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URECAT - UFO Related Entities Catalog - VF:

URECAT est un catalogue formel des rapports d'observation d'entités dans un contexte OVNI avec l'objectif de fournir des informations de qualité pour des études précises de ce sujet. Les informations additionnelles, corrections et revues sont bienvenues à patrick.gross@inbox.com, précisez svp si vous souhaitez être crédités pour votre contribution ou non. La page principale du catalogue URECAT est ici.

MARS ET AVRIL 1955, FRANCE, UN HOMME:

Bref résumé de l'événement et des suites:

L'auteur de science fiction et passionné d'occultisme et de soucoupes volantes Jimmy Guieu indique qu'après qu'il ait publié en janvier 1956 son roman "Nos Ancêtres de l'Avenir", il a reçu un volumineux courrier de lecteurs intrigués qui le pressaient de leur expliquer la signification exacte de l'exergue de la page de garde de ce livre.

"L'exergue" en question s'adressait à "celui" qui à sept reprises a été contacté par un "être" de l'Espace et qui détenait la preuve matérielle de ces contacts, et l'invitait à lire le livre et reprendre contact avec l'auteur.

Jimmy Guieu assure que ce n'était pas un procédé publicitaire mais un véritable appel pour qu'une personne reprenne contact.

Il explique ensuite que l'histoire de cette personne est inédite et semblera "à certains" être une pure invention, mais qu'elle lui est venue d'une "personne absolument digne de foi" dont il est "dans l'obligation" de taire l'identité, ainsi que celle du témoin.

Il raconte alors qu'un enquêteur d'Ouranos, son groupe d'ufologie, un "technicien", a reçu en mars 1955 une lettre d'un retraité habitant une ville "X" à 150 kilomètres de la ville où résidait l'enquêteur. La lettre demandait à cet enquêteur de le rencontrer pour lui communiquer "une information confidentielle de la plus haute importance."

L'enquêteur a vu la personne, qui a raconté qu'il occupe ses loisirs de retraité à peindre, fréquemment dans la campagne aux environs de sa ville, et un jour du mois de mars 1955, alors qu'il peignait un paysage, il a eu la surprise d'apercevoir dans le ciel un objet circulaire de couleur aluminium qui a ralenti, s'est mis à descendre lentement à la verticale de la clairière où il avait installé son chevalet.

L'homme assure alors qu'il n'avait jusqu'alors "jamais ajouté foi aux racontars concernant de prétendues soucoupes volantes" et qu'il a donc été stupéfait.

Il dit que l'engin avait huit à dix mètres de diamètre, était surmonté d'une "sorte de dôme", s'est posé à une cinquantaine de mètres de lui, une "espèce de porte" s'est ouverte lentement et un être humain entre guillemets est sorti, revêtu d'une "combinaison de vol" grisâtre ou brun clair, avec un casque "un peu analogue à celui des pilotes d'avions." Il dit avoir alors réalisé que c'était une jeune femme "d'une grande beauté" dont les mèches blondes dépassaient des bords inférieurs et des côtés de son casque.

Il dit avoir abandonné ses pinceaux et pour s'avancer vers elle, alors qu'elle se tenait devant son engin en le regardant "avec intérêt, souriant." La jeune femme a aussi fait quelques pas vers lui, s'est arrêté à 5 ou 6 mètres " de la périphérie du disque" tandis qu'il se tenait gauchement devant elle "encore sous le coup d'une intense émotion." Elle a sourit encore plus, a regardé autour d'elle, ramassé des petites pierres et les a alignées deux par deux sur le sol entre eux, formant "dix couples de pierres."

"L'Ouranienne" a alors pointé son index vers lui, puis vers elle, puis vers la première paire de cailloux, puis les autres paires pierres, puis elle-même, puis divers points de l'horizon, et l'homme en a compris qu'elle avait établi dix contacts analogues avec dix personnes différentes "en d'autres endroits de France ou d'autres pays."

Il lui a fait des signes pour qu'elle comprenne qu'il voulait visiter "son étrange appareil lenticulaire" mais elle a secoué la tête en souriant et dir des paroles qu'il n'a pas compris, d'une voix "agréable, avec des inflexions douces."

Guieu note alors que ces détails s'apparentent "étrangement" à ceux de la rencontre d'un "Vénusien" par George Adamski.

L'Ouranienne a fait comprendre par geste qu'elle reviendrait trois jours plus tard au même endroit, ils ont échangé "une série de mimiques - comiques sans doute". Elle lui a fait signe de reculer, est rentré dans son engin, "l'écoutille se referma sur elle" et "le véhicule discoïdal" s'est lentement élevé dans un ronronnement sourd, a accéléré et "bientôt" disparu dans le ciel.

L'homme est resté la bouleversé puis est rentré chez lui, en se demandant s'il n'avais pas rêvé, mais tout était si net, si précis dans sa mémoire qu'il "hésitait à croire" qu'il avait eu une hallucination. Il est revenu chaque jour au même endroit avec son matériel de peinture, mais ne peignait rien tant il était nerveux et troublé.

Le troisième jour, le disque volant est revenu, la jeune femme affable et souriante en est sorti, et ainsi sept fois durant mars et avril 1955, L'homme voulait qu'elle le laisse visiter la soucoupe mais en vain, sauf à la dernière rencontre.

Il précise qu'il avait remarqué qu'elle ne s'éloignait pas trop de son engin et que c'était peut-être parce qu'elle était protégé par "un champ de force ou un rayonnement pour nous indécelable".

L'homme dit qu'il est certain qu'elle est extraterrestre parce qu'elle avait à plusieurs rencontres désigné le ciel, son engin, puis elle-même.

Il explique qu'il a tout fait pour qu'elle lui donne une preuve matérielle, qu'elle devrait lui faire confiance puisqu'il était venu seul les sept fois, comme le le lui avait demandé par geste et de mimiques à la première rencontre.

Au dernier rendez-vous, elle l'a invité dans la soucoupe, où il y avait "une sorte de poste de pilotage en métal brillant", surmonté d'une plaque en demi-lune d'environ 1 m 50 de rayon et sur laquelle apparaissaient des points lumineux reliés entre eux par des lignes sombres. Les parois de la cabine "ainsi que le parquet" étaient en métal. Sur la "demi-lune" transparente, il y avait trois gros boutons disposés en triangle, "des commandes sans doute", et les "points" colorés reliés par des lignes sombres, "par un effet de perspective", semblaient suspendus dans le vide ou "en profondeur", dans ou derrière la plaque transparente.

"L'Ouranienne" lui a alors donné "un appareil bizarre" en lui laissant entendre qu'il pourrait le garder, et en lui montrant comment s'en servir.

Jimmy Guieu rapporte que l'enquêteur, à ce moment du récit, "regarda son interlocuteur avec insistance" en se demandant si c'était un mythomane venu lui raconter ses "visions", ou si c'était vrai, mais que ce monsieur "n'avait pourtant pas l'air d'un mystificateur ou d'un illuminé" et racontait calmement son histoire, "sans faire montre d'agitation ou d'exaltation anormale." "Ses gestes étaient mesurés, son ton calme et tout, dans son attitude et son comportement, accusait une somme de solide bon sens."

L'enquêteur lui a dit "je ne vous fais pas l'injure de nier vos affirmations", suite à quoi l'homme a sorti d'une petite valise "une sorte de tube récepteur de télévision", un objet cylindro-conique brillant comme de l'aluminium poli, d'environ 45 centimètres de long, 20 centimètres de diamètre à un bout et de 6 à 8 centimètres de diamètre à l'autre.

L'enquêteur, "en sa qualité de technicien", a été fortement intrigué en examinant l'appareil qui pesait environ 2.5 à 3 kilos et, "stupéfait, constata que le métal du cône... se transformait en une sorte de verre ou matière opalescente! En d'autres termes, l'édifice moléculaire et atomique du métal était modifié."

Guieu indique alors que dans l'état actuel de nos connaissances techniques, aucun laboratoire de la Terre n'aurait pu produire une telle "transmutation", et que l'appareil venait donc d'êtres "supra-évolués originaires d'un autre monde!"

L'enquêteur et l'homme sont allés en voiture sur une montagne et l'homme a expliqué que c'était une "longue-vue à mise au point constante", d'une prodigieuse netteté, avec une molette à tourner vers la droite pour une vue rapprochée, à gauche pour le contraire. L'enquêteur l'essaye, et, raconte Guieu, a pu voir l'immatriculation et des traces de cambouis d'une cabine d'un téléphérique se trouvant à 17 kilomètres de distance.

De retour en ville, les deux hommes se quittent sur la proposition de se revoir pour aller rencontrer la femme extraterrestre qui est maintenant d'accord pour que son contact vienne avec un ami. Mais 15 jours plus tard, il écrit à l'enquêteur qu'il est cloué au lit par une pneumonie, qu'il reprendra contact une fois guéri.

L'enquêteur n'ayant pas de nouvelle se rend chez l'homme, mais il avait quitté son appartement et "purement et simplement disparu!"

En février 1956, l'enquêteur a eu la visite d'un parent du "disparu", qui "réitérant les consignes de discrétion quant à l'identité de l'intéressé" a expliqué que l'homme avait eu la visite de quatre hommes "assez mystérieux" qui "s'entretinrent longuement avec lui". Suite à quoi "le plus grand désarroi" s'empara de lui et il a disparu le lendemain matin pour se rendre précipitamment chez un parent "en une autre région de France", et depuis, refuse de donner son adresse à l'enquêteur, "ne s'intéresse plus aux soucoupes volantes" et "se garde bien d'aborder ce sujet de conversation dans la nouvelle ville où il se cache!"

Tableau des informations de base:

Numéro de cas: URECAT-000481
Date d'observation: Mars et avril 1955
Premier rapport: 1956
Délai de rapport: 1 an.
Témoignage apporté via: Lettre et entrevue.
Premier enregistrement allégué par: Ufologue anonyme.
Premier enregistrement certain par: Livre d'ufologie Guieu.
Type premier enregistrement allégué: Ufologue anonyme.
Type premier enregistrement certain: Livre d'ufologie.
Ce dossier créé le: 8 février 2008
Sa plus récente mise à jour: 8 février 2008
Pays de l'événement: France
Etat/Département: Non rapporté.
Type de lieu: Clairière.
Conditions d'éclairage: Jour.
OVNI observé: Oui
Arrivée OVNI observée: Oui
Départ OVNI observé: Oui
Relation OVNI/entité: Certaine
Nombre de témoins: 1
Ages des témoins: Non rapporté. Agé.
Types de témoins: Non rapporté. Homme, retraité.
Photographies: Non.
Dessins par témoins: Non.
Dessins approuvé par témoins: Non.
Nombre d'entités: 1
Type d'entités: Humain
Taille d'entités: Non rapporté.
Tenues d'entités: Combinaison de vol.
Couleur des tenues d'entités: Grisâtre brun.
Couleur de peau d'entités: Non rapporté.
Corps des entités: Belle jeune femme.
Têtes des entités: Normal. Casque de pilote.
Yeux des entités: Non rapporté.
Bouches des entités: Non rapporté.
Nez des entités: Non rapporté ou normal.
Pieds des entités: Non rapporté ou normal.
Bras des entités: Non rapporté ou normal.
Doigts des entités: Non rapporté ou normal.
Nb de doigts des entités: Non rapporté ou normal.
Pilosité des entités: Blonde.
Voix des entités: Langage non compréhensible.
Actions des entités: Sortie de l'OVNI, discute avec témoin par gestes, entrée dans l'OVNI, départ, 7 rendez-vous, donne objet.
Interactions entités/témoins: Discute avec témoin par gestes, entrée dans l'OVNI, départ, 7 rendez-vous, donne objet.
Réactions des témoins: Observation, départ, vient à 7 rendez-vous.
Sentiments des témoins: Etonné.
Interprétations des témoins: Visiteur extraterrestre.
Catégorie explicative: Invention d'ufologue, d'inspiration "contactés".
Certitude de l'explication: Haute.

Récits:

[Ref. jg1:] JIMMY GUIEU:

Jimmy Guieu indique qu'après qu'il ait publié en janvier 1956 son roman "Nos Ancêtres de l'Avenir", il a reçu un volumineux courrier de lecteurs intrigués qui le pressaient de leur expliquer la signification exacte de l'exergue de la page de garde de ce livre.

"L'exergue" en question s'adressait à "celui" qui à sept reprises a été contacté par un "être" de l'Espace et qui détenait la preuve matérielle de ces contacts, et l'invitait à lire le livre et reprendre contact avec l'auteur.

Jimmy Guieu assure que ce n'était pas un procédé publicitaire mais un véritable appel pour qu'une personne reprenne contact.

Il explique ensuite que l'histoire de cette personne est inédite et semblera "à certains" être une pure invention, mais qu'elle lui est venue d'une "personne absolument digne de foi" dont il est "dans l'obligation" de taire l'identité, ainsi que celle du témoin.

Il raconte alors qu'un enquêteur d'Ouranos, son groupe d'ufologie, un "technicien", a reçu en mars 1955 une lettre d'un retraité habitant une ville "X" à 150 kilomètres de la ville où résidait l'enquêteur. La lettre demandait à cet enquêteur de le rencontrer pour lui communiquer "une information confidentielle de la plus haute importance."

L'enquêteur a vu la personne, qui a raconté qu'il occupe ses loisirs de retraité à peindre, fréquemment dans la campagne aux environs de sa ville, et un jour du mois de mars 1955, alors qu'il peignait un paysage, il a eu la surprise d'apercevoir dans le ciel un objet circulaire de couleur aluminium qui a ralenti, s'est mis à descendre lentement à la verticale de la clairière où il avait installé son chevalet.

L'homme assure alors qu'il n'avait jusqu'alors "jamais ajouté foi aux racontars concernant de prétendues soucoupes volantes" et qu'il a donc été stupéfait.

Il dit que l'engin avait huit à dix mètres de diamètre, était surmonté d'une "sorte de dôme", s'est posé à une cinquantaine de mètres de lui, une "espèce de porte" s'est ouverte lentement et un être humain entre guillemets est sorti, revêtu d'une "combinaison de vol" grisâtre ou brun clair, avec un casque "un peu analogue à celui des pilotes d'avions." Il dit avoir alors réalisé que c'était une jeune femme "d'une grande beauté" dont les mèches blondes dépassaient des bords inférieurs et des côtés de son casque.

Il dit avoir abandonné ses pinceaux et pour s'avancer vers elle, alors qu'elle se tenait devant son engin en le regardant "avec intérêt, souriant." La jeune femme a aussi fait quelques pas vers lui, s'est arrêté à 5 ou 6 mètres " de la périphérie du disque" tandis qu'il se tenait gauchement devant elle "encore sous le coup d'une intense émotion." Elle a sourit encore plus, a regardé autour d'elle, ramassé des petites pierres et les a alignées deux par deux sur le sol entre eux, formant "dix couples de pierres."

"L'Ouranienne" a alors pointé son index vers lui, puis vers elle, puis vers la première paire de cailloux, puis les autres paires pierres, puis elle-même, puis divers points de l'horizon, et l'homme en a compris qu'elle avait établi dix contacts analogues avec dix personnes différentes "en d'autres endroits de France ou d'autres pays."

Il lui a fait des signes pour qu'elle comprenne qu'il voulait visiter "son étrange appareil lenticulaire" mais elle a secoué la tête en souriant et dir des paroles qu'il n'a pas compris, d'une voix "agréable, avec des inflexions douces."

Guieu note alors que ces détails s'apparentent "étrangement" à ceux de la rencontre d'un "Vénusien" par George Adamski.

L'Ouranienne a fait comprendre par geste qu'elle reviendrait trois jours plus tard au même endroit, ils ont échangé "une série de mimiques - comiques sans doute". Elle lui a fait signe de reculer, est rentré dans son engin, "l'écoutille se referma sur elle" et "le véhicule discoïdal" s'est lentement élevé dans un ronronnement sourd, a accéléré et "bientôt" disparu dans le ciel.

L'homme est resté la bouleversé puis est rentré chez lui, en se demandant s'il n'avais pas rêvé, mais tout était si net, si précis dans sa mémoire qu'il "hésitait à croire" qu'il avait eu une hallucination. Il est revenu chaque jour au même endroit avec son matériel de peinture, mais ne peignait rien tant il était nerveux et troublé.

Le troisième jour, le disque volant est revenu, la jeune femme affable et souriante en est sorti, et ainsi sept fois durant mars et avril 1955, L'homme voulait qu'elle le laisse visiter la soucoupe mais en vain, sauf à la dernière rencontre.

Il précise qu'il avait remarqué qu'elle ne s'éloignait pas trop de son engin et que c'était peut-être parce qu'elle était protégé par "un champ de force ou un rayonnement pour nous indécelable".

L'homme dit qu'il est certain qu'elle est extraterrestre parce qu'elle avait à plusieurs rencontres désigné le ciel, son engin, puis elle-même.

Il explique qu'il a tout fait pour qu'elle lui donne une preuve matérielle, qu'elle devrait lui faire confiance puisqu'il était venu seul les sept fois, comme le le lui avait demandé par geste et de mimiques à la première rencontre.

Au dernier rendez-vous, elle l'a invité dans la soucoupe, où il y avait "une sorte de poste de pilotage en métal brillant", surmonté d'une plaque en demi-lune d'environ 1 m 50 de rayon et sur laquelle apparaissaient des points lumineux reliés entre eux par des lignes sombres. Les parois de la cabine "ainsi que le parquet" étaient en métal. Sur la "demi-lune" transparente, il y avait trois gros boutons disposés en triangle, "des commandes sans doute", et les "points" colorés reliés par des lignes sombres, "par un effet de perspective", semblaient suspendus dans le vide ou "en profondeur", dans ou derrière la plaque transparente.

"L'Ouranienne" lui a alors donné "un appareil bizarre" en lui laissant entendre qu'il pourrait le garder, et en lui montrant comment s'en servir.

Jimmy Guieu rapporte que l'enquêteur, à ce moment du récit, "regarda son interlocuteur avec insistance" en se demandant si c'était un mythomane venu lui raconter ses "visions", ou si c'était vrai, mais que ce monsieur "n'avait pourtant pas l'air d'un mystificateur ou d'un illuminé" et racontait calmement son histoire, "sans faire montre d'agitation ou d'exaltation anormale." "Ses gestes étaient mesurés, son ton calme et tout, dans son attitude et son comportement, accusait une somme de solide bon sens."

L'enquêteur lui a dit "je ne vous fais pas l'injure de nier vos affirmations", suite à quoi l'homme a sorti d'une petite valise "une sorte de tube récepteur de télévision", un objet cylindro-conique brillant comme de l'aluminium poli, d'environ 45 centimètres de long, 20 centimètres de diamètre à un bout et de 6 à 8 centimètres de diamètre à l'autre.

L'enquêteur, "en sa qualité de technicien", a été fortement intrigué en examinant l'appareil qui pesait environ 2.5 à 3 kilos et, "stupéfait, constata que le métal du cône... se transformait en une sorte de verre ou matière opalescente! En d'autres termes, l'édifice moléculaire et atomique du métal était modifié."

Guieu indique alors que dans l'état actuel de nos connaissances techniques, aucun laboratoire de la Terre n'aurait pu produire une telle "transmutation", et que l'appareil venait donc d'êtres "supra-évolués originaires d'un autre monde!"

L'enquêteur et l'homme sont allés en voiture sur une montagne et l'homme a expliqué que c'était une "longue-vue à mise au point constante", d'une prodigieuse netteté, avec une molette à tourner vers la droite pour une vue rapprochée, à gauche pour le contraire. L'enquêteur l'essaye, et, raconte Guieu, a pu voir l'immatriculation et des traces de cambouis d'une cabine d'un téléphérique se trouvant à 17 kilomètres de distance.

De retour en ville, les deux hommes se quittent sur la proposition de se revoir pour aller rencontrer la femme extraterrestre qui est maintenant d'accord pour que son contact vienne avec un ami. Mais 15 jours plus tard, il écrit à l'enquêteur qu'il est cloué au lit par une pneumonie, qu'il reprendra contact une fois guéri.

L'enquêteur n'ayant pas de nouvelle se rend chez l'homme, mais il avait quitté son appartement et "purement et simplement disparu!"

En février 1956, l'enquêteur a eu la visite d'un parent du "disparu", qui "réitérant les consignes de discrétion quant à l'identité de l'intéressé" a expliqué que l'homme avait eu la visite de quatre hommes "assez mystérieux" qui "s'entretinrent longuement avec lui". Suite à quoi "le plus grand désarroi" s'empara de lui et il a disparu le lendemain matin pour se rendre précipitamment chez un parent "en une autre région de France", et depuis, refuse de donner son adresse à l'enquêteur, "ne s'intéresse plus aux soucoupes volantes" et "se garde bien d'aborder ce sujet de conversation dans la nouvelle ville où il se cache!"

Jimmy Guieu développe ensuite longuement l'idée que ces quatre hommes sont des "Men-in-Black" comme ceux qui "rendirent visite à Albert K. Bender aux U.S.A." avec le même résultat, concluant que "la solution de cette irritante énigme est peut-être hors de notre portée..., hors de la Terre!"

[Ref. go1:] GODELIEVE VAN OVERMEIRE:

L'ufologue Belge indique qu'en mars 1955 en un lieu non précisé en France, un témoin peintre désirant garder le plus strict anonymat était occupé à peindre un paysage, et a vu un engin circulaire couleur aluminium ralentir et descendre à la verticale de la clairière où était installé le chevalet. L'engin avait de 8 à 10 mètres de diamètre, était surmonté d'un dôme, s'est posé à 50 mètres du témoin. Une espèce de porte s'est ouverte lentement et il a vu descendre une personne vêtue d'une combinaison grisâtre ou brun clair et coiffée d'un casque.

Après avoir mieux regardé il a constaté que l'être était une femme de grande beauté, avec des mèches blondes dépassant des bords inférieurs et des côtés du casque. Elle l'a regardé en souriant, a fait quelques pas, mais est restée à 5 ou 6 mètres de son engin. Elle a ramassé un certain nombre de petites pierres qu'elle a alignées deux par deux sur le sol entre lui et elle.

Il y avait 10 couples de pierres. Elle a pointé son index vers lui, vers elle et vers le premier couple de pierres. Elle a désigné les autres couples de pierre et s'est pointée elle-même, et différents points de l'horizon. Le témoin a cru comprendre qu'elle avait établi des contacts avec 10 personnes différentes.

Il a manifesté son désir de visiter l'engin, mais elle a répondu avec des paroles incompréhensibles et il lui a semblé qu'elle promettait de revenir trois jours plus tard. Le témoin est rentré en se demandant s'il n'avait pas rêvé, mais il a été au rendez-vous le 3e jour et la mystérieuse femme également.

Au mois de mars et avril, elle est revenu 7 fois, mais ce n'est que la dernière fois que le témoin a pu visiter l'engin. Elle a également accédé à la demande faite à chaque fois par le témoin de lui laisser une preuve palpable, et ce jour-là il a reçu une sorte d'objet cylindro-conique brillant comme de l'aluminium, long de 45 cm, large de 20 cm à la grande base et de 6 à 8 cm dans la petite base, qui pesait environ 2.5 kg.

Quand on le gardait en main, le métal se transformait en une sorte de verre ou matière opalescente, et c'était en somme une longue vue extrêmement puissante, ne nécessitant aucune mise au point, permettant de voir nettement même à 17 kilomètres.

Peu de temps après la visite que l'enquêteur fit au témoin, celui-ci est tombé malade et a du s'enfuir, poursuivi par 4 hommes en noir qui ne lui laissèrent aucune paix. Le témoin a littéralement "disparu".

Godelieve van Overmeire commente que cette disparition est "encore la façon la plus élégante pour un auteur de fiction de sortir de l'embarras... et éviter une enquête."

Godelieve van Overmeire indique que la source est Jimmy Guieu dans "Black-out sur les S.V.", Fleuve noir, 1956, pages 245 à 253.

[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:

Albert Rosales indique dans son catalogue qu'en France, lieu exact non indiqué, en mars 1955, dans la soirée, le témoin, un peintre, était occupé à peindre le paysage quand il a remarqué une machine argentée circulaire descendant lentement verticalement dans une clairière voisine. L'objet avait environ 8 à 10 mètres de diamètre, était complété par un dôme, et était à environ 50 mètres du témoin. Une sorte de porte s'est ouverte lentement et une personne portant une combinaison brun gris et un casque est descendue à terre. Après un regard plus rapproché sur l'être, le témoin a remarqué que c'était une femme, de grande beauté, avec des mèches de cheveux excédant juste un peu les bords inférieurs et les côtés du casque. Elle était à 5 à 6 mètres près de l'objet et souriait. La femme a alors rassemblé un certain nombre de petites pierres, qu'elle a alignées, deux par deux sur la terre entre elle et le témoin. Il y avait 10 paires de pierres. Elle a dirigé son index vers le témoin, et ensuite vers la première paire de pierres. Elle a indiqué les autres paires de pierres et s'est montrée elle-même du doigt et ensuite divers points de l'horizon. Le témoin a compris que ceci a signifié qu'elle a établi des contacts avec 10 autres personnes. Le témoin a exprimé son désir de visiter l'objet, mais elle a répondu dans des mots incompréhensibles et le témoin a compris qu'elle a promis de revenir trois jours plus tard. Le témoin est revenu plus tard et a encore rencontré l'objet atterri et son occupant féminin. Cette fois il a reçu des preuves réelles de la rencontre sous forme d'objet métallique en forme de cylindre de 45 centimètres qui a pesé environ 2.5 kilogrammes. Tandis qu'il tenait l'objet il s'est transformé en une sorte de matière opalescente. Il pouvait censément voir à de grandes distances quand il a regardait à travers l'objet. Une visite postérieure à l'emplacement par l'enquêteur et le témoin ont fait que le témoin s'est senti mal et a quitté le secteur. Il a été plus tard censément harcelé par des étrangers mystérieux habillés en noir et a disparu peu après, ses pérégrinations demeurant inconnues.

Albert Rosales indique comme source Jimmy Guieu, "Blackout of the Flying Saucers".

Albert Rosales commente que c'est un cas de contact avec des interférences directes.

Points à considérer:

Couverture   Couverture

A gauche: "Nos Ancêtres de l'Avenir", une aventure du personnage Jean Kariven, par Jimmy Guieu, 1956, raconte un conflit entre les "Polariens" et les Terriens, qui na'rrivent pas à s'allier parce que tous les chefs d'état de la Terre sont sous l'emprise des "appareils psychotroniques" des "Denebiens", des êtres abominables, assoiffés de puissance et de sang.

Henri-René Guieu, alias Jimmy Guieu, Dominique Verseau, Claude Rostaing, Jimmy G. Quint, (1926-2000) était un passionné d'occultisme, s'ésotérisme, de fantômes, de paranormal et de parapsychologie avant de se passionner dès 1947 pour la question des "soucoupes volantes". Il était surtout un écrivain de romans de science fiction et d'aventures ésotériques et érotiques qui sortait à la pelle des livres qui sont de véritables ancêtres des séries de SF actuelles comme les X-Files. Extrêmement crédule, confondant sans cesse météores et soucoupes volantes, et vivant dans un monde un peu à part, il publiait également sans vraiment les vérifier toutes sortes de récits d'observations de soucoupes volantes, et parfois, comme c'est le cas ici, n'avait que peu de scrupule à mêler fiction et réalité, s'inspirant des thèmes de la "lunatic fringe" naissante dans l'ufologie Etats-Unienne, tels ceux de son correspondant Gray Barker, avec ses belles Vénusiennes blondes et ses mystérieux "hommes en noir" faisant invariablement "pression" pour que "disparaissent" comme par enchantement les preuves matérielles extraordinaires qui accompagnaient les récits les plus imbuvables.

Jimmy Guieu

Jimmy Guieu.

Jimmy Guieu avait ainsi "enchanté" des générations de lecteurs, amateurs de science fiction et passionnés d'ufologie, certains ayant le recul nécessaire en l'occurrence, d'autre se montrant horrifiés lorsque de tels récits ne sont pas crus.

Soucoupe façon "Adamski" en couverture des deux livres de
Jimmy Guieu sur les soucoupes volantes.

Liste de problèmes:

Id: Sujet: Sévérité: Noté le: Soulevé par: Noté par: Description: Proposition: Statut:
Sans.

Evaluation:

Invention d'ufologue, d'inspiration "contactés"

Références des sources:

* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.

Histoire du document:

Rédaction

Auteur principal: Patrick Gross
Contributeurs: Aucun
Reviewers: Aucun
Editeur: Patrick Gross

Historique des changements

Version: Créé/changé par: Date: Description:
0.1 Patrick Gross 8 février 2008 Création, [jg1], [ar1], [go1].
1.0 Patrick Gross 8 février 2008 Première publication.

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Cette page a été mise à jour le 8 février 2008