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Les Dropas:

Est-il possible que des extraterrestres aient atterri en Chine il y a très longtemps suite à l'écrasement de leur vaisseau spatial et s'y soient installés? Des scientifiques et des archéologues auraient étudié des tombes, des restes, et d'étranges objets, un ethnologue en a discuté avec leurs descendants, un linguiste a traduit leur récit... Mais aucune étude récente ne s'est intéressée à cette affaire incroyable, qui pourrait bouleverser tout ce que nous croyons savoir de notre histoire et de notre place dans l'univers, et qui finalement ne servira qu'à servir de trame à un épisode de la série X-Files.

Les premières références:

Certains chercheurs disent la première mention de l'histoire des Dropas est dans le magazine végétarien allemand "Das Vegetarische Universum" de juillet 1962. D'autres ont regardé dans leur collection de ce magazine et ont dit n'avoir trouvé aucune mention de Dropas. D'autres indiquent un article de 1964 dans "Das Vegetarische Universum" qui serait une réimpression de l'article de ce magazine de juillet 1962, mais là encore, les gens qui ont la collection complètent disent qu'il n'y a rien. Pourtant un chercheur a donné une traduction d'un article de 1961 dans "Das Vegetarische Universum". Une autre référence et probablement une des deux apparitions les plus anciennes de l'histoire de base est un article dans le bulletin allemand "UFO Nachrichten" (Informations OVNIS) numéro 95, en page, de juillet 1964, censément exactement du même contenu que "Das Vegetarische Universum" de 1962. Voici l'en-tête de la page de couverture de ce magazine et l'article sur les Dropas de la page 3.

UFO Nahrichten N.95, juillet 1964:

Bulletin mensuel sur les OVNIS (Objets Volants Non Identifiés) et les OVIS (Objets Volants Interplanétaires)

VENTLA - SOUCOUPES VOLANTES Prix 1 DM

UFO - nahrichten

Vaisseaux interplanétaires - Observations d'OVNIS/OVIS - Expériences - Astronautique - Archéologie

Editeur: Groupe d'Etude Allemand des OVNIS/OVIS (DUIST) - Bureaux: Wiesbaden-Schierstein - Rédacteur Karl L. Veidt

Numéro 95, juillet 1964

Etudes non conventionnelles - Indépendant - Apolitique - Non religieux - Universel

Ufos in der Vorzeit?

Die Hieroglyphen von Baian-Kara-Ula
Archäologe Tsum Um-Nui: "Rillenschrift kündet von Luftfarhzeuge vor 12 000 Jahren"

(DINA), Tokyo
In Grenzgebiet zwischen Tibet und China liegt das Höhlengebiet des Baian-Kara-Ula Hochgebirges. Hier sind schon vor 25 Jahren die merkwürdigen Schrifttafel - und Hieroglyphenfunde gemacht geworden. Mit unauffindbaren und völlig unbekannten Geräten sägten vor mehreren tausend Jahren Menschen, von deren Aussehen die chinesischen härtestem Granitgestein schallplattenförmige Teller. Die bisher in den Höhlen des Baian-Kara-Ula aufgefundenen 716 Gesteinsteller weisen auch genau wie Schallplatten in der Mitte ein Loch auf. Von dort bewegt sich eine Doppelrille in Spiralenform zum Aussenrand. Dabei handelt sich natürlich nicht um Tonrillen, sondern um die eigenartigste Schrift, die jemals in China und wohl auf der ganzen Welt gefunden wurde.

Es dauerte über zwei Jahrzehnte bis Archäologen und Wissenschaftler alter Schriften und Hieroglyphen die Schriftrillen entziffern konnten. Der Inhalt ist so verblüffend, das die Akademie für Vorgeschichte in Peking der Bericht des Gelehrten Prof. Tsum Um-Nui anfangs gar nicht veröffentlichen wollte. Dann tat sie es doch. Mit vier Kollegen kam Archäologe Tsum Um-Nui überein: "Die rillenschifft kündet von Luftfahrzeugen, die es den Schriftplatten nach vor 12 000 Jahren gegeben haben muss." Wörtlich heisst es an einer Stelle: "Die Dropa kamen mit ihren Luftgleitern aus der Wolken herab. Zehnmal bis zum Aufgang der Sonne versteckten sie die Zeichen und sahen, dass die Dropa diesmal in friedlicher Absicht kamen..."

Funde der Dropa - und Kham - Rasse sind in den Höhen des Hochgebirges schon früher gemacht worden. Archäologen können diese nur bis zu 1.30 Meter grossen, also sehr kleinen Menschen heute noch nicht völkerkundlich unterbringen. Es besteht keine Parallele zu den Chinesen, Mongolen oder Tibetanern. Man kann natürlich vermuten, dass sich schon vor Jahrtausenden ein Schriftkundiger der Kham einen Scherz erlaubt hat oder dass es Aberglaube war, als er von "Luftfarhzeugen" berichtete. Was sollte dann aber die Aussage anderer Rillenhieroglyphen der Kham bedeuten, die, will man jede Sensation ausklammern, schlicht einen Klagegesang darüber darstellen, dass die eigene "Luftflotte" bei der Landung in dem schwer zugänglichen Gebirge zerstört wurde und es keine Mittel und Wege gab, eine neue zu bauen.

Die Hieroglyphen von Baian-Kara-Ula scheinen der chinesische Archäologie so mysteriös, dass die nur mit Vorsicht wissenschaftlich davon Gebrauch macht. Man hat Gesteinspartikel von dem Schrifttellern geschabt und zur Analyze mit einer Kohlenstoffuhr nach Moskau geschickt. Dabei würde eine sensationelle Entdeckung gemacht: Die Rillenplatten sind stark Kobalt - und metallhaltig. Beim Test einer ganzen Platte mit einem Oszillographen zeigte sich ein überraschender Schwingungsrhythmus, so, als wären die Platten mit der Rillenschrift einst "geladen" gewesen oder hätten irgendwie als elektrische Leiter gedient.

Niemand kann sagen, was hinter diesen Rillenschriftplatten aus der Zeit vor 12 000 Jahren steckt. Mutmassungen wären zu gewagt und nicht objektiv genug. Man erinnert sich aber der alten chinesische Sage von dem kleinen dünnen, gelben Menschen, die "aus den Wolken" kamen und wegen ihrer Hässlichkeit - ungewöhnlich grosse und breite Köpfe auf spindeldürren Körper - von allen gemieden und von den "Männern mit den schnellen Pferden" (Mongolen?) getötet wurden. Tatsächlich fanden sich in den Höhlen Grab - und Skelettüberreste aus der Zeit vor 12 000 Jahren. Tatsächlich wiesen die als Dropa - und Kham - Rasse bezeichneten Funde Masse eines schmächtigen Körperbaus und gewaltigen Schädels auf. In ersten chinesische Archäologie-Gutachten ist von einer "ausgestorbenen Gebirgsaffenart" die Rede. Aber hat je Jemand von geordneten "Affengraben" gehört und "Schriftplatten", die Vorzeitaffen angefertigt hätten?! Im Jahre 1940 ist der Archäologe Tschi Pu-tei für diese Theorie in ganz Asien verhöhnt worden. Tschi Pu-tei verteidigte sich aber, indem er erklärte, die Skelettfunde seien seiner Überzeugung nach Affen gewesen, dir Rillenschriftplatten wären von späteren "Kulturen" in den Höhlen abgelegt worden.

Das alles ist etwas wirr. Aber es ändert nichts an dem Hieroglyphen-Rätsel von Baian-Kara-Ula, das dadurch nur noch komplizierter wird, dass die Höhlenwände Ritzbilder der Schriftplatten aufweisen, mehrfach die aufgehende Sonne zeigen, den Mond und die Sterne und dazwischen, ganze Schwärme erbsengrosser Punkte, die sich in eleganten Schwung dem Gebirge und der Erdoberfläche nähern.

Reinhardt Wegemann

OVNIs aux temps préhistoriques?

Les hiéroglyphes de Baian-Kara-Ula
L'archéologue Tsum Um-Nui: "L'écriture dans le sillon parle de véhicules aériens il y a 12,000 ans"

(DINA), Tokyo
Dans la zone frontalière entre le Thibet et la Chine, se trouvent le secteur de cavernes des hautes montagnes de Baian-Kara-Ula. Là, des plaques écrites étranges - et des hiéroglyphes ont été trouvés il y a 25 ans déjà. Il y a plusieurs milliers d'années, avec des appareils introuvables et complètement inconnus, des hommes ont découpé la roche de granit chinoise la plus dure en des formes d'assiette comme des disques vinyle de musique. Les 716 assiettes de roche trouvées jusqu'ici dans les cavernes de Baian-Kara-Ula ressemblent exactement à des disques de musique avec un trou au centre. De là, une double cannelure en forme en spirale se déroule vers le bord externe. Naturellement elle ne contient pas de la musique, mais l'écriture la plus étrange qui a été jamais trouvée en Chine et probablement dans le monde entier.

Il a fallu aux archéologues et aux scientifiques plus de deux décennies pour déchiffrer l'écriture antique des hiéroglyphes des sillons. Sa signification était tellement étonnante que l'Académie pour la Préhistoire de Pékin n'a d'abord pas voulu publier le rapport par le professeur Tsum Um-Nui. Mais finalement ils l'ont fait. L'archéologue Tsum Um-Nui été d'accord avec quatre collègues: "les cannelures parlent d'engins volants qui selon les assiettes ont existé il y a 12.000 ans." Les disques disaient littéralement: "Les Dropas sont descendus des nuages avec leurs planeurs aériens. Dix fois jusqu'à ce que le soleil de couche, ils ont caché les indications, et ont vu que les Dropas sont venus cette fois avec des intentions pacifiques... "

Les races Dropa - et Kham - avaient déjà été découvertes précédemment dans les hauteurs des hautes montagnes. Les archéologues ne savent que faire de ces hommes de seulement 1.30 mètres de taille, donc des humains très petits qui aujourd'hui encore n'entrent dans aucune catégorie. Il n'y a aucun parallèle avec les Chinois, les Mongols ou les Tibétains. On peut naturellement supposer qu'il y a des milliers d'années, un farceur Kham a pris la liberté de monter une plaisanterie, ou que c'était seulement une croyance, quand il a rapporté des "véhicules aériens". Que signifient les autres déclarations des hiéroglyphes des sillons des Kham, si chaque chose sensationnelle doit être rejetée, elles représente simplement une complainte sur le fait que leur propre "flotte aérienne" a été détruite lors de l'atterrissage dans les montagnes difficiles d'accès et qu'ils n'avaient aucun moyen d'en construire une nouvelle.

Les hiéroglyphes de Baian Kara Ula a semblé si mystérieux à l'Archéologie Chinoise qu'ils n'en ont fait usage qu'avec des précautions scientifiques. Des particules des assiettes en pierre écrites ont été raclées et envoyées à Moscou pour analyse avec une horloge au carbone. Une découverte sensationelle a été faite: les assiettes avec les illons sont fortement en cobalt - et métallique. Dans les tests sur un disque entier avec un oscillographe, un rythme d'oscillation étonnant a été révélé comme si les plats avec les sillons écrits avaient par le passé été "chargés" ou auraient été comme un certain conducteur électrique d'une certaine sorte.

Personne ne peut dire ce qui cache derrière ces disques aux sillons écrits d'il y a 12.000 ans. Les présomptions seraient trop audacieuses et assez peu objectives. On se rappelle cependant la vieille légende chinoise des petits humains minces et jaunes, qui sont venus "des nuages" et qui en raison de leur laideur - des têtes exceptionnellement grandes et larges sur un corps malingre - ont été évités de tous et tués par les "hommes avec les chevaux rapides" (les Mongols?). Et effectivement, des restes squelettiques d'il y a 12.000 ans ont été trouvés dans les tombes dans les cavernes. Des personnages remarquablement petits avec d'énormes têtes comme en montrent réellement les races Dropa - et Kham - actuellement. Dans les premières évaluations de l'archéologie chinoises, on a parlé d'une "espèce des singes de montagne qui est éteinte". Mais qui a jamais entendu parler de "tombes de singes" et de singes écrivants sur des disques, dans les temps préhistoriques?! En 1940, l'archéologue Tschi Pu-Tei a été la risée de toute l'Asie pour cette théorie. Tschi Pu-Tei s'est défendu cependant, en expliquant qu'il est convaincu que les squelettes sont des singes, alors que les assiettes aux sillons écrits ont été mis dans les cavernes par des "cultures" plus récentes.

Tout cela est légèrement confus. Mais cela ne change rien au mystère des hiéroglyphes de Baian-Kara-Ula, qui devient bien plus complexe par le fait que les parois des cavernes montrent des images gravées des disques écrits, du soleil se levant, de la lune et des étoiles et entre eux, des essaims entiers de points grand comme des petits pois qui approchent en un mouvement élégant les montagnes et la surface de la terre.

Reinhardt Wegemann

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Cette page a été mise à jour le 26 juin 2006.