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URECAT - UFO Related Entities Catalog - VF:

URECAT est un catalogue formel des rapports d'observation d'entités dans un contexte OVNI avec l'objectif de fournir des informations de qualité pour des études précises de ce sujet. Les informations additionnelles, corrections et revues sont bienvenues à patrick.gross@inbox.com, précisez svp si vous souhaitez être crédités pour votre contribution ou non. La page principale du catalogue URECAT est ici.

6 NOVEMBRE 1957, EVERITTSTOWN, NEW JERSEY, USA, JOHN TRASCO ET MME TRASCO:

Bref résumé de l'événement et des suites:

D'après un hebdomadaire local du 15 novembre 1957, le 6 novembre 1957, au crépuscule, John Trasco rentrait juste à sa maison de Everittstown, New Jersey, depuis son travail à un moulin à papier et est sorti pour nourrir son chien King à moitié aveugle et de mauvais tempérament, qui a était attaché sur le côté de la maison. Mme Trasco, à la fenêtre de cuisine, a entendu King aboyer furieusement, et a regardé dehors et vu une lumière brillante devant la grange, à 20 mètres de la maison et cachée par broussailles.

Elle a pensé "que c'était un étang ou une flaque" réfléchissant les dernières lueurs du ciel, puis elle a réalisé que c'était un objet en forme d'oeuf lumineux, de 3 à 4 mètres de long, planant en montant et descendant à quelques pieds au-dessus du sol.

A cause des broussailles, elle n'a pas vu un "petit homme" que son mari a rencontré, qui avait moins d'un mètre de haut, habillé d'un costume vert avec des boutons brillants, avec une sorte de chapeau et des gants avec un objet brillant au bout, un visage "couleur mastic", un nez, un menton, de grands yeux protubérants comme ceux des grenouilles.

D'une voix qui était "vive et effrayante," l'être aurait parlé à M. Trasco, en une sorte d'anglais dont M. Trasco a pensé que ce qu'il disait était "nous sommes des personnes paisibles. Nous ne voulons aucun ennui. Nous voulons juste votre chien." Mme Trasco, à l'intérieur de la maison, a pu entendre le bruit de la voix, et elle a clairement entendu son mari, effrayé mais en colère et criant "fichez le camp d'ici!" L'être serait retourné on ne sait comment dans l'objet, Mme Trasco a dit que son mari n'avait vu aucun porte, hublot, ou toute autre ouverture. Son mari a parlé de peu de bruit en disant que c'était à peu près comme ce que l'on entendrait "à l'intérieur d'un navire."

L'objet est alors monté rapidement dans le ciel "comme un lambeau de flamme qui s'échappe d'un feu de camp et monte", a indiqué Mme Trasco. Le chien était tellement affecté qu'il en bavait. Quand un journaliste a demandé des preuves, Mme Trasco a indiqué que son mari avait essayé de s'emparer "de l'un d'eux," et qu'il a eu une certaine sorte de poudre verte sur son poignet, mais il l'a lavé. Il en a trouvé sous ses ongles le jour suivant.

L'affaire serait parvenue à un journal par une belle-soeur qui avait assisté à une conférence du célèbre Howard Menger, un menteur qui prétendait être un extraterrestre environ un an avant. L'hebdomadaire qui a imprimé leur histoire avait un éditorial qui ridiculisait tout le récit.

Mme Trasco a vu le lendemain dans la nuit deux lumières au-dessus de la maison, qui "ne se sont pas déplacées, comme le font les lumières d'un avion", qui se sont attardées "pendant un moment", et ont ensuite "disparu sans trace."

L'ufologue et journaliste Dick Harpster, membre du Civilian Saucer Investigation, a interrogé Mme Trasco mais pas son mari et a enregistré l'interview, archivée encore en 2006 par l'ufologue américaine Wendy Connors, www.fadeddiscs.com.

Tableau des informations de base:

Numéro de cas:URECAT-000003
Date d'observation:6 novembre 1957
Premier rapport:15 novembre 1967?
Délai de rapport:6 jours?
Témoignage apporté via:Non connu.
Premier enregistrement allégué par:Delaware Daily News.
Premier enregistrement certain par:CSI Bulletin.
Type premier enregistrement allégué:Journal.
Type premier enregistrement certain:Bulletin d'ufologie.
Ce dossier créé le:17 août 2006
Sa plus récente mise à jour:17 février 2008
Pays de l'événement:USA
Etat/Département:New Jersey
Type de lieu:Hors maison, broussailles.
Conditions d'éclairage:Imprécises.
OVNI observé:Oui
Arrivée OVNI observée:Non
Départ OVNI observé:Oui
Relation OVNI/entité:Certaine
Nombre de témoins:2
Ages des témoins:Non connu.
Types de témoins:Ouvrier et épouse.
Photographies:Non.
Dessins par témoins:Non.
Dessins approuvé par témoins:Non.
Nombre d'entités:1
Type d'entités:Humanoïde
Taille d'entités:Petit
Tenues d'entités:Avec des boutons brillants, gants, chapeau.
Couleur des tenues d'entités:Vert.
Couleur de peau d'entités:Pale, mastic.
Corps des entités:Non connu.
Têtes des entités:Grande.
Yeux des entités:Deux, grands, protubérants.
Bouches des entités:Non connu.
Nez des entités:Oui.
Pieds des entités:Non connu.
Bras des entités:Non connu.
Doigts des entités:Non connu.
Nb de doigts des entités:Non connu.
Pilosité des entités:Non connu.
Voix des entités:Anglais incertain.
Actions des entités:Hors de l'OVNI, veut le chien, entrée dans l'OVNI, départ.
Interactions entités/témoins:Dialogue.
Réactions des témoins:Refus de donner le chien.
Sentiments des témoins:Colère, peur.
Interprétations des témoins:Non connu.
Catégorie explicative:Visiteurs extraterrestre(s), farce.
Certitude de l'explication:Sans.

Récits:

[Ref. cs1:] CIVILIAN SAUCER INVESTIGATION:

Ce qui suit est l'article du CSI Bulletin sur cet incident.

"YEUX DE GRENOUILLE - YEUX DE CHIEN"

"Parmi les nombreux rapports remarquables datés du 6 novembre 1957, le suivant a presque échappé à notre attention. Un ami médecin a raconté à Jules St. Germain cette l'histoire, qui est apparue dans le Delaware Valley News (un hebdomadaire) le 15 novembre. A la demande de Jules, Dick Harpster, membre de CSI et journaliste vétéran qui habite à Washington, New Jersey, et a activement participé à étudier les fables de Menger [un contacté qui racontait des histoires à dormir debout], a parlé aux témoins. Il nous a également envoyé l'histoire dans l'hebdomadaire, et a l'intention d'obtenir plus d'information pour répondre d'autres à questions de la section des recherches du CSI, avide de donnée."

"Aux environs du crépuscule du 6 novembre, John Trasco était juste revenu à sa maison de Everittstown, New Jersey, depuis son travail à un moulin à papier à New Hope, Pennsylvanie, et est sorti pour nourrir King, 6 ans, son chien policier couleur charbon de bois, à moitié aveugle, de mauvais tempérament, qui a était attaché sur le côté de la maison. Mme Trasco, à la fenêtre de cuisine, a entendu King aboyer furieusement, et a regardé dehors pour y voir une lumière brillante devant la grange, qui est à 60-70 pieds de la maison, avec des broussailles entre. "J'ai pensé d'abord que c'était un étang ou une flaque" (réfléchissant les dernières lueurs du ciel), a indiqué Mme Trasco. Alors elle a réalisé qu'elle regardait un objet en forme d'oeuf lumineux, de 9 à 12 pieds de long, planant "juste en montant et descendant" à quelques pieds au-dessus du sol devant la grange."

"En raison des broussailles elle n'a pas vu le "petit homme" que son mari a confronté. Le visiteur avait 2.5 ou 3 pieds de haut, "habillé d'un costume vert avec les boutons brillants, avec un chapeau vert comme un tam [?] et des gants avec un objet brillant au bout de chaque gant." Il avait un visage couleur mastic, un nez et un menton, et de grands yeux protubérants comme ceux des grenouilles. Avec une voix qui était "vive et effrayante," il a parlé à M. Trasco, en "anglais, comme s'il venait de l'autre côté [d'Angleterre?]. Ce dont M. Traco a pensé qu'il disait était "nous sommes des personnes paisibles. Nous ne voulons aucun ennui. Nous voulons juste votre chien." Mme Trasco, à l'intérieur de la maison, pouvait entendre le bruit de la voix, et elle a clairement entendu son mari, effrayé mais fâché, hurler, "foutez le camp d'ici!" A ceci, la créature est de nouveau entrée dans l'objet - par quel moyen, c'est encore incertain, puisque Mme Trasco a dit que son mari n'avait vu aucun porte, hublot, ou toute autre ouverture. (Il a également rapporté qu'il n'y avait pas beaucoup de bruit: "c'était à peu près comme ce que vous entendriez à l'intérieur d'un navire.") L'objet est alors monté rapidement vers le haut dans le ciel, comme un lambeau de flamme qui s'échappe d'un feu de camp et monte, comme Mme Trasco l'a dit. King, pendant ce temps, était tellement affecté qu'il en bavait. "y avait il n'importe quelle évidence laissée derrière du tout?" a demandé Harpster à Mme Trasco (quand nous avons parlé à Dick, il avait parlé seulement à Mme Trasco). "Et bien, John a essayé de s'emparer de l'un d'eux," a-t-elle dit (un autre détail à vérifier, puisqu'il n'y avait aucun autre rapport spécifique indiquant plus d'une créature), "et il a eu une certaine sorte de poudre verte sur son poignet, mais il l'a lavé. Il en a trouvé sous ses ongles le jour suivant, aussi." Il n'y a aucune maison sur la route en face des Trasco, et les maisons de chaque côté de chez eux étaient inoccupées."

"Le couple n'a parlé à personne de leur expérience, parce que "nous savions que personne ne nous croirait," excepté une belle-soeur, par qui l'histoire est probablement arrivée au journal. La belle-soeur avait assisté à une réunion conduite par Howard Menger [un menteur qui prétendait être un extraterrestre réincarné] environ un an avant; mais les Trasco n'avait pas étés impressionnés du tout par son rapport sur Menger; en fait, ils ont seulement un intérêt des plus limités dans des choses telles que Spoutnik. Dans la même édition de l'hebdomadaire qui a imprimé leur histoire, est paru un éditorial qui ridiculisait tout le récit."

"Mme Trasco dit: "se cela se produit à nouveau je prendrais sûrement la voiture et partirai loin d'ici." Pour M. Harpster, elle a ajouté, "mais j'ai dit John, nous aurions du les laisser prendre King. Il est à moitié aveugle et tellement coléreux que je ne sais pas qui d'autre en voudrait jamais." Dick Harpster dit: "je n'ai simplement pas pu penser à une raison de ne pas les croire." Un détail final: la nuit après la visite, deux lumières ont brillé au-dessus de la maison. Mme Trasco dit "elles ne se sont pas déplacées, comme le font les lumières d'un avion." Elles se sont attardées pendant un moment, et ensuite disparu sans trace."

[Ref. lo1:] CORAL ET JIM LORENZEN:

Coral et Jim Lorenzen indiquent que dans la soirée du 6 novembre 1957, s'il faut en croire John Trasco, d'Everittstown, New Jersey, un événement OVNI avec l'implication d'un chien s'est produit. Trasco a affirmé être sorti au crépuscule pour nourrir son chien et a vu un objet en forme d'oeuf brillant planer devant sa grange. Il a été confronté à un être de trois pieds de haut avec un visage couleur mastic, un nez, un menton, et de grands yeux protubérants comme ceux de grenouilles. Ce "petit homme" était vêtu d'un costume vert avec des boutons brillants, avec un chapeau genre Ecossais, et des gants avec un objet brillant au bout de chaque doigt. Trasco a indiqué qu'il a pensé que l'être a dit en mauvais anglais, "nous sommes des gens pacifiques, nous voulons seulement votre chien," ce à quoi il a répondu, complètement effrayé: "fichez le camp d'ici." La créature s'est alors sauvée dans l'objet qui a décollé droit vers le haut.

Mme Trasco a également affirmé avoir vu l'objet de l'intérieur de la maison, mais elle n'a pas vu le "petit homme" à cause de certaines broussailles près de la maison, bien qu'elle ait entendu la voix, et entendu les propos coléreux de son mari.

Les Lorenzen précisent qu'il n'est pas connu si certains détails ont jamais été éclaircis, et que l'histoire a été seulement mentionnée de façon vague dans le Delaware Valley News du 15 novembre. Il n'est pas certains qu'il y avait seulement une "entité" parce que le journal cite Mme Trasco comme disant que son mari a essayé de saisir "l'un d'eux," et aurait eu une certaine poudre verte sur son poignet qui a été lavée. Une poudre verte sous ses ongles le jour suivant était également mentionnée.

[Ref. jv1:] JACQUES VALLEE:

Jacques Vallée indique dans sa liste des atterrissages d'OVNIS que la dans la soirée du 6 novembre 1957, à Everittstown, New Jersey, John Trasco a vu un objet brillant en forme d'oeuf planer devant une grange et a été confronté avec un être de 1 mètre de haut un visage couleur mastic et des yeux comme ceux des grenouilles. Il a pensé que le nain a dit en anglais de cuisine: "nous sommes des gens pacifiques; nous voulons seulement votre chien." Le petit homme était habillé dans un costume vert avec les boutons brillants, un chapeau vert médiéval, et des gants avec un objet brillant au bout de chaque doigt. Le petit homme s'est sauvé quand le témoin a rejeté sa demande. Aucune source correcte n'est indiquée.

[Ref. jv2:] JACQUES VALLEE:

Jacques Vallée indique que selon Coral Lorenzen, le 6 novembre 1957 à Everittstown dans le New Jersey, au crépuscule, John Trasco sort pour donner à manger à son chien et voit un objet en forme d'oeuf devant sa grange. Sur le chemin, il rencontre un être de trois pieds, au visage couleur mastic et aux grands yeux de grenouille, habillé d'un costume vert orné de boutons brillants, un bonnet genre écossais et des gants d'où à chaque extrémité des doigts un objet brillait. L'entité dit en mauvais anglais: "Nous sommes des gens pacifiques, nous voulons seulement votre chien". Trasco le somme en termes précis de "retourner d'où il était venu" et l'être s'enfuit en courant vers sa machine qui s'envole quelques instants plus tard. D'après Mme Trasco, en essayant d'attraper l'être, son mari a reçu de la poudre verte sur le poignet, qui s'en est allé au lavage, mais il en avait encore sous les ongles le lendemain.

[Ref. jb1:] JANET BORD:

L'auteur de ce livre sur les fées et les farfadets indique qu'à Everittstown, New Jersey, le 6 novembre 1957, John Trasco est allé nourrir son chien et a vu une créature drapée de vert de 2,5 à 3 pieds de hauteur qui a demandé son chien. Il a refusé et la créature "l'a agrippée" en lui laissant une poudre verdâtre. L'auteur ne mentionne aucun OVNI en liaison avec la créature.

[Ref. js1:] JOHN SPENCER:

John Spencer indique que 6 novembre 1957, tôt en soirée à Everittstown, New Jersey, John Trasco est sorti de sa maison pour nourrir son chien et a vu juste devant une grange un objet brillamment illuminé et en forme d'oeuf planant au-dessus du sol. Entre lui et cet objet, il a vu une petite entité d'environ trois pieds de haut avec un visage de couleur pâteuse et de grands yeux saillants, habillé en vert avec quelque chose comme un béret avec des boutons brillants. L'entité a dit "Nous sommes des gens paisibles. Nous voulons seulement votre chien", mais Trasco a refusé, et a essayé d'arrêter l'entité ce qui l'a laissé avec une certaine poudre verte sur ses mains. L'entité est partie et l'objet a décollé. L'épouse de Trasco était à l'intérieur de la maison et n'a pas vu l'entité mais a confirmé l'observation de l'OVNI. Il n'y a aucune trace de la moindre analyse scientifique de la substance verte.

[Ref. jr1:] JEAN-PAUL RONECKER:

L'auteur indique qu'à Everittstown, New Jersey, USA, le 6 novembre 1957, au crépuscule, John Trasco sortait donner à manger à son chien quand il a vu quelque chose dans le ciel, un objet ovoïde qui paraissait planer juste au-dessus de sa grange à quelques mètres d'altitude seulement.

Intrigué et inquiet, il a avancé vers le bâtiment et s'est soudainement retrouvé face à un être de 90 cm de haut, aux grands yeux de grenouille protubérants, dont le visage ressemblait à du "papier mâché." L'entité lui a aussitôt parlé dans un anglais hésitant et haché, disant "Nous sommes des gens... pacifiques, nous ne voulons... que votre chien."

L'homme affolé a répondu: "Foutez-moi le camp d'ici!", et l'entité a aussitôt fait demi-tour et s'est enfuie rapidement dans l'objet qui s'est élevé à la verticale et a disparu.

L'auteur indique que ses sources dont le Delaware Valley News du 15 novembre 1957 et Charles Bowen, En quête des humanoïdes.

[Ref. jb1:] JEROME BEAU:

Le webmaster cite un nombre de cas de rencontres rapprochées sensées illustrer que des visiteurs extraterrestres seraient incohérents et indique qu'en 1957, aux USA, "un ufonaute de 3 pieds de haut avec des yeux ressemblant à ceux d'une grenouille" a déclaré au témoin de la scène "Nous sommes un peuple pacifique; nous ne voulons que votre chien..."

Points à considérer:

La source première semble être un article de journal paru des jours après l'événement. Des contradictions notées par le journaliste enquêteur sont des raisons d'être soupçonneux, de nombreux points ne sont pas clairs et pourraient être soit éclaircis soit aggravés à l'écoute de l'enregistrement de l'interview du couple.

Id: Sujet: Sévérité: Noté le: Soulevé par: Noté par: Description: Proposition: Statut:
1 Données Moyenne 17 août 2006 Patrick Gross Patrick Gross L'article du journal Delaware Daily News du 15 novembre doit être trouvé. Aide nécessaire. Ouvert.
2 Données Grave 17 août 2006 Patrick Gross Patrick Gross Les enregistrements audio des témoins doivent être écoutés. A commander. Ouvert.

Evaluation:

Un évaluation serait prématurée, une écoute des interviews s'impose.

Références des sources:

* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.

Histoire du document:

Rédaction

Auteur principal: Patrick Gross
Contributeurs: Aucun
Reviewers: Aucun
Editeur: Patrick Gross

Historique des changements

Version: Créé/changé par: Date: Description:
0.1 Patrick Gross 17 août 2006 Création, [cs1], [lo1], [jv1], [jv2], [bo1], [js1], [jb1].
0.2 Patrick Gross 17 août 2006 Première publication.
1.0 Patrick Gross 17 février 2008 Addition, [jr1]. conversion de HTML4 vers XHTML Strict.

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Cette page a été mise à jour le 17 février 2008