En 1968 le scientifique russe W. Saitsew a publié un article à propos d'extraterrestres ayant visité la terre dans un lointain passé. Certaines des informations publiées proviendraient des travaux du professeur chinois Tsum Um Nui effectuées en 1962.
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Le texte ci-dessous est ma traduction française de l'article original de W. Saitsew, sans aucune modification de sens ou de contenu, si ce n'est celles inhérentes à la traduction.
Sur la frontière entre le Tibet et la Chine se trouve la région des cavernes des montagnes de Baian-Kara-Ula. Il y a 25 ans, une découverte remarquable de tablettes avec une écriture hiéroglyphique y a été faite. Il y a plusieurs milliers d'années y vivait un peuple avec lequel les archéologues chinois semblent à peine vaguement familiers, qui possédaient des disques circulaires dont le découpage dans une sorte de granite des plus durs avait été effectué avec un ensemble d'outils complètement inconnus. Les 716 disques en pierre qui ont été trouvés jusqu'ici ont tous un même trou à leur centre, comme des disques phonographiques. De là, se développant en spirales vers l'extérieur il y a une cannelure double. Ces cannelures ne sont naturellement pas comme la piste sonore d'un phonographe mais plutôt un système d'écriture, le plus étrange qui a été jamais trouvé en Chine et probablement même dans le monde. Il a fallu aux archéologues et scientifiques plus de deux décennies pour le déchiffrer. Le contenu est si fantastique que l'Académie de la préhistoire de Pékin n'a pas voulu éditer le rapport du professeur Tsum Um Nui, le scientifique qui l'a déchiffré le premier. Soutenu par quatre collègues, l'archéologue Tsum Um Nui a indiqué: "L'écriture de ces cannelures raconte l'histoire d'un véhicule aérien, qui, selon les disques en pierre, a existée il y a 12000 ans". A un certain passage il est dit: "Les Dropas sont descendu des nuages avec leurs planeurs aériens. Dix fois les hommes, les femmes et les enfants des Khams se sont cachés dans les cavernes jusqu'au lever de soleil. Alors ils ont compris les signes et ont vu cette fois que les Dropas sont venus en paix cette fois."
La découverte des tribus Dropas et Kham ont été déjà effectuées plus tôt dans ces cavernes de montagne. Les archéologues ne pouvaient pas et ne peuvent toujours pas assigner ethnologiquement ces êtres d'une taille de 4 pieds au plus. Ils n'ont aucune similitude avec les Chinois, les Mongols ou les Tibétains. On pourrait naturellement suggérer qu'il y a quelques mille ans un Kham instruit ait monté une plaisanterie, ou que c'était seule superstition quand il parlait d'engins volants. Mais alors, que faire au sujet du rapport, tout sensationnalisme exclue, trouvé dans d'autres hiéroglyphes de cannelure d'un grand deuil au sujet de l'accident et de la destruction d'un engin volant pendant son atterrissage forcé dans ces montagnes très inaccessibles, et du manque de moyen de le reconstruire.
Les hiéroglyphes de Baian-Kara-Ula semblent être si mystérieux pour l'archéologie chinoise que seulement leur utilisation scientifique fut très prudente. En une occasion une découverte de sensationnelle fut faite: les disques contiennent beaucoup de cobalt et d'autres métaux rares. En examinant un disque avec un oscillographe un rythme d'oscillation étonnant a été découvert, comme si les disques avec leur écriture avaient été par le passé chargés ou avaient fonctionné comme conducteurs électriques. Personne ne peut dire ce qui se cache derrière ces disques de 12000 ans.
Faire des suppositions serait trop risqué et peu objectif. Mais on se rappelle cependant l'ancienne légende chinoise relative à un peuple de petits êtres jaunes qui venaient des nuages et furent traqués par la population locale des "hommes aux chevaux rapides" (des mongols?) du fait de leur laideur physique, leur grandes têtes disproportionnée, et leur corps grêle. C'est un fait qu'on a trouvé des tombes et des squelettes âgés de 12000 ans et c'est aussi un fait que ces restes classés comme ceux des Dropas et des Khams, avaient bel et bien de petits corps aux larges têtes. Les tout premiers rapports archéologiques parlent d'une espèce éteinte de gorille de montagne. Mais depuis quand les singes creuseraient-ils des tombes et écriraient-ils? En 1940 l'archéologue Chi Pu Tei a été largement raillé à pour avoir prétendu qu'il s'agit de singes. Mais Chi Pu Tei s'est défendu en déclarant que les disques en pierre avaient été ajoutés aux cavernes par les cultures postérieures.
Tout ceci est plutôt trouble, mais cela ne change rien au mystère des hiéroglyphes de Baian Kara Ula, au contraire, les choses deviennent encore plus certaines du fait que les murs des cavernes montrent en plusieurs endroits les disques de pierres sous forme d'illustrations gravées sur les parois de ces cavernes. En d'autres endroits, on voit gravées dans la pierre, des représentations de la Lune, du Soleil, et d'autres étoiles, reliées par des lignes en pointillées, jusqu'au dessins des montagnes.