiter, pour indiquer qu'ils se mettaient en route. Ils ont alors commencé leur trajet au Sud-Ouest vers la frontière d'état. Tandis qu'ils s'approchaient de Bancroft, dans leur chemin vers Lansing, Shirley a soudainement remarqué une chose familière - un hélicoptère noir. Il planait au delà d'un pont sous lequel ils venaient juste de passer.

Au début, leur spéculation était que c'était une coïncidence. Cependant, leur inquiétude est montée d'un cran tandis qu'ils continuaient à conduire et l'hélicoptère continuait à rester en vue, mais trop loin pour être photographié.

George a décidé qu'il voulait mieux le voir, et a garé le véhicule sous un pont pour chercher ses jumelles dans le coffre.

L'hélicoptère, qui avait continué son chemin, a soudainement tourné et est rerevenu vers eux pour les suivre sur un trajet total d'approximativement 90 miles. C'était le retour de l'hélicoptère qui les a convaincus qu'ils n'étaient pas les sujets d'une coïncidence.

Le Mardi, 5 Avril les Coyne ont été témoin d'un avion noir sans identification qui faisait des cercles autour de leur mobile home, l'incident ayant probablement un certain rapport avec une perturbation de l'horloge de leur four micro-ondes, qui s'est arrêtée, et a clignoté la en affichant constemment l'heure ou Coyne à observé l'avion.

Le témoignage des Coynes sur de la visite initiale de l'hélicoptère dans le secteur de Flushing a fait l'objet d'un examen minutieux par un représentant de la FAA (Administration Fédérale de l'Aviation), et un militaire.

Chuck Pine, un inspecteur de la sûreté de l'aviation de la FAA venu de l'aéroport du comté de Kent, a eu l'occasion d'entendre l'enregistrement. Il a dit, "il a un 'whoomp' défini... pour moi il ressemble à celui d'un Huey." Pine hésitait à se montrer trop concluant dans son rapport, mais a concédé que les "Huey" ont un son bien a eux, et que l'enregistrement semblait être celui de ce som. Pine est également un pilote commercial et un ancien aiguilleur du ciel.

"J'ai ammené la bande et le dessin (un dessin de Shirley) à un gars qui est haut placé dans les militaires, " a dit Dan Wright. "il a dit, 'il n'y a aucun doute dans mon esprit; je parierai ma vie que ceci est un Huey.'" a indiqué Wright, qui ajoute que selon les informations qu'il a obtenue sur le "Huey" (construit par Bell Corporation) il est suggéré qu'il soit reservé pour l'usage des militaures et du renseignement et n'est pas fourni au secteur privé.

Wright a eu quelques problèmes lui-même récemment. Il a eu des raisons de croire que le FBI gardait un dossier sur lui, et avait demandé, par la la Loi sur la Liberté de l'Information, une copie de ce dossier.

Cependant, avant qu'il ait reçu leur réponse selon laquelle ils n'ont rien trouvé le concernant, il a éprouvé une période de neuf jours où il n'a reçu aucun courrier. Wright a exprès attendu une période prolongée avant de s'en ouvrir à la Poste, estimant que plus de crédit pourrait être prêtée à la situation si la période excédait une semaine.

En entrant en contact avec la poste, on lui a dit qu'il serait apparemment parti en vacances, et que le facteur a probablement noté que sa boîte aux lettres était pleine et a simplement retenu le courrier.

La réponse de Wright à ceci était d'admettre qu'il était parti en vacances. Cependant, la distribution du courrier s'était arrêtée après son retour. Il n'avait même pas de boîte aux lettres, il avait une fente dans sa porte, et le porteur de lettre ne pouvait pas avoir déterminé combien de courrier avait été délivré. Le courrier lui a alors été promptement remis.

Ceci - ce qui arrive au Coynes - est très intimidant," a dit Wright.

"Ils veulent que les Coyne sachent qu'ils sont surveillés. En ce qui me concerne, cela commence et cela s'arrête avec le fait que nous avons demandé tous ces documents [FOIA], et ils ne veulent pas de discussions publique du problème des OVNIS.

"Qui que ce soit qui fasse cela... s'ils veulent nous inquiéter, nous ne sommes pas totalement sans défense."

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Cette page a été mise à jour le 4 mai 2002.