En 2004, l'ufologue Italien Antonio Chiumiento a rapporté qu'en novembre 1978, Antonio F., né le 16 octobre 1942, résidant à Rimini, vers 23:30, attendait la diffusion d'un match de boxe à la télévision lorsqu'il a entendu son chien aboyer d'une manière particulièrement insistante.
La soirée était particulièrement froide, dominée par du brouillard et une bruine serrée et continue. Le chien, un berger de Maremme de race géante, était plutôt agressif et aboyait de manière différente selon qui se trouvait en face de lui, homme ou animal. Cette nuit-là, autour de 23:25, aboyait furieusement comme s'il était en présence d'une personne.
Antonio F. a donc pensé qu'il s'agissait de quelque maraudeur et s'est mis à la fenêtre pour regarder en direction du portail de l'entrée. A une quarantaine de mètres de là, il a vu une lumière aveuglante tout à fait inhabituelle. Il a d'abord pensé que c'était des phares d'une voiture accidentée; mais étant donnée sa position et le fait que la route devant la maison était droite, il a du changer d'idée.
Ce qui l'a surpris le plus était le type de lumière émise, qui s'étendait sur 10 à 20 mètres carrés et était "en petits morceaux...", c'est-à-dire complètement segmentée. Sa couleur prédominante était orangée mais elle miroitait et variait de l'orange au violet puis à l'argenté.
Il a donc hurlé à l'intention de ses proches: "Venez, il y a un OVNI!" En prononçant ces mots, il a regardé vers l'intérieur de la maison mais lorsqu'il s'est de nouveau retourné, tout avait disparu.
Sa femme, sa mère et sa soeur étaient arrivées juste à temps pour voir très brièvement la lumière mais tout était ensuite retombé dans l'obscurité, la bruine et le brouillard. Il est retourné regarder la télévision, mais entendait toujours le chien aboyer furieusement et de manière insistante.
En alerte, il est resté légèrement craintif parce qu'il continuait à penser qu'il y avait dehors quelqu'un de malintentionné. L'époque était particulièrement difficile politiquement; son appartenance à l'extrême droite et le travail de garde du corps qu'il exerçait lui donnaient des craintes continuelles pour sa vie et celle de sa famille.
Ainsi, légèrement inquiet, il s'est avancé vers l'entrée, il a ouvert la porte en laissant la lumière éteinte et a pris une torche électrique. Il a mis son nez à la porte, est sorti, a regardé devant lui vers le portail, sans faire le lien avec l'étrange lumière qu'il avait vue un moment auparavant.
Soudainement il a entendu sur sa gauche un bruissement provenant des herbes folles du champ voisin. Il a instinctivement allumé la lampe électrique et a éclairé la zone d'où il avait entendu venir le bruit.
A environ six ou sept mètres, il a vu deux "types", l'un beaucoup plus grand que l'autre, 1m80 à 1m90 pour le premier et environ 1m50 pour le second. C'était des créatures d'un aspect extrêmement mince et longiligne, ils avaient une tête ovale, plus large dans la partie supérieure, posée sur un cou particulièrement fin.
Ces personnages lui ont rappelé les femmes que peignait Modigliani ou, comme il l'a constaté par la suite dans un documentaire, le "petit homme de Roswell".
Les yeux étaient gros, grands, en amande, c'est à dire plus larges vers l'extérieur et plus fins vers l'intérieur. Le corps était recouvert d'une combinaison très ajustée de couleur grise. Ce qui l'a le plus frappé était leur ceinture large d'environ cinq centimètres et ornée d'une "boucle" argentée rectangulaire qui mesurait 5 cm par 15 cm, qui brillait très intensément. Il n'a pas pu établir si ce scintillement était dû à une source interne de lumière ou au reflet de sa propre torche électrique.
Il les regardait et ils le regardaient, il y avait de la perplexité et de la surprise des deux côtés. Pris dans la lumière, les deux êtres sont restés immobiles et stupéfaits pendant une fraction de seconde puis, lorsque le témoin a appelé ses proches en hurlant "Venez voir! Venez voir!", ils ont disparu dans un léger bruissement.
Il est rentré chez lui. Le lendemain il s'est rendu sur le lieu où il avait vu l'étrange lumière segmentée et a trouvé sur le sol dépourvu d'herbe, fraîchement labouré, une zone brûlée de forme circulaire d'environ 1m50 de rayon.
Il a porté ensuite ses pas vers la partie gauche de l'habitation et là il a compris pourquoi les humanoïdes lui étaient apparus avec des tailles si différentes: l'un d'entre eux avait été sur un petit monticule et l'autre dans un creux. Le bruissement qu'il avait entendu était probablement dû à des mauvaises herbes qui se trouvaient là, il a constaté qu'elles avaient été remuées.
Cette nuit-là, Antonio F., qui se définit comme une personne non facilement impressionnable, ne s'était pas endormi avant que son chien ne s'arrête d'aboyer de cette façon si furieuse et si véhémente.
Il a assuré qu'il n'avait ressenti aucune peur en voyant ces créatures mais qu'il avait au contraire éprouvé du plaisir devant ce qui lui arrivait.
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[Ref. ac1] ANTONIO CHIUMIENTO:
Cet ufologue indique qu'en novembre 1978, Antonio F., né le 16 octobre 1942, résidant à Rimini, vers 23:30, attendait la diffusion d'un match de boxe à la télévision lorsqu'il a entendu son chien aboyer d'une manière particulièrement insistante.
La soirée était particulièrement froide, dominée par du brouillard et une bruine serrée et continue. Le chien, un berger de Maremme de race géante, était plutôt agressif et aboyait de manière différente selon qui se trouvait en face de lui, homme ou animal. Cette nuit-là, autour de 23:25, aboyait furieusement comme s'il était en présence d'une personne.
Antonio F. a donc pensé qu'il s'agissait de quelque maraudeur et s'est mis à la fenêtre pour regarder en direction du portail de l'entrée. A une quarantaine de mètres de là, il a vu une lumière aveuglante tout à fait inhabituelle. Il a d'abord pensé que c'était des phares d'une voiture accidentée; mais étant donnée sa position et le fait que la route devant la maison était droite, il a du changer d'idée.
Ce qui l'a surpris le plus était le type de lumière émise, qui s'étendait sur 10 à 20 mètres carrés et était "en petits morceaux...", c'est-à-dire complètement segmentée. Sa couleur prédominante était orangée mais elle miroitait et variait de l'orange au violet puis à l'argenté.
Il a donc hurlé à l'intention de ses proches: "Venez, il y a un OVNI!" En prononçant ces mots, il a regardé vers l'intérieur de la maison mais lorsqu'il s'est de nouveau retourné, tout avait disparu.
Sa femme, sa mère et sa soeur étaient arrivées juste à temps pour voir très brièvement la lumière mais tout était ensuite retombé dans l'obscurité, la bruine et le brouillard. Il est retourné regarder la télévision, mais entendait toujours le chien aboyer furieusement et de manière insistante.
En alerte, il est resté légèrement craintif parce qu'il continuait à penser qu'il y avait dehors quelqu'un de malintentionné. L'époque était particulièrement difficile politiquement; son appartenance à l'extrême droite et le travail de garde du corps qu'il exerçait lui donnaient des craintes continuelles pour sa vie et celle de sa famille.
Ainsi, légèrement inquiet, il s'est avancé vers l'entrée, il a ouvert la porte en laissant la lumière éteinte et a pris une torche électrique. Il a mis son nez à la porte, est sorti, a regardé devant lui vers le portail, sans faire le lien avec l'étrange lumière qu'il avait vue un moment auparavant.
Soudainement il a entendu sur sa gauche un bruissement provenant des herbes folles du champ voisin. Il a instinctivement allumé la lampe électrique et a éclairé la zone d'où il avait entendu venir le bruit.
A environ six ou sept mètres, il a vu deux "types", l'un beaucoup plus grand que l'autre, 1m80 à 1m90 pour le premier et environ 1m50 pour le second. C'était des créatures d'un aspect extrêmement mince et longiligne, ils avaient une tête ovale, plus large dans la partie supérieure, posée sur un cou particulièrement fin.
Ces personnages lui ont rappelé les femmes que peignait Modigliani ou, comme il l'a constaté par la suite dans un documentaire, le "petit homme de Roswell".
Les yeux étaient gros, grands, en amande, c'est à dire plus larges vers l'extérieur et plus fins vers l'intérieur. Le corps était recouvert d'une combinaison très ajustée de couleur grise. Ce qui l'a le plus frappé était leur ceinture large d'environ cinq centimètres et ornée d'une "boucle" argentée rectangulaire qui mesurait 5 cm par 15 cm, qui brillait très intensément. Il n'a pas pu établir si ce scintillement était dû à une source interne de lumière ou au reflet de sa propre torche électrique.
Il les regardait et ils le regardaient, il y avait de la perplexité et de la surprise des deux côtés. Pris dans la lumière, les deux êtres sont restés immobiles et stupéfaits pendant une fraction de seconde puis, lorsque le témoin a appelé ses proches en hurlant "Venez voir! Venez voir!", ils ont disparu dans un léger bruissement.
Il est rentré chez lui. Le lendemain il s'est rendu sur le lieu où il avait vu l'étrange lumière segmentée et a trouvé sur le sol dépourvu d'herbe, fraîchement labouré, une zone brûlée de forme circulaire d'environ 1m50 de rayon.
Il a porté ensuite ses pas vers la partie gauche de l'habitation et là il a compris pourquoi les humanoïdes lui étaient apparus avec des tailles si différentes: l'un d'entre eux avait été sur un petit monticule et l'autre dans un creux. Le bruissement qu'il avait entendu était probablement dû à des mauvaises herbes qui se trouvaient là, il a constaté qu'elles avaient été remuées.
Cette nuit-là, Antonio F., qui se définit comme une personne non facilement impressionnable, ne s'était pas endormi avant que son chien ne s'arrête d'aboyer de cette façon si furieuse et si véhémente.
Il a assuré qu'il n'avait ressenti aucune peur en voyant ces créatures mais qu'il avait au contraire éprouvé du plaisir devant ce qui lui arrivait.
Le contexte a quelques similitudes avec la rencontre de Marius Dewilde à Quarouble, France en 1954: les aboyements du chien, la sortie de la maison...
Il est dommage qu'il semble n'y avoir qu'une seule source, sans corroboration par d'autres enquêteurs, et que le dossier tienne plus du simple receuil du témoignage que d'une enquête à proprement parler.
| Id: | Sujet: | Sévérité: | Noté le: | Soulevé par: | Noté par: | Description: | Proposition: | Statut: |
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| 1 | Ufologie | Grave | 10 novembre 2011 | Patrick Gross | Patrick Gross | Cas à témoin unique, au moins pour la partie RR3. | - | - |
| 2 | Ufologie | Grave | 10 novembre 2011 | Patrick Gross | Patrick Gross | Il s'agit plus d'un récit receuilli que d'une enquête. | - | - |
Visiteurs extraterrestres ou invention.
* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.
| Auteur principal: | Patrick Gross |
|---|---|
| Contributeurs: | Aucun |
| Reviewers: | Aucun |
| Editeur: | Patrick Gross |
| Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
|---|---|---|---|
| 0.1 | Patrick Gross | 10 novembre 2011 | Création, [ac1]. |
| 1.0 | Patrick Gross | 10 novembre 2011 | Première publication. |
