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URECAT - UFO Related Entities Catalog - VF:

URECAT est un catalogue formel des rapports d'observation d'entités dans un contexte OVNI avec l'objectif de fournir des informations de qualité pour des études précises de ce sujet. Les informations additionnelles, corrections et revues sont bienvenues à patrick.gross@inbox.com, précisez svp si vous souhaitez être crédités pour votre contribution ou non. La page principale du catalogue URECAT est ici.

15 OCTOBRE 1978, JARABA, SARAGOSSE, ESPAGNE, UN HOMME:

Bref résumé de l'événement et des suites:

Ce rapport provient de l'ufologue espagnol J.L. Casero, et le mieux est de lui laisser la parole en donnant son article de 1980 écrit avec François Louange tel qu'il a été publié dans les magazines d'ufologie LDLN et FSR :

Ce cas de rencontre rapprochée n'a pu être étudié que superficiellement, ce qui en principe ne devrait pas justifier une publication. Cependant, nous devons le présentons en raison de certains détails peu ordinaires dans le rapport du témoin, et en particulier l'implication d'une sensation de goût, ce qui le rend potentiellement intéressant pour la recherche.

Le témoin est un homme autour de cinquante ans, personnage public, assumant actuellement des fonctions officielles en Espagne, qui a été poursuivi pour son idéologie de gauche pendant l'ancien régime. Il avait seulement mentionné son expérience à un ami très intime, n'ayant aucun intérêt à la faire connaître dans son entourage professionnel. Il s'est trouvé que cet ami était également un ami du co-auteur, J. L. Casero, et que pendant une conversation entre ces deux derniers sur la recherche ufologique, ce cas de "rencontre rapprochée du troisième type" a été mentionné. Il a fallu aux auteurs plusieurs mois de patience, des appels téléphoniques par l'ami commun, ainsi qu'une longue lettre rassurante, pour obtenir du témoin une entrevue téléphonique, pendant laquelle J. L. Casero a pu noter le déroulement des événements.

Plus tard, après de nouvelles approches, une courte rencontre a été organisée entre le témoin et J. L. Casero dans un bar de Madrid. Là, ils ont relu ensemble, corrigé et complété les notes écrites prises pendant l'entrevue téléphonique. Le témoin a dessiné quelques croquis, mais a refusé de les donner, de sorte que rien de sa main ne demeure de cette première et dernière réunion; J. L. Casero a donc du copier les croquis dans le bar.

Ces détails - qui ressemblent à un roman d'espionnage - sont seulement rapportés ici afin de montrer dans quelle mesure le témoin était peu enclin à parler de son expérience, acceptant seulement sous l'insistance de son ami. Ils expliquent pourquoi maintenant, l'espérance de n'importe quelle coopération additionnelle peut être exclue. D'autre part, la personnalité du témoin et son comportement plaident en faveur en faveur d'une haute crédibilité.

Le rapport suivant reflète toutes les informations fournies par le témoin, sans additions ni omissions.

Elle a eu lieu autour de mi-octobre 1978 à Jaraba (province de Saragosse, Espagne) dans le "Camino de la Hoz Seca," près de "Pena Palomera," à l'entrée d'une gorge. Autour de 7 ou 8 heures du matin, le témoin était en route pour faire des photographies de nids de "Milopas" (une variété d'aigles) avec son appareil photo Canon équipé d'un objectif de 20 millimètres et chargé avec de la pellicule Kodachrome. Les cris continus des corneilles pouvaient être entendus. Soudainement, tout est devenu silencieux. Il continue à marcher, se place alors entre des barrières près d'un poste de chasseurs de lapins. Il monte son appareil photo avec le téléobjectif sur le trépied, et fait le point sur le nid supposé. Etonné par des reflet dans le viseur, il regarde autour de lui mais ne remarque rien d'anormal. Il commence alors à entendre un ronflement faible (un "fusssss") qui disparaît soudainement, et se tourne une fois de plus pour focaliser son appareil photo.

Après un moment, il se sent mal à l'aise avec une impression de "dents métalliques" et les poils de sa nuque qui se dressent. L'appareil photo et sa montre semblent chauds. Il se retourne et voit, à une distance d'environ 20 mètres, un objet apparemment ovoïde entouré par de petites "antennes," ayant un diamètre qu'il estime de 5 mètres par comparaison avec une Dodge. Il y avait également deux "individus" de 1 m 90 de haut portant des costumes bleu-gris, apparemment faits de plastique mat, et des ceintures serrées. Ils semblent être blonds. L'un d'eux est penché au-dessus d'un tube, d'apparence métallique, qui entre dans le sol. L'autre porte une boîte au-dessus de laquelle une sphère semble flotter. Le "fusssss", qui avaient réapparu dans l'intervalle, s'arrête maintenant. Le porteur de tube se redresse et fait des gestes au témoin, qui se lève aussi et, tout en approchant un peu, sent une impression de chaleur. Parlant fort, il demande aux individus s'ils ont besoin d'aide, mais entend sa propre voix "déformée." Un peu effrayé, il s'arrête et leur demande ce qu'ils font. L'individu continue à faire des gestes, et retire soudainement le tube du sol, le "plie", et va à l'objet avec son compagnon.

Le "fusssss" réapparaît maintenant de plus en plus fort, et le témoin commence à sentir encore, plus intensément, une sensation "électrique" dans sa nuque et sa bouche, aussi bien que des vibrations dans le sol. Il retourne à son appareil photo. L'objet monte d'environ deux mètres, alors que le bruit augmente. Le témoin ne remarque aucun mouvement d'air, ou aucune éjection évidente; cependant, de certains angles, il pense qu'il pouvait distinguer trois taches circulaires sur le dessous de l'objet. Il a le temps de prendre 2 ou 3 photos, ensuite l'objet monte encore plus et disparaît. Le "fusssss" disparaît en même temps, mais le goût métallique dans la bouche demeure, et durera près de 2 jours. Le témoin ne note pas de traces, sauf un petit trou en forme d'entonnoir dans le sol, avec un diamètre d'environ 20 centimètres.

Une fois développé, le film apparaitra complètement voilé. Le témoin, qui jusqu'ici ne croyait pas aux OVNIS, pense qu'il vient juste d'en avoir vu un, mais décide de ne pas en parler.

Le lecteur se rendra compte à quel point cela a été frustrant pour les auteurs de n'avoir aucune possibilité d'effectuer davantage d'étude de ce cas, dans lequel un certain nombre d'informations concrètes et peu communes sont rapportées: la sensation de chaleur, le goût métallique, la déformation de son, le film voilé. Avec un témoin plus coopératif, il aurait été obligatoire de mener une enquête sur place, d'employer la régression hypnotique en vue d'essayer de clarifier beaucoup de points de l'histoire, d'effectuer une étude complète de l'état des dents du témoin à l'époque de l'événement, d'analyser le film voilé, et ainsi de suite...

Rien de cela n'a été fait et il ne sera pas possible de le faire, et la seule valeur de ce rapport "brut" réside dans des corrélations possibles avec d'autres cas de caractéristiques semblables. Il vaut la peine de noter que dans le même secteur et autour de la même période, plusieurs cas d'abductions, toujours à l'étude, ont été rapportés.

L'article comprenait des dessins illustrant divers points, on les trouvera dans le dossier ci-dessous.

Tableau des informations de base:

Numéro de cas: URECAT-001110
Date d'observation: 15 octobre 1978
Premier rapport: 1980?
Délai de rapport: 1 an, 2 ans?
Témoignage apporté via: Non connu.
Premier enregistrement allégué par: N/A.
Premier enregistrement certain par: Rapport de l'enquêteur J.L. Casero.
Type premier enregistrement allégué: N/A.
Type premier enregistrement certain: Rapport de l'enquêteur.
Ce dossier créé le: 15 décembre 2011
Sa plus récente mise à jour: 3 janvier 2012
Pays de l'événement: Espagne
Etat/Département: Saragosse
Type de lieu: Dans la campagne, vers une ravine.
Conditions d'éclairage: Jour.
OVNI observé: Oui
Arrivée OVNI observée: Non
Départ OVNI observé: Oui
Relation OVNI/entité: Certaine
Nombre de témoins: 1
Ages des témoins: Environ 50.
Types de témoins: Homme, figure publique, est dans la fonction publique, ne voulant pas de publicité.
Photographies: Alléguées, de l'OVNI, voilées, non disponibles.
Dessins par témoins: Non.
Dessins approuvé par témoins: Non.
Nombre d'entités: 2
Type d'entités: Humanoïde ou humain
Taille d'entités: 1.90 mètres
Tenues d'entités: Tenue semblant de plastic mat, ceintures serrées.
Couleur des tenues d'entités: Gris-bleu.
Couleur de peau d'entités: Non rapporté.
Corps des entités: Non rapporté.
Têtes des entités: Non rapporté.
Yeux des entités: Non rapporté.
Bouches des entités: Non rapporté.
Nez des entités: Non rapporté.
Pieds des entités: Non rapporté.
Bras des entités: Non rapporté.
Doigts des entités: Non rapporté.
Nb de doigts des entités: Non rapporté.
Pilosité des entités: cheveux qui semblent blonds.
Voix des entités: Aucune entendue.
Actions des entités: Sont près de l'OVNI, occupés avec tube et boîte, voient témoin, font gestes au témoin, entrée dans l'OVNI, départ.
Interactions entités/témoins: Font des gestes au témoin.
Réactions des témoins: Observation, demande ce qu'ils font, photographie l'OVNI, départ.
Sentiments des témoins: Un peu effrayés.
Interprétations des témoins: Non rapporté.
Catégorie explicative: Visiteurs extraterrestres ou invention.
Certitude de l'explication: Haute.

Récits:

[Ref. lc1:] FRANCOIS LOUANGE AND J.L. CASTERO - FSR:

RENCONTRE INHABITUELLE A JARABA, ESPAGNE

Possible CE3 impliquant une sensation de goût chez le témoin

F. Louange & J. L. Casero

Le Dr. Louange, un scientifique français, est directeur informatique à la station de pistage de satellite de l'Agence Spatiale Européenne travaillant près de Madrid à partir d'où "... le satellite d'IUE est commandé, un télescope en orbite géosynchrone est manoeuvré à partir de la terre qui télécharge des images représentant les spectres ultra-violets."
J. L. Casero travaille pour une compagnie espagnole qui est sous contrat à l'ESA, et il est chef du laboratoire de photo qui fait partie de la division d'ordinateurs dirigée par le Dr. Louange.
L'EDITEUR

CE cas de rencontre rapprochée n'a pu être étudié que superficiellement, ce qui en principe ne devrait pas justifier une publication. Cependant, nous devons le présentons en raison de certains détails peu ordinaires dans le rapport du témoin, et en particulier l'implication d'une sensation de goût, ce qui le rend potentiellement intéressant pour la recherche.

Le témoin

C'est un homme autour de cinquante ans, personnage public, assumant actuellement des fonctions officielles en Espagne, qui a été poursuivi pour son idéologie de gauche pendant l'ancien régime. Il avait seulement mentionné son expérience à un ami très intime, n'ayant aucun intérêt à la faire connaître dans son entourage professionnel. Il s'est trouvé que cet ami était également un ami du co-auteur, J. L. Casero, et que pendant une conversation entre ces deux derniers sur la recherche ufologique, ce cas de "rencontre rapprochée du troisième type" a été mentionné. Il a fallu aux auteurs plusieurs mois de patience, des appels téléphoniques par l'ami commun, ainsi qu'une longue lettre rassurante, pour obtenir du témoin une entrevue téléphonique, pendant laquelle J. L. Casero a pu noter le déroulement des événements.

Plus tard, après de nouvelles approches, une courte rencontre a été organisée entre le témoin et J. L. Casero dans un bar de Madrid. Là, ils ont relu ensemble, corrigé et complété les notes écrites prises pendant l'entrevue téléphonique. Le témoin a dessiné quelques croquis, mais a refusé de les donner, de sorte que rien de sa main ne demeure de cette première et dernière réunion; J. L. Casero a donc du copier les croquis dans le bar.

Ces détails - qui ressemblent à un roman d'espionnage - sont seulement rapportés ici afin de montrer dans quelle mesure le témoin était peu enclin à parler de son expérience, acceptant seulement sous l'insistance de son ami. Ils expliquent pourquoi maintenant, l'espérance de n'importe quelle coopération additionnelle peut être exclue. D'autre part, la personnalité du témoin et son comportement plaident en faveur en faveur d'une haute crédibilité.

Le rapport suivant reflète toutes les informations fournies par le témoin, sans additions ni omissions.

L'expérience

Elle a eu lieu autour de mi-octobre 1978 à Jaraba (province de Saragosse, Espagne) dans le "Camino de la Hoz Seca," près de "Pena Palomera," à l'entrée d'une gorge. Autour de 7 ou 8 heures du matin, le témoin était en route pour faire des photographies de nids de "Milopas" (une variété d'aigles) avec son appareil photo Canon équipé d'un objectif de 20 millimètres et chargé avec de la pellicule Kodachrome. Les cris continus des corneilles pouvaient être entendus. Soudainement, tout est devenu silencieux. Il continue à marcher, se place alors entre des barrières près d'un poste de chasseurs de lapins. Il monte son appareil photo avec le téléobjectif sur le trépied, et fait le point sur le nid supposé. Etonné par des reflet dans le viseur, il regarde autour de lui mais ne remarque rien d'anormal. Il commence alors à entendre un ronflement faible (un "fusssss") qui disparaît soudainement, et se tourne une fois de plus pour focaliser son appareil photo.

Après un moment, il se sent mal à l'aise avec une impression de "dents métalliques" et les poils de sa nuque qui se dressent. L'appareil photo et sa montre semblent chauds. Il se retourne et voit, à une distance d'environ 20 mètres, un objet apparemment ovoïde entouré par de petites "antennes," ayant un diamètre qu'il estime de 5 mètres par comparaison avec une Dodge (voir la fig. 1). Il y

[Légende de dessin:] Figure 1: L'objet au sol.

[Légende de dessin:] Figure 2: Sphère flottant au-dessus de la boîte.

avait également deux "individus" de 1 m 90 de haut portant des costumes bleu-gris, apparemment faits de plastique mat, et des ceintures serrées. Ils semblent être blonds. L'un d'eux est penché au-dessus d'un tube, d'apparence métallique, qui entre dans le sol. L'autre porte une boîte au-dessus de laquelle une sphère semble flotter (voir la fig. 2). Le "fusssss", qui avaient réapparu dans l'intervalle, s'arrête maintenant. Le porteur de tube se redresse et fait des gestes au témoin, qui se lève aussi et, tout en approchant un peu, sent une impression de chaleur. Parlant fort, il demande aux individus s'ils ont besoin d'aide, mais entend sa propre voix "déformée." Un peu effrayé, il s'arrête et leur demande ce qu'ils font. L'individu continue à faire des gestes, et retire soudainement le tube du sol, le "plie" (est-il télescopique? voir la fig. 3), et va à l'objet avec son compagnon.

Le "fusssss" réapparaît maintenant de plus en plus fort, et le témoin commence à sentir encore, plus intensément, une sensation "électrique" dans sa nuque et sa bouche, aussi bien que des vibrations dans le sol. Il retourne à son appareil photo. L'objet monte d'environ deux mètres, alors que le bruit augmente. Le témoin ne remarque aucun mouvement d'air, ou aucune éjection évidente; cependant, de certains angles, il pense qu'il pouvait distinguer trois taches circulaires sur le dessous de l'objet (voir la fig. 4). Il a le temps de prendre 2 ou 3 photos, ensuite l'objet monte encore plus et disparaît. Le "fusssss" disparaît en même temps, mais le goût métallique dans la bouche demeure, et durera près de 2 jours. Le témoin ne note pas de traces, sauf un petit trou en forme d'entonnoir dans le sol, avec un diamètre d'environ 20 centimètres (voir la fig. 5).

Une fois développé, le film apparaîtra complètement voilé. Le témoin, qui jusqu'ici ne croyait pas aux OVNIS, pense qu'il vient juste d'en avoir vu un, mais décide de ne pas en parler.

Conclusion

Le lecteur se rendra compte à quel point cela a été frustrant pour les auteurs de n'avoir aucune possibilité d'effectuer davantage d'étude de ce cas, dans lequel un certain nombre d'informations concrètes et peu communes sont rapportées: la sensation de chaleur, le goût métallique, la déformation de son, le film voilé. Avec un témoin plus coopératif, il aurait été obligatoire de mener une enquête sur place, d'employer la régression hypnotique en vue d'essayer de clarifier beaucoup de points de l'histoire, d'effectuer une étude complète de l'état des dents du témoin à l'époque de l'événement, d'analyser le film voilé, et ainsi de suite...

Rien de cela n'a été fait et il ne sera pas possible de le faire, et la seule valeur de ce rapport "brut" réside dans des corrélations possibles avec d'autres cas de caractéristiques semblables. Il vaut la peine de noter que dans le même secteur et autour de la même période, plusieurs cas d'abductions, toujours à l'étude, ont été rapportés.

[Ref. lc1:] FRANCOIS LOUANGE ET J.L. CASTERO:

Ces ufologues disent qu'il s'agit d'un cas de rencontre rapprochée du troisième type qui n'a pu être étudié que très superficiellement, "ce qui en principe ne justifierait pas sa publication", mais qu'ils tiennent à le faire connaître pour des détails inhabituels dans le récit du témoin, en particulier l'implication d'une sensation gustative, qui "le rendent potentiellement intéressant pour la recherche."

Ils indiquent que le témoin est un homme public d'une cinquantaine d'années, qui exerce actuellement des fonctions officielles en Espagne, et qui a été poursuivi sous l'ancien régime pour son idéologie de gauche. Il n'avait parlé de son expérience qu'à un ami très intime parce qu'il n'avait aucun intérêt à ce qu'elle soit connue de son entourage professionnel.

Cet ami était également l'ami de J.L. Casero, et au cours d'une conversation entre eux sur la recherche ufologique, le cas a été évoqué. Après plusieurs mois de patience, d'appels téléphoniques par l'intermédiaire de l'ami commun, et une longue lettre rassurante, le témoin a accepté une conversation téléphonique, au cours de laquelle J.L. Casero a pu noter le déroulement des faits.

Plus tard, après de nouvelles démarches, il y a eu une brève rencontre entre le témoin et J.L. Casero dans un bar de Madrid, où ils ont relu, complété et corrigé ensemble les notes prises au cours de la conversation téléphonique. Le témoin a fait quelques croquis mais a refusé de les donner, pour qu'il n'y ait aucune trace écrite de son implication. J .L. Casero a donc du recopier les croquis dans le bar.

Les auteurs insistent sur le fait que cela est rapporté seulement pour montrer que le témoin était peu disposé à donner de la publicité à son expérience, et par ailleurs ils disent que sa personnalité comme son attitude ont plaidé en faveur d'une forte crédibilité.

Vers la mi-octobre 1978 vers 7 ou 8 heures du matin, en Espagne, province de Saragosse, à Jaraba dans le "Camino de la Hoz Seca" près de Pena Palomera et à l'entrée d'un défilé, le témoin allait photographier des nids d'aigles pyguarges avec un appareil Canon muni d'un objectif de 20 mm chargé de film Kodachrome.

On entendait constamment les sons naturels, puis soudainement, le silence s'est fait.

Il a continué à marcher, puis s'est posté entre des haies à côté d'un poste de chasseurs de lapins. Il a monté l'appareil avec son téléobjectif sur le trépied et a pointé dans la direction où il croyait avoir repéré un nid.

Surpris par des reflets dans le viseur, il a regardé autour de lui mais n'a rien remarqué d'anormal. Il a alors entendu un faible chuintement ("FUSSSSS") qui a disparu rapidement, et il s'est remis à régler son appareil.

Au bout d'un moment, il s'est senti mal à l'aise, avec une impression de "dents métalliques", et les poils de sa nuque se sont hérissés. L'appareil photo et sa montre paraissaient chauds.

Il s'est retourné et a vu à environ 20 mètres un objet plus ou moins ovoïde entouré de petites "antennes", dont il estime le diamètre à 5 mètres en le comparant à une Dodge (voir fig. 1), et deux "personnages" de 1m90 ou plus, portant des vêtements gris bleutés, qui évoquent une matière plastique mate, et des ceinturons ajustés. Ils paraissent blonds.

L'un d'eux est incliné sur un tube d'apparence métallique qui pénètre dans le sol. L'autre porte une boîte au-dessus de laquelle semble flotter une sphère (voir fig. 2). Le "FUSSSSS", qui était réapparu entre temps, s'arrête. Le porteur du tube se redresse et fait des gestes au témoin qui se redresse à son tour et, en s'approchant, ressent une impression de chaleur.

En élevant la voix, il demande aux personnages s'ils ont besoin d'aide, mais entend le son de sa propre voix "distordu". Prenant un peu peur, il s'arrête et leur demande ce qu'ils font. Le personnage continue à lui faire des signes, puis soudain sort le tube, le "plie" (est-il téléscopique? voir fig. 3) et se dirige vers l'engin avec son compagnon.

Le son de "FUSSSSS" revient, de plus en plus fort, et le témoin ressent de nouveau, plus intensément qu'avant, la sensation "électrique" dans la nuque et dans la bouche, ainsi que des vibrations dans le sol.

Il retourne auprès de son appareil photo. L'objet s'élève d'environ deux mètres, tandis que le volume sonore augmente. Le témoin ne remarque ni déplacement d'air ni tuyère apparente; sous certains angles, il croit cependant deviner sous l'objet trois taches circulaires (fig. 4).

Il a le temps de prendre 2 ou 3 photographies, puis l'objet s'élève davantage et disparaît. Le "FUSSSSS" disparaît en même temps mais la saveur métallique dans sa bouche persiste, et durera environ 2 jours. Le témoin n'observe pas de traces à l'exception d'un petit trou dans le sol en forme d'entonnoir et d'environ 20 centimètres de diamètre (fig. 5).

Une fois révélé, le rouleau de pellicule apparaîtra entièrement voilé. Le témoin qui ne croyait pas aux OVNI auparavant, croit en avoir vu un, mais décide de ne pas en parler.

Les auteurs terminent par des regrets ne pas avoir pu approfondir le cas.

Fig.

Fig. 1: l'objet au sol.

Fig.

Fig. 2: sphère flottant au-dessus de la "boîte".

Fig.

Fig. 3: le tube (a) déplié (b) plié.

Fig.

Fig. 4: l'objet s'élève. (a) trois taches vues sous cet angle; (b) taches non visibles.

Fig.

Fig. 5: trou conique dans le sol

[Ref. gd1:] GEOFF DITTMANN:

Témoin: Man

Lieu: Jaraba, Zaragoza, Spain

Date: Octobre 1978

Heure: Matin

Le témoin a observé un métier débarqué et plusieurs humanoids blonds. L'homme (sans succès) a essayé de communiquer avec les êtres. Il a souffert pendant plusieurs jours après d'un goût métallique dans sa bouche. (Davenport, Visitors From Time p.67)

[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:

Albert Rosales indique dans son catalogue qu'à Jaraba, Saragosse, Espagne, le 15 octobre 1978, à 0730 du matin, le témoin était seul dans un secteur boisé essayant de photographier des nids d'aigle quand soudainement tous les bruits dans le secteur ont cessé. Le témoin a alors commencé à marcher et a entendu un bruit de sifflement faible; il a alors commencé à se sentir écoeuré par un goût métallique dans sa bouche. Sa montre-bracelet était chaude au contact. Il s'est retourné et a vu dans la clairière un engin en forme de dôme métallique dont le périmètre était entouré par des saillies comme des antennes. A côté de l'objet se tenaient deux hommes très grands portant des tenues gris-bleu et des ceintures tendues larges. Tous les deux avaient les cheveux blonds. L'un se penchait au-dessus d'un tube métallique apparemment enfoncé dans le sol. L'autre portait une boîte avec une petite sphère sur le dessus. Celui tenant le tube a fait signe au témoin de s'approcher. Le témoin a senti une vague de chaleur pendant qu'il approchait les deux hommes, cela l'a effrayé il s'est arrêté et a hurlé vers eux, et étrangement il a entendu sa voix déformée de façon étrange. Les deux hommes ont alors marché à l'objet et y ont embarqué. Le bruit de sifflement est maintenant devenu plus fort et le témoin a senti une décharge électrique dans sa nuque et des vibrations étranges au sol. L'engin s'est soulevé vers le haut et a volé hors de la vue à mesure que le bruit siffleur augmentait. Le témoin est parvenu à prendre une photographie de l'objet pendant qu'il partait. Un trou a été trouvé au sol sur les lieux.

Albert Rosales indique que la source est "Ballester Olmos and Fernandez Peri, Enciclopedia de Los Encuentros Cercanos con Ovnis".

[Ref. dj1:] DONALD JOHNSON:

Donald Johnson indique que le 15 octobre 1978, à 7:30 heure du matin, un politicien important du parti communiste de 50 ans était seul dans un secteur boisé de Jaraba, Saragosse, Espagne, essayant de photographier quelques nids d'aigle, quand soudainement tous les bruits dans le secteur ont cessé. Il a alors commencé à marcher et ensuite entendu un faible bruit de sifflement. Il a commencé à se sentir nauséeux avec un goût métallique dans la bouche, et sa montre-bracelet est devenue chaude au contact. Quand il s'est retourné, il a vu dans une clairière un engin en forme de dôme métallique de 5 mètres dont le périmètre était entouré par de petites saillies comme des antennes. A côté de l'objet de tenaient deux hommes très grands, de 1.90 mètres de hauteur, avec des cheveux blonds portant les équipements bleu-gris et les ceintures larges. L'un se penchait au-dessus d'un tube métallique apparemment coincé sur le sol. L'autre portait une boîte avec une petite sphère sur le dessus. Celui tenant le tube a fait signe au témoin de s'approcher. L'homme a senti une vague de chaleur pendant qu'il s'approchait à moins de 20 mètres, donc il s'est arrêté et a été effrayé, il y hurlé vers eux. Il a entendu sa propre voix d'une façon étrange et bizarrement déformée. Les deux UFOnautes ont alors marché en arrière à l'objet et sont montés à bord. Le bruit de sifflement s'est maintenant intensifié et le témoin a senti une décharge électrique sur le dos de son cou et des vibrations étranges sur le sol. L'engin s'est soulevé vers le haut et a volé hors de la vue tandis que le bruit de sifflement augmentait. Il est parvenu à prendre une photographie de l'objet pendant qu'il partait, et un trou a été trouvé dans le sol sur les lieux. Les ufologues ont trouvé le témoin qualifié bien mais peu coopératif, cherchant à éviter la publicité.

Les sources indiquées sont: "David F. Webb & Ted Bloecher, HUMCAT: Catalogue of Humanoid Reports, cas N.A2174; Albert S. Rosales, Humanoid Contact Database 1978, cas N.101, citantg Vicente-Juan Ballester Olmos & Fernandez Peri, Enciclopedia de Los Encuentros Cercanos con Ovnis."

[Ref. ud1:] SITE WEB "UFODNA":

Le site web indique qu'en octobre 1978 à 07:30 à Jaraba, Espagne, "Incident des politiciens communistes." Et: "Ovoïde de 5m de long entouré par de petites 'antennes', trois taches au-dessous. Distance minimum 20m. Deux êtres de 1.9m de haut, portaient des tenues bleu-gris. Témoin bien qualifié, mais cherchant à éviter la publicité, peu coopératif."

Et: "Un objet ovoïde, d'environ 20 pieds de large, a été observé à environ cinquante pieds de distance, par un témoin de 50 ans masculin dans une gorge. Deux êtres 6.3 pieds de haut, chacun en tenue bleu-grise, ont été vus."

Les sources sont indiquées comme Webb, David, HUMCAT: Catalogue of Humanoid Reports; Hatch, Larry, *U* computer database, l'auteur, Redwood City, 2002; Smith, Willy, UNICAT computer database.

Points à considérer:

Les auteurs du rapport ont leurs commentaires, qui semblent fondés.

Ce qui me chagrine avec ce récit, outre les regrets exprimés par les auteurs du rapport, c'est que les personnages sont seulement très sommairement décrits. Il y a des dessins pour presque tout, sauf pour ces personnages.

La maigre description donnerait presque à penser que ces "extraterrestres" ont un air bien humain, qu'ils sont même familiers, avec leurs cheveux blonds, en ce sens qu'ils évoquent les beaux grands blonds rapporté si souvent par des farfelus se disant "contactés" mais démontrés être des menteurs, George Adamski et ses imitateurs...

En somme, la crédibilité du cas, qui semble bénéficier de ce que le témoin n'a pas voulu de publicité personnelle alors que les "contactés" en sont évidemment friands, est réduite par le fait que le témoin est unique, mais à mon avis aussi par le fait de ce quasi silence sur l'apparence peut-être trop humaine des "extraterrestres".

Liste de problèmes:

Id: Sujet: Sévérité: Noté le: Soulevé par: Noté par: Description: Proposition: Statut:
1 Données Grave 15 décembre 2011 Patrick Gross Patrick Gross Source primaire non disponible. Aide nécessaire. Ouvert.
2 Ufologie Grave 15 décembre 2011 Patrick Gross Patrick Gross Aide nécessaire. Ouvert.
3 Ufologie Grave 15 décembre 2011 Patrick Gross Patrick Gross Aide nécessaire. Ouvert.

Evaluation:

Visiteurs extraterrestres ou invention.

Références des sources:

* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.

Histoire du document:

Rédaction

Auteur principal: Patrick Gross
Contributeurs: Aucun
Reviewers: Aucun
Editeur: Patrick Gross

Historique des changements

Version: Créé/changé par: Date: Description:
0.1 Patrick Gross 15 décembre 2011 Création, [lc2], [lc1], [dj1], [ar1], [ud1].
1.0 Patrick Gross 15 décembre 2011 Première publication.
1.1 Patrick Gross 3 janvier 2012 Addition, [gd1].

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Cette page a été mise à jour le 3 janvier 2012