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L'article ci-dessous est paru dans le quotidien La Liberté, de Clermont-Ferrand, France, le 27 septembre 1954.
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Quand il s'agit des "cigares dans le ciel" qu'on a pu observer, le risque est tout de même un peu moins grand. Il existe cependant beaucoup de personnes qui ont vu "quelque chose", hésitent à le signaler pare qu'elles ont peur d'être tournées en ridicule.
Fréquemment, dans les journaux, nous recevons des lettres relatant des faits intéressants qui remontent à plusieurs semaines. Et où nous avons: "Nous n'avons pas osé en parler à l'époque; nous avons craint d'être la risée de tout le monde."
Ce n'est pas notre charmante [illisible] [...]
On ne l'y reprendra plus, à témoigner pour la science.
Il faut convenir que ces termes de "soucoupes", de "cigares" [...]
Les esprits mal tournés pensent tout de suite à des impressions du genre de celles de ce digne fonctionnaire qui avait eu des habitudes "d'ivrognerie" et les avait complètement perdues. Un soir, expliquait-il, que j'avais trop bu, j'ai vu ma belle-mère en double. Ca a suffit à me guérir.
BRISSAC
