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Les OVNIS dans la presse quotidienne:

Rencontre rapprochée dans l'Oise, France, 1954:

L'article ci-dessous est paru dans le quotidien L'Oise-Matin, France, pages 1 et 10, le 20 octobre 1954.

Voir le dossier du cas.

Scan.

A St-Samson
un couple
a rencontré
un Martien

Lire en page 10 l'enquête de notre envoyé spécial Jacques GUILLAUME

M. et Mme Vasseur, qui ont "vu" le passage d'un cigare volant expliquent les circonstances de leur rencontre. "C'est là qu'il était" dit Mme Vasseur, encore effrayés,

Scan.

LE PASSAGER D'UN CIGARE VOLANT VU
à St-Samson-la-Poterie

Après l'ouvrier trépané de Quarouble, le martien affectueux d'Auvergne, les soucoupes volantes de la Chapelle-en-Serval, l'atterrissage mystérieux de St-Crépin-Ibouvillers sans compter les centaines de manifestations insolites de vaisselle diabolique, voici le cigare volant de St-Samson-la-Poterie et son passager issu de la "guerre des mondes."

Là, comme à St-Crépin, nous nous sommes rendus sur place. L'apparition était récente et les témoins prolixes. Nous avons eu la primeur de l'interview et des... recherches. Presque infructueuses, empressons-nous de le lire sans que cela puisse entamer notre volonté de renouveler ce genre d'enquête.

Le rayon lumineux

Lundi soir, le ciel était clair, les étoiles brillaient. Il était 20h45 quand M. André Vasseur, 25 ans, ouvrier à la briqueterie de St-Samson-la-Poterie regagnait à bicyclette, son domicile. Il était accompagné de sa femme. Tous deux venaient de passer quelques instants chez les beaux-parents d'André Vasseur à Fontenay-Torcy.

Ils allaient aborder la descente qui précède Héricourt-St-Samson lorsque leur attention fut attirée par une lueur rouge en forme de cigare, immobile dans le ciel à une altitude importante.

D'un seul coup, nous dit André Vasseur, la lueur plongea vers le sol à une vitesse vertigineuse laissant derrière elle une traînée rouge formant comme une queue.

L'engin disparut derrière une haie à quelques centaines de mètres de la route."

Les jeunes gens n'étaient pas au bout de leur surprise. Parvenus au sommet de la côte, Mme Vasseur poussa un cri affreux.

- "Un cri de bête," précisa son mari.

Sur le bord de la route, à quelques centimètres de son guidon, un être étrange dardait sur elle un regard impressionnant.

- "Je l'avais vu, moi aussi, mais je n'ai pas eu la force de pousser un cri. Il avait un mètre environ. De forme humaine, mais trapu, la tête coiffée d'un casque enfoncé dans les épaules, ses yeux m'ont frappé. Il s'en échappait un faisceau lumineux de couleur orange qui nous suivait.

- "Ma femme n'avait plus la force de crier. Elle est tombée sans connaissance. Je l'ai relevée et tenant les deux bicyclettes à la main je me suis enfui.

- "Si ç'avait été dans la côte, j'aurais été incapable de poursuivre mon chemin.

- "Je me suis retourné, le faisceau me suivait toujours. Le "petit bonhomme" n'avait pas bougé. Rentrés à la maison nous n'avons pu ni manger ni dormir. Deux heures plus tard j'étais encore décomposé.

Deux traces suspectes

Nous sommes revenus sur "les lieux" en compagnie d'André Vasseur, qu'accompagnait sa femme et son employeur, M. André Briard.

- "Vasseur, nous a dit ce dernier, est un garçon sobre, travailleur, parfaitement équilibré. Il est particulièrement courageux et il faut vraiment qu'il y ait eu quelque chose de sensationnel pour qu'il ait perdu son sang-froid.

On refait le chemin parcouru la veille par les témoins.

- "C'est là qu'il était, nous affirme Mme Vasseur encore effrayée."

Les gendarmes de Formerie, l'inspecteur Dejean, des renseignements généraux, le garde-champêtre de St-Samson qui les a rejoint inspectent les environs. A quelques mètres de l'endroit indiqué, on relève sur le bas-côté deux empreintes rondes et profondes de quelques centimètres de diamètre. Il est bien entendu impossible d'y attacher la moindre importance. Nous parcourons les prés voisins sous les regards indifférents d'un troupeau de bovins. Pas la moindre trace d'atterrissage, pas le plus faible indice.

- "Je n'irais plus chez ma mère le soir, conclut Mme Vasseur. Les millions de prime ne m'intéressent pas. Pour rien au monde je ne voudrais revoir ce que j'ai vu."

Nous insistons pour savoir si les époux Vasseur ont déjà vu des avions de ligne au-dessus de leur village - ils nous en font une descriptions précise - , s'ils avaient lundi soir fêté un événement quelconque:

- "Nous avions bu une tasse de café et nous n'avions pas dîné!"

D'autres personnes ont vu le cigare volant: MM Edmond Nantier, Dael, Lair. Ils en font une description identique. - L'heure de l'apparition est concordante. Et ils ne se sont pas rencontrés avant leur déposition.

Un témoignage de plus à joindre à notre dossier déjà imposant mais pas le moindre soupçon de preuve. Les cigares volants du Beauvaisis gardent leur secret.

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Cette page a été mise à jour le 16 août 2021.