Vague belgeAccueil 

This page in EnglishClick!

La vague belge:

La soirée du 25 octobre 1993, centre du Hainaut:

Le 25 octobre 1993, un lundi, les observations suivantes ayant eu lieu dans la région de La Louvière, au centre du Hainaut, ont été rapportées, principalement aux enquêteurs D. Lete et M. Bougard de la SOBEPS, lequel enseignait la chimie à l'Athénée Provincial de La Louvière.

Vers 17:30 - Olivier C.

Vers 17:30, Olivier C., maçon, 29 ans, rentrait de son travail au volant d'une camionnette. Il est en train de rouler le long de la gare de Manage, et il voit ce qu'il décrira comme une boule blanche puissante et immobile, dans le nord, vers le complexe chimique de Feluy.

La boule avait un quart de la dimension de la Lune mais elle était plus brillante. Cela ne l'a pas vraiment préoccupé et il est rentré chez lui.

A 18:50, il reprend la camionnette pour la ramener à son frère qui habite Familleureux. En sortant du chemin qui mène chez lui, il voit droit venant lui dans la direction du nord-ouest à 30° d'élévation, un objet en forme de cigare avec des feux blancs qui diminuaient d'intensité puis augmentaient de nouveau lentement, et avec un feu rouge qui clignotait comme un gyrophare.

Ci-dessus: Forme, couleur et disposition des phares selon le dessin fait pour cette phase de son observation par Olivier C. pour la SOBEPS.

Il a continué sa route en gardant l'objet en vue jusqu'au carrefour entre les rues Ferrer et Haveau. Là, il s'arrête, descend de la camionnette et continue à observer l'objet, qui a une taille apparente de 7 cm à la longueur du bras et semble se déplacer, très, très lentement, vers Feluy qui se trouve à son nord-est.

Il prend alors pris une paire de jumelles 12x50 dans la camionnette pour mieux l'observer. A la jumelle, il pense distinguer une ligne horizontale dans sa partie supérieure, «comme si c'était la ligne de séparation d'une coupole.» L'objet a néanmoins la même teinte grise partout. Il a l'impression que l'engin cherche quelque chose parce que ses mouvements semblent indécis.

Au bout de dix minutes à peu près, il reprend son trajet vers Familleureux. Revenant en voiture de chez son frère, il repasse au carrefour entre les rues Ferrer et Haveau un quart d'heure plus tard et voit que l'objet est alors au-dessus du bois de Feluy, toujours à la même distance et à la même altitude.

Il est maintenant entre 19:15 et 19:30, et il est arrivé près du Pont Looza, et voit là deux personnes qui regardent vers le ciel. Il s'arrête, coupe le contact et sort de la voiture (Point J sur la carte).

Alors, il se retrouve juste en dessous d'un engin immense, en forme de losange, plus grand qu'un terrain de football, dont il voit clairement les contours et qui lui semble être à une distance de 200 mètres.

L'engin a des phares blancs qui diminuent et augmentent d'intensité, et comme un gyrophare situé en avant de la structure dans le sens de son déplacement. L'engin a également des lampes vert foncé à sa surface inférieur, et quand les lampes blanches diminuaient et que la lampe rouge s'éteignait un court instant, les lampes vertes éclairaient en partie le dessous de l'engin, ce qui lui a permis de voir qu'il avait une surface qui n'était pas lisse mais qui ressemblait à de la tôle gaufrée «ou comme des chevrons galvanisés, un peu comme les tôles utilisées pour les rampes pour voitures sur les camions de dépannage.»

Ci-dessus: Aspect de l'engin selon le dessin fait pour cette phase de son observation par Olivier C. pour la SOBEPS.

L'engin émet un son sourd, comme celui d'une machine à laver, qui variait en intensité, mais il n'est pas sûr que cela ait été en même temps que variaient les feux blancs. Il lui semble que le son semblait venir de partout à la fois.

Olivier C. n'avait pas peur et avait même envie de faire signe comme pour dire: «je vous ai vu, et vous? Emmenez-moi...» Mais il ne l'a pas fait par crainte de paraître ridicule aux yeux des autres gens sur le pont.

L'engin se déplace vers l'Est, la direction de son domicile, mais pas tout droit, «il faisait comme une voiture qui chasse de l'arrière, d'un côté puis de l'autre.» Il remonte alors en voiture pour aller alerter sa femme. Il a dit: «Je pense qu'elle aurait eu le temps de fumer une cigarette à l'aise avant que l'engin ne passe au-dessus d'elle, tellement il allait lentement.»

Il démarre et fait demi-tour, levant les yeux au ciel à travers le pare-brise, mais l'objet n'est plus là, et il ne le reverra pas.

Les enquêteurs de la SOBEPS noteront qu'il n'est pas évident de procéder à des estimations fiables, mais ont pensé que l'objet, au moment où il est passé au plus près de ce témoin, devait avoir quelques 150 mètres sur 75 mètres, une épaisseur aux environs de 25 mètres, et volait à une hauteur entre 80 et 100 mètres.

Vers 18:15 - Michel P.

Michel P. est à son domicile à La Louvière. Il entend des bruits de klaxon, qui s'avéreront produits par des voitures gênées par un camion de ramassage de vêtements d'une opération caritative.

Il regarde le ciel et voit à travers une éclaircie nuageuse un arrangement en triangle de trois feux blancs et un feu rouge. Il distingue mal la forme mais elle lui évoque vaguement celle d'un «cigare».

Cet objet va vers le nord-est en direction du quartier du Tivoli, il l'observe pendant une vingtaine de secondes, puis il appelle tout de suite Robert S., de la Cité Astrid, parce qu'il sait que Robert S. s'intéresse aux OVNIS.

Ci-dessus: Michel P est au point A sur la carte.

Vers 18:21, famille Lucia R. et Pierre P.

Lucia R. revenait de chez le pédiatre avec sa fille Eve, de 6 ans et demi. Elles étaient en voiture sur la route N 55, venant de Binche et allant en direction de Le Roeulx.

Quand elles se trouvent à environ 500 mètres de l'échangeur avec l'autoroute E 19, Lucia R. avait légèrement levé les yeux, parce que son regard a été attiré vers quelque chose de lumineux qui se trouvait sur sa droite. Elle voit alors là, en même temps que sa fille, un objet de forme triangulaire qui se trouvait immobile au-dessus d'un bosquet, à 50 mètres d'elle. (Point B sur la carte.)

L'objet semblait incliné à 45°, montrant seulement le dessous de sa structure. Cette structure était légèrement lumineuse et se détachait nettement sur le ciel qui n'était pas encore noir. L'objet portait trois phares blancs fixes dans ses trois coins, qui étaient arrondis. Un grand feu rouge semblait dépasser de l'objet, ressemblant à une demi-sphère d'un rouge très vif, qui lui a fait penser à «une plaque de cuisson en vitro-céramique.»

Ce feu rouge semblait en rotation, d'après le déplacement des intensités différentes de sa couleur rouge.

La structure de l'objet avait un aspect «granuleux».

Elle a eu également l'impression furtive d'un feu en plus, ou de ce que l'un ou plusieurs des feux blancs ont changé.

Sa fille a pu observer plus longtemps qu'elle, et a affirmé qu'il y avait un feu orange séparé des autres, qui était à peu près à la moitié de la hauteur d'un arbre au-dessus du bosquet.

Elle n'a pas pu s'arrêter à cet endroit parce que d'autres véhicules la suivaient, et n'a pu observer la chose que quelques secondes, mais elle explique qu'elle en a un souvenir précis.

Lucia R. s'engage alors dans la bretelle d'autoroute sur la E42 qui mène à La Louvière, et elle perd l'objet de vue. Elle le revoit un peu plus loin (Point C sur la carte), en distinguant comme un gros point lumineux sur sa gauche qui longeait l'autoroute E 19 en direction de Bruxelles.

Elle indique qu'il y a alors deux objets, et que l'un d'eux a alors traversé l'autoroute de droite à gauche par rapport à elle, et ce à la hauteur de la gare autoroutière de Houdeng. Les objets se déplaçaient lentement.

Elle a alors rejoint la rue qui relie Houdeng à Besonrieux, son lieu de résidence, et après la gare autoroutière, elle a revu les deux triangles, en n'en voyant toujours que le dessous (Point D sur la carte).

Les deux triangles avaient ralenti et se déplaçaient à la même vitesse qu'elle, c'est à dire à 60 ou 70 km/h. Ils se trouvaient à ce moment à mi-distance entre l'autoroute E10 et elle, c'est à dire à 350 mètres selon son évaluation, et en élévation, ils lui ont paru être un peu au-dessus de l'éclairage de l'autoroute, à une hauteur d'environ la moitié de celle d'un poteau d'éclairage, soit entre 20 et 30 mètres.

Arrivant vers son domicile, Lucia R. se dépêche d'y retrouver son mari, Pierre P. et leur autre fille, Caroline, âgée de 12 ans. Elle arrive chez elle précisément à 18:29 précises (Point E et les alerte tout de suite, ils sortent dans leur jardin qui donne vers Feluy.

De là, la famille regarde les deux objets triangulaires voler de concert quasiment au-dessus d'eux à une hauteur de 150 mètres.

Leur forme est toujours triangulaire, les coins sont arrondis, il y a un feu blanc à chaque coins et un feu rouge clignotant au centre et volent dans la direction du zoning de Feluy, vers le nord-est, en suivant l'autoroute E10.

Ils entendent un son de faible ronflement provenant des objet, et Pierre R. dit que le son ressemble à celui d'un ULM éloigné. Lui et sa fille Caroline disent avoir vu un feu orange à côté de chaque feu blanc, tandis que Lucia R. indique que cela ne l'a pas frappé. Lucia R. et Pierre P. réaliseront chacun un dessin de ce qu'ils ont vu là.

Ci-dessus: Reconstitution: à gauche, d'après un dessin de Lucia R., à droite, d'après un dessin de Pierre P.

Note: Le contour, ainsi que la disposition, la taille et la couleur des feux, sont tels que sur les dessins faits par ces témoins pour les enquêteurs de la SOBEPS. Lucia R. a rapporté une texture granuleuse de la surface de l'OVNI. La couleur du ciel est telle qu'elle se présentait à cette date, heure et lieux. Les tailles respectives et la couleur de l'engin sont fictives.

Au moment où les deux triangles s'éloignent lentement en direction de Feluy, un troisième triangle passe, qui venait de la même direction.

Ils restent là à observer le ciel jusqu'à 19:27, et disent qu'ils ont vu passer encore une quinzaine d'objets, mais à plus haute altitude, dont les enquêteurs soupçonnent que cela pourrait être des avions. Ces autres objets suivent le même trajet sur un axe nord-est.

Les enquêteurs ont entendu d'autres gens du quartier, c'est à dire de la rue Mignaut, qui ont vu quelque chose, mais ont pensé qu'il ne s'agissait que d'avions ou d'hélicoptères et n'y ont pas particulièrement prêté attention. Il s'est juste avéré qu'ils n'ont pas entendu de son.

Lucia R. a téléphoné à la gendarmerie de La Louvière, et ce sont les gendarmes qui lui ont indiqué l'adresse et le numéro de téléphone de la SOBEPS qu'elle a ensuite contacté.

Ci-dessus: Lucia R. est initialement au point B sur la carte, venant de Binche sur la N 55 et 500 mètres avant d'emprunter l'autoroute E 19. L'OVNI est sur sa droite. Elle prend l'E 19, le perd de vue et le retrouve vers C, elle est sur l'E 42. L'OVNI, accompagné d'un deuxième, traverse l'E 42. Elle descend de l'E 42 et prend la rue D qui va à Besonrieux où elle habite, au coin en bas à gauche du E et elle observe alors avec sa famille les deux OVNIs puis d'autres allant vers Feluy. Son trajet est marqué par la ligne blanche, l'OVNI a pu suivre les pointillés rouges, allant vers Feluy en direction du nord-est.

Jonathan S.

Le même jour à une heure non précisée, Jonathan F. avait quitté l'autoroute A 501 et se troUvait près des usines Boël dans la partie nord de La Louvrière, et allait tourner vers la gauche pour rejoindre la Cité Astrid où il habite.

Il voit alors ce qu'il n'a pas pu mieux décrire qu'une sorte d'objet triangulaire éclairé qui venant de la direction du complexe commercial Cora-City à son sud et se dirigeait vers la Cité Astrid. A la longueur du bras, faisait environ 10 centimètres, il paraissait voler assez bas. L'heure n'est pas précisée, mais le témoignage suivant pourrait être concomitant.

Ce témoin se trouve au point F de la carte.

Entre 18:15 et 18:30, Michel P.

Dans le quartier de Michel P., les gens connaissent son intérêt pour les OVNIS: il en avait vu un en 1989. Entre 18:15 et 18:30, Michel P. appelle Michel S. et lui dit qu'un OVNI vient d'être vu en direction du nord-nord-est, se dirigeant vers la cité Astrid.

Juste après ce coup de fil, le fils de Michel S. frappe à la porte de Robert S. en face de la sienne dans la même rue, et lui dit qu'il y a quelque chose de bizarre dans le ciel.

Robert S. prend sa caméra vidéo, et sort juste à temps pour voir ce qu'il a décrit comme une sorte de gros boudin lumineux qu'il voyait à son nord-ouest vers le fond de la rue des mimosas et qui avait l'air de se diriger vers Bésonrieux, allant donc du sud-est vers le nord-ouest.

Robert S. reste là un moment, puis contacte son ami Michel G., et ils partent ensemble vers le quartier de la Petite-Suisse à Bésonrieux (à peine au Sud-Est du point E sur la carte, où la famille de Lucia R. observe le passage d'OVNIS).

A cet endroit, entre 20:00 et 20:30, ils voient passer deux hélicoptères. Ils les ont identifiés facilement comme des hélicoptères, par leur façon de voler, par leurs feux de position, et par leur bruit.

Les deux hélicoptères paraissent être au-dessus du confluent du canal du centre et du nouveau canal en construction, au-dessus de la gare autoroutière, et partent ensuite vers l'autoroute.

Entre 18:30 et 18:40, Michel S.

A un moment entre 18:30 et 18:40, M. Michel S. sortait de chez lui dans la Cité Astrid, quartier de La Croyère, en compagnie du fils de sa compagne, Olivier W. âgé de 12 ans. C'est Olivier qui a remarqué un objet de grande dimension qui venait de l'aplomb des usines Boël au Sud-Sud-Ouest d'eux et volait vers le nord-nord-est. L'objet apparaissait comme carré, avec une épaisseur, des coins arrondis, portant quatre feux blancs à chacun des angles et un feu rouge plus gros au centre, qui clignotait assez rapidement.

L'objet se déplaçait relativement vite, et émettait un son décrit comme un ronronnement. Sa masse était sombre mais ce distinguait bien sous le ciel nuageux par endroits.

Ces témoins se trouvent au point G sur la carte.

Vers 18:35, Benoît C.

Benoît C., un membre de la SOBEPS, est cadre dans une importante société de distribution, et à 18:35 ce jour là il rentrait de son travail et venait de quitter l'autoroute E 10 à la sortie Nivelles Sud pour s'engager sur la N 6 vers Arquennes et Manage, parce que l'autoroute étant encombrée à la suite de travaux.

A environ 500 mètres du pont au-dessus de l'ancien canal (point K), il constate un trafic aérien intense, avec deux ou trois avions qui et se dirigeaient vers Nivelles, semblant être en approche de Zaventem avec leurs feux allumés.

Il a vu également trois lumières disposées en triangle, avec une lumière fixe au milieu, qui avançaient parallèlement à sa direction, mais en sens inverse de lui et du côté gauche de la chaussée.

Benoît C. est intrigué, et s'arrête sur le bord de la route. Il se dit qu'il serait bon d'arrêter quelques automobilistes pour avoir des témoins additionnels, mais il y a renoncé en estimant qu'il risquait de causer un carambolage.

Dans la circulation intense avec beaucoup de bruit de voitures, il n'a pas pu discerner si l'engin émettait du son.

Il a continué à observer l'engin qu'il situe à environ 150 mètres de lui dont il estime la longueur à plus ou moins 50 mètres, en notant que dans le noir cette estimation a été difficile. Il volait à quelque 30 km/h et était de temps en temps masqué derrière l'un ou l'autre arbre.

A un moment, il a vu un projecteur très puissant diriger vers le sol, mais il ne pouvait pas voir le sol de là où il se trouvait.

Le projecteur donnait un cône de lumière blanche et vive, qui a duré trois secondes. L'engin qui allait toujours à la même vitesse a finalement été masqué par des arbres.

Vers 19:00, Véronique B.

Véronique B. observe une grosse lueur blanche qui est complètement immobile en direction du nord-ouest par rapport à elle. Elle indiquera que cette lueur était plus grosse que celle de l'éclairage public, aussi grosse que la Lune. Elle est restée fixe pendant 5 minutes, puis est partie lentement vers le nord de sa position, en direction de Bésonrieux.

Vers 21:30, Philippe R.

Le dernier témoignage connu de la soirée en ces lieux est apporté par Philippe R., employé, qui circulait seul vers 21:30 à environ 80 km/h sur la route reliant Ecaussinnes à Braine-le-Comte. En arrivant au lieu-dit «Barrière d'Ecaussinnes» (Point rouge sur la carte ci-dessous), il est intrigué par ce qu'il a pris d'abord pour la Lune, car c'était de la même couleur jaune mat foncé que la Lune. Mais c'était plus petite que la Lune.

Il regarde alors la route un instant, puis regarde de nouveau vers la droite en direction de cette lune. Mais au lieu d'une lumière unique, il y a maintenant trois phares blancs formant un triangle équilatéral debout sur sa base.

Il a de nouveau regardé la route, en ralentissant, puis a de nouveau regardé vers sa droite. Il voit au même endroit qu'il y a maintenant un objet étrange qu'il a comparé à «un large pneu placé à plat comme une bouée, une forme de cigare.»

Il en voit très nettement le côté droit arrondi comme un pneu, et estime que l'engin devait se trouver entre 300 et 500 mètres de lui, mais n'en est pas sûr parce qu'il n'avait aucun point de repère. L'engin est à une élévation qu'il estime de 30°. L'engin est trois fois plus long qu'il n'est épais et lui semble très massif et lourd.

Il voit qu'il a cinq ou six hublots d'un jaune vif très lumineux, et que sur le dessus et le dessous de cette rangée de hublots se trouvent de petites lumières blanches et vives comme une guirlande lumineuse. Toutes les lumières semblaient fixes, comme l'engin.

Philippe R. continué de rouler en essayant de regarder l'engin, en se penchant vers son pare-brise, ceci sur environ un kilomètre.

Il a à un moment l'impression qu'au niveau des petites lumières supérieures un peu sur la gauche de l'engin, il y a eu un éclat de lumière, «comme un reflet de diamant», comme si un phare chercheur l'avait ébloui un court instant.

Juste après qu'il ait brièvement regardé la route, l'éclat avait disparu et il y avait à la place un puissant faisceau lumineux qui semblait sortir du dessus de l'objet et éclairait les nuages juste au-dessus de lui. Le faisceau était conique, ouvert vers le haut avec une hauteur d'environ trois fois l'épaisseur de l'appareil.

Pendant l'observation, il a eu la désagréable impression «qu'on» allait l'enlever, et il a été très impressionné.

Il a raconté ces événements à son épouse et à son beau-père, également membre de la SOBEPS, qui l'a persuadé de faire parvenir son témoignage écrit à cette association, ce qu'il a fait.

Il conclut cette lettre ainsi:

«J'avoue en effet qu'avant cela j'étais très sceptique quant au phénomène OVNI et que j'avais plutôt tendance à m'en moquer. Actuellement je suis assez troublé et plein de questions me viennent quant à la chose. Je peux affirmer que le phénomène que j'ai vu ne correspond à rien de conventionnel.»

Ci-dessus: Forme, couleur et dispositiondes lumières et du projecteur selon le dessin de Philippe R pour la SOBEPS.

Valid XHTML 1.0 Strict



 eMail  |  Début  |  Retour  |  Avance  |  Plan  |  Liste |  Accueil
Cette page a été mise à jour le 5 octobre 2007.