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La vague française de 1954:

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Mai 1954, Cannes, Alpes-Maritimes:

Référence pour ce cas: Mai-54-Cannes.
Merci de citer cette référence dans toute correspondance avec moi en rapport avec ce cas.

Résumé:

Dans son livre de 1977, "Chasseurs d'OVNI", "François Gardes" (pseudonyme de l'enquêteur sur les OVNIS Henri Julien), l'auteur notait le 18 février 1974 une affaire dont le témoin est Mr. R., commerçant, frisant la cinquantaine, "vigoureux, tranquille," qui s'est à force de travail, créé une 'situation' confortable" et qui par peur du ridicule s'est tu pendant vingt années.

L'auteur indique que sur le lieu d'où il a vu un phénomène lumineux surprenant, il revit quelques minutes inoubliables de sa vie:

"C'était en mai 1954. Je passais mes vacances à Cannes. J'ai vu une lueur, trois travers de doigts au-dessus de la montagne. Elle a commencé à grossir en prenant une couleur orange. J'ai pensé à une illusion de nuage et j'ai regardé autour de moi. Il n'y en avait aucun; le ciel était parfaitement pur. Cela s'est passé entre 19 h 30 et 19 h 45, après le coucher du soleil."

"J'ai vu cette lueur arriver en face de moi, à hauteur de ce gros arbre, et évoluer au-dessus de ce bosquet. Elle descendait lentement. Intrigué, je suis allé chercher des jumelles. Je me suis alors rendu compte qu'il s'agissait d'un engin propulsé avec deux flammes différentes, une rouge sombre et une autre très bleue comme un dard de chalumeau. L'engin avait la forme d'un cylindre. L'une de ses extrémités était en ogive arrondie. Le dard bleu partait bord à bord de la partie cylindrique et faisait un angle de 90° vers l'arrière. Des flammes scintillaient tout de suite après; elles faisaient deux à trois fois la longueur de l'engin et passaient du bleu au blanc, puis au rouge orangé. Mettons que si, dans les jumelles, l'objet avait une longueur apparente de dix centimètres, les flammes en faisaient plus de trente. L'engin était de couleur mate, uniforme, brune. Le bleu était azur, comme la mer. A partir de l'instant où j'ai aperçu la lueur jusqu'à sa disparition derrière les montagnes, il s'est écoulé une dizaine de minutes. Les contours de l'objet étaient parallèles et nets. A l'emplacement de cette lumière bleue, il était coupé à angle droit par rapport à ses bords parallèles. Je l'ai vu comme si on mettait une balle de fusil de guerre en l'air et qu'on la propulse. Sans les jumelles, je n'aurais rien distingué. Apparemment, ça allait doucement."

"La luminosité du ciel était très pure. Il n'y avait pas d'étoiles: il n'était pas assez tard. Le soleil s'était couché plus à droite, il y avait un bon quart d'heure. Devant l'ogive, il n'y avait aucune lueur. La trajectoire a été une courbe descendante. Avant de disparaître, l'engin était vertical, l'ogive vers le bas; il paraissait alors propulsé d'en haut. Il devait être immense; à mon avis, plusieurs centaines de mètres. Il était très loin derrière la montagne qui est à plus de huit kilomètres. Je l'ai vu gros comme mon petit doigt à bout de bras dans les jumelles qui grossissaient environ six fois. Il a dû passer très loin de la Terre. Je ne l'ai aperçu qu'en raison de l'extraordinaire clarté du ciel. Il avait la forme d'un cigare. Je l'ai vu distinctement, mais sans pouvoir donner d'autres détails. L'engin n'a jamais eu de courbe ascendante. Je l'ai vu se déplacer horizontalement, puis descendre avant de disparaître..."

Henri Julien commentait qu'il n'y a aucune raison de penser que le témoin mente, qu'il n'existe pas d'engin terrestre de plusieurs centaines de mètres, si l'on tient compte des mesures du témoin, "bien qu'elles aient été imprécises". L'auteur, se demandant ce qu'il a vu, commente que le "brave Menzel aurait sûrement trouvé une explication à ce phénomène céleste 'hautement probable'."

Rapports:

[Ref. hjn1:] HENRI JULIEN:

L'auteur note le 18 février 1974 un cas dont le témoin est Mr. R., commerçant, frisant la cinquantaine, "vigoureux, tranquille," qui s'est à force de travail, créé une 'situation' confortable" et qui par peur du ridicule s'est tu pendant vingt années.

L'auteur indique que sur le lieu d'où il a vu un phénomène lumineux surprenant, il revit quelques minutes inoubliables de sa vie:

"C'était en mai 1954. Je passais mes vacances à Cannes. J'ai vu une lueur, trois travers de doigts au-dessus de la montagne. Elle a commencé à grossir en prenant une couleur orange. J'ai pensé à une illusion de nuage et j'ai regardé autour de moi. Il n'y en avait aucun; le ciel était parfaitement pur. Cela s'est passé entre 19 h 30 et 19 h 45, après le coucher du soleil."

"J'ai vu cette lueur arriver en face de moi, à hauteur de ce gros arbre, et évoluer au-dessus de ce bosquet. Elle descendait lentement. Intrigué, je suis allé chercher des jumelles. Je me suis alors rendu compte qu'il s'agissait d'un engin propulsé avec deux flammes différentes, une rouge sombre et une autre très bleue comme un dard de chalumeau. L'engin avait la forme d'un cylindre. L'une de ses extrémités était en ogive arrondie. Le dard bleu partait bord à bord de la partie cylindrique et faisait un angle de 90° vers l'arrière. Des flammes scintillaient tout de suite après; elles faisaient deux à trois fois la longueur de l'engin et passaient du bleu au blanc, puis au rouge orangé. Mettons que si, dans les jumelles, l'objet avait une longueur apparente de dix centimètres, les flammes en faisaient plus de trente. L'engin était de couleur mate, uniforme, brune. Le bleu était azur, comme la mer. A partir de l'instant où j'ai aperçu la lueur jusqu'à sa disparition derrière les montagnes, il s'est écoulé une dizaine de minutes. Les contours de l'objet étaient parallèles et nets. A l'emplacement de cette lumière bleue, il était coupé à angle droit par rapport à ses bords parallèles. Je l'ai vu comme si on mettait une balle de fusil de guerre en l'air et qu'on la propulse. Sans les jumelles, je n'aurais rien distingué. Apparemment, ça allait doucement."

"La luminosité du ciel était très pure. Il n'y avait pas d'étoiles: il n'était pas assez tard. Le soleil s'était couché plus à droite, il y avait un bon quart d'heure. Devant l'ogive, il n'y avait aucune lueur. La trajectoire a été une courbe descendante. Avant de disparaître, l'engin était vertical, l'ogive vers le bas; il paraissait alors propulsé d'en haut. Il devait être immense; à mon avis, plusieurs centaines de mètres. Il était très loin derrière la montagne qui est à plus de huit kilomètres. Je l'ai vu gros comme mon petit doigt à bout de bras dans les jumelles qui grossissaient environ six fois. Il a dû passer très loin de la Terre. Je ne l'ai aperçu qu'en raison de l'extraordinaire clarté du ciel. Il avait la forme d'un cigare. Je l'ai vu distinctement, mais sans pouvoir donner d'autres détails. L'engin n'a jamais eu de courbe ascendante. Je l'ai vu se déplacer horizontalement, puis descendre avant de disparaître..."

L'auteur commente qu'il n'y a aucune raison de penser que le témoin mente, qu'il n'existe pas d'engin terrestre de plusieurs centaines de mètres, si l'on tient compte des mesures du témoin, "bien qu'elles aient été imprécises". L'auteur, se demandant ce qu'il a vu, commente que le "brave Menzel aurait sûrement trouvé une explication à ce phénomène céleste 'hautement probable'."

Explications:

Carte.

Météore possible.

Mots clés:

(Ces mots clés sont uniquement destinés à aider les recherches et ne préjugent pas des faits.)

Cannes, Alpes-Maritimes, anonyme, tardif, nuit, obus, flamme, rouge, blanc, orange, bleu, lointain, lumineux, lueur, météo, descente, engin, cylindre, chalumeau, flamme, jumelles, ogive

Sources:

[----] indique des sources que je n'ai pas encore pu consulter.

Historique du document:

Version: Créé/changé par: Date: Description:
1.0 Patrick Gross 19 mars 2010 Première publication.
1.1 Patrick Gross 14 mai 2019 Addition du Résumé.

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Cette page a été mise à jour le 14 mai 2019.