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Les Dropas:

Est-il possible que des extraterrestres aient atterri en Chine il y a très longtemps suite à l'écrasement de leur vaisseau spatial et s'y soient installés? Des scientifiques et des archéologues auraient étudié des tombes, des restes, et d'étranges objets, un ethnologue en a discuté avec leur descendants, un linguiste a traduit leur récit... Mais aucune étude récente ne s'est intéressée à cette affaire incroyable, qui pourrait bouleverser tout ce que nous croyons savoir de notre histoire et de notre place dans l'univers, et qui finalement ne servira qu'à servir de trame à un épisode de la série X-Files.

Source de cet article:

Enfin quelques nouvelles informations et enquêtes sur cette affaire exceptionnelle.

Il s'agit d'un extrait provenant du magazine FATE, août 1998, par Stig Agermose, intitulé "The Chinese Roswell", publié brièvement sur la page http://www.llewellyn.com/fate/9808/pr2_0898.htm qui a entre-temps disparue. Une recherche dans le site du magazine montre qu'il n'y figure rien ou plus rien sur les Dropas.

La page principale concernant cette affaire se trouve ici.

L'article:

Pendant 35 ans, une histoire a circulé à propos d'un supposé ovni écrasé il y a 12000 ans dans une zone montagneuse éloignée de Chine. Quand j'ai entendu pour la première fois parler de cette histoire, j'ai pensé que c'était de la science fiction. Mais de nouveaux développements m'ont fait changer de point de vue.

Cela a commencé début 1937, avec une expédition conduite par l'archéologue Chi Pu-Tei, à travers les montagnes de Bayan-Kara-Ula, dans la province de Qinghai.

Le groupe découvrit quelques cavernes dans lesquelles d'étranges squelettes étaient enterrés. Tous les squelettes avaient des têtes anormalement grosses et des corps petits, fins et fragiles.

Il n'y avait aucun écrit sur les tombes, mais les explorateurs découvrirent 716 disques de pierre sur lesquels se trouvaient d'étranges hiéroglyphes. A partir du trou qui se trouvait au centre de chaque disque, partait une spirale qui allait jusqu'au bord extérieur. Les explorateurs n'avaient aucune idée de l'information codée dans ces hiéroglyphes.

Chaque disque faisait 900 grammes et 30 centimètres de diamètre.

C'est seulement au début des années 60 que Tsum Um Nui, un professeur à l'Académie des Sciences de Pékin réussit à traduire quelques passages des inscriptions sur les disques de pierre. Mais avant de pouvoir finir son rapport, le scientifique eut un problème. L'Académie bannit la publication de son travail. Ce n'est pas surprenant quand on connaît les inhabituelles conclusions trouvaient par Tsum Um Nui et ses quatre assistants. Ils étaient certains que les hiéroglyphes sur les disques de pierre parlaient du crash d'un vaisseau extraterrestre dans les montagnes il y a 12000 ans!

Après une longue dispute, le professeur obtint la permission de publier son rapport. Il introduisit ses lecteurs dans l'histoire d'êtres extraterrestres appelés Dropa, qui s'étaient écrasés dans les montagnes de Bayan-Kara-Ula après un long vol spatial. Un grand nombre de ces êtres moururent, et les survivants ne purent réparer leur vaisseau, dit Tsum Um Nui. Bien sur, l'Establishment scientifique considéra l'histoire comme un non-sens, et Tsum Um Nui fut traité de fou.

Ce que les sceptiques ignoraient, c'est que dans la province de Qinghai, une ancienne tradition parle d'êtres petits, maigres, et horribles, avec une tête grosse et lourde et des bras et jambes extrêmement faibles. Ils étaient descendus du ciel il y a très longtemps. Les habitants avaient toujours été effrayés par l'aspect étrange des envahisseurs des nuages.

Peu après la publication de son rapport, Tsum Um Nui émigra au Japon. Aigri par les réactions des autres scientifiques, il mourut peu après avoir complètement fini d'écrire un manuscrit sur le mystère des disques de pierre. Mon livre "Satellites des Dieux" fut publié au japon en 1996, et j'espère que des lecteurs japonais pourront fournir de nouvelles informations sur Tsum Um Nui et son destin. Où a-t-il été enterré? Quelle librairie contient son rapport sur la traduction des hiéroglyphes?

PREUVE DISPARUE:

Personne ne sait ce que sont devenus les 716 disques. Leur existence a été suivie jusqu'en 1974, quand un ingénieur australien, Ernest Wegerer, se présenta au Musée Banpo de Xi'an pour étudier deux des disques. Les disques correspondaient aux descriptions du rapport de Tsum Um Nui de 1962. Wegerer demanda plus de détails sur les objets à la gérante du musée. Etrangement, celle-ci lui raconta des histoires sur tous les autres objets du musée, mais tout ce qu'elle put dire sur les disques de pierre fut qu'ils étaient des "objets de culte" sans importance. C'est ainsi qu'ils étaient identifiés dans la vitrine du musée.

Néanmoins, l'australien fut autorisé à manipuler un des disques et prit les seules photographies connues de ceux-ci. Wegerer estime qu'ils faisaient dans les 900 grammes et mesuraient 30 cm de diamètre. Tous montraient les étranges hiéroglyphes et le trou au milieu. La spirale ne peut être vue sur les photographes, en partie parce qu'elle s'était désagrégée et aussi parce que Wegerer utilisa un appareil Polaroïd avec un flash intégré.

C'est plus ou moins à ce niveau de recherche que moi et Peter Krassa, le coauteur de "Satellites des Dieux" avons essayé de continuer à étudier le mystère du siècle. Ce ne fut pas facile. La Chine a souffert de sa révolution culturelle, de 1966 a 1976. Beaucoup de personnes ont perdu la vie, et d'innombrables objets précieux ont été victimes de ces troubles. Durant cette époque, beaucoup d'objets façonnés à la main ont été pris des provinces et emmenés à Banpo.

En Mars 1994, le professeur Wang Zhijun, directeur du musée de Banpo, accueillit Krassa et moi pour une discussion sur les disques de pierres. Au début, il sembla ne pas vouloir donner de détails, mais bientôt il révéla que la gérante du musée l'avait appelé à son travail il y a quelques jours avant que nous visitions le musée.

J'ai le sentiment que Wang Zhijun était très inquiet durant notre enquête. Quand nous lui avons demandé la localisation actuelle des disques, il nous a répondu, "les disques de pierres que vous mentionnez n'existent pas, mais étant des éléments étrangers à la poterie de ce musée, ils ont été déplacés."

Un tel retournement dans une seule phrase n'est-il pas fascinant?

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Cette page a été mise à jour le 11 janvier 2001.