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URECAT - UFO Related Entities Catalog - VF:

URECAT est un catalogue formel des rapports d'observation d'entités dans un contexte OVNI avec l'objectif de fournir des informations de qualité pour des études précises de ce sujet. Les informations additionnelles, corrections et revues sont bienvenues à patrick.gross@inbox.com, précisez svp si vous souhaitez être crédités pour votre contribution ou non. La page principale du catalogue URECAT est ici.

2 OCTOBRE 1966, CINCINNATI, OHIO, USA, MME EVERETT X:

Bref résumé de l'événement et des suites:

En 1966, Mme Everett X contacte téléphoniquement l'ufologue bien connu Leonard Stringfield et lui rapporte brièvement qu'elle a observé un OVNI. Elle rapporte une observation qui semble a priori assez banale, si tant est que les observations d'OVNIS soient banales. En tout état de cause, Stringfield a tellement d'enquêtes importantes en cours qu'il ne lui donne pas de priorité particulière sur le moment.

Mais le 30 octobre 1975, Mrs. X rappelle Stringfield et cette fois, elle lui dit avec une certaine timidité qu'en fait, en 1966, elle ne lui avait pas raconté réellement toute son histoire:

"Vous m'auriez prise pour une folle; maintenant, il faut que je vous dise le reste, mais seulement à une condition."

La condition exigée était:

"Mon nom et même le quartier de Cincinnati où j'habite ne doivent pas être divulgués."

Stringfield s'est engagé là-dessus et a respecté cet engagement. Mme X avait suivi ses écrits et recherches depuis quelque temps maintenant ; et par ailleurs, après la vague de 1973 et l'affaire de rencontre rapprochée à Pascagoula en 1973, et bien d'autres affaires semblables, il était devenu un tout petit peu moins inacceptable qu'en 1966 de témoigner d'expériences allant au-delà de la simple observation d'une "lumières dans le ciel." Ainsi, bien que Mme X n'ai parlé de l'affaire entière qu'à des membres de sa famille, et bien entendu qu'elle en ait discuté avec les membres de sa famille qui en était eux-mêmes témoins, elle se décidait maintenant contre l'engagement du respect de son anonymat à en parler à un ufologue respecté et connu pour tenir ce genre d'engagements. (Elle a été désignée comme Mme Everett Steward, il s'agit là d'un pseudonyme.)

Elle lui explique alors que neuf ans plus tôt, exactement le 2 octobre 1966 à 20:20, comme l'indiquent les notes qu'elle a soigneusement prises et conservées, alors âgée de 49 ans, elle parlait au téléphone avec une amie, quand une odeur nauséabonde a envahi la pièce.

Elle a été prise de vertige, a du s'excuser auprès de son amie, interrompre la conversation et raccrocher, et elle est montée dans sa chambre le plus vite qu'elle le pouvait. Elle se souvient d'avoir eu, avant de se déshabiller, l'impression d'être observée, et, en regardant par la fenêtre, elle vit avec stupeur un objet de forme ovale, brillamment coloré, avec des hublots, qui semblait immobile près du sol dans un endroit boisé, à une centaine de mètres de là.

Son mari, qui était expéditeur dans une grosse entreprise de matériel à Cincinnati, s'était déjà retiré dans la chambre pour la nuit, et s'était endormi. Mais il a été réveillé par sa femme qui voulait lui faire voir l'étrange objet. Il regarda, et a d'abord pensé que c'était un avion volant trop bas. Mais en continuant à observer, il a du renoncer à cette première impression. L'objet était alors en train de s'éloigner de leur maison, mais ensuite il est revenu à proximité, s'est arrêté à environ trois cents mètres au-dessus du sol pendant une dizaine de minutes.

Il semblait avoir autour de 25 mètres de diamètre, et était ceinturé de lumières rouges, vertes et blanches qui pivotait rapidement. Quand Mme X a eu la pensée que l'objet se trouvait maintenant près de la maison de sa fille mariée, Janet Y, à quelque 1 500 mètres, elle a appelé sa fille par téléphone:

"Je me sentais tout à fait malade quand je téléphonai pour alerter Janet. L'odeur me semblait plus forte, et la tête me tournait tellement que je dus m'asseoir."

Quand son téléphone a sonné, Janet nettoyait le carrelage. Elle écouta sa mère, et réveilla alors aussitôt son mari, Ken, et ils purent effectivement voir l'OVNI qui était maintenant à deux cents mètres de la fenêtre du premier étage de leur maison.

Tous les deux ont décrit l'objet comme étant grand, métallique, et muni d'une rangée de lumières jaunâtres. Ils ont été abasourdis.

Ken, le mari de Janet, est aussitôt allé chercher son voisin, David Stites, qui était officier de réserve dans l'US Navy. Stites a pris des jumelles, et avec Ken, a rejoint Janet à la fenêtre du haut. Stringfield indique:

"Les jumelles étaient excellentes, et Stites, habitué à la navigation aérienne, eut vite fait son observation. Le disque avait, à n'en pas douter, des fenêtres carrées, et de chacune partait une lueur jaune."

Ensuite les lumières sont devenues plus vives, l'engin s'est mis à tanguer, et il a amorcé un lent mouvement horizontal. Ken rapporta:

"A ce moment-là, tous les chiens du voisinage aboyèrent. Evidemment, quelque chose d'inhabituel se produisait."

Convaincus que cela n'était pas un avion, Ken et David sont sortis de la maison pour mieux voir. Ken rapporta:

"A ma grande surprise, mon chat, Nightcap, jaillit d'un buisson, près de moi, dos en bataille, poil hérissé. Puis il eut une sorte de hurlement, se jeta sur la contreporte et se prit dans la moustiquaire. Je dus presque lui arracher les griffes pour le dégager."

L'OVNI s'était à nouveau déplacé. Ken poursuit:

"Il me semblait prêt à partir. Je demandai à Dave de venir avec moi dans ma voiture pour le voir de plus près."

Ils ont alors roulé vers le Mont Airy, cherchant à rejoindre l'OVNI, mais celui-ci est passé au-dessus d'eux comme un éclair et ils l'ont alors perdu de vue.

Pendant ce temps, Janet était restée seule et l'avait gardé constamment en vue. Elle avait eu bien envie de sortir pour jeter un coup d'oeil, mais elle avait peur. Mais quand l'OVNI s'était déplacé, sa curiosité avait pris le dessus:

"J'étais épouvantée, mais je suis sortie quand même."

Chez sa mère et son père, la panique avait gagné. Après avoir prévenu sa fille, Mme X avait appelé l'aéroport de Cincinnati qui avait admis que "quelque chose de non identifié" était passé au-dessus de Cincinnati. Mme X avait alors appelé la police. Elle se souvient que la réponse du chef de la police avait été. "Madame, vous êtes la quarante-cinquième personne qui appelle ce soir." Un peu plus tard, alors que l'engin était proche du sol, l'aéroport la rappela et lui demanda où l'OVNI se trouvait à ce moment.

L'odeur étrange avait maintenant rempli toutes les pièces de la maison. Mme X a indiqué:

"C'était une odeur chimique repoussante. J'en ai perdu l'équilibre."

Ensuite, sa plus jeune fille Debbie, qui avait été au théâtre avec son ami, est arrivée chez elle, et elle aussi avait vu l'OVNI. En entrant dans la maison familiale, elle a été prise à la gorge par l'horrible odeur et demanda à sa mère ce qu'elle avait répandu à travers la maison. Mais sa mère, désemparée s'était effondrée sur une chaise. On lui donna de l'aspirine et on l'emmena à la chambre de sa fille, où il y avait un lit supplémentaire où passer une bonne nuit de repos...

Pendant ce temps, non loin de là, son autre fille Janet regrettait de n'être pas restée à la maison. L'OVNI s'était déplacé pour revenir à proximité. Ses lumières jaunes se mirent à tourner plus vite, puis, tout à coup, un objet plus petit en jaillit, sur le côté. Janet dira: "Cela avait l'air d'un ballon rouge".

Ce "ballon rouge" effectuait des manoeuvres rapides, zigzaguait, bondissait et tournait sur lui-même. Ensuite, il s'est dirigé droit sur la maison de Janet et Ken, "sans aucun bruit."

Pendant que ce "ballon rouge" faisait ces manoeuvres, le plus grand engin s'éloignait rapidement vers le sud et y était perdu de vue. Janet raconte:

"L'instant d'après, le ballon rouge émit un rayon de lumière blanche par-dessus la maison. Il s'est élevé tout droit à trente mètres environ au-dessus d'elle. Il avait à ce moment une forme ovale, sa face inférieure était comme une feuille d'aluminium, lisse et brillante. Je ne pouvais pas évaluer les dimensions qu'il avait prises, mais il était plus grand que la maison et la cour réunies. Il semblait très proche. J'avais l'impression de pouvoir le toucher; j'ai même essayé de lever les bras en l'air pour l'atteindre."

Quand Stringfield lui demanda si elle avait ressenti des effets physiologiques au cours de cette rencontre, elle lui dit n'avoir éprouvé aucun malaise, aucune sensation de paralysie, aucun picotement. Elle ne se souvenait pas d'un changement quelconque de température interne. Elle décrivit cependant avoir senti également l'odeur désagréable et étrange qui flottait dans l'air, qu'elle put comparer au mieux à "une odeur de poubelle". Mais elle ajouta:

"Une seule chose m'a paru étrange - vraiment étrange. Lorsque la chose est passée au-dessus de moi, toute peur a brusquement disparu. C'est l'impression la plus fantastique que j'aie jamais ressenti."

Pendant ce temps, le mari de Mme X et son autre fille Debbie, dans l'autre maison, épuisés, étaient allés se coucher et s'étaient endormis. Mme X, elle bien que couchée, était restée totalement éveillée, tentant de chasser de son esprit l'OVNI et l'odeur qui l'avait rendue malade.

Il se passa un certain temps, puis, brusquement, pendant une demi-seconde, l'obscurité a fait place à une brillante lumière blanche qui remplit toute la pièce ou elle était couchée.

Mme X s'assit alors sur son lit, trop abasourdie pour crier. D'un mur à l'autre, du sol au plafond, la pièce baignait dans une lumière si brillante que l'on voyait nettement tout le mobilier. II n'y avait pas d'ombre. L'instant d'après, la lumière s'éteignit. Au milieu de l'obscurité, un globe de même intensité lumineuse apparut au pied du lit. A l'intérieur du globe, qui, d'après les souvenirs de Mme X était de la taille d'un écran de télévision d'environ cinquante centimètres, il y avait cinq têtes non humaines, sans cheveux, avec deux yeux en amande enfoncés comme des orbites dans un crâne.

Elle a ajouté:

"Les cinq têtes étaient semblables. Au lieu de nez, elles avaient des fentes. Elles n'avaient ni bouches, ni cous, ni bras."

Les têtes sans bouche ne parlaient pas, mais d'une certaine façon Mme X reçut ce message: "Nous avons pris contact."

Le message a été répété comme télépathiquement, plusieurs fois. Mme X se mit alors à hurler. Sa fille Debbie bondit hors de son lit, M. X arriva en courant depuis sa chambre et trouva sa femme dans un état de crise nerveuse. Elle essaya d'expliquer, de façon incohérente, ce qu'elle avait vu, et qui avait disparu.

Stringfield précise:

"Pour les X, ce fut une nuit horrible. Nuit horrible que devaient suivre beaucoup d'autres nuits éprouvantes. Mme X consulta un médecin le lendemain; il la soigna pour désordres nerveux. Mais comme ses rêves devenaient des cauchemars, elle fut envoyée à un psychiatre. Pendant deux ans, elle a du rester sous surveillance médicale constante."

Tableau des informations de base:

Numéro de cas: URECAT-000286
Date d'observation: 2 octobre 1966
Premier rapport: 1975
Délai de rapport: 9 ans
Témoignage apporté via: Téléphone, à ufologue.
Premier enregistrement allégué par: Notes personelles d'un ufologue.
Premier enregistrement certain par: Livre d'ufologie.
Type premier enregistrement allégué: Notes personelles d'un ufologue.
Type premier enregistrement certain: Livre d'ufologie.
Ce dossier créé le: 24 août 2007
Sa plus récente mise à jour: 24 août 2007
Pays de l'événement: USA
Etat/Département: Ohio
Type de lieu: Extérieur de maisons, et chambre à coucher.
Conditions d'éclairage: Nuit
OVNI observé: Oui
Arrivée OVNI observée: Non, et oui
Départ OVNI observé: Incertain
Relation OVNI/entité: Certaine
Nombre de témoins: 1, et 4 partiels
Ages des témoins: 49, et adultes.
Types de témoins: Femme, ses 2 filles, beau-fils, mari expéditeur, 1 voisin ancien officier de la Navy.
Photographies: Non.
Dessins par témoins: Non.
Dessins approuvé par témoins: Non.
Nombre d'entité: 5
Type d'entités: Humanoïde, têtes seulement.
Taille d'entités: Non visible.
Tenues d'entités: Non visible.
Couleur des tenues d'entités: Non visible.
Couleur de peau d'entités: Non rapporté.
Corps des entités: Non visible.
Têtes des entités: Non humaines.
Yeux des entités: Deux, en amande, enfoncés.
Bouches des entités: Sans.
Nez des entités: Seulement une fente.
Pieds des entités: Non visible.
Bras des entités: Sans ou non visible.
Doigts des entités: Non visible.
Nb de doigts des entités: Non visible.
Pilosité des entités: Sans.
Voix des entités: Télépathie.
Actions des entités: Après manoeuvres d'OVNIS dehors, un appareil comme une TV contenant 5 têtes apparaît brièvement dans la chambre à coucher.
Interactions entités/témoins: Indiquent plusieurs fois par télépathie "nous avons établi le contact".
Réactions des témoins: Terrorisé, crie, est en psychiatrie en conséquence du choc.
Sentiments des témoins: Terrorisé, curieux.
Interprétations des témoins: Non humain.
Catégorie explicative: Visiteurs extraterrestres ou cas psychologique. Données insuffisantes.
Certitude de l'explication: Sans.

Récits:

[Ref. ls1:] LEONARD STRINGFIELD:

L'auteur indique avoir reçu en 1976 des déclarations confidentielles d'une personne qu'il désgine par le pseudonyme de Mme Everett Steward, qui lui a demandé de ne pas révélé son vrai nom, concernant ses expériences OVNI bizarre, des rencontres à faible distance, du type que Jacques Vallée appelle "psychiques" et qui ne sont pas souvent révélés, tandis que maintenant même l'astronome J. Allen Hynek qui l'aurait écarté 10 ans plus tôt s'y intéresse.

L'auteur indique qu'il a consigné ces déclarations dans le journal d'ufologie qu'il tient chaque jour.

Le témoin avait entendu parler de ses recherches depuis longtemps, mais lui a avoué ne pas avoir eu le courage de parler de son expérience excepté à des membres de sa famille.

Le 30 octobre 1975, elle l'a appelé à l'heure du dîner, lui disant qu'elle l'avait déjà appelé en 1966, pour lui dire qu'elle avait vu un OVNI et ajoutant timidement qu'elle n'avait pas tout raconté parce qu'il l'aurait prise pour une folle, mais que maintenant elle veut bien tout dire à la condition que son nom et le quartier de Cincinnati où elle habite ne soient pas divulgué, ce que Leonard Stringfield a respecté.

Elle lui a alors rapporté que le 2 octobre 1966 à 20:20, comme indiqué dans les notes qu'elle garde précieusement dans le tiroir d'un bureau, 9 ans auparavant alors qu'elle était âgée de 49 ans, elle parlait au téléphone avec une amie quand une odeur nauséabonde envahit la pièce.

Elle a été prise de vertige, s'est excusée auprès de son amie, a raccroché, est monté le plus vite possible dans sa chambre. Elle se souvient qu'avant de se déshabiller, elle avait eu l'impression d'être observée, et en regardant par la fenêtre, elle a été stupéfaite de voir un objet de forme ovale, brillamment coloré, avec des hublots, paraissant immobile près du sol dans un endroit boisé à une centaine de mètres d'elle.

Son mari qui était expéditeur dans une grosse entreprise de matériel à Cincinnati, s'était déjà retiré pour la nuit, et se rappelle que sa femme l'avait réveillé parce qu'elle voulait lui faire voir l'objet étrange, qu'il a d'abord pensé être un avion volant bas. En regardant mieux, il avait changé d'avis. L'objet s'est alors éloigné de la maison, puis est revenu et s'est arrêté à environ 300 mètres au-dessus du sol pendant une dizaine de minutes.

Il est décrit par Leonard Stringfield comme pouvant avoir 25 mètres de diamètre, et ayant une ceinture de lumières rouges, vertes et blanches qui pivotait rapidement.

La femme a alors réalisé que l'objet se trouvait près de la maison de sa fille mariée, Janet Emery, à quelque 1500 mètres. Elle lui a téléphoné, et s'est soudainement senti tout à fait malade quand elle l'a appelé. L'odeur lui semblait alors plus forte, et elle avait tellement la tête qui tourne qu'elle a du s'asseoir.

Sa fille nettoyait son carrelage quand sa mère l'a appelé, et elle a tout de suite réveillé son mari Ken. Ils ont alors repéré l'OVNI à environ 200 mètres de la fenêtre de l'étage, et pour tous les deux, il se préSentait comme un grand objet métallique muni d'une rangée de lumières jaunâtres. Le mari qui a déclaré "je l'avais juste devant mes yeux" était abasourdi et est vite allé chercher son voisin, David Stites, officier de réserve dans la Marine. Celui-ci a pris des jumelles, et rejoint Ken à la fenêtre du haut. Les jumelles étant excellente et Stites étant habitué à la navigation aérienne, l'objet est alors décrit comme un disque qui avait des fenêtres carrées, de chacune partait une lueur jaune.

Ces lumières sont ensuite devenues plus vives, l'engin s'est mit à tanguer et a amorcé un lent mouvement horizontal. Ken a indiqué qu'à ce moment-là tous les chiens du voisinage ont aboyé et que de tout évidence quelque chose d'inhabituel se produisait, dont ils étaient convaincus que ce n'était pas un avion.

Ken et Stites sont sortis pour mieux voir, et Ken a déclaré avoir été très surpris de ce que son chat Nightcap jaillisse d'un buisson près de lui, le dos en bataille, poil hérissé. Le chat a émit une sorte de hurlement, s'est jeté sur la contre-porte et s'est prit dans la moustiquaire, il a été très difficile de le dégager.

L'OVNI s'était à nouveau déplacé, Ken indiquant qu'il semblait prêt à partir. Il est monté en voiture avec Stites pour le voir de plus près, et ils ont roulé vers Mount Airy, l'OVNI passant alors au-dessus d'eux comme un éclair, suite à quoi ils l'ont perdu de vue.

Sa femme Janet était restée seule et observait l'objet, résistant à l'envie de sortir pour jeter un coup d'oeil, parce qu'elle avait peur. Mais quand l'OVNI s'était déplacé, la curiosité avait pris le dessus et bien qu'épouvantée, a peine Ken et Stites partis, elle est sortie tout de même, ce qu'elle a regretté. L'OVNI s'était déplacé, puis revenu à sa première position, ses lumières jaunes se mettant tourner plus vite. Tout à coup, un objet plus petit en a jaillit sur le côté, que Janet décrira comme ressemblant à un ballon rouge. La jeune femme observait pétrifiée les cabrioles de ce ballon rouge, qui "zigzaguait, bondissait et tournait sur lui-même. Puis, il parut glisser et se dirigea droit sur ma maison sans aucun bruit." Pendant ces manoeuvres du ballon rouge, Janet a vu que le grand engin aux lumières jaunes s'éloignait rapidement vers le Sud et disparaissait.

L'instant d'après, Janet voit le ballon rouge émettre un rayon de lumière blanche par-dessus la maison, et s'élever tout droit à environ 30 mètres au-dessus d'elle. Il avait à ce moment une forme ovale, sa face inférieure était comme une feuille d'aluminium, lisse et brillante. Elle n'a pas pu évaluer les dimensions qu'il avait prises, mais a déclaré qu'il était plus grand que la maison et la cour réunies, et semblait très proche: "J'avais l'impression de pouvoir le toucher, j'ai même essayé de lever les bras en l'air pour l'atteindre."

Leonard Stringfield lui a demandé si elle avait ressenti des effets physiologiques au cours de cette rencontre, et elle lui a répondu n'avoir éprouvé aucun malaise, aucune sensation de paralysie, aucun picotement. Elle ne se souvenait pas non plus d'un changement quelconque de température interne, mais elle a dit qu'une seule chose lui a paru très étrange: lorsque la chose est passée au-dessus d'elle, toute peur a brusquement disparu. "C'est l'impression la plus fantastique que j'aie jamais ressentie." Elle était aussi consciente de l'étrange et "désagréable" odeur qui flottait dans l'air, et quand il lui a été demandé à quelle odeur familière elle pouvait l'associer, elle a répondu: "une odeur de poubelle".

Au domicile de sa mère, la panique régnait, et après avoir prévenu Janet, Mme "Steward" avait appelé l'aéroport de Cincinnati qui avait admis que "quelque chose de non identifié" était passé au-dessus de cette ville, puis elle avait appelé la police ou le chef avait répondu "Madame, vous êtes la 45e personne qui appelle ce soir."

Un peu plus tard, alors que l'engin était proche du sol, l'aéroport rappela et lui a demandé où se trouvait l'objet.

L'odeur avait maintenant rempli toutes les pièces de la maison. Mme "Steward" l'a décrit comme une odeur chimique repoussante, qui lui a fait perdre l'équilibre.

La plus jeune fille de Mme "Steward", Debbie, avait été au théâtre avec son ami et est arrivé dans la soirée. Elle avait également vu l'OVNI, a été prise à la gorge par l'horrible odeur, et a demandé à sa mère ce qu'elle avait répandu à travers la maison.

Désemparée, Mrs. Steward s'était effondrée sur une chaise, on lui a donné de l'aspirine et on l'a emmené à la chambre de sa fille où il y avait un lit supplémentaire. Son mari épuisé est allé se coucher et s'est endormi malgré l'odeur persistante répandue dans la maison. Leur fille Debbie est également allé dormir, d'un sommeil agité, mais sa mère, dans le lit voisin, était complètement éveillée, essayant de chasser de son esprit l'OVNI et l'odeur qui l'avait rendue malade.

Après un certain temps, l'obscurité a brusquement fait place pendant une demi-seconde à une brillante lumière blanche qui a remplit toute la chambre. Mme "Steward" s'est assit sur son lit, trop abasourdie pour crier. D'un mur à l'autre, du sol au plafond, la pièce baignait dans une lumière tellement brillante qu'elle voyait nettement tout le mobilier et qu'il n'y avait pas d'ombre. L'instant d'après, la lumière s'est éteinte et au milieu de l'obscurité, un globe de la même intensité lumineuse, de la taille d'un écran de télévision de 50 centimètres est apparu au pied du lit. A l'intérieur, il y avait cinq têtes non humaines, sans cheveux, avec deux yeux en amande "enfoncés comme des orbites dans un crâne."

Mme "Steward" a ajouté: "Les cinq têtes étaient semblables. Au lieu de nez, elles avaient des fentes. Elles n'avaient ni bouches, ni cous, ni bras." Ces têtes ne parlaient pas, mais Mme Steward a reçu leur message: "Nous avons pris contact." Ce message a été répété télépathiquement plusieurs fois, et Mme Steward s'est mise à crier, ce qui a fait bondir Debbie hors de son lit, pendant que son mari arrivait en courant de sa chambre pour trouver sa femme faisait une crise de nerfs. Le globe avec les têtes avait disparu. Elle a essayé de leur expliquer, de façon incohérente, ce qu'elle avait vu.

Mme Steward a consulté un médecin le lendemain, qui l'a soigné pour désordres nerveux, mais comme ses rêves devenaient des cauchemars, elle a été envoyée à un psychiatre et pendant deux ans, elle a dû rester sous surveillance médicale constante.

[Ref. bh1:] ROBERT E. BARTHOLOMEW ET GEORGE S. HOWARD:

Les auteurs indiquent que le 2 octobre 1966, à Cincinnati, Ohio, à 20:20, à l'intérieur de sa maison, Mme Everett Steward a senti une mauvaise odeur, a pensé que quelqu'un l'observait, et est allée à la chambre à coucher où elle a vu un objet en forme d'oeuf avec des lumières en rotation et des hublots rouges, verts, et blancs.

Plusieurs autres personnes ont prétendu l'avoir vu de 75 à 100 pieds au-dessus du sol.

Après que Mme Steward soit allée au lit, une lumière blanche brillante a rempli la pièce, puis a disparu, et soudainement, un globe incandescent est apparu à l'extrémité de son lit, contenant cinq "êtres non humains" avec des têtes chauves et des yeux enfoncés et ovales. Ils avaient des fentes comme nez, ont semblé ne pas avoir de bouche, et ont répété le message mental "nous ont établie le contact" plusieurs fois.

Les auteurs indiquent que la source est Leonard Stringfield, "Situation Red: The UFO Siege!", Garden City, N.Y.: Doubleday, 1977, pp 33-36.

[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:

Albert Rosales indique dans son catalogue qui à Cincinnati, Ohio, le 2 octobre 1966, à 20:20, Mme Everett Steward parlait au téléphone quand elle a senti une odeur fétide dans la pièce. Elle est allée à sa chambre à coucher, où elle a eu un sentiment d'être observée.

Regardant hors de la fenêtre, elle a vu un objet de forme ovale avec des hublots et des lumières rouges, vertes, et blanches tournant autour de lui. Cela avait 75 pieds de diamètre et était à 100 pieds de haut. Elle a réveillé son mari, qui l'a également vu, et appelé sa fille mariée, Mme Janet Emery, un mile plus loin; les Emery l'ont également vu, et un voisin avec des jumelles a pu voir qu'il avait des fenêtres carrées luminescentes jaunes.

Janet est sortie de la maison et a vu l'OVNI éjecter une boule rouge, qui a manoeuvré tandis que l'OVNI initial partait vers le Sud. La boule rouge a volé à 75-100 pieds au-dessus de tête de Janet; il était ovale, et son dessous était brillant comme du papier alu; il était "plus grand que ma petite maison et la cour combinés." Elle a également senti des odeurs comme celle d'ordures.

Mme Steward est allé au lit, l'odeur étant toujours dans la maison. Après un certain temps, la pièce a été remplie pendant un instant de lumière blanche brillante; puis ceci a disparu, et un globe de lumière d'environ 21 pouces de diamètre est apparu au pied de son lit.

A l'intérieur de ce globe étaient 5 "têtes non-humaines et chauves" avec des yeux profondément enfoncés et ovales. "A la place de nez, il y avait des fentes, et ils n'avaient aucune bouche." Par télépathie, ils ont répété plusieurs fois que "nous avons établi le contact." Mme Steward a crié, et le globe a disparu. Elle a été tellement marquée parcette expérience qu'elle a étà en traitement psychiatrique pendant les 2 années suivantes.

Albert Rosales indique que la source est Leonard Stringfield.

Points à considérer:

De toute évidence ces rapports tels que passés par Len Stringfield sont de haute étrangeté. Par exemple, aucun engin volant connu de cette planète ne montrerait les caractéristiques rapportées par "Janet Emery" quand elle a décrit comment un objet la taille de sa maison et cour ensemble a plané au-dessus de sa tête si près qu'elle a pu essayer de le toucher, en étant capable de manoeuvres rapides, zigzags, bonds et rotations sur lui-même, ceci sans aucun bruit.

Cependant, tel que narré dans le livre par Len Stringfield, le cas soulève également un certain nombre de questions. Par exemple, les sceptiques argueront peut-être que du fait que la mère a été en traitement psychiatrique après l'observation, peut-être l'épisode entier pourrait être de nature psychiatrique. Et le fait est que le cas n'est pas documenté assez complètement pour montrer si elle était une personne saine avant l'observation ou non.

Il n'est également pas clairement établi si Len Stringfield a parlé à tous les témoins. Il semble qu'il a parlé avec la mère par téléphone, et a parlé au moins à sa fille Janet. Mais il était important de documenter s'il est allé sur les lieux et a parlé avec les autres témoins, ou si ce que Janet et les autres témoins disent lui a été rapporté en fait seulement par la mère. Dans un cas d'une telle étrangeté au moins à première vue, il aurait été nécessaire qu'une enquête complète ait été faite, sur les lieux, avec des rapports écrits émanant de tous les témoins, un plan des lieux, des schémas de reconstitution pour l'OVNI principal, pour le deuxième OVNI, pour l'objet contenant les têtes étrange. Il devrait avoir été demandé au personnel médical qui a pris soin du témoin principal leur avis sur leur patient. Au moins deux enquêteurs devraient avoir été impliqués, pour empêcher que l'affaire demeure un rapport d'un enqueteur seul sans accompagnement indépendant, et ainsi de suite.

Il est possible que tout cela ait été complètement documenté dans le cahier ufologique personnel de Len Stringfield, peut-être documenté dans son rapport sur le cas pour Skylook. Mais il est tout aussi possible qu'il n'y ait rien de plus dans ces premières sources que dans le livre. De ce fait je ne peux pas donner la moindre évaluation sûre, je ne peux qu'espérer que je pourrais trouver ces sources plus primaires et peut-être plus informatives.

Liste de problèmes:

Id: Sujet: Sévérité: Noté le: Soulevé par: Noté par: Description: Proposition: Statut:
1 Données Grave 24 août 2007 Patrick Gross Patrick Gross Données premières recueillies par l'enquêteur non disponibles. Aide nécessaire. Ouvert.
2 Données Grave 24 août 2007 Patrick Gross Patrick Gross Rapport initial sur le cas par l'enquêteur dans Skylook non disponible. Aide nécessaire. Ouvert.
3 Ufologie Grave 24 août 2007 Patrick Gross Patrick Gross L'enquêteur semble avoir travaillé seul, ce qui dans ce contexte prive de toute corroboration indépendante des rapports. Aide nécessaire. Ouvert.
4 Ufologie Grave 24 août 2007 Patrick Gross Patrick Gross Les noms réels et lieux sont omis par respect de l'anonymat; ceci empêche malheureusement toute enquête de vérification. Aide nécessaire. Ouvert.
4 Ufologie Grave 24 août 2007 Patrick Gross Patrick Gross Le profil psychologique du témoin principal pose question, on ne sait pas son état avant l'observation, l'avis du personnel médical n'est pas indiqué. Aide nécessaire. Ouvert.

Evaluation:

Visiteurs extraterrestres ou cas psychologique. Données insuffisantes.

Références des sources:

* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.

Histoire du document:

Rédaction

Auteur principal: Patrick Gross
Contributeurs: Aucun
Reviewers: Aucun
Editeur: Patrick Gross

Historique des changements

Version: Créé/changé par: Date: Description:
0.1 Patrick Gross 24 août 2007 Création, [ls1], [bh1], [ar1].
1.0 Patrick Gross 24 août 2007 Première publication.

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Cette page a été mise à jour le 24 août 2007