Dans la soirée du 9 décembre 1954, le fermier Olmiro da Costa e Rosa nourrissait ses animaux en jetant des plants de haricot vert et de maïs dans un champ de de sa propriété de Herval Mirim, un lieu-dit près de Linha Bela Vista, à 4 kilomètres de Venancio Aires, dans l'état du Rio Grande do Sul, Brésil.
Il a alors entendu quelque chose faire un bruit qu'il a décrit comme "semblable au bruit d'une machine à coudre", et a remarqué que les vaches dans le champ se mettaient à se sauver.
Il a levé les yeux et a vu un homme d'aspect étrange et un objet brillant peu ordinaire planant derrière, à seulement quelques 80 centimètres au-dessus de la terre. L'objet était un engin, en forme de bassine ou de chapeau colonial, il était de couleur crème et entouré par une sorte de brume ou fumée.
Il a vu deux autres hommes étranges: l'un était dans l'engin avec sa tête et ses épaules dépassant d'une ouverture, l'autre étaient dehors, apparemment en train d'examiner une clôture barbelée.
Da Costa e Rosa a eu le temps d'observer ces hommes et ils étaient assez proches: ils étaient de taille moyenne, larges d'épaules, avec les longs cheveux blonds que le vent agitait. Leur peau était extrêmement pâle, de couleur "cadavérique", leurs yeux inclinés n'étaient pas les yeux d'hommes normaux. Ils portaient des combinaisons brunes rattachée à leurs chaussures, lesquelles lui ont semblé très étranges parce qu'elles n'avaient aucun talon.
Dans la surprise, Costa e Rosa avait laissé tomber sa houe, et l'étranger le plus proche de lui s'est approché, a levé une main, a souri, a pris la houe, l'a examinée soigneusement, puis a replacé la houe dans les mains de Costa e Rosa. Costa e Rosa tenait un plant de maïs et un plan de haricot dans les mains, et l'homme les lui a pris et est retourné vers l'engin.
Costa e Rosa s'était tenu là comme paralysé, mais ensuite il a pensé qu'ils n'ont pas semblé lui vouloir de mal, ainsi il a marché vers le métier. L'homme qui avait pris la houe et celui dans l'engin n'ont rien entrepris pour l'arrêter, mais celui à la clôture a fait un geste qui a semblé signifier qu'il devrait s'arrêter; ce qu'il a fait.
Certains des animaux du fermier s'étaient approchés, et les étrangers les ont regardés avec grand intérêt. Par des mots et des gestes, le témoin a essayé d'indiquer aux visiteurs qu'il serait heureux de leur faire un cadeau d'un des moutons, mais les visiteurs n'ont pas semblé intéressés et n'ont pas semblé le comprendre quand il parlait.
Inopinément, les visiteurs sont entrés dans l'engin, qui s'est élevé d'abord de 10 mètres environ, a accéléré soudainement, et a volé au loin dans le ciel vers l'ouest, à grande vitesse.
Costa e Rosa a alors inspecté le sol là où l'objet avait plané, mais n'a trouvé rien. Il a noté qu'une odeur de charbon brûlant est restée dans le ciel pendant un certain temps après le départ de l'engin.
Son histoire est alors apparue dans la presse locale, et dans le magasine national O Cruzeiro dans un article écrit par le journaliste et ufologue célèbre Joao Martins.
Da Costa e Rosa a été apparemment interrogé pendant plusieurs heures par des autorités de Porto Alegre, et on a déterminé qu'il était presque illettré, ne lisait ni de science-fiction ni les journaux, qu'il n'avait jamais entendu parler de soucoupes volantes. En fait, il n'a pas semblé interpréter la rencontre comme extraterrestre, mais a pensé que les hommes doivent avoir été quelques aviateurs d'un pays étranger.
En 2004, un journal local qui avait rapporté le cas à l'époque as interviewé le fils du témoin, qui avait 21 ans à l'époque, et il a confirmé ce que son père maintenant défunt avait dit et a donné son avis qu'il n'avait pas menti. Il a ajouté que son père avait crié et avait été entendu par des voisins durant la rencontre, et qu'il a eu des cauchemars à la suite de l'événement. Plusieurs autres observations d'OVNIS avaient eu lieu en cette période dans le secteur, y compris des rencontres rapprochées du troisième type, la plus proche étant le même jour à seulement quelques kilomètres de là.
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[Ref. lo1:] CORAL LORENZEN:
Coral Lorenzen indique que dans la soirée du 9 décembre 1954, le fermier Olmiro da Costa e Rosa cultivait son haricot vert et son maïs dans Linha Bela Vista, à deux miles et demi de Venancio Aires, Rio Grande do Sul, Brésil, quand il a entendu quelque chose faisant le bruit d'une machine à coudre.
Les animaux dans le pâturage à côté du champ se sont dispersé et ont couru, et le témoin a levé les yeux et a vu un homme d'apparence étrange et un objet peu commun planant derrière lui juste au-dessus de la terre.
L'objet avait la forme d'un chapeau d'explorateur, de couleur crème, et entouré par une brume fumeuse.
Deux autres hommes étaient là, l'un dans l'engin, sa tête et épaules en dépassant, l'autre examinant une barrière de barbelé.
Costa e Rosa a laissé tomber sa houe et l'étranger le plus proche à levé la main, a souri et a pris la houe, qu'il a retournée dans ses mains, l'examinant soigneusement. Ensuite l'homme a placé la houe dans des mains de Costa e Rosa, s'est penché, a déraciné quelques plantes et est allé vers l'engin.
Costa e Rosa s'était tenu comme paralysé, mais ensuite, assuré qu'ils ne lui voulaient pas de mal, il a marché vers l'engin. L'homme qui avait pris la houe et cellui dans l'engin n'ont rien fait pour l'arrêter, mais celui à la barrière a fait un geste qui a semblé signifier qu'il devrait s'arrêter; ce que le témoin a fait.
Certains des animaux du fermier ont approché et les étrangers les ont regardés avec grand intérêt. Avec des mots et des gestes, le témoin a essayé d'indiquer aux visiteurs qu'il serait heureux de leur faire un cadeau d'un des animaux, mais les visiteurs n'ont pas semblé enthousiasmés par l'offre.
Le témoin a décrit les visiteurs avec des détails car il avait eu le temps de les observer d'assez près: ils étaient de taille moyenne, larges d'épaules, avec les longs cheveux blonds qui flottaient dans le vent. Leur peau était extrêmement pâle, leurs yeux inclinés n'étaient pas aux normes terrestres. Ils portaient comme vêtements des combinaisons brun clair attachées à leurs chaussures, et Costa e Rosa a ajouté que ces chaussures ont semblé très étranges parce qu'elles n'avaient aucun talon.
Soudainement, les visiteurs se sont rassemblés dans l'engin, il se sont élevés a environ 10 mètres, ont accélérés soudainement et filé au loin dans le ciel occidental à grande vitesse.
Après que les hommes soient partis, il a exploré le sol là où l'objet avaient plané mais n'a rien trouvé; mais il a noté qu'une odeur de charbon brûlant est restée dans l'air pendant un certain temps après le départ de l'engin.
Costa e Rosa a été interrogé pendant plusieurs heures par des autorités de Porto Alegre, et on a déterminé qu'il ne lisait pas de science-fiction; en réalité il lisait avec difficulté, et n'avait jamais entendu parler des "soucoupes volantes." Il a semblé croire que ces hommes étaient des visiteurs d'un autre pays.
L'incident a été rapporté dans le magasine O Cruzeiro par "un des journalistes-auteurs exceptionnels du Brésil, Joao Martins, qui est également un expert en enquêtes sur les OVNIS."
[Ref. lo2:] CORAL ET JIM LORENZEN:
Les auteurs indiquent qu'en soirée du 9 décembre 1954, le fermier Olmiro da Costa e Rosa travaillait dans son champ de haricots verts et de maïs à Linha Bela Vista, deux miles et demi de Venancio Aires, Rio Grande do Sul, au Brésil.
Costa da Rosa a entendu un bruit "comme une machine à coudre," sur quoi les animaux dans le pâturage voisin se sont dispersé et ont couru. Il a levé les yeux et a vu un objet étrange planer "juste au-dessus de la terre," qui a ressemblé au "chapeau d'un explorateur."
Il était de couleur crème et entouré par une brume fumeuse. Trois "hommes" étaient visibles pour Costa e Rosa: l'un était dans l'engin, sa tête et ses épaules dépassant d'une ouverture, et un autre examinait apparemment une barrière de barbelé. Un autre a approché Costa e Rosa, qui a laissé tomber sa houe dans la surprise. L'homme a alors levé sa main, s'est penché et à ramassé la houe et l'a rendue au fermier.
Il a décrit les hommes comme "de taille moyenne," larges d'épaules, avec de longs cheveux blonds, une peau extrêmement pâle, et des yeux inclinés. Leur habillement était brun clair de couleurs et semblait attaché à leurs chaussures, qui lui ont semblé étranges car elles n'avaient pas de talons.
L'homme s'est alors penché, a déraciné quelques plantes et est retourné vers l'engin. Légèrement rassuré par ces actions, le fermier a avancé vers l'engin. L'homme dans l'objet et celui qui avait pris la houe n'ont faite aucun mouvement vers lui mais celui près de la barrière a fait un geste comme pour signifier à Costa e Rosa de s'arrêter, ce qu'il a fait. Certains des animaux se sont alors approchés et Costa e Rosa, avec des gestes, a indiqué aux créatures étranges qu'il leur donnerait un des animaux comme cadeau, mais ils n'ont pas semblé intéressés. Tout à fait soudainement et inopinément, les deux hommes sur la terre sont monté à bord du vaisseau, qui s'est élevé à environ 10 mètres et a accéléré soudainement et volé vers l'ouest à grande vitesse.
Le fermier a été interrogé longuement par des autorités de Porto Alegre et il a été déterminé que Costa e Rosa était un homme responsable et honnête.
[Ref. gc1:] GORDON CREIGHTON:
Gordon Creighton indique qu'à Linha Bela Vista, Etat de Rio Grande do Sul, Brésil, dans la soirée du 9 décembre 1954, le fermier Olmira da Costa e Rosa cultivait ses plantations de haricots verts et de maïs à environ 4 kilomètres de Venancio Aires, quand il a entendu quelque chose "comme une machine à coudre" et a vu dans un champ proche des animaux saisis de panique. Il a alors découvert un objet en forme de casque colonial, de couleur crème et enveloppé dans une brume, qui planait juste au-dessus du sol.
Trois hommes à l'aspect étrange étaient là, l'un à l'intérieur de l'appareil, un autre examinant une barrière de fil de fer barbelé, et un autre près du fermier. Le fermier étonné a laissé tombé sa houe, et l'homme lui a souri, s'est approché, a ramassé la houe pour l'examiner soigneusement et la lui rendre.
Il s'est ensuite penché, a cueilli quelques plantes et est retourné vers l'engin avec les autres, et l'appareil s'est élevé lentement jusqu'à environ 10 mètres, puis a accéléré et filé vers l'ouest à grande vitesse.
Le fermier était presque complètement illettré et n'avait jamais entendu parler des soucoupes volantes. Il avait pu examiner ces hommes de près et en détail: ils étaient de taille moyenne, avec de larges épaules, de longs cheveux flottant au vent, une peau extrêmement pâle et des yeux bridés, et ils ne constituaient pas une vision ordinaire selon les normes terrestres. Ils portaient des combinaisons légères brunes assujetties à leurs chaussures, qui n'avaient pas de talon. Le témoin avait conclu qu'il devait s'agir d'aviateurs de quelque pays étranger.
Creighton fait remarquer l'extrême ressemblance entre ces hommes et le "Vénusien" d'Adamski, et que l'honnêteté exige que ce cas, de même que les autres cas latino-américains d'hommes "aux longs cheveux," soit étudié avec un grand soin, mais qu'il ne semble pas que cela ait été fait.
Creighton indique que les sources sont O Cruzeiro, de Rio de Janeiro, en 1954, et Coral Lorenzen: The Great Flying Saucer Hoax.
[Ref. jv1:] JACQUES VALLEE:
Dans son catalogue des atterrissages d'OVNIS, Jacques Vallée indique que le 9 décembre 1954 à Linha Bela Vista, Brésil, un fermier, O. da Costa e Rosa, a observé un extraterrestres se tenir près d'une machine en forme de "casque tropical," de couleur crème, entouré par une brume, faisant le même bruit qu'une machine à coudre. Un autre homme regardait une barrière, et la tête et les bras d'un troisième étaient visibles à l'intérieur de l'engin. Quand le témoin a laissé tomber sa houe, l'homme a souri, l'a ramassée, et l'a lui a rendue, après quoi ils lui ont fait signe de rester au loin et ont décollé. Ils étaient de taille moyenne, avaient de larges épaules, de longs cheveux, une peau très blanche, et les yeux inclinés. Ils portaient des combinaisons brunes finissant avec des chaussures sans talons.
Vallée indique que sa source est "Lor. I 46; Humanoids 4."
[Ref. go1:] GODELIEVE VAN OVERMEIRE:
Godelieve van Overmeire indique que le 9 décembre 1954, à Linha da Vista, Venancio Aires, le fermier Olmira Da Costa e Rosa cultivait ses plantations de haricots verts et a observé un étranger, debout près d'une machine qui était presque au sol et ressemblait à un casque colonial de couleur crème entourée d'un brouillard. L'engin faisait un bruit semblable à celui d'une machine à coudre. Un autre individu examinait la barrière, pendant qu'un troisième était à l'intérieur de l'appareil, la tête et les bras visibles. Comme le témoin lâchait sa fourche, un des hommes l'a ramassée et la lui a rendue après examen. Les inconnus sont rentrés dans la machine, faisant signe au témoin de ne pas s'approcher et se sont envolés.
Ils étaient de taille normale, avaient de larges épaules, de longues chevelures, la peau très blanche et les yeux bridés. Ils portaient des combinaisons brunes et des chaussures sans talons.
Godelieve van Overmeire indique que la source est Charles BOWEN: "En quête des humanoïdes", J'ai Lu, 1974, pages 69 et 114.
[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:
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224. Lieu. Linha Bela Vista Brésil Date: 9 décembre 1954 Heure: soirée O Da Costa e Rosa, un fermier, a entendu quelque chose comme une machine à coudre, et a vu un objet couleur crème "en forme de casque tropical" planant juste au-dessus de la terre. Un homme était à l'intérieur de l'engin, d'autres examinant une barrière, et un troisième près du fermier. Da Costa a laissé tomber sa houe, et cet homme, avec un sourire, l'a pris et la lui a donnée. Chacun des 3 hommes était large d'épaules, avec la peau très pâle et les yeux inclinés, et avec de longs cheveux blonds. Ils portaient des combinaisons brun clair attachées aux chaussures. Après avoir pris quelques plantes, les hommes sont revenus à leur engin, qui est monté lentement sur 30 pieds et est alors parti au loin à grande vitesse. Le témoin n'avait jamais entendu parler des soucoupes volantes. Humcat 1954-139 Source: Hanlon, The Humanoids Type: B et A |
[Ref. gs1:] GAZETA DO SUL:
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Dans l'année de 1954, la Gazette avait publié: des extraterrestres vus à Linha Bela Vista, dans la région de Venâncio Aires: le disque est descendu dans le champ d'Olmiro da Costa e Rosa et les membres de l'équipage, de pâleur cadavérique et aux longs cheveux, ont pris un pied de maïs et un d'haricot, et ont rejeté le mouton offert par le propriétaire de la maison. La propriété d'Olmiro, qui est maintenant décédé, à Herval Mirim, avant Linha Bela Vista, est aujourd'hui occupée par son fils unique, Paulo de Costa e Rose, qui à l'époque avait 21 ans. Il raconte que son père lançait des pieds de maïs et de haricot pour le bétail, et c'est à ce moment-là que l'étrange appareil est descendu, jusqu'à 80 cm du sol, et est resté en flottant et en tournant. "Il faisait un bruit semblable à celui d'une machine à coudre", a-t-il dit. Les vaches ont été les premières à le voir, et se sont dispersées. Selon la description qu'il a entendu de son père, l'objet avait la forme d'une bassine arrondie et était d'une luminosité forte [ambigu: comparée au, ou dans le] soleil. A l'intérieur y avait deux êtres, et un autre, qui est descendu et est venu jusqu'à l'agriculteur terrifié . Celui-ci a voulu s'approcher, mais ils lui ont fait signe de s'arrêter. Olmiro a alors été paralysé, avec sa houe et ses plantes dans la main. L'inconnu est allé jusqu'au lui, a pris la houe de sa main, l'a examinée et l'a rendue, mais il a pris les plantes. Il a retourné vers disque, qui a disparu dans le ciel. Olmiro pu pousser un cri, qui est arrivé jusqu'aux voisins. Il a eu des cauchemars causé par ces visiteurs inhabituels et se réveillait en criant. "Mon père n'écoutait pas la radio, ni ne lisait le journal", raconte le fils. "Ce n'est pas comme s'il avait pu être influencé pour inventer des choses. Il a raconté ce qu'il a vu", garantit-il. Dans la semaine suivante, son voisin Pedro Moraes, éloigné deux kilomètres, a raconté une histoire très semblable. Paulo se rappelle que Pedro soignait une poule qui avait douze poussins quand celle-ci a soudainement filé, traînant sa couvée avec elle. Il a regardé et le disque était là, flottant droit devant lui. Mais il n'y a pas eu de contact direct. Paulo croit que l'expérience du voisin n'a pas été influencée par son père. "Il admettait que cela aurait pu l'avoir influencé, mais insistait sur ce que la poule n'avait pas entendu cette histoire." Jusqu'à aujourd'hui, malgré beaucoup d'histoires, aucune visite d'extraterrestres n'a été prouvée. |
[Ref. ni1:] NICAP WEBSITE:
Dans le catalogue d'occupants, le site web indique que le 8, ou le 9 décembre 1954, à Linha Bela Vista, Brasil un fermier travaillant dans son champ a entendu un bruit comme une machine à coudre et a vu un engin en forme de disque planer tout près. Les animaux dans le champ se sont dispersé tandis qu'il a atterri. Trois êtres de taille moyenne étaient visibles, l'un est resté dans l'engin, les autres deux ont approché le fermier qui a laissé tomber sa houe. L'un l'a ramassée et la lui a rendue. L'étranger a alors déraciné quelques plantes. Le fermier a parlé à l'être, mais il n'a pas semblé comprendre. Le site web indique que le cas a été enquêté par le Dr. Fontes, de l'APRO.
Les sources sont indiquées comme Randle/Estes, FOV p. 272; Lorenzen, UTWS.
Le cas enquêté par le docteur Fontes de l'APRO ([ni1]) n'est pas celui-ci, mais celui de Pedro Morais le même jour à 2 kilomètres.
Le témoin est malheureusement unique ici, ce qui ne permet pas d'exclure qu'il ait inventé l'histoire, qui n'est pas corroborée par des preuves matérielles. Mais d'un autre côté, l'opinion de son fils n'est pas à amnésier, et il n'y a guère de sens à penser qu'il ait été inspiré par les inventions de rencontres avec des Vénusiens façon Adamski alors qu'il n'a pas pensé que cela pouvait être des extraterrestres mais a pensé que c'étaient quelques aviateurs étrangers.
Du fait de la qualification d'hommes de ces visiteurs, on pourrait effectivement se demander s'ils étaient des gens venus en hélicoptère. Mais la description de l'engin ne correspond pas, le détail des yeux non plus, des cheveux longs ne sont pas quelque chose de courant pour des aviateurs à cette époque, ils semblent ne pas parler, et leurs actions, telle qu'examiner une clôture de barbelé, non plus. Un engin s'élevant de 10 mètres avant de se propulser, ayant un bruit de machine à coudre, fait bien penser à un hélicoptère, mais la forme de bassine n'y correspond pas, il faudrait que le récit ait donc été complètement déformé par les tiers, sans compter que des hélicoptères dans cette région en 1954 sont des plus improbables.
L'argument de ce que le témoin ne lisait pas n'est guère porteur; il n'était pas besoin de lire des journaux ou de la science fiction pour entendre parler de soucoupes volantes à cette époque où elles étaient vues partout dans le pays. Il est donc possible que ce ne soit pas vrai que le fermier n'en ait jamais entendu parler.
Si un rapport d'enquête en bonne et due forme avait été établi et publié, si les autorités de Porto Alegre avaient publié un avis et un rapport détaillé, si les sources de presse étaient disponibles, l'une ou l'autre réponse pourrait en sortir renforcée. En l'absence, il me paraît bien difficile de se constituer des certitudes sur cette affaire.
| Id: | Sujet: | Sévérité: | Noté le: | Soulevé par: | Noté par: | Description: | Proposition: | Statut: |
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| 1 | Ufologie | Grave | 27 décembre 2007 | Patrick Gross | Patrick Gross | Pas de rapport d'enquête disponible. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
| 2 | Ufologie | Grave | 27 décembre 2007 | Patrick Gross | Patrick Gross | Textes des sources de presse de l'époque non disponible. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
| 3 | Ufologie | Grave | 27 décembre 2007 | Patrick Gross | Patrick Gross | Témoin unique. | - | - |
Visiteurs extraterrestres ou invention.
* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.
| Auteur principal: | Patrick Gross |
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| Contributeurs: | Aucun |
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| Editeur: | Patrick Gross |
| Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
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| 0.1 | Patrick Gross | 27 décembre 2007 | Création, [lo1], [lo2], [gc1], [jv1], [go1], [ar1], [gs1], [ni1]. |
| 1.0 | Patrick Gross | 27 décembre 2007 | Première publication. |
