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Référence pour ce cas: 17-oct-54-Valenciennes.
Merci de citer cette référence dans toute correspondance avec moi en rapport avec ce cas.
Le journal régional Nord-Matin, dans son édition de Valenciennes du 21 octobre 1954, rapportait que "Dimanche" - donc le 17 octobre 1954 - le soir, un avocat du barreau de Valenciennes, Maître Gheslin, a vi dans le ciel "un engin de couleur orange, se dirigeant à une belle vitesse vers la Belgique."
[Ref. nmn1:] JOURNAL "NORD-MATIN":
Les soucoupes continuent à hanter le ciel nordiste. Dimanche soir, c'est un avocat du barreau de Valenciennes, Me Gheslin, qui a aperçu dans le ciel un engin de couleur orange, se dirigeant à une belle vitesse vers la Belgique.
[Ref. nmn2:] JOURNAL "NORD-MATIN":
On a parlé moins ces derniers jours des soucoupes volantes. Et cependant, si les mystérieux engins existent réellement, il semble bien qu'ils continuent à affronter le ciel de notre région. Récemment cent personnes à Saint-Saulve observaient un disque lumineux évoluant dans l'azur. Un avocat du barreau de Valenciennes, M. Gheslin, découvrait dans le même temps, une soucoupe se dirigeant vers la Belgique.
Pendant un moment, les témoignages n'ont pas manqué. Et puis brusquement il a semblé que les témoins des manifestations sidérales préféraient garder pour eux les apparitions des cigares et autres objets volants.
Le scepticisme de la plupart des savants consultés a souvent jeté le ridicule sur les personnes ayant, parfois de bonne foi, relatée leur rencontre visuelle avec les soucoupes volantes.
C'est si vrai que M. Marius Dewilde, le Quaroublain qui, le premier, vit les passagers "interplanétaires" songea un moment à saisir le Procureur de la République de Valenciennes à propos des sarcasmes dont il était l'objet. Il fallut, pour le calmer, lui démontrer que sa plainte ne se justifiait pas.
Depuis, naturellement, M. Marius Dewilde ne veut plus recevoir personne. On peut avoir eu les honneurs de la presse et du cinéma et n'être pas content. Or, M. Dewilde est si peu satisfait de la publicité un peu trop satirique faite autour de sa personne, qu'il n'a confié qu'aux autorités sa dernière entrevue avec les "Martiens".
Car notre Quaroubain prétend avoir revu une soucoupe et ses passagers. Cette fois, la chose s'est passée en plein jour! L'engin de nouveau s'est posé sur la voie de chemin de fer à proximité de la maison de M. Dewilde, pas au même endroit cependant.
Les petits hommes lui ont parlé: quelques mots dans une langue inconnue avant de s'envoler sans bruit et disparaître.
Sur les traverses de la voie ferrée, on a observé les mêmes trace que précédemment, un peu plus larges tout de même et présentant une parfaite symétrie. Quelques brins d'herbe écrasés marquaient l'endroit de l'atterrissage.
***
Que faut-il penser après ce nouveau témoignage ? Pour les partisans de l'existence des soucoupes, il eut été préférable que M. Dewilde s'en tienne à une première apparition. On admettra difficilement en effet que le territoire de Quarouble intéresse à un tel point les pilotes des mystérieux engins. Et puis on nous l'a fait observer, les points d'impact relevés sur les traversent se trouvent tous dans l'axe longitudinal des dites traverses. Or, il est difficilement admissible qu'un aéronef se posant puisse se trouver avec une telle précision le centre d'un plateau aussi étroit. On aurait dû relever des griffes sur les bords des pièces de bois. Mais les soucoupes sont déjà l'énigme. A quoi bon chercher le détail? Il faut croire ou ne pas croire, en attendant la révélation.
Indiquons que M. Petoux, employé de banque à Valenciennes, a aperçu mercredi soir, entre 20 h.
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sous le titre:
SOUCOUPES
30 et 21 h., une soucoupe qui évoluait au-dessus d'Aulnoy. Plusieurs autres personnes de la localité ont observé le phénomène.
M. Charles Pierru, secrétaire général de la mairie d'Oye-Plage, a aperçu également, à 23 h. 15, une lueur opalescente à une dizaine de mètres devant lui et à une hauteur d'une vingtaine de mètres, qui marchait au-dessus de la route nationale dans le même sens que lui, c'est-à-dire d'Oye-Plage vers Calais.
N'ayant nullement l'esprit aux soucoupes, il fut donc extrêmement surpris et s'arrêta l'espace de quelques secondes, regrettant l'heure tardive qui ne laissait aucune lumière briller aux maisons. Reprenant sa marche, M. Pierru allait à pied, le témoin a pu se rendre compte très exactement de la figure de l'engin: la forme d'un cigare (comme la carlingue d'un avion dépourvu d'ailes), aucun bruit, aucune fumée ne s'échappait de l'appareil. Même à cette courte distance, aucun hublot ne se distinguait, seule cette luminescence uniforme délimitait est la chose.
C'est pendant plus d'un quart d'heure qu'elle demeura visible, sa vitesse ne dépassant pas celle d'un cycliste. Arrivé à une certaine distance, vers Marck, elle obliqua à angle droit vers l'intérieur des terres et, placé ainsi, elle apparut comme une sphère: l'appareil vu par la tranche dont le rapport avec la longueur était de un 10e environ.
Un cultivateur du village La Vaureille, M. Bousard, 47 ans, a raconté d'autre part aux gendarmes d'Aubusson "l'étrange rencontre" qui le fit en revenant du bourg d'Alleyrat (Creuse).
Au lieudit "La Madière", a-t-il déclaré, j'aperçus une forme qui se mouvait sur le bas-côté de la route. Je m'arrêter pour mieux observer l'individu. Celui –ci, qui était baissé, se releva brusquement, braquant surmoi deux puissantes lampes projetant une lumière bleue-claire très dense. Il avait aussi, de chaque côté de la tête, des lampes de couleur vert clair, qui émettaient des rayons beaucoup plus faibles que les autres. Il paraissait haut de 1 m. 60 et j'ai cru d'abord qu'il était vêtu d'un scaphandre.
Soudain sous l'effet d'une pression comparable à un souffle, j'ai
[Ref. las1:] JOURNAL "LIBRE ARTOIS":
On a parlé moins ces derniers temps des soucoupes volantes. Et cependant, si les mystérieux engins existent réellement, il semble bien qu'ils continuent à hanter le ciel de notre région. Récemment, cent personnes à St-Saulve observaient un disque lumineux évoluant dans l'azur. Un avocat du barreau de Valenciennes, Me Gheslin, découvrait dans le même temps, une soucoupe se dirigeant vers la Belgique.
Pendant un moment, les témoignages n'ont pas manqué. Et puis brusquement il a semblé que les témoins des manifestations sidérales préféraient garder pour eux les apparitions des cigares et autres objets volants.
Le scepticisme de la plupart des savants consultés a souvent jeté le ridicule sur les personnes ayant, parfois de bonne foi, relaté leur rencontre visuelle avec les soucoupes volantes.
C'est si vrai que M. Marius Dewilde, Le Quaroublain qui, le premier, vit les passagers "interplanétaires", songea un moment à saisir le Procureur de la République à Valenciennes à propos des sarcasmes dont il était l'objet. Il fallut, pour le calmer, lui démontrer que sa plainte ne se justifiait pas.
Depuis, naturellement, M. Marius Dewilde ne veut plus recevoir personnes. On peut avoir eu les honneurs de la presse et du cinéma et n'être pas content. Or, M. Dewilde est si peu satisfait de la publicité un peu trop satirique faite autour de sa personne, qu'il n'a confié qu'aux autorités sa dernière entrevue avec les "Martiens".
Car notre Quaroublain prétend avoir revu une soucoupe et ses passagers. Cette fois, la chose s'est passée en plein jour! L'engin, de nouveau s'est posé sur la voie de chemin de fer à proximité de la maison de M. Dewilde, pas au même endroit cependant.
Les petits hommes lui ont parlé: quelques mots dans une langue inconnue avant de s'envoler sans bruit et de disparaître.
Sur les traverses de la voie ferrée, on a observé les mêmes traces que précédemment, un peu plus larges toute de même et présentant une parfaite symétrie. Quelques brins d'herbe écrasés marquaient l'endroit de l'atterrissage.
Que fait-il penser de ce nouveau témoignage? Pour les partisans de l'existence des soucoupes volantes, il eut été préférable que M. Dewilde s'en tienne à une première apparition. On admettra difficilement en effet que le territoire de Quarouble intéresse à un tel point les pilotes des mystérieux engins. Et puis, on l'a fait observer, les points d'impacts relevés sur les traverses se trouvaient tous dans l'axes longitudinal desdites traverses. Or, il est difficilement admissible qu'un aéronef se posant puisse trouver avec une telle précision le centre d'un plateau aussi étroit. On aurait dû relever des griffes sur les bords des pièces de bois. Mais les soucoupes sont déjà l'énigme. A quoi bon chercher le détail? Il faut croire ou ne pas croire... en attendant la révélation.
Indiquons que M. Petoux, employé de banque à Valenciennes, a aperçu mercredi soir, entre 20 h. 30 et 21 h., une soucoupe qui évoluait au-dessus d'Aulnoy. Plusieurs autres personnes de la localité ont observé le phénomène.
M. Charles Pierru, secrétaire général de la mairie d'Oye-Plage, a aperçu également, à 21 h. 15, une lueur opalescente à une dizaine de mètres devant lui et à une hauteur d'une vingtaine de mètres, qui marchait au-dessus de la route nationale dans le m'eme sens que lui, c'est-à-dire d'Oye-Plage vers Calais.
N'ayant nullement l'esprit aux soucoupes, il fut donc extrêmement surpris et s'arrêta l'espace de quelques secondes, regrettant l'heure tardive qui ne laissait aucune lumière briller aux maisons. Reprenant sa marche, M. Pierru allait à pied, le témoin put se rendre compte très exactement de la figure de l'engin: la forme d'un cigare (comme la carlingue d'un avion dépourvu d'ailes), aucun bruit, aucune fumée ne s'échappait de l'engin. Même à cette courte distance, aucun hublot ne se distinguait, seule cette luminescence uniforme délimitait la chose.
C'est pendant plus d'un quart d'heure qu'elle demeura visible, sa vitesse ne dépassant pas celle d'un cycliste. Arrivé à une certaine distance, vers Merck, elle obliqua à angle droit vers l'intérieur des terres et, placée ainsi, elle apparut comme une sphère: l'appareil vu par la tranche, dont le rapport avec la longueur était de un dixième environ.
Un cultivateur du village de La Vaureille, M. Aimé Bousard, 47 ans, a raconté d'autre part aux gendarmes d'Aubusson "l'étrange rencontre" qu'il fit en revenant du bourg d'Alleyrat (Creuse).
Au lieudit "La Madière", a-t-il déclaré, j'aperçus une forme qui se mouvait sur le bas-côté de la route. Je m'arrêtais pour mieux observer l'individu. Celui-ci, qui étais baissé, se releva brusquement, braquant sur moi deux projecteurs puissants, lampes projetant une lumière bleu clair très dense.
Il avait aussi, de chaque côté de la tête, une lampe verte claire très dense qui émettait des rayons beaucoup plus faibles que les autres. Il paraissait haut de 1 m. 60 et j'ai cru d'abord qu'il était vêtu d'un scaphandre.
Soudain, sous l'effet d'une pression comparable à un souffle, j'ai été projeté de l'autre côté de la route où je suis resté dix minutes sans pouvoir crier ou appeler au secours. Les lampes bleu clair demeuraient braquées sur moi. J'ai ressenti et je ressens encore des douleurs dans les jambes et à la main droite.
A l'endroit indiqué par le cultivateur, les gendarmes ont constaté que la terre avait été fraîchement remuée. L'herbe avait été arrachée sur une superficie de 70 cm de diamètre. Aucune trace de pas n'a été relevée.
Informations totalement insuffisantes, possible avion ou météore.
(Ces mots clés sont uniquement destinés à aider les recherches et ne préjugent pas des faits.)
Valenciennes, Nord, avocat, Gheslin, soir, engin, orange, rapide
[----] indique des sources que je n'ai pas encore pu consulter.
Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
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1.0 | Patrick Gross | 30 avril 2020 | Première publication. |
1.1 | Patrick Gross | 2 mai 2020 | Addition [las1]. |
1.2 | Patrick Gross | 7 juin 2020 | Addition [nmn2]. |