URECAT -> AccueilCliquez!

This page in EnglishClick!

URECAT - UFO Related Entities Catalog - VF:

URECAT est un catalogue formel des rapports d'observation d'entités dans un contexte OVNI avec l'objectif de fournir des informations de qualité pour des études précises de ce sujet. Les informations additionnelles, corrections et revues sont bienvenues à patrick.gross@inbox.com, précisez svp si vous souhaitez être crédités pour votre contribution ou non. La page principale du catalogue URECAT est ici.

Début novembre 1954, Fréjus, Var, France, Christophe De Devi et Zopina:

Bref résumé de l'événement et des suites:

L'ufologue local Maurice Malvillan a indiqué le cas à l'auteur de livre sur les OVNIS Guy Tarade, l'ayant entendu d'un des deux témoins.

A 06:00 heures du matin au début de novembre 1954, alors qu'il pleuvait des gouttes fines, les soldats Christophe De Devi et Zopina allaient chercher du lait à une épicerie de Fréjus, quand ils ont entendu, venant d'un ravin près de l'hôpital 294, un léger bourdonnement ressemblant au bruit d'un vélomoteur, qui a attiré leur attention.

Ils ont alors vu une machine sphérique, "toute blanche, comme fait de métal chrome" avec une bande lumineuse de couleur orange brillant à sa circonférence. L'engin avait une queue semblable par sa forme au gouvernail de direction d'un avion.

Curieux, les deux soldats se sont approchés à moins de dix mètres de l'engin, où ils ont distingué deux hommes de tailles normales.

Le premier était dans une sorte de passage circulaire située dans le fond de l'appareil, il portait une tenue de pilote, avait des cheveux bouclés et la peau bronzée.

Par la suite une porte s'ouverte dans l'engin, un deuxième homme a sauté à terre, qui ressemblait étrangement au premier et lui a parlé dans une langue inconnue des deux témoins. Tous les deux ont alors avancé vers les soldats.

Ceux-ci ont alors eu peur que ces hommes les attaquent ou les enlèvent et se sont sauvé, s'arrêtant seulement devant la chapelle de l'hôpital. Là, ils ont trouvé deux de leurs camarades, le soldat Roch et l'infirmier Issoujon, qui revenaient des cuisines où ils étaient allés boire un café. Tous les quatre ont alors vu l'engin prendre de l'altitude et filer à une "vitesse fantastique" hors de leur vue dans la distance.

L'histoire a ensuite été reprise par des auteurs et des webmasters, aucun ne réalisant que ceci pourrait simplement avoir été quelque hélicoptère de l'OTAN et son équipage étranger.

En 1987, l'ufologue Michel Figuet rapporte brièvement que l'affaire serait histoire "bidon" raconté au bar proche par les soldats Zopina et de Devi.

Une autre version est donnée par Jean Sider en 1997. Les faits sont les mêmes, mais il n'y aurait jamais eu d'ufologue entendant le récit, jamais de "bar", car tout viendrait uniquement d'une lettre du témoin allégué Christophe de Devi publiée dans le magazine sensationnaliste Radar en page 2 le 7 novembre 1954, racontant que cela s'était produit "ce matin", et donnant les noms et adresses des quatre témoins.

Tableau des informations de base:

Numéro de cas: URECAT-000456
Date d'observation: Début novembre 1954
Premier rapport: 1968?
Délai de rapport: 14 ans?
Témoignage apporté via: Ufologue local Maurice Malvillan?
Premier enregistrement allégué par: Ufologue local Maurice Malvillan.
Premier enregistrement certain par: Magazine d'ufologie LDLN.
Type premier enregistrement allégué: Ufologue local.
Type premier enregistrement certain: Magazine d'ufologie.
Ce dossier créé le: 26 janvier 2008
Sa plus récente mise à jour: 8 décembre 2018
Pays de l'événement: France
Etat/Département: Var
Type de lieu: Dans un ravin.
Conditions d'éclairage: Nuit
OVNI observé: Oui
Arrivée OVNI observée: Oui
Départ OVNI observé: Oui
Relation OVNI/entité: Certaine
Nombre de témoins: 1 à 4
Ages des témoins:
Types de témoins: Non rapporté.
Photographies: Non.
Dessins par témoins: Non.
Dessins approuvé par témoins: Non.
Nombre d'entités: 1
Type d'entités: Humanoïde
Taille d'entités: Petit
Tenues d'entités: Une pièce moulant
Couleur des tenues d'entités: Non rapporté.
Couleur de peau d'entités: Non rapporté.
Corps des entités: Non rapporté.
Têtes des entités: Non rapporté.
Yeux des entités: Non rapporté.
Bouches des entités: Non rapporté.
Nez des entités: Non rapporté.
Pieds des entités: Non rapporté.
Bras des entités: Non rapporté.
Doigts des entités: Non rapporté.
Nb de doigts des entités: Non rapporté.
Pilosité des entités: Non rapporté.
Voix des entités: Aucune entendue.
Actions des entités: Sortie de l'OVNI, vu témoin, entrée dans l'OVNI, départ.
Interactions entités/témoins: Aucune.
Réactions des témoins: Observation, départ.
Sentiments des témoins: Effrayés.
Interprétations des témoins: Non rapporté.
Catégorie explicative: Visiteurs extraterrestres.
Certitude de l'explication: Sans.

Récits:

[Ref. ld1:] MAGAZINE "LUMIERES DANS LA NUIT":

PRES DE FREJUS

Au début de Novembre 1954, à 6 h. du matin dans un ravin près de l'hôpital militaire 294. Il pleuvait à fines gouttes, lorsque mon copain Zopina et moi-même soldat Christophe de Devi nous allions chercher le lait à l'épicerie.

"Tout d'abord, un léger vrombissement ressemblant à celui d'un "solex", puis un engin tout blanc (on dirait du métal chromé à une queue d'avion) correspondant à la circonférence d'une sphère de couleur orange. Pris par la curiosité nous nous sommes approchés à environ 10 mètres et c'est alors que nous avons distingués un homme de taille normale en vêtement de pilote, aux cheveux frisés au teint de métis débouchant d'un trou au bas de l'engin, le temps de regarder en haut, la porte s'ouvre et voici un autre homme qui saute par terre et parle un dialecte inconnu avec le premier à qui il ressemblait étrangement. Puis tous deux se mirent à marcher à grands pas vers nous. De peur d'être attaqués ou enlevés, nous avons pris la fuite, et c'est en arrivant devant la Chapelle de l'hôpital, nous sentant plus en sûreté, que nous avons admiré avec notre ami Roche qui revenait des cuisines avec le café et Issonjon, l'infirmier de service, l'engin prenant de l'altitude avec une rapidité foudroyante, puis disparaissant.

Note: le magazine d'indique aucune source.

[Ref. gq1:] GENEVIEVE VANQUELEF:

324 R) Début novembre 1954, près de FREJUS (Var - France).

Deux militaires voient au sol un engin sphérique, blanc comme un métal chromé. Deux hommes de taille normale apparaissent: l'un se trouve dans une sorte de passage circulaire au bas de l'appareil (il a une combinaison de pilote, des cheveux frisés, le teint bronzé); une porte s'ouvre; l'autre occupant saute à terre, s'adresse aux témoins dans une langue inconnue puis s'avance vers eux. Surpris, les deux témoins se sauvent. Ils virent, ainsi que deux autres soldats, l'engin s'envoler (LDLN n° 87, de mars-avril 1967).

[Ref. gt1] GUY TARADE:

L'auteur ufologue Guy Tarade rapporte dans son livre ce qu'a recueilli son ami Maurice Malvillan, de Fréjus, ufologue qui a étudié les rapports d'observations d'OVNIS pendant vingt ans. Maurice Malvillan a obtenu le récit par un des témoins de l'événement.

A 6 heures, un matin du début de novembre 1954 alors qu'il pleuvait à fines gouttes, les soldats Christophe De Devi et Zopina allaient chercher du lait dans une épicerie à Fréjus quand il furent témoins d'un étrange événement qui a eu lieu dans un ravin près de l'hôpital 294.

Le récit donné par Maurice Malvillan a été:

"Ce fut un léger vrombissement ressemblant au bruit d'un Solex qui a attiré l'attention des deux militaires. Ils virent alors posé au sol un engin sphérique tout blanc, comme en métal chromé. A sa circonférence brillait une bande lumineuse de couleur orange."

"L'appareil avait une queue semblable par sa forme au gouvernail d'un avion. Pris par la curiosité, les deux militaires approchèrent à moins de dix mètres de l'objet. C'est alors qu'ils distinguèrent deux hommes de taille normale. Le premier se trouvait dans une sorte de passage circulaire situé dans le bas de l'appareil. Il portait une combinaison de pilote et avait les cheveux frisés et le teint bronzé."

"Les deux soldats contemplaient cette curieuse apparition lorsqu'une porte s'ouvrit dans l'engin. Un deuxième homme sauta à terre. Il ressemblait étrangement au premier et s'adressa à lui dans une langue inconnue des deux témoins. Les deux "Ouraniens" se dirigèrent alors vers les militaires. Craignant d'être attaqués ou même enlevés, ceux-ci prirent la fuite et ne s'arrêtèrent que devant la chapelle de l'hôpital. Ils trouvèrent là deux de leurs camarades, le soldat Roch et l'infirmier Issoujon, qui revenaient des cuisines où ils étaient allés chercher le café. Tous quatre virent l'O.V.N.I. qui prit de l'altitude avec une rapidité foudroyante et s'évanouit au loin."

[Ref. fr1:] MICHEL FIGUET ET JEAN-LOUIS RUCHON:

Les deux auteurs se réfèrent à Lumières Dans La Nuit N.87 pour indiquer qu'au début de novembre 1954, à 6 heures du matin près de Fréjus, sous une pluie à fines gouttes, les soldats Christophe de Devi et Zopina allaient chercher du lait à une épicerie et se trouvaient dans un ravin près de l'hôpital militaire 294, quand ils ont entendu un vrombissement qui ressemblait à celui d'une mobylette "Solex", puis ont vu un engin posé au sol.

L'engin était sphérique avec un aspect de métal chromé. Les soldats ont été curieux et se sont approchés à moins de 10 mètres, et ils ont alors vu un homme normal de taille normale en vêtements de pilote, avec des cheveux frisés et un teint de métis.

Ce pilote avait sauté d'un trou à la base de l'engin, et un autre a sauté à terre et a parlé au premier dans une langue inconnue. Ces deux pilotes s'avancent vers les témoins qui prennent peur et se sauvent. Arrivés devant la chapelle, les deux témoins se sentent en sécurité, se retournent et observent le départ de l'engin en compagnie des deux autres soldats Roche et Issonjon, infirmier de service.

Les auteurs indiquent comme source LDLN 87 page 4.

[Ref. ld2:] MAGAZINE "LUMIERES DANS LA NUIT":

C'est une stupidité que d'affirmer que cette RR3 [autre cas] est authentique du fait de la découverte de vestiges de civilisations anciennes sur le "Grand Tertre" (le contraire eut été étonnant) à vocation vinicole. Des vestiges romains ont été découverts à Fréjus qui fut le site d'une RR3 "bidon" raconté au bar proche par les soldats Zopina et de Devi. Fréjus est aussi à vocation vinicole.

[Ref. js1:] JEAN SIDER:

Cet auteur indique qu'au début de novembre 1954, vers 06:00, é Fréjus, dans le Var, messieurs Christophe de Devi, Zopina, Roch et Issoujou (et non Roche et Issonjon, selon d'autres sources), tous militaires à I'Hôpital militaire 294 à Fréjus, ont été impliqués dans une rencontre rapprochée du troisième type:

De Devi et Zopina sont allés chercher du lait à l'épicerie voisine, quand soudain, un vrombissement de moteur du genre Solex s'est fait entendre, puis un engin tout blanc comme du métal chromé s'est posé dans un ravin proche. Les deux soldats se sont approchés à moins de cinq mètres de l'objet, qui leur est apparu comme une sphère maintenant orange.

Soudain, ils ont distingué un homme de taille normale en vêtements de pilote, aux cheveux frisés et au teint de métis, qui débouchait d'un orifice au bas de l'engin. Puis un second individu a sauté à terre et a parlé au premier dans une langue inconnue. Il lui ressemblait d'une manière étonnante.

C'est alors que les deux occupants se sont dirigés vers les témoins, qui ont pris de peur et ont pris la fuite, quand ils sont arrivés à la hauteur de la chapelle de l'hôpital, ils ont eu l'idée d'attirer l'attention du soldat Roch et de l'infirmier Issoujou qui étaient de corvée de café, et les quatre hommes ont pu voir l'objet prenant de l'altitude à une rapidité foudroyante avant de disparaître.

Jean Sider indique que la source est en fait une lettre du soldat Christophe de Devi envoyée à l'hebdomadaire parisien Radar qui l'a publiée en page 2 le 7 novembre 1954.

Jean Sider indique que Michel Figuet, dans LDLN N° 265-266, page 20, affirme qu'il s'agit du récit des soldats dans un bar répété par un client à un enquêteur qu'il ne nomme pas, et Jean Sider estime que "manifestement, Figuet a inventé cette version, un comportement qui en dit long sur l'influence néfaste des "socio-psychologues" qu'il fréquente depuis qu'il a viré sa cuti. Il n'y a jamais eu d'enquêteur ni de client de bar lui ayant rapporté cette histoire. La lettre de Christophe de Devi fut envoyée à Radar le jour même de l'observation. En effet, elle précise bien: "Ce matin". Elle était accompagnée d'un croquis de l'engin observé, mais qui n'a malheureusement pas été reproduit.

Jean Sider poursuit en estimant que cela ne veut pas dire que l'histoire serait vraie. Mais il fait remarquer que les témoins donnent toutefois leurs noms et leur adresse, qu'il s'agissait de militaires et que l'Armée est connue pour avoir la main lourde avec ceux qui ne marchent pas au pas. Jean Sider conclut: "Ces éléments ne valident pas l'hypothèse d'un canular, il s'en faut de beaucoup!"

[Ref. go1:] GODELIEVE VAN OVERMEIRE:

L'ufologue belge indique qu'au début de novembre 1954, en France, à Fréjus, à 6 heures du matin, il pleuvait, les soldats Christophe De Devi et Zopina allaient chercher du lait quand ils entendaient un léger vrombissement ressemblant à celui d'un "solex". Un objet sphérique blanc, comme du métal chromé était posé au sol près d'un ravin. A sa circonférence brillait une bande lumineuse de couleur orange. Il avait une queue semblable par sa forme au gouvernail d'un avion. Les militaires s'en approchèrent à moins de 10 mètres. Un homme se trouvait dans une sorte de passage circulaire situé dans le bas de l'appareil. Il portait une combinaison de pilote, avait les cheveux frisés et le teint bronzé. Une porte s'ouvrit et un deuxième homme sauta à terre, il ressemblait étrangement au premier et s'adressa à lui dans une langue inconnue des deux témoins. Ces deux "hommes" se dirigèrent alors vers les militaires qui prirent la fuite, ne s'arrêtant que devant la chapelle de l'hôpital. Là ils retrouvaient leurs camarades, le soldat Roch et l'infirmier Issoujon qui revenaient des cuisines. Tous quatre virent décoller l'ovni qui prit de l'altitude à une vitesse foudroyante.

Godelieve Van Overmeire indique que la source est Guy TARADE: "S.V. et civilisations d'outre-espace", J'Ai Lu, 1969, pages 176, 177.

[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:

217.

Lieu. Frejus, Var France

Date: 2 novembre 1954

Heure: 0600A matin

Pendant une matinée pluvieuse, deux soldats, Christophe De Devi et A Zopina étaient sur leur chemin vers la ville pour chercher du lait quand ils ont perçu un bruit de ronflement ressemblant à celui d'un "solex". Ils ont alors vu un objet sphérique métallique blanc sur la terre près d'un ravin voisin. Autour de sa circonférence il avait une bande lumineuse d'une tonalité rouge-orange. Il avait une queue semblable à celle de la dérive verticale d'un avion. Les soldats se sont approchés à moins de 10 mètres de l'objet. Ils ont vu un homme se tenir sur ce qui a semblé être une plate-forme circulaire sur la base de l'objet. Il portait une combinaison, semblable à celle d'un pilote; il avait les cheveux foncés bouclés, et avait une peau bronzée. Une porte s'est ouverte et un deuxième homme a sauté à terre; il a ressemblé au premier, et lui a parlé dans une langue inconnue. Ces deux hommes se sont alors déplacés vers les soldats, qui se sont sauvés. En ville ils ont trouvé deux autres soldats. Chacun des quatre a observé l'OVNI gagner de l'altitude à très grande vitesse et disparaître de la vue.

HC addition # 2432

Source: Figeut/Ruchon, Ovni Dossier, Guy Tarade

Type: B

[Ref. lh1] LARRY HATCH - "*U* COMPUTER DATABASE":

4336: 1954/11/02 06:00 5 6:44:00 E 43:26:00 N 3323 WEU FRN VAR A:9

FREJUS,FR:4 SOLDATS:MTLC GLOBE/RAVIN:PSH/TENUE DE PILOTE ININTELLIGIBLE:/r30p207

RefN°217 Jean SIDER: Le DOSSIER 1954 (2 vol.) Page No. 222 : BASE MIL.

[Ref. lc1:] LUC CHASTAN:

Le site Internet enregistre le cas comme ayant eu lieu en novembre 1954 à Fréjus dans le Var en France à 06:00 heures sous une pluie continue faible, avec 4 témoins, sans objet au sol, sans enquête officielle, avec un OVNI en forme de sphère, deux entités de taille normale ayant des vêtements et des visages noirs, et comme effet physique un bourdonnement.

Le résumé indique que deux soldats sont allés chercher du lait dans une épicerie et se trouvaient dans un ravin près de l'hôpital militaire 294, quand ils ont entendu un léger vrombissement ressemblant à celui d'un solex et ont alors observé un objet blanc sphérique semblant être en métal chromé posé au sol. Les deux hommes se sont approchés à dix mètres et ont alors vu un être de type humain de taille normale portant des vêtements de pilote, avec des cheveux frisés de teint métis. Il a débouché d'un trou au bas de l'objet, un deuxième être est sorti de la même ouverture et les deux commencent à parler entre eux dans une langue inconnue des deux témoins. Ces deux entités se sont alors avancées vers les témoins qui ont pris la fuite. Au niveau de la chapelle de l'hôpital, ils ont observé avec deux autres soldats le départ de l'objet qui a pris de l'altitude à une rapidité foudroyante et a disparu.

La source est indiquée comme "Ovni, Premier dossier complet... par Figuet M./ Ruchon J.L., éd. Alain Lefeuvre 1979."

[Ref. ud1:] SITE WEB "UFODNA":

ce site Internet reproduit la source [ar1].

[Ref. ud2:] SITE WEB "UFODNA":

Le site web indique qu'en novembre 1954 à 06:00 à Frejus, France, "Rencontre rapprochée avec un engin non identifié et ses occupants. On a observé un objet non identifiable et ses occupants à courte distance (De Devi)".

La source est notée comme "Delaire, J. Bernard. UFO Register Volume 7 (1976), Data Research, Oxford, 1976".

[Ref. gz1:] JULIEN GONZALEZ:

L'auteur indique qu'il y a eu une rencontre rapprochée du troisième type près de Fréjus, Var, début novembre 1954, à 06 h 00 avec comme témoins messieurs Zopina, Christophe de Devi, Roche et Issonjon, soldats à l'Hôpital Militaire 294 à Fréjus.

Sous une pluie à fines gouttes, les soldats Christophe de Devi et Zopina sont allé chercher le lait à une épicerie, et se sont trouvés dans un ravin, près de l'hôpital militaire 294.

Ils ont entendu un léger vrombissement ressemblant à celui d'un "Solex", puis ont vu un engin blanc sphérique posé au sol. Par la curiosité ils se sont approchés à 10 mètres, et ont alors vu un homme de taille normale portant des vêtements de pilote, aux cheveux frisés, au teint d'un métis.

Ce pilote débouchait d'un trou au bas de l'engin, un autre être a sauté à terre et adressé la parole au premier dans un dialecte inconnu. Puis tous deux se sont mis à avancer vers les observateurs médusés, qui de peur d'être attaqués ou enlevés, ont pris la fuite.

En arrivant devant la chapelle de l'hôpital, ils se sont sentis en sécurité et ont observé le départ de l'engin en compagnie du soldat Roche et de l'infirmier de service, le soldat Issonjon.

L'appareil a pris de l'altitude avec une rapidité foudroyante, puis a disparu.

Julien Gonzalez fait remarquer qu'il s'agit d'une lettre adressée par le soldat Christophe de Devi à l'hebdomadaire Radar qui l'a publiée dans son courrier des lecteurs.

Les sources sont indiquées comme Radar du 7 novembre 1954; Lumières dans la Nuit, N° 87, page 4; Jean Sider, Le dossier 1954 et l'imposture rationaliste, pages 222-223.

[Ref. ta1:] SITE WEB "THINK ABOUT IT"

Lieu: Frejus, Var France

Date: novembre 2 1954

Heure: 0600A

Au cours d'une matinée pluvieuse, deux soldats, Christophe De Devi et A. Zopina se rendaient à la ville pour se procurer du lait lorsqu'ils perçurent un son de bourdonnement semblable à celui d'un "solex". Ils ont alors vu un objet sphérique métallique blanc sur le terrain près d'un ravin proche. Autour de sa circonférence il avait une bande lumineuse d'un ton orange-rouge. Il avait une queue semblable à celle d'un gouvernail d'un avion. Les soldats se sont approchés à moins de 10 mètres de l'objet. Ils ont vu un homme debout sur ce qui semblait être une plate-forme circulaire sur la base de l'objet. Il portait un costume combiné, semblable à un pilote; il avait les cheveux bruns bouclés, et avait la peau bronzée. Une porte s'ouvrit sur un second homme qui sauta à terre; il ressemblait au premier, et lui parlait en une langue inconnue. Ces deux hommes se sont ensuite dirigés vers les soldats, qui se sont sauvés de la zone. En ville, ils ont trouvé deux soldats supplémentaires. Tous les quatre ont observé l'OVNI gagnant de l'altitude à très haute vitesse et disparaissant de la vue.

Source: Figeut [sic, Figuet]/Ruchon, Ovni Dossier, Guy Tarade

[Ref. ub1:] "UFO-DATENBANK":

N° de cas Nouveau N° de cas Enquêteur Date d'observation CP Lieu d'observation Pays d'observation Heure d'observation Classification Commentaires Identification
19541100 00.11.1954 Frejus France 06.00 RR III

[Ref. ud3:] SITE WEB "UFODNA":

Le site web indique que le 2 novembre 1954 à 06h00 à Fréjus, en Provence-Alpes-Côte-d'Azur, en France, "langage inintelligible. Sphère métallique dans ravin. Quatre soldats rencontrent occupant aspect humain, portait tenue de pilote."

Et: "Rencontre rapprochée avec un engin non identifié et des occupants humanoïdes. Une sphère métallique a été observée par quatre témoins militaires masculins dans une installation militaire pendant cinq minutes."

Et: "Au cours d'une matinée pluvieuse, deux soldats, Christophe De Devi et A. Zopina se rendaient à la ville pour se procurer du lait lorsqu'ils perçurent un son de bourdonnement semblable à celui d'un "solex". Ils ont alors vu un objet sphérique métallique blanc sur le terrain près d'un ravin proche. Autour de sa circonférence il avait une bande lumineuse d'un ton orange-rouge. Il avait une queue semblable à celle d'un gouvernail d'un avion. Les soldats se sont approchés à moins de 10 mètres de l'objet. Ils ont vu un homme debout sur ce qui semblait être une plate-forme circulaire sur la base de l'objet. Il portait un costume combiné, semblable à un pilote; il avait les cheveux bruns bouclés, et avait la peau bronzée. Une porte s'ouvrit sur un second homme qui sauta à terre; il ressemblait au premier, et lui parlait en une langue inconnue. Ces deux hommes se sont ensuite dirigés vers les soldats, qui se sont sauvés de la zone. En ville, ils ont trouvé deux soldats supplémentaires. Tous les quatre ont observé l'OVNI gagnant de l'altitude à très haute vitesse et disparaissant de la vue."

Les sources sont données comme "Hatch, Larry, *U* computer database, l'Auteur, Redwood City, 2002"; "Rosales, Albert, Humanoid Sighting Reports Database".

[Ref. pr2:] PETER ROGERSON - "INTCAT":

Début novembre 1954. 0600hrs.

FREJUS (VAR : FRANCE)

Deux soldats, Christophe de Devi et Mr Zopina sont partis acheter du lait, mais ont trouvé le magazin fermé. Dans une ravine près de l'Hôpital 294, ils ont entendu un son de bourdonnement ressemblant à celui d'une petite moto, et sur le sol, ils ont vuun engin chrome métallique, avec un bord lumineux orange autour de ses bords, et une queue similaire à celle d'une dérive d'avion. A 10m de l'objet il y avait deux hommes de hauteur normale; l'un, debout dans un passage circulaire localisé dans la partie basse de l'objet, portait une tenue d'une pièce de pilote et avait des cheveux ondulés et une peau brune. L'autre apparaissait dans une ouverture, parlant avec le premier. Ils se sont ensuite approché des témoins, qui ont fuit. Près de la chapelle de l'hôpital ils ont rencontré leurs companions, Messrs Roch et Issoujom [sic], et les tous quatre ont vu la machine décoller à une vitesse terrifiante et disparaître dans la distance.

Jacques Bonabot citant Tarade 1969 p176 citant Maurice Malvillan

Evaluation - Helicoptère et équipage?

Points à considérer:

Il s'agit là de toute évidence de l'assez bonne description d'un hélicoptère, avec un équipage étranger donc vraisemblablement de l'OTAN.

Saunder-Roe Skeeter

Hélicoptère biplace Saunders-Roe "Skeeter", en production en 1949.

Le cas montre également de beaux exemples de déformations ufologiques, avec des pilotes aux teints bronzés devenant des entités au visage noir, et la suppression du détail essentiel de la présence d'une queue façon avion à l'engin, ainsi transformé en "sphère".

Ajout au 8 décembre 2018:

A cette date j'ai trouvé les dires de Michel Figuet [ld2] et de Jean Sider [js1] sur l'affaire.

Figuet indique que ce serait une histoire inventée dans un bar de Fréjus par les deux soldats Zopina et De Devi, témoins principaux allégués. Figuet évoque l'alcool. Mais comme le note Jean Sider, aucune précision n'est apportée su la façon dont cela est su, et cela semble effectivement contredire la version selon ce ne serait connu que par un courrier d'un témoin allégué paru dans Radar. La personne qui aurait entendu l'histoire dans un bar ne peut pas être l'fologue René Malvillan puisqu'il ne présente pas du tout l'affaire comme un canular.

Avec ces éléments, la thèse de l'hélicoptère ne serait donc pas à abandonner, mais la possibilité alternative d'un canular devait être évoquée.

Liste de problèmes:

Id: Sujet: Sévérité: Noté le: Soulevé par: Noté par: Description: Proposition: Statut:
Sans

Evaluation:

Confusion, hélicoptère.

Références des sources:

* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.

Histoire du document:

Rédaction

Auteur principal: Patrick Gross
Contributeurs: Aucun
Reviewers: Aucun
Editeur: Patrick Gross

Historique des changements

Version: Créé/changé par: Date: Description:
0.1 Patrick Gross 26 janvier 2008 Création, [gt1], [fr1], [go1], [ar1], [ud1].
1.0 Patrick Gross 26 janvier 2008 Première publication.
1.5 Patrick Gross 8 décembre 2018 Additions [ld1], [ld2], [js1], [lh1], [pr2]. Addition de ce qui suit "En 1987" dans le Résumé. Dans les Points à Considérer, ajout de ce qui suit "Ajout au 8 décembre 2018".

Valid XHTML 1.0 Strict



 eMail  |  Début  |  Retour  |  Avance  |  Plan  |  Liste |  Accueil
Cette page a été mise à jour le 8 décembre 2018.