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Date:25 novembre 1896
Heure:18:00
Lieu:Près de Lodi, Californie

Récits:

TROIS ETRANGES VISITEURS
Qui sont peut-être venus de la planète Mars
Vus sur une route de campagne par le Colonel H.G. Shaw et un compagnon
Ils sont montés dans le dirigeable

Depuis plus d'une semaine les journaux tout le long de la côte avaient rapporté la présence d'un dirigeable allégué ou d'une machine volante, que beaucoup de gens honorables prétendent avoir vus à plusieurs occasions dans les cieux la nuit. S'il y a ou n'y a pas réellement une telle machine navigant dans les airs, le Mail ne peut pas le déterminer d'une manière satisfaisante, mais certains des journaux ont traité le sujet sérieusement et d'autres ont été disposés à faire la lumière sur les déclarations. Une paire d'avocats de San Francisco s'est fait beaucoup de publicité gratuite en prétendant avoir des clients qui ont inventé et testé avec succès des vaisseaux aériens et les journaux ont rempli plusieurs colonnes à parler du mystère aérien.

Le Mail sonne le rapport ci-dessus simplement en introduction à une histoire des plus remarquables qui est rapportée par le colonel H.G. Shaw de cette ville, qui autrefois faisait partie du personnel éditorial du Mail. Le Colonel Shaw est actuellement occupé à organiser un stand pour l'exposition de l'association commerciale de Stockton qui sera montré à la Foire du Citron qui se tiendra à Fresno durant le moins prochain. Le monsieur était très hésitant au sujet de raconter les événements, comme il a dit qu'il ne sait pas du tout s'il sera cru par n'importe qui, et il était peu disposé à apparaître publiquement comme un romancier ou un homme à qui il manquerait une case. Il raconte son histoire comme suit:

TROIS ETRES ETRANGES

«S'il n'y avait pas le fait que je n'étais pas seul quand j'ai été témoin de l'étrange spectacle, je ne l'aurais jamais mentionné du tout. Mercredi après-midi je suis sorti à Lodi et Lockeford en la compagnie de Camille Spooner, un jeune homme est récemment arrivé du Nevada. Je suis allé aux endroits mentionnés à la recherche de matériel pour former un stand d'exposition pour représenter ce comté à la Foire du Citron de Fresno. Nous avions quitté Lodi pour faire le trajet du retour, je dirais peu avant 6 heures, et nous progressions tranquillement quand le cheval s'est arrêté soudainement et a poussé un reniflement de terreur.»

«En levant les yeux, nous avons vu trois êtres étranges. Ils ressemblaient aux hommes sur de nombreux points, mais cependant ils n'étaient pas comme quelque chose que j'avais jamais vu. Ils étaient presque ou tout à fait de sept pieds de haut et très minces. Nous étions tous deux légèrement étonnés, comme vous pouvez aisément l'imaginer, et notre première impulsion était de continuer notre route. Le cheval, cependant, a refusé de bouger, et quand nous avons vu que nous étions considérés plus avec un air de la curiosité que toute autre chose, nous avons décidé de descendre et de voir ce qu'il en était. J'ai marché jusqu'à l'endroit où ces personnes d'aspect étranges étaient et je leur ai adressé la parole. J'ai demandé d'où ils étaient. Ils ont semblé ne pas me comprendre, mais se sont mis à, disons, «gazouiller» pour s'exprimer, plutôt que parler. Leurs remarques, si vous pouvez les appeler comme ça, étaient adressées entre eux, et ressemblaient à un chant monotone, qui tendait à être guttural. J'ai vu qu'il était inutile de tenter une conversation, donc je me suis contenté de les observer et les examiner. Ils ont semblé se prendre d'un grand intérêt pour nous-mêmes, le cheval et la voiture, et ont tout scruté très soigneusement.»

ILS PESAIENT MOINS D'UNE ONCE CHACUN

«Tandis qu'ils étaient affairés à cela, cela m'a permis de les inspecter moi-même. Comme je l'ai déjà énoncé, ils étaient de sept pieds de hauteur et très minces. J'ai noté, de plus, que leurs mains étaient tout à fait petites et sensibles, et que leurs doigts étaient sans ongles. Leurs pieds, cependant, étaient presque deux fois plus longs que ceux d'un homme ordinaire, bien qu'ils aient été minces, et les orteils étaient également longs et minces. J'ai noté, aussi, qu'ils pouvaient utiliser leurs pieds et orteils le plus ou moins de même qu'un singe; en fait, ils ont semblé avoir une bien meilleure utilisation de leurs pieds que de leurs mains. J'ai actuellement découvert que c'était probablement une caractéristique naturelle. Alors que l'un d'eux venait près de moi, je l'ai touché, et j'ai placé ma main sous son coude et poussé doucement vers le haut, et voilà que je l'ai soulevé du sols dans grand effort. Je dirais que la densité de la créature était de moins d'une once. C'était alors que je l'ai observé tenter de s'agripper au sol avec ses orteils pour empêcher que je le soulève. Vous pouvez aisément comprendre que leur poids léger a rendu une telle caractéristique nécessaire, sans quoi ils auraient pu être aisément renversé par les vents.»

«Ils étaient dépourvus de la moindre sorte d'habillement, mais étaient recouverts d'une protection naturelle difficile à décrire; ce n'était pas des cheveux, ni mon plus comme des plumes, mais il c'était aussi doux que la soie au contact, et leur peau était comme le velours. Leurs visages et têtes étaient sans cheveux, les oreilles étaient très petites, et le nez avait l'aspect de l'ivoire poli, alors que les yeux étaient grands et brillants. La bouche, cependant, était petite, et il m'a semblé qu'ils étaient sans dents. Cela et d'autres choses m'ont mené à croire qu'ils ne mangeaient ni ne buvaient, et que leur vie était soutenue par une certaine sorte de gaz. Chacun d'eux avait attaché sous le bras gauche un sac auquel était joint un bec, et de temps en temps l'un ou l'autre plaçait ce bec sur sa bouche, et alors j'entendais un bruit du gaz s'échappant. C'était plus ou moins le même bruit que celui produit par une personne faisant gonfler un ballon de rugby.»

D'UNE BEAUTE INDESCRIPTIBLE

«De la description je donne, je ne voudrais pas que vous ayez l'idée que ces créatures étaient affreuses. Dans leur aspect elles étaient nettement le contraire. Elles étaient d'une beauté étrange et indescriptible. Je puis pas m'exprimer autrement. Ils étaient gracieux à un degré, et plus divinement beaux que n'importe quoi que j'ai jamais vu.»

«La partie la plus étrange de l'histoire est encore à venir. C'est les lumières qu'ils ont portées. Chacun tenait à la main quelque chose à peu près de la taille d'un oeuf de poule. En les tenant vers le haut et en ouvrant en partie la main, ces substances ont émis la plus remarquable, intense et pénétrante lumière que l'on puisse imaginer. Malgré son intensité elle n'a eu aucun effet désagréable sur nos yeux, et nous avons réalisé que nous pouvions la regarder directement. Elle m'a semblé être une certaine sorte de minerai lumineux, bien qu'ils en aient eu un contrôle complet.»

«Finalement ils ont été lassés de nous examiner, nous et notre cheval et attelage, et alors l'un d'eux, à un signal de celui qui a semblé être le chef, a essayé de me soulever, probablement avec l'intention de m'emporter. Bien que je n'aie pas opposé la moindre résistance, il n'a pas pu me déplacer, et finalement, tous les trois l'ont tenté sans le moindre succès. Ils ont semblé n'avoir aucune puissance musculaire à part pour pouvoir déplacer leurs propres membres.»

ETRANGE DIRIGEABLE

«Bien, après avoir essayé en vain de déplacer l'un ou l'autre de nous, ils ont tourné dans la direction du canal de Woodbridge, près duquel nous étions, et pendant qu'ils faisaient clignoter leurs lumières vers le pont, nous avons eu un spectacle stupéfiant. Là, reposant dans le ciel, à environ vingt pieds au-dessus de l'eau, se trouvait un immense dirigeable. C'était de 150 pieds de longueur au moins, cependant de probablement pas plus de vingt pieds de diamètre à sa partie la plus large. Il était pointu aux deux extrémités, et à part un grand gouvernail de direction il n'y avait là aucune machinerie visible. Tous trois ont marché rapidement vers le vaisseau, non pas comme vous ou moi marcheraient, mais avec un mouvement de balancement, leurs pieds touchant seulement la terre à des intervalles d'environ quinze pieds. Nous les avons suivis aussi rapidement que possible, et avons atteint le pont alors qu'ils étaient sur le point de s'embarquer. Avec une petite poussée, ils se sont élevés vers la machine, ont ouvert une porte dans son flanc, et ont disparu à l'intérieur. Je ne sais pas comment cette affaire était construite, mais juste avant qu'elle ne démarre, je l'ai frappé avec une pierre et elle n'a rendu aucun bruit. Elle est passée à travers l'air très rapidement et a augmenté et s'est contractée avec un mouvement musculaire, et a été vite hors de vue.»

«J'ai une théorie, qui, naturellement, est seulement une théorie, que ceux que nous venions d'observer étaient des habitants de Mars, qui ont été envoyés vers la terre afin de se saisir d'un de ses habitants. Je me sens sûr en affirmant que les histoires qui ont été racontées certains avocats de San Francisco sont des inventions maladroites, et ne devraient être crues par personne.»

TIRETS ICI ET LA

Certains farceurs ont envoyé vers le ciel nombre de ballons à air chaud la nuit passée, pour faire croire à des décollages du prétendu dirigeable. Plusieurs personnes ont vu les ballons et ont apprécié la plaisanterie. [sem1]

Jerome Clark indique que le Stockton Evening Mail de Stockton, le 27 novembre 1896, a raconté ce qui pourrait être prétendument le premier cas d'abduction. Le journal dit qu'un certain «Shaw ('faisant autrefois partie du personnel éditorial de notre journal') est actuellement occupé à organiser une exposition pour l'association commerciale de Stockton qui sera tenu à Fresno pendant le mois à venir.» Clark pense que c'est peut-être la publicité qu'il cherchait.

Shaw a affirmé que lui et un compagnon ont quitté Lodi autour de six heures le 25 novembre 1896 et se promenaient tranquillement quand le cheval s'est arrêté soudainement et a poussé un ronflement de terreur. «En regardant vers le haut nous avons vu trois êtres étranges ... de presque ou tout à fait sept pieds de haut et très minces.» Les êtres, qui ont semblé plus ou moins humains, ont paru amicaux et curieusement beaux. Shaw a demandé d'où ils venaient. Ils ont semblé ne pas me comprendre, mais ont commencé à «gazouiller». Shaw les a observés de près, notant leurs mains petites, sensibles, sans ongles et longues, et leurs pieds étroits. Quand il en a touché un sous l'épaule, il a trouvé que l'être «pesait moins d'une once». Shaw a continué:

«Ils étaient sans le moindre d'habillement, mais ont été couverts d'une peau naturelle... aussi douce que la soie au contact, et leur peau étaient comme le velours, leurs visages et les têtes étaient sans cheveux, les oreilles étaient très petites, et le nez avait l'aspect de l'ivoire poli, tandis que les yeux étaient grands et brillants. La bouche, cependant, était petite, et il m'a semblé qu'ils étaient sans dents. Cela et d'autres choses m'ont mené à croire qu'ils ne mangeaient et ne buvaient pas, et que leur vie été assurée par une certaine sorte de gaz. Chacun d'eux avait sous le bras gauche un sac auquel était relié un bec, et de temps en temps l'un ou l'autre plaçait ce bec dans sa bouche, alors j'entendais comme un bruit de gaz qui s'échappe.»

Les êtres ont chacun transporté une lumière de la taille d'un oeuf qui, une fois ouvert, révélait «une lumière intense mais non désagréable.» Ils ont alors essayé, selon Shaw, «de me soulever, probablement avec l'intention de m'emporter,» mais ils n'avaient pas la force de le bouger lui ou son compagnon. Abandonnant cette tentative, ils se sont tourné et ont dirigé leurs lumières vers un pont voisin. Les deux hommes ont vu un dirigeable de 150 pied planer tout près. Shaw raconte: «les trois ont marché rapidement vers le vaisseau... avec un mouvement de balancement, leurs pieds touchant seulement le sol à intervalles d'environ 15 pieds; avec un petit bond qui les faisaient s'élever vers la machine, ils ont ouverts une porte dans le côté, et disparus en dedans.»

Le vaisseau a alors volé rapidement hors de la vue. Shaw termine son compte rendu sur la théorie que «ceux-là étaient des habitants de Mars, qui ont été envoyés vers la terre afin de se saisir d'un de ses habitants.» Avec le plus grand aplomb, dit Clark, il proteste contre «les histoires racontées par certains avocats de San Francisco.» Ce sont «des fraudes maladroites» auxquelles «personne de devrait donner crédit.» [jck1]

«Peut-être que le plus intriguant est ce rapport, tôt, d'une «rencontre rapprochée du 3ème type»: Deux hommes ont dit à L'Evening Mail de Stockton qu'ils avaient rencontré trois «drôles de gens» sur une route près de Lodi, en Californie. Selon l'histoire, les êtres étranges étaient très grands, avec de petites mains délicates, et de grands pieds allongés. La tête de chaque créature était chauve avec de petites oreilles et une petite bouche, pourtant les yeux étaient grands et brillants. En guise d'habillement, les créatures ont semblé être couvertes d'une peau naturelle soyeuse. La conversation a été impossible parce que les «drôles de gens» pouvaient seulement pousser un gazouillis monotone, guttural. De temps en temps, un des êtres peu ordinaire respirerait profondément d'un bec attaché à un sac placé sous un bras et dans chaque main les créatures ont porté quelque chose de la taille d'un œuf qui a dégagé une lumière intense. La rencontre étrange s'est terminée avec une tentative d'enlèvement des deux californiens, mais ne maîtrisant pas les deux hommes, les créatures se sont sauvées vers un engin en forme de cigare planant tout près, ont sauté dedans par une trappe, et ont filé au loin.» [lgs1]

Dans le magazine The Anomalist de Patrick Huyghe, Jerome Clark mentionne que le premier contact avec des extraterrestres enregistré avait eu lieu le 25 novembre 1896. «Il impliquait deux personnes qui montaient une exposition pour une foire à Fresno, en Californie, et qui voyageaient en chariot à cheval vers Stockton, Californie. C'était tard dans l'après-midi quand tout d'un coup le cheval a été terrorisé est s'est simplement figé sur place, et les deux hommes ont levé les yeux et ils ont vu ces trois grandes et très minces personnages avec de petites mains délicates. Ils n'avaient aucun cheveu, juste une fourrure duveteuse molle sur leur peau. Ils avaient de très grands yeux et leurs bouches et oreilles étaient très petites. Les témoins ont décrit ces créatures comme étant d'une étrange beauté. Curieusement, ils tenaient chacun un sac avec un bec qu'ils portaient jusqu'à leurs bouches pour respirer. Ils ont également transporté une lumière en forme d'oeuf et ils ont semblé communiquer entre eux par un chant monotone. Les témoins ont affirmé que ces trois créatures essayées de les enlever, mais apparemment ces deux humains étaient trop lourds pour être emportés par ces créatures très légères. A un moment les créatures ont tourné leurs lumières vers un pont voisin, [et] alors ils ont éclairé un engin en forme de cigare planant au-dessus de l'eau. L'engin oscillait dans les deux sens, flottant presque au-dessus de la terre, et les êtres sont revenus à cet engin. Ils ont bondi dans l'air et flottés vers une porte dans le flanc de l'engin, et l'engin est parti au loin. Les gens qui ont vu cela ont pensé que ces êtres étaient venus de Mars. C'était l'un des premiers cas où nous avons des êtres étranges, et un engin étrange, et que les témoins ont interprété comme étant fondamentalement extraterrestres.» [jck2]

C'était en liaison avec cette vague 1896-1897 que la premier histoire d'une abduction par des extraterrestres a été pibliée dans l'Evening Mail' de Stockton, Californie, le 27 novembre 1896. Deux jours plus tôt, le Col. H.G. Shaw, un ancien rédacteur du journal, a affirmé que lui et un ami, Camille Spooner, avaient rencontré trois grands êtres minces, de 7 pieds de haut et nus, avec de petites mains sensibles, chauves excepté une fourrure duveteuse molle sur la peau, alors qu'ils voyageaient près de Lodi, en Californie. Les créatures avaient de grands yeux, mais des petites bouches et oreilles. Elles portaient des sacs avec des becs qu'elles ont porté à leurs bouches comme pour respirer, et des lampes brillantes en forme d'oeuf. Shaw a essayé de converser avec elles, mais les créatures ne l'ont pas compris et seulement répondu avec un gazouillis, un chant monotone. Les extraterrestres ont essayé de saisir les deux témoins et de les traîner vers un dirigeable en forme de cigare voisin, mais parce que chacun d'eux pesait moins d'une once, ils ont manqué de force et ont finalement fait retraite. Shaw a pensé que ces créatures étaient venues de Mars. (Sur l'incident de 1896 à Lodi: Patrick Huyghe, 'The Field Guide to Extraterrestrials' [New York: Avon Books, 1996], p. 66, citant Jenny Randles, 'Alien Contacts and Abductions' [New York: Sterling, 1994]; Jerome Clark, «From Mermaids to Little Gray Men: The Prehistory of the UFO Abduction Phenomenon, 'The Anomalist', No. 8, printemps 2000, p. 18)» [tcn1]

«Il n'est pas surprenant que le dirigeable ait produit de beaucoup de matériel publicitaire. Les instigateurs de la Foire du Citron de Fresno ont voulu que l'inventeur exhibât son métier là. Un brasseur de Sacramento a été convaincu qu'une «délégation de au delà des nuages est descendue pour prélever de la bière Gilt Edge Steem chez Ruhstaller.» Et un négociant de San Francisco a commandé un tiers de page pour dépeindre le père noël comme étant le pilote du dirigeable apportant des jouets à son grand magasin.» [rgi1]

Sources:

Et également:

Notes:

Nil.

Explication:

Seules deux explications rationnelles paraissent possibles: soit un canular, soit des êtres extraterrestres et leur engin.

Comptages:

Type de rapport:Rapport de journal.
Nombre de témoins:2.
Nombre de témoins nommés:2.
Professions des témoins:Non indiqué.
Type de lieu:Route de campagne.
Coordonnées:Lat. 38.130 N, Long. -121.271 O.
Précision coordonnées:20 kilomètres.
Description de "l'OVNI":En forme de cigare, pointu aux extrémités, avec une sorte de gouvernail, 150 pieds de long, 20 pieds de diamètre à sa partie la plus large, une porte, ne rend pas de son quand frappé avec une pierre.
Description de "manœuvres":Plane stationnaire à 20 pieds au-dessus du sol, puis vole au loin rapidement.
Réactions:Etonnement, intérêt, expérimentations.
Occupants:Oui, non humains.
Mots clés occupants:Extraterrestres, légers, lumière, grands yeux, mains, pieds, respiration, gaz, description
Communication:Oui, tentative.
Langage:Gazouillis, chant, monotone.
Contenu:Incompréhensible.
Diurne/nocturne:Diurne.
Météo:Non indiqué.
Equipement d'observation:Aucun.
Etrangeté:Haute.
Fiabilité:Moyenne.
Explication(s) de l'époque:Engin extraterrestre et ses occupants, de Mars.

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Cette page a été mise à jour le 3 février 2006.