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L'observation de Kenneth Arnold

L'observation de Kenneth Arnold dans la presse

L'article qui suit est paru dans le journal The Morning Tribune, Lewiston, Idaho, USA, le 8 juillet 1947.

Le Premier Jour de Recherche de Soucoupe Tourne au 'Nul' Pour le Journaliste-Pilote

Par DAVE JOHNSON
(Rédacteur pour l'Aviation du Idaho Statesman)

Boise, Idaho, 7 juillet (AP) -- Si quelqu'un veut signaler qu'il n'a pas vu de disque volant, je le confirmerai pour lui.

Je viens de revenir d'avoir volé pendant sept heures et demie sur un trajet de 1,100 miles à la recherche de quelque trace des disques, mais je n'au pas été parmi les chanceux.

Je n'en ai vu aucun, et Kenneth Arnold de Boise, qui est monté avec moi dans l'avion du Statesman, on plus. Nous avons tous deux emmené des appareils photos avec des lentilles télescopiques et étions prêts à déclencher le film si nous avions vu un des objets qui ont jeté la nation dans le tumulte depuis plus de deux semaines.

Compagnon malheureux

Arnold, homme malheureux, serrait les dents et gémissait pendant presque tout le temps du retour. C'est lui dont on peut dire qu'il avait commencé l'affaire des disques, avec son rapport de neuf objets autour du mont Rainier et qui ont disparu au voisinage du mont Adams à Washington.

Le "Early Bird" du statesman a volé jusqu'à portée de vue des Rocheuses Canadiennes, autour de l'usine atomique de Hanford et sur le pays accidenté entre le mont Rainier et le mont Adams.

Nous avons suivi la route aérienne du capitaine E.J. de Boise à Pendleton dans l'espoir de voir certains objets que lui, son copilote et une hôtesse de la United Airlines ont rapporté l'autre nuit.

Sur le chemin de Pendleton, Arnold se mit à rire et dit: "Pense juste à tous les gens qui doivent marcher dans les rues en cherchant des disques."

Je lui ai demandé ce qu'il pensait que nous faisions.

A Entendu Dire Qu'il s'Agissait d'Un Canular

A Yakima, où nous avons déjeuné au hangar central des avions, nous avons eu des convulsions quand nous avons entendu dire qu'un homme dans un P-38 au Montana a déclaré avoir rencontré un disque à 32 000 et l'avoir envoyé en rotation. Nous avons entendu dire qu'il était censé avoir un dôme en plexiglas sur le dessus.

Plus tard, nous avons entendu dire que c'était entièrement un canular.

Nous avons dit aux gens de Pendleton, Yakima et Kennewick ce que nous cherchions. Je suis fier d'être Américain quand je dis que nulle part, on n'a mis le doigt sur la tempe pour l'y faire tourner.

Continueront A Chercher

Maintenant à propos de cette mission. Le rédacteur en chef de la ville avait été très explicite lorsqu'il disait qu'il voulait que je cherche jusqu'à ce que je trouve un disque ou que je sois obligé d'abandonner. Je suis un suédois d'une longue série de Suédois, et je suis convaincu qu'un Suédois a découvert l'Amérique et qu'un Suédois avait été le premier président des Etats-Unis.

Je vais continuer à le faire. J'ai encore une partie de ces frais de dépenses dans mon porte-monnaie trempé et à moins que le rédacteur en chef de la ville ne me le reprenne, la recherche continuera. Il y a un inconvénient que je ne peux pas surmonter. Sans suralimentation, le Early Bird n° 3 est bon jusqu'à environ 14 000 pieds. Si ces choses proviennent d'une autre planète, je suis surclassé.

Le Early Bird a très bien fonctionné aujourd'hui, le moteur qui sonnait comme de la mélasse versée sur des cailloux, jusqu'à ce que Kenneth Arnold ait commencé à parler d'atterrissages forcés. Il a choisi pour cette discussion au moment où nous couvrions la crête entre le mont Rainier et le mont Adams, un terrain très difficile.

Le Rédacteur en Chef Ronconne

A ce moment-là, le moteur a commencé à sonner comme s'il tombait en morceaux. C'est une particularité des moteurs d'avion, ou peut-être des pilotes d'avion. Le rédctaue ren chef, qui ne vole pas, ne s'en soucie pas.

Je repars dans le grand bleu du ciel demain. Cette fois, j'y vais seul, car Arnold, qui vend des appareils de lutte contre l'incendie, dit que c'est sa meilleure saison et qu'il prendra son propre avion à Pendleton. Il prendra aussi son appareil photo.

Arnold et moi ne sommes pas seuls dans cette chasse au disque. Certains citoyens très solides, y compris des pilotes des principales compagnies aériennes, emmènent des jumelles de campagne et des appareils photos avec eux dans le même effort.

J'espère pouvoir signaler une bonne chance demain. Je vais d'abord parler de St. Maries où les disques auraient frappé une montagne.

Ensuite, autour de la montagne, à l'infini.

Vers: Kenneth Arnold ou Journaux 1940-1949.

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Cette page a été mise à jour le 4 septembre 2017.